Angela Merkel a-t-elle eu raison, l'été dernier, d’ouvrir les frontières de l’Allemagne aux réfugiés syriens bloqués à la frontière hongroise ?
Ce ne sont pas les Allemands qui clament : « Venez tous chez nous ! », c’est notre chancelière si puissante qui a pris cette décision sans leur demander leur avis. Tous les sondages indiquent que les Allemands ne partagent pas sa vision. Et ce n’est pas un hasard si les partis établis, CDU et SPD en tête, enregistrent des pertes colossales depuis quelques temps alors que l’AfD a le vent en poupe. Je crois qu’Angelea Merkel a pris une décision qui risque de lui être fatale. Cette situation n’est pas maîtrisable.
Le Point : Six ans après l Le Point: Angela Merkel a-t-elle eu raison, l'été dernier, d’ouvrir les frontières de l’Allemagne aux réfugiés syriens bloqués à la frontière hongroise ?
Ce ne sont pas les Allemands qui clament : « Venez tous chez nous ! », c’est notre chancelière si puissante qui a pris cette décision sans leur demander leur avis. Tous les sondages indiquent que les Allemands ne partagent pas sa vision. Et ce n’est pas un hasard si les partis établis, CDU et SPD en tête, enregistrent des pertes colossales depuis quelques temps alors que l’AfD a le vent en poupe. Je crois qu’Angelea Merkel a pris une décision qui risque de lui être fatale. Cette situation n’est pas maîtrisable.
Pourquoi cette intégration est-elle vouée à l’échec ?
Prenez le cas de Berlin. Les réfugiés qui se sont installés dans la capitale allemande sont pour la plupart des hommes jeunes, musulmans, sans qualification, souvent analphabètes. 90% d’entre eux vont rester dans notre pays (vous ne me ferez pas croire que les expulsions fonctionnent). Ils ont encore 50 à 60 ans à vivre. Et comme ils ne réussiront pas à s’intégrer sur le marché du travail, la majorité d’entre eux vont vivre des minimas sociaux.
Regardez ce qui se passe dans vos banlieues (en France). Je ne prends pas de risques quand je fais le pronostic que 70 à 80% des migrants ne trouveront pas d’emplois. Chaque migrant coûtera donc jusqu’à sa mort quelque 1 million d’euros. (Christian Hofer : Pour ma part cette estimation est sous-évaluée car elle ne prend pas en compte les coûts hospitaliers, les dégradations, les délits, les victimes de leurs violences et tout ce que l'administration devra débourser). Faites le calcul : pour 800'000 d’entre eux qui s’installent chez nous, cela fait quelque 80 milliards d’euros. Et si vous ajoutez à cela le rapatriement familial… cela risque de coûter très cher à l’Etat. 25% des bébés qui naissent à Berlin sont musulmans.
Notre pays est donc en danger de perdre son identité culturelle. Résultat : des élections vont avoir lieu à Berlin en septembre. La CDU et le SPD vivotent autour des 20% alors que l’AfD a grimpé à 15%. Dans cette capitale multiculturelle et hypertolérante, voilà les chiffres que nous n’aurions pu imaginer il y a quelques mois. Quelque chose est en train de dérailler dans notre pays. (…)
C’est la même chose en France. En pire (sans doute). Cela fait dix ans que c’est écrit noir sur blanc : “la disparition de notre belle culture ne fait plus aucun doute. Simple question de temps ” Suivant livre love story “les corps indécents”. Il fallait – et il faut encore – être bien aveugle pour ne pas s’en rendre compte. Problème : les nouveaux venus détruisent tout sur leur passage et imposent une culture médiocre digne du Moyen-Age. Ils ne nous aiment pas et veulent nous anéantir.
Et pourtant je rentre de Berlin, et j’ai constaté qu’il y avait deux ou trois fois moins d’allogènes qu’ à Genf!
J’avais un camarade de classe musulman, dans les années 60. Un Iranien, paternel cardiologue, qui s’appelait Jean.
Jamais il n’a revendiqué quoi que ce soit.
Il avait été éduqué à se soumettre aux lois suisses.
Maintenant, c’est la gauche qui nous incite à nous faire éduquer par les analphabètes provenant de ces pays.
Nous assistons, impuissants, à une véritable destruction de notre continent, de notre civilisation, de notre culture et de tous nos acquis. Nos ancêtres ont travaillé, nous avons travaillé pour progresser, développer, construire. Ils détruiront tout, d’une manière ou d’une autre.