France. Bordeaux : une femme tabassée en pleine rue par un migrant clandestin

Une trentenaire a été violemment agressée par un inconnu, dans la nuit de mardi à mercredi, rue Jacques-Ellul.

Une enquête criminelle en flagrance, pour viol et violences, a été ouverte par le parquet de Bordeaux, mercredi, à la suite de l’agression d’une femme âgée d’une trentaine d’années, en pleine rue, dans la nuit de mardi à mercredi, dans le centre-ville de Bordeaux.

Il était environ 1 h 30 du matin quand la victime a croisé son agresseur, rue Jacques-Ellul, artère qui relie la place Sainte-Croix au cours de la Marne, en longeant la place André-Meunier. « D’après les éléments dont nous disposons, l’inconnu l’a abordée pour lui demander du feu et s’est jeté sur elle. La victime a subi de nombreux coups, au point de perdre connaissance. Ce sont des passants qui l’ont secourue et ont permis l’interpellation de son agresseur », précisait, hier, le secrétaire général du parquet, le vice-procureur Bertrand Rouède.

Un couple de piétons et trois hommes qui rentraient du travail sont intervenus. Les deux premiers ont pris en charge la jeune femme, en partie dénudée, et averti les pompiers, tandis que les trois autres se sont élancés à la poursuite de son agresseur, qui avait pris la fuite à leur vue. Ils sont parvenus à le maîtriser et ont aussitôt appelé la police.

L’homme était ivre au moment de son arrestation. Ramené au commissariat central de Bordeaux, il était toujours en garde à vue, hier soir. L’enquête a été confiée à la brigade départementale de la protection de la famille de la Sûreté départementale. « Il s’agit d’un homme majeur, en situation irrégulière sur le territoire. D’après l’identité qu’il présente, et qui reste encore à confirmer, il n’avait pas d’antécédents judiciaires », indique le parquet.

Mercredi, la victime était toujours hospitalisée au CHU Pellegrin, à Bordeaux. Elle a pu être entendue par les enquêteurs, mais ne se souviendrait pas de ce qu’il s’est passé après sa perte de conscience.

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6 commentaires

  1. Posté par Léo C le

    Bordeaux est juste la ville où je vis.
    Je nous y croyais encore relativement tranquilles malgré la faune que j’y vois de plus en plus …..diverse. Place de la Victoire, par exemple.

    Face à l’incurie d’un pantin propulsé et médiatisé, les 5 prochaines années seront cruciales.

  2. Posté par pierre le

    Les juges islamo-gauchistes vont sûrement lui trouver des circonstances atténuantes et le relâcher, avec cette justice laxiste, il va falloir faire justice soi-même

  3. Posté par UnOurs le

    Il faut élargir les trottoirs.

  4. Posté par poulbot le

    Qu’il le jette dans la Garonne les fers aux pieds , cela fera faire des économie a l’état.

  5. Posté par Jiff le

    Encore une chance pour la france qui presque sans aucun doute ressortir libre du tribunal, après juste un rappel à la loi, et recommencer rapidement (quelles chances pour ses futures victimes !) – dommage, les noms de rues cités semblent indiquer qu’une autre solution était dans le domaine du possible.

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