Dans ces conditions, on ne peut que se demander si ce projet ne relève pas tout simplement de l’incitation à la délinquance…
Il fut un temps où le problème de l'asile n'était pour le monde politique qu'un thème bassement électoraliste brandi par les nostalgiques du caporalisme à moustaches. Aujourd'hui, les choses ont bien changé. Après avoir si longtemps nié une situation en constante détérioration, les élites se prennent la réalité en pleine figure.
Hélas, trois fois hélas, il faut bien constater que les Maghrébins jouent bel et bien un rôle non négligeable voire essentiel dans la dégradation de la sécurité dans nos rues. Chaque jour nous apporte son lot de faits divers avec pour constante le fait que les auteurs nous arrivent du sud de la Méditerranée. Alors que la situation réclame courage et fermeté, les autorités répondent par un lamento à plusieurs voix sur le thème "on voudrait bien faire quelque chose mais on ne peut pas les expulser". Aux esprits naïfs qui demanderaient s'il ne serait pas possible d'interner les fauteurs de troubles qu'on ne peut renvoyer chez eux, les mêmes expliquent qu'on manque de places de détention. En clair, nos édiles prennent pour excuse une situation qu'ils ont eux-mêmes créée et qu'ils se refusent à corriger. Il est vrai qu'on ne saurait être à la fois le problème et sa solution.
Le taureau par les cornes
Fort heureusement, dans ce paysage sinistré, une Conseillère d'Etat a pris le taureau par les cornes. Emue par le fait que Genève est désormais le ville la plus criminogène de Suisse, Isabel Rochat propose une solution audacieuse dont seul le nom est judicieux, à savoir "plan Maghreb". Il s'agit de remettre CHF 1'000.00 aux délinquants multirécidivistes qui acceptent de regagner leur pays puis de les accompagner dans la réalisation d'un projet chez eux à hauteur de CHF 3'000.00.
En entendant l'initiatrice de cette prime au crime exposer son plan à Forum sur la Première, on croit le 1er avril en avance de quelques jours mais force est d'admettre qu'il ne s'agit pas d'une plaisanterie. Une fois revenu de la légitime stupeur qu'on éprouve en entendant les explications de Mme Rochat, on ne peut que faire plusieurs constats. Tout d'abord, les chantres de l'antiracisme n'ont pas embouché les trompettes de la stigmatisation malgré le fait que le plan vise explicitement une population précise. C'est dire si le problème est grave.
Genève, un aimant irresistible
Ensuite, il est évident que cette initiative fera de Genève un aimant irrésistible pour tout délinquant maghrébin moyen sévissant quelque part en Suisse. Il serait en effet stupide de commettre crimes et délits ailleurs puisqu'au bout du lac, chaque cas vous rapporte des points-fidélité vous donnant droit à un voyage gratuit. Un concours sans obligation d'achat en quelque sorte.
Au surplus, ce projet n'intéressera pas seulement les délinquants déjà sur notre sol mais suscitera immanquablement des vocations puisque les jeunes restés au pays auront eux aussi envie de se voir sponsorisés par la Suisse après avoir passé en revue le Code pénal.
Point délicat, la façon dont on prend en compte les délits nécessaires à l'entrée dans ce programme d'aide au retour. S'agit-il de la récidive au sens strict, à savoir le nombre de fois au cours desquelles un délinquant occupe les tribunaux ou au contraire une sorte de récidive "qualitative" qui prendrait en compte la gravité des faits ? Faut-il atteindre un nombre défini de points sur une base du type brigandage et passage à tabac d'une personne âgée 12 points, coup de couteau 8 points, cambriolage 5 points, vol à l'étalage 1 point ?
Incitation à la délinquance?
Quelle que soit la solution retenue, que devra faire le Maghrébin à qui il manque sursis ou points pour bénéficier des largesses de Mme Rochat ? La réponses est hélas simple, il lui faudra commettre quelques délits supplémentaires pour être pris en compte. Dans ces conditions, on ne peut que se demander si ce projet ne relève pas tout simplement de l'incitation à la délinquance.
