Christian Hofer: A noter la nourriture plus que correcte qui leur est destinée (à 2:10 dans la vidéo). La dame déclarant qu'elle les traitait comme les autres clients de l'hôtel.
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Dans l'hôtel à trois à étoiles de Gambarie, 100 migrants vivent et mangent aux frais de l'Etat. Mais pour eux, cela ne suffit pas. Et ils déclenchent la révolte: "Nous voulons plus de droits."
Gambarie dans le massif de l'Aspromonte. Garibaldi y a été blessé lors de son avancée vers Rome. Des forêts riches de végétation, voire préhistoriques, des ruisseaux d'eau cristalline, des pistes de ski.
Et des migrants, tant de migrants. Insatisfaits et, ces derniers jours, violents. Une centaine de jeunes Africains occupent une aile de l'un des plus grands et confortables hôtels de la station de ski de l'Aspromonte: "Nous exigeons davantage de l'Italie, nous voulons immédiatement plus de droits" (voir la vidéo).
Après avoir élevé une paroi de séparation dans l'un des longs couloirs de la propriété, les propriétaires de l'hôtel Excelsior, analysant la grave crise du tourisme en Calabre, ont accepté les migrants débarquant des côtes. Comme si cela était facile de pouvoir les gérer.
En réalité, peu de semaines ont suffi à un important contingent de clandestins pour se rendre compte d'être isolés du reste du monde. (...)
C'est pour cette raison et aussi en raison de problèmes "tribaux" entre groupes de diverses provenances qu'il existe depuis un certain temps une atmosphère tendue débouchant ces derniers jours sur des violences selon la Préfecture de la région de Calabre. 22 d'entre eux ont reçu la révocation de leur accueil. Même si en ce moment ils sont toujours là.
Au mépris de toutes les règles, le groupe de fauteurs de troubles, après avoir abondamment bu, a semé la terreur dans tout l'hôtel. On dit que certains d'entre eux ont été vus avec un couteau de boucher à la main.
Une chose est certaine, les propriétaires de l'hôtel (en particulier Madame Elvira, hospitalisée en état de choc) aimeraient un rétablissement de la tranquillité perdue; Celui qui voudrait aller passer un moment de détente dans ce coin de l'Aspromonte, sans soucis d'aucune sorte, a déjà songé aux graves dommages pour l’économie locale; tandis que les migrants seraient heureux de laisser la place pour aller à Milan. (...)
Source Traduction Schwarze Rose pour les Observateurs.ch
Christian Hofer: Pendant ce temps, des retraitées italiennes fouillent dans les camions-poubelles:
C’est que de l’ordure! Mais la faute est chez les dirigeants qui cherchent de mettre la zizanie ou encore pire entre la population, majoritairement ignorante, demandant l’impossible. Un peu moin pour tous serait plus pour toute le monde
Une seule solution, les renvoyer dans leur pays d’origine, ils exigeront tout ce qu’ils voudront, puisque c’est là qu’ils paient des impôts !!!!!!!
Mireille.
Vont-ils (les Italiens) chercher les “réfugiés” sur le bord des côtes africaines comme on le lit partout ?
Si c’est le cas, alors je ne peux me résoudre à les plaindre : qu’ils changent de gouvernement au lieu de faire les poubelles.
Les autres clients de l’hôtel risquent de ne pas rester longtemps…
Je ne plains pas les Italiens: ils vont les chercher sur les côtes africaines, ils votent à gauche, insultent et menacent leurs voisins qui refusent de s’occuper de leurs poubelles qui débordent. Et je ne plains pas ces hôteliers qui ont agi de la même manière: ils ont apporté le mal dans leur foyer, ils ont importé le chaos dans leur village. Il est temps de les pourrir sur Trip Advisor, histoire de prévenir les familles qui passeraient par là: visiblement c’est l’Afrique qui dirige cet hôtel.
Oui, moi aussi, j’exige un effort plus grand de l’Italie : des billets sans retour direction les pays d’origine ! Je suis même prêt à participer au financement !