Suisse: Un père tunisien kidnappe ses deux fils et les ramène dans son pays. La mère a peur d’être arrêtée si elle va les chercher en Tunisie.

Le Tribunal fédéral (TF) a confirmé la deuxième condamnation infligée à un père tunisien pour enlèvement qualifié de mineurs. Il n'a rien entrepris pour que ses deux fils reviennent en Suisse où vit leur mère.

Les enfants, qui ne parlent plus que l'arabe, n'ont pratiquement plus de contact avec leur mère. Ils l'avaient vue une dernière fois lors d'un séjour qu'elle avait fait en Tunisie en 2013. Depuis, elle ne s'est plus rendue dans ce pays, par peur d'être arrêtée.

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Rappel. Simonetta Sommaruga: « La Suisse sera toujours plus multiculturelle »

8 commentaires

  1. Posté par M-C Foreign Office le

    Maintenant nous devons nous mettre à jour sur les réseaux sociaux pour obtenir les informations totalement occultées par les “grands” médias qui monopolisent la désinformation :

    Maintenant des horreurs ce ce genre (ci-dessous) c’est 10 à 20 fois par jours et cela rien qu’en France !!

    Evry : un ado viole et torture sa victime « parce qu’elle est française et qu’il n’aime pas les Françaises »

    Le 30 mars 2014, une jeune femme de 18 ans sortant de la gare d’Evry-Courcouronnes avait été entraînée dans le parc des Coquibus par quatre jeunes âgés de 13 ans à 18 ans. Là elle avait été victime de viol, tortures et actes de barbarie. Le meneur, qui avait écopé de 30 ans de réclusion en première instance, est jugé en appel ce mercredi.

    « Cette affaire est tellement horrible qu’elle m’a fait pleurer pour la première fois en 23 ans d’exercice. » Sandra Kayem, avocate au barreau d’Evry, s’apprête à défendre à nouveau une jeune femme qui avait été victime d’un viol collectif, de tortures, d’actes de barbarie et de racisme anti-blanc le 30 mars 2014, à la sortie de la gare d’Evry-Courcouronnes (Essonne). « Ce n’est pas professionnel, mais mes larmes coulaient toutes seules lorsqu’elle m’a raconté le calvaire qu’elle a vécu », avoue l’avocate.
    À partir de ce mercredi et jusqu’à vendredi, l’un des auteurs des faits est jugé en appel au tribunal de Melun (Seine-et-Marne). Âgé de 17 ans au moment de cette attaque, l’excuse de minorité lui avait été retirée par la cour d’assises de l’Essonne. En récidive et chef de la bande, il avait été condamné à trente ans de prison en 2015. Ses trois complices, âgés de 13 ans à 15 ans, avaient écopé de cinq à sept ans de prison devant le tribunal. Parmi eux figure le frère du meneur. Ils seront cités en tant que témoins au procès en appel du principal accusé.
    La victime, elle, est « encore dévastée », soupire Sandra Kayem. « Et revoir ses quatre agresseurs sera à nouveau extrêmement éprouvant », devine l’avocate. Sa famille est suivie par des psychiatres et a déménagé pour fuir ces lieux « maudits ».
    Car le calvaire que la victime a subi cette nuit-là est insoutenable. Il est 1 heure du matin et la jeune femme rentre d’une soirée à Paris en RER. Elle arrive à la station Evry-Courcouronnes. En sortant de la gare, quatre jeunes l’encerclent. Le meneur lui demande son téléphone portable. Les trois autres ont une bombe lacrymogène, un tournevis et un brise-vitre. Le chef la fouille, lui dérobe des bijoux et commence ses attouchements sexuels.
    Puis ils entraînent la jeune femme derrière un talus, la déshabillent tout en la frappant et la violent. Une personne approche, alors l’accusé rhabille la jeune femme et l’emmène dans le parc des Coquibus. Là, ils abusent à nouveau d’elle, à tour de rôle et à plusieurs reprises chacun, tout en lui donnant des coups de bâton et en écrasant leurs cigarettes sur elle. Les tortures, les humiliations et les actes indicibles des quatre hommes, ne font alors que commencer. Ils ne la relâchent qu’aux environs de 5 heures du matin en la menaçant de mort si elle les dénonce. Deux automobilistes découvrent la victime errant dans la rue, le visage tuméfié.
    Grâce à la vidéosurveillance installée à la gare, les quatre bourreaux sont identifiés et interpellés. Face aux enquêteurs, cette bande avait avancé des motivations racistes « anti-français », en admettant avoir demandé à la victime ses origines. À l’époque, le procureur d’Evry avait choisi de dire que ces éléments étaient « faux », car la famille souhaitait « éviter toute récupération politique ». Mais le meneur avait notamment indiqué en garde à vue : « Quand je sortirai je niquerai la France. » Un complice, avait pour sa part reconnu s’en être pris à cette jeune fille « parce qu’elle est française et qu’il n’aime pas les Françaises ».

  2. Posté par M-C Foreign Office le

    Il en fera des “bons” petits djihadistes qui peut être sans le savoir égorgeront leur mère dans une ou deux décennie !!

  3. Posté par Tommy le

    Épouser un musulman, c’est comme marcher au bord d’un gouffre en étant sous l’influence de l’alcool.

  4. Posté par JDV le

    @Bussy, si c’étaient des filles, il est fort probable qu’il les aurait laissées en Suisse, mais 2 petits gars qui en plus portent son nom, c’est goal 2 fois dans le même match, donc c’est un homme respectable (pardon pour l’illustration mais connaissant cette mentalité, je n’en dit pas plus)

  5. Posté par monde-tombé-sur-la-tête le

    Bon débarras! je ne vois pas ou est le problème?
    Si seulement tous les autres faisaient pareil !

  6. Posté par Peter Bishop le

    Elle a voulu, elle a eu, je n’ai aucune compassion pour les traitres !

  7. Posté par Bussy le

    D’habitude le mec se tire tout seul en Tunisie et abandonne femme et enfants et…. charges au Scarpa !

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