Le plus grave dans cette affaire, c'est que dans l'attente des premières conclusions quant à l'efficacité de ce projet, on se gardera bien de prendre les mesures véritablement efficaces que la situation réclame. La population genevoise est donc bien partie pour subir encore longtemps les exactions de cette population qui ne voit dans notre pays qu'un tiroir-caisse dans lequel on se sert avec violence si besoin. Merci Mme Rochat!
Le laxisme et la passivité ne sont évidemment pas la solution pour éradiquer ce phénomène de violence qui s’est installé durablement à Genève. C’est d’ailleurs à cause de cette absence de volonté que la racaille s’est installée, comme des parasites sur un organe sain.
Maintenant, entre ne rien faire, et favoriser, voire encourager les voyous, il y a un fossé qu’Isabel Rochat s’est empressée de combler. Sa solution est la pire que l’ont pouvait imaginer, un véritable appel d’air pour toutes les canailles en puissance.
Fort heureusement en lisant les commentaires des citoyens responsables dans la presse ou à la télévision (IR), je constate que le bon sens et le sens de la responsabilité l’emportent largement sur les élucubrations démagogiques. Cette proposition de Mme Rochat sera balayée d’un revers de main. La seule solution est la fermeté et l’emprisonnement de ces voyous, et cela le plus rapidement possible, et sans considération du coût…
Merci de corriger une coquille:
“…dont la politique de sécurité est élaborée aujourd’hui par Mme Rochat mais il ne fait aucun doute que les choses bougent. ”
Merci.
PM
Après les avoir lus attentivement, je suis étonné de voir à quel point les commentaires sur l’article de M. Perrin sont émotionnels. Il faut admettre que chacun a une opinion sur la sécurité publique comme chacun a une opinion sur l’immobilier, même si chacun de ces domaines est polymorphe et pose aux professionnels des questions plus compliquées à y répondre qu’il n’y paraît à tout un chacun. Un de mes enfants a été carjacké par deux hommes armés et je ne partage pas le point de vue de la plupart des commentateurs, pourquoi? Tout d’abord parce que la tâche confiée à Mme Rochat l’a été par défaut. Des hommes du gouvernement se sont défaussés pour lui laisser la gestion d’un département à la dérive depuis des années. Si la situation n’était pas si sérieuse, je dirais que cela ressemble fort à un bizutage du petit nouveau. A la différence d’autres, et notamment celle de M. Moutinot qui considérait la mendicité comme une profession libérale, elle s’attaque au problème. L’approche ne paraît peut-être pas toujours idéale, mais elle a elle a le mérite de le faire. On ne dit pas assez à quel point son département souffrait de lacunes organisationnelles à son arrivée, fruit d’années de laisse-aller de ses prédécesseurs, de gauche comme de droite. En outre, des études montrent qu’une diminution de la criminalité ne résulte que peu d’une politique de fermeté seule. Il y a d’autres éléments à prendre en compte comme notamment l’environnement. Depuis les années ’80, la propreté de Genève s’est remarquablement dégradée et des incivilités, de plus en plus graves, ont été tolérées par laxisme. Petit à petit, on a laissé se créer un environnement où les malfrats se sentent accueillis. A ce propos, j’invite les intéressés à l’évolution de New-York à lire l’ouvrage écrit par Malcolm Gladwell “The tipping point” qui analyse très finement les effets d’événements relativement mineurs sur la baisse massive des meurtres et de la criminalité en général à New-York en une période de temps extraordinairement courte. On y voit que les réflexes de bon sens utilisés généralement pour la gestion de ce type de problèmes n’auraient pu réussir à les régler en ce temps record et peut-être même pas en une plus longue période. Il en ressort particulièrement que, si la politique de Rudolf Giulani a contribué au résultat final, il ne fait aucun doute qu’elle n’a pas été l’élément essentiel du changement intervenu. Je n’ai pas d’information particulière sur la manière dont la politique de sécurité mais il ne fait aucun doute que les choses bougent. Réagir est une chose, agir en est une autre et autrement plus responsable. Les solutions “yaka” ne résolvent rien. Elles font le lit de problèmes encore plus compliqués qui finissent par justifier la prise en main du sort de la collectivité par des personnes attirés par le pouvoir pour lui-même.
