Le rédacteur en chef de Reuters a adressé un message à tous les reporters de l’agence de presse pour leur demander de se préparer aux difficultés posées par la couverture de l’actualité sous la présidence de Donald Trump, comparant son régime à ceux de pays autocratiques comme la Chine, la Russie ou la Turquie.
Dans sa note interne, Steve Adler, le rédacteur en chef de Reuters, écrit la chose suivante à l’adresse de ses équipes :
« Ce n’est pas tous les jours qu’un président américain qualifie les journalistes de compter parmi "les humains les plus malhonnêtes de la Terre", ou que son stratégiste en chef surnomme les médias +le parti de l’opposition+.
Il n’est donc pas surprenant que tout le monde se pose des questions et se demande comment couvrir la nouvelle administration ».
Reuters instructs its reporters to cover Trump as it does other authoritarian regimes https://t.co/WUjtdXp6Cc
— Ian Millhiser (@imillhiser) 1 février 2017
Attendez-vous à des menaces physiques
Il leur a expliqué qu’ils devaient se fonder sur leur expérience de terrain des conditions de travail dans des pays dans lesquels ils sont parfois confrontés « à une combinaison de censure, de refus de visa, de mise en cause judiciaire, et même de menaces physiques », pour rapporter les faits concernant l’administration Trump.
Il a aussi donné des exemples de ces nations : la Turquie, les Philippines, l’Egypte, l’Irak, le Yémen, la Thaïlande, la Chine, le Zimbabwe et la Russie.
Les journalistes ont également été invités à opérer clandestinement, sans se soucier des autorisations d’accès :
« Elles n’ont pas tant de valeur, de toute façon. Notre couverture de l’Iran a été exceptionnelle, et nous n’avons virtuellement aucun accès officiel. Ce que nous avons, ce sont des sources ».
Adler a également recommandé aux journalistes de ne pas « se laisser intimider par le gouvernement », et de ne pas révéler leur opinion :
« Dans d’innombrables pays, nous gardons notre avis pour nous, ce qui nous permet de rapporter ce qui se passe sans que l’on puisse nous suspecter de parti-pris. Nous devons faire la même chose aux Etats-Unis »
« Il s’agit d’une opportunité pour nous d’utiliser les compétences que nous avons apprises dans des endroits bien plus durs de la planète et de donner l’exemple », conclut-il.
Source
Lorsque l’on constate à quel point les médias mainstream ont manipulé les populations occidentales depuis des décennies, il y a de quoi ne plus leur accorder la moindre once de confiance. La machine mondialiste dont ces médias font partie intégrante a été mise à jour par une partie de la population, leurs mensonges fonctionnent de moins en mois bien et ils commencent à paniquer ! Messieurs les grands patrons des médias, le mouvement est irréversible, votre crédibilité est en chute libre et ce n’est que le début, nous communiquons par le web, nous sommes de mieux en mieux informés, nous nous transférons les informations intéressantes, vous êtes cuits, ça n’est qu’une question de temps, nous allons vous détruire !
S’ils décident de se comporter honnêtement ils n’auront pas de problème.
L’ennui c’est que j’ai déjà constaté que les journalistes de terrain font en général leur boulot correctement. C’est juste au montage que cela se gâte surtout avec l’ajout de commentaires orientés ! Et ceux qui se livrent à ce petit jeu sont bien à l’abri dans leur rédaction, contrairement à ceux qui sont sur le terrain.
Pensez-vous que Rothschild a pu accumuler « 500 trillion $ », (dette des USA 20 trillion $) sans manipuler l’opinion publique? (il l’a fait à l’aide des journalistes Reuters, qui lui appartiennent).
Chers journalistes de la grande presse,
Vous êtes juste censés dire la vérité….ce qui comprend l’honnêteté…..
Vous pouvez tromper les peuples…une fois…100 fois..mais pas dans vitae eternam…
Si vous ne savez plus utiliser l’objectivité…..que donc ce n’est plus que la subjectivité qui vous guide…ne vous en prenez qu’à vous mêmes…..
Votre profession compte aujourd’hui une majorité de journalistes d’opinions mondialistes, universalistes.. étonnez-vous donc qu’une majorité des peuples vous rejettent?
Ou est votre neutralité ? Ou est votre bon sens?
Pourquoi de plus en plus de journaux d’opinion politique ancrés dans cette gauche mondialiste font faillite?
Parce que la majorité des lecteurs n’en veulent plus….C’est un fait… Et plus votre déni de réalité sera important…et plus vous allez échouer…
Journalistes, vous n’êtes pas là pour donner des leçons de civisme aux peuples, ni pour les éduquer à penser selon votre bible…vous êtes là..pour les informer …et de préférence le plus honnêtement possible….
Il n’est pas de compétence de vouloir faire élire des politiciens à la place des peuples…ce n’est pas votre boulot…cela ne figure pas dans votre cahier des charges..
Du 4e pouvoir qui vous était désigné…vous vous êtes enflés comme grenouille devant le bœuf ..
Ce faisant..c’est le 1er pouvoir que vous avez recherché…sans autre autorisation que la vôtre..
Vous voulez confisquer le pouvoir aux peuples souverains….
Le boomerang n’a pas tardé…vous êtes fired….
Adler a recommandé aux journalistes de ne pas « se laisser intimider par le gouvernement », et de ne pas révéler leur opinion!!! Bel aveux de partialité idéologique et encore une balle dans le pied de ces cloportes.
Il va de soi ,que la médiatisation n’est pas toujours réelle,selon certains sujets, notamment quand il s’agit de sujets qui cassent la caste politique et journalistique.
Le mieux pour un journaliste est d’apprendre un vrai métier, et non pas celui de menteur.
Si toutes les chaines de tv américaines à part Fox News, qui appartient au magnat de presse australien Murdoch , étaient hostiles à Trump, et qui malgré cela a été élu, c’est que la fiabilité des médias Mainstream ou politiquement corrects est très discutable.De l’autre côté de l’Atlantique, en Europe de l’Ouest, ce n’est guère mieux. Il faut voir quelles sont les forces politiques, économiques et financières sociales qui tiennent ces médias!Pas plus compliqué que Ça!