Mme Rochat et ses coresponsables politiques jouent en effet les pompiers incendiaires; il y a dans le mélodrame de ces metteurs en scène une naïveté qui fait immanquablement penser à “M.Bidermann et les incendiaires” de Frisch; on est si gentil en Suisse qu’on en oublie toute réalité; pire on se refuse à la considérer, ce qui devient alors criminel s’agissant de nos élus; les atermoiements typiques de gens qui n’ont dans leur cocon existentiel jamais eu à décider gravement que la couleur d’une barrière ou la dimension d’une place de parc et non où est l’intérêt vrai du citoyen suisse: défendre, comme partout ailleurs, ses intérêts prioritaires et non la liberté de délinquants infiltrés pour seulement lui nuire ? En faisant vos comptes Mme Rochat n’oubliez donc pas, sur ces CHF 3’000 de libéralité radicale, vraie prime à la casse, de faire rembourser à vos protégés ce qu’ils auront coûté à la société suisse; vous ménagez vos pauvres en toute illégalité, libre à vous; mais cependant ne fondez aucune espérance de retrouver votre siège.
Merci M. Perrin pour cet excellent article tellement plein de bon sens. Je dois dire que dans la folie actuelle, il est agréable de lire quelqu’un qui a les pieds sur terre, et qui ne cède pas à la démagogie ambiante. Personnellement, j’ai pris ma retraite à l’étranger pour des raisons de santé, mais je suis régulièrement l’évolution de mon pays. Et ce que je vois, jour après jour, me terrifie, surout sur la violence, l’insécurité, et le laxisme qui l’encourage. J’en étais à me demander si mon éloignement m’avait fait perdre le sens de la réalité, et qu’au fond cette tendance négative de la Suisse était normale et inéluctable. Et bien votre article me rassure, car je constate que certains de mes concitoyens font le même constat que moi, et se battent pour la survie de valeurs qui ont construits la Suisse. Ne vous laissez pas décourager, et continuez sur cette voie, car c’est la seule possible
Merci M. Perrin de mettre en évidence l’ahurissante naïveté et ignorance de la nature humaine des autorités genevoises. Notre système judiciaire pénal est conçu pour s’appliquer à ceux qui respectent ses lois – respect qui repose sur notre éducation et nos traditions sociales. Les peines sont orientées vers une réinsertion dans la société. Les jugements sont aussi parfois trop cléments en regard des dommages subis par les victimes.
Les délinquants de passage chez nous sont en majorité issus de sociétés plus violentes que la nôtre, où la vie humaine compte peu, et ne partagent pas nos inhibitions. Il est naturel qu’ils cherchent à exercer leur “activité” dans un environnement prospère et où l’éventuelle punition est légère. La proposition d’Isabel Rochat est de ce fait totalement contraire à la réalité et serait contre-productive.
Pourquoi est-ce qu’on ne met simplement pas en prison ces gens? L’Occident est en décadence s’il n’est même plus capable d’user des instruments pénaux pour condamner des actes délictueux.
Même si le 1er avril est vieux de quelques jours, et si l’on proposait un contre-projet restreignant cette “offre alléchante” non pas aux délinquants multirécidivistes maghrébins, mais à Madame Rochat elle-même – et uniquement elle: aller simple pour l’Afrique du nord et sponsoring pour se lancer dans la politique sur place. Peut-être ferions nous ainsi meilleur usage de nos impôts.
Quand la langue de bois sera neutralisée, tout ira mieux dans le dialogue entre citoyens responsables. La croissance du crime, de la délinquance étrangère, longtemps niée, refoulée, explose actuellement. 70% des cellules de prison sont occupées par des étrangers dont le niveau culturel est inadapté à notre civilisation. Ces gens certes dans la misère nous envahissent en qualité de profiteurs, de voyous. Nombreux d’entre eux sont musulmans et paradoxalement en contradiction avec les préceptes de paix et de respect du coran. Ces gens sont fondamentalement à plaindre, mais concrètement ils n’ont strictement rien à nous apporter si ce ne sont des moeurs criminelles.
Le film “Vol spécial” est une glorification scandaleuse, bassement démagogique de populations n’ayant strictement aucun atome crochu avec les lois et règlements de notre pays. Les 300-440 voyous par métier qui hantent Genève doivent être renvoyés manu militari dans leur pays, sans aucune aide. Et si les accords internationaux interdisent ces renvois, alors il convient de les interner dans des sections pénitentiaires à régime sévère. Point, à la ligne. A cet égard, l’Algérie est un pays voyou, sclérosé. L’Autorité suisse doit montrer sa détermination à ne pas se laisser faire, par une suspension de l’aide économique.
Car enfin, dans ce contexte complètement fou, où sont les droits des victimes ? Ces gens cambriolés, physiquement agressés, meurtris dans leur chair ? Il est temps d’en parler et l’UDC serait bien avisée de durcir son discours sur ce point.
Dans l’Ancien Régime, l’étranger trublion était mis au pilori, banni, voire exécuté. Le juste milieu consiste à rétablir l’ordre démocratique, le cas échéant, par la répression pure et dure. Ainsi nos sociétés re-vivront une sérénité normale.
De nos jours, le système juridique mis en place dans notre pays donne plus de droits aux criminels qu’à l’honnête citoyen, plus de droits aux brigands qu’aux forces de l’ordre! Ce système pervers dernièrement mis en place par les partis de gauche et les bien-pensants va bientôt nous mener droit dans le mur… Il ne faut dès lors pas s’étonner que la situation sécuritaire échappe par exemple à tout contrôle dans le canton de Genève. Lorsque la justice ne défend plus la veuve et l’orphelin, mais le brigand et le criminel, c’est toute notre société qui menace de s’écrouler.
C’est tout à fait vrai, la victime n’existe pas… On trouve toutes les excuses aux délinquants, aux criminels et autres… Comme excuse on nous dit qu’il n’y a plus de place dans nos prisons, alors je propose d’ouvrir nos casernes qui sont sous-occupés, dont notamment la caserne de LOSONE…et je suis totalement d’accord avec le commentaire posté par Monsieur ETIENNE.
Il y a longtemps que l’on sait que ce n’est pas un Etat fort qui menace citoyennes et citoyens, mais un Etat faible.
Merci pour cet article excellent. J’ai deja ecrit avec des propositions a Isabelle Rochat dans le passe ainsi qu’au Conseil d’Etat – sans reponse, bien sur. Elle est allee a New York a nos frais et elle a rencontre Rudolph Giuliani, ce qui nous a donne d’espoir, mais helas elle ne suive pas l’exemple de ce personnage eclaire et courageux qui a fait de New York, une ville vingt fois plus grande que Geneve, une ville sur. Elle a rien apris donc le voyage etait un gaspillage de notre argent.
La seule solution est d’elire la droite dure pour enfin resoudre cette criminalite qui augmente constamment et empoisonne notre vie.
A Geneve, c’est le monde a l’envers, ou on aime les criminels et ne pense pas aux victimes, ou on ne s’occupe pas du bienetre de la population et la sale reputation de cette belle ville. Une manque de compassion et de patriotisme.
Livia Varju
@ Monsieur le CN Perrin
Excusez-moi, j’ai oublié de préciser que l’art. 78 OASA prévoyait expressément que les dispoisitions sur l’asile s’appliquaient aux clandestins pour les questions d’aide au retour
http://www.admin.ch/ch/f/rs/142_201/a78.html
OOps 😉
Lorsqu’un Etat en arrive à payer les délinquants qui pourrissent la vie de ses citoyens pour s’en débarrasser, on a une idée de l’état de délabrement dans lequel il se trouve. Avant de parler des conséquences et des éventuels éceuils juridiques sur lesquels j’ai la même opinion que vous, on peux déjà méditer sur ce que dit de notre société une telle proposition. Pour ce qui est du pragmatisme de cette mesure, pourquoi dès lors ne pas s’arrêter en si bon chemin. J’attends que Madame Rochat nous propose la prime à la pute payée à tous les maris violents pour leur permettre d’aller se soulager lorsque leur prend l’envie de violer et de taper leur femme par exemple… Une mesure pragmatique…
Et les traîtres à la patrie, on en fait quoi? Quand je pense qu’en 1942 en Suisse on fusillait allègrement en lisière de forêt de jeunes hommes vaguement rebelles “pour l’exemple”, et qu’aujourd’hui on laisse passer ce genre de trahison absolue…Mais comme visiblement le peuple suisse-romand n’a en définitive que les politiciens qu’il mérite (à son image), alors bienvenue dans l’ultra-sociale-médiocratie romande. Et ce n’est que le début des festivités.
Ce laxisme crasse est en train de pourrir nos démocraties et nos Etats de droit. Au nom des Droits de l’Homme, pour ne parler que de la Suisse, le crime est sublimé au point que le délinquant est primé. Et la victime svp ? Oui, la victime qui doit se taire et souffrir en silence…
Tout est fait pour que l’extrême droite prenne le pouvoir, au vu de ces idéologies scandaleuses. Le citoyen captif, puni pour 5 minutes de dépassement dans un parking, commence à marquer son opposition à l’oligarchie socialio-verte bien-pensante, adepte de la pensée unique, logeant au château et selon les règles de l’ancien régime, asservit la plèbe juste bonne à apporter les dîmes.
Notre pays a besoin urgemment d’une droite forte, déterminée, dure envers la voyoucratie qui nous noyaute. Pas de prime au crime ! Que les 300 – 400 criminels récidivistes et perturbateurs de Genève (exemple concret) soient placés en camp de rééducation à régime sévère, avec travail forcé. Ils seront nourris, soignés, mais seront éduqués par le travail, la contrainte. C’est l’exemple d’une autorité forte qui permettra de nettoyer les écuries d’Augias.
L’occident se laisse pourrir par sa faiblesse face à la criminalité religieuse, multiculturaliste. Il nous faut de nouveaux repères très fermes et sans concessions. Le peuple suisse mérite une sécurité omniprésente par la répression, pure, dure, sans circonstances atténuantes, envers cette voyoucratie criminelle.
Le Droit commence à “débloquer” sérieusement. A preuve le cas du recours du frère d’un criminel justement abattu près de Payerne, parent qui sera indemnisé ! Les voleurs, braqueurs et autres délinquants commencent à être protégés. Voilà le signe majeur de la déliquescence de nos institutions.
NON à l’invasion des réfugiés islamiques. Qu’ils s’adressent au Roi d’Arabie et aux Emirs EAU. Suissesses, Suisses, ayez la franchise de vous opposer ouvertement et de ne pas seulement réagir négativement quand un centre de réfugiés est prévue dans votre région. Cas contraire, vous n’êtes que des nuls, des hypocrites.
Monsieur Favre,
Votre remarque est fort pertinente mais j’ai tout lieu de penser que les juristes objecteront que cette disposition s’applique aux personnes relevant de l’asile et non aux clandestins.
Bonjour Monsieur Perrin,
Selon le magazine Science et Vie d’avril 2012, le Quotient Intellectuel aurait cessé de progresser. Eh bien j’ai le sentiment qu’il a même commencé à régresser sérieusement à observer certains membres de nos “autorités”.
Mais de nos jours, il semble plus valorisant de poser soigneusement des emplâtres sur des jambes de bois plutôt que d’éviter que les jambes soient arrachées.
Bonne journée de printemps suisse 😉
Monsieur le Conseiller national,
J’ai lu sur le site de la tribune, que la loi fédérale interdisait une telle mesure.
Il s’agirait de :
http://www.admin.ch/ch/f/rs/142_312/a64.html
Art. 64 Limitations
1 Sont exclues de l’aide au retour financière les personnes:
…
b. qui ont commis un crime ou qui ont commis des délits à plusieurs reprises;
…
Qu’en est-il ?