L’immigration de masse en Europe, une expérimentation sociale démesurée et déstabilisatrice prenant place parmi celles de Joseph Staline et de Mao Zedong

Par Dominique Schwander

L’ancien roi du Maroc, Hassan II, avait déclaré: « Islam et laïcité sont incompatibles. Nos immigrés ne s’intégreront jamais à votre société » européenne. Michel Colucci, dit Coluche lui a dit: « Si je dis: l'Algérie aux Algériens, tout le monde dit bravo! La Tunisie aux Tunisiens, tout le monde dit bravo! La Turquie aux Turcs, tout le monde dit bravo! L'Afrique aux Africains tout le monde dit bravo! La Palestine aux Palestiniens, tout le monde dit bravo! Mais, quand je dis la France aux Français, on me traite de raciste.» Cette idéologie du « Big Other », soit les Autres avant les Nôtres, cette survalorisation des Autres, la culpabilisation de soi puis la sous-estimation et la flagellation de soi, n’est-elle pas une inversion des valeurs à la mode et une escroquerie au chantage?

Les migrations, la mise en valeur de leurs effets positifs, le décompte et la maîtrise de leurs effets négatifs, les attitudes et les comportements de ceux qui les accueillent et de ceux, soit Les Autres, qui sont accueillis, l’amélioration des conditions de vie des immigrants et la détérioration des conditions de vie des autochtones des pays d’accueil sont un des problèmes majeurs de l’Europe du XXI ème siècle. Il nous faut en débattre. Nombreux sont ceux qui estiment que c’est devenu le problème le plus important, que la tension qui en résulte est un grave danger et que cette tension explosera dans une guerre généralisée.

Citoyens prévoyants et clairvoyants de Suisse, achetez une arme et des munitions si vous n’avez pas d’arme de service, achetez des pièces d’or avec vos économies et reconstituez vos provisions de ménage comme pendant la guerre froide!

En matière d’immigration la situation est actuellement hors contrôle dans toute l’Europe. Tous ces immigrants économiques, musulmans militants ou non sont en train de prendre pied en Europe, non pour s’y intégrer et s’y fondre, mais pour s’y implanter, s’en nourrir et changer l’Europe de fond en comble. Ces immigrants, dont la majorité d’entre eux viennent en envahisseurs, sont des « marabuntas » humaines et des pillards qui s’engouffrent en Europe et nous livre une guerre de moins en moins non-violente. L’actuelle immigration débridée et invasive est la nouvelle arme de destruction massive de la fraternité musulmane. Tous ces musulmans se sont jurés, dans un premier temps, la colonisation et la destruction des valeurs de l’Occident. L’Europe du XXI ème siècle s’entre-déchire d’être mélangée. Il y a le feu à la maison. Ce n’est pas parce que le peuple d’un pays, par exemple le suisse, a pu et su intégrer ses nombreux immigrants d’hier, qu’il peut ou veut en faire de même pour les immigrants d’aujourd’hui, surtout s’ils sont d’origine et d’idéologie très différentes, que les agents de l’intégration tels que instruction publique, police, armée, laïcité, religions chrétiennes, travail, marché du logement et accès à la propriété d’un logement, circulation routière, vie dans la cité, sécurité, etc, ont tant perdu en qualité pour les autochtones.

L’immigration de musulmans militants n’est pas un problème politique de droite ou de gauche; elle concerne une nation tout entière, soit tous ses dirigeants élus et le Souverain. L’amalgame classique immigration-islam et Afrique-insécurité-coûts n’est pas une phobie mais est devenue une accablante réalité en Europe. Immigration et terrorisme sont deux problèmes socio-guerriers distincts que nombre de politiciens incapables mettent dans le même sac et cautionnent. Malgré certains recoupements, analyse, stratégies et tactiques pour les affronter sont différentes.

Les institutions européennes disent avoir tenté d’harmoniser leur politique sécuritaire dans l’espace Schengen. Pourtant, ni les immigrants qui utilisent la chaîne migratoire pour pratiquer de plus en plus le « shopping migratoire », ni les Européens des pays d’accueil, sont convaincus de la coordination des politiques et des résultats de cet espace Schengen. Schengen est même devenu un facteur criminogène, ce qui est un comble pour un contrôle des frontières communes de l’UE. Quoiqu’en disent des médias et des gouvernants, en UE la responsabilité du contrôle de ses frontières reste une tâche et un devoir de chaque État souverain et une coordination efficiente des actions entre les diverses polices nationales est vitale, alors qu’elles sont en réalité des plus déficiente. Les Américains ne disent-ils pas: « high fences make good neighbours »? Pire, des polices européennes recevraient des ordres de ne pas affronter les musulmans et les Africains et se rendent coupables de délits de faciès en contrôlant et en arrêtant les autochtones sans autre raison que d’équilibrer les statistiques ethniques et idéologiques.

En ces temps de crise et de dettes des Etats, l’immigration est devenue une charge trop lourde pour les finances publiques. Cela n’empêche pas les angéliques multiculturalistes et autres « useful idiots » de gauche et du centre d’affirmer, sans aucune preuve mais la main sur le cœur, que l’Etat et ses contribuables ont le cœur sur la main. Ces bons sentiments font que la gouvernance de L’Etat endetté devient désastreuse. Cette politique de générosité sur le dos des contribuables se paie par un déficit financier, des coupures budgétaires dans la formation, des plaintes concernant la mauvaise gouvernance et, ce qui est une objectif du terrorisme musulman, une perte de confiance du Souverain dans ses élus et son gouvernement. De plus en plus d’autochtones compatissants, ayant d’autres sentiments plus réalistes, faisant moins preuve de commisération et étant beaucoup plus pragmatiques et clairvoyants, réclament à leurs élus qu’il faut privilégier l’intégration par le travail, plutôt que par l’aide sociale et qu’il faut arrêter que l’Etat subventionne la fainéantise, les profiteurs, les militants et les ennemis de la démocratie, de notre culture et de nos vertus. Ne faut-il pas tenir compte avec soin et réalisme des limites de la capacité d’accueil et d’intégration de chaque nation souveraine, d’autant plus que l’invasion actuelle comprend des immigrants provenant de «cultures » totalement différentes de la nôtre, nous traitant de mécréants et nous haïssant?

Le Secrétariat d'Etat aux migrations (SEM) de Suisse tablait naïvement sur des coûts de l'ordre de 940 millions de francs en 2016 pour l'aide sociale affectée aux requérants d’asile. Dans ce budget sont pris en compte les personnes admises provisoirement et les réfugiés mais pas les réfugiés clandestins ni les milliers de réfugiés déboutés qui disparaissent on ne sait où, ni les coût de leur criminalité. Le budget total du SEM avait été estimé à 1,5 milliard de francs. Les coûts de l’asile devraient plus que doubler en Suisse ces prochaines années. Il est prévu près de 2,4 milliards de francs pour le domaine de la migration en 2018. Et ce sera bien d’avantage; il faut budgéter en plus les frais engendrés par toute la famille d’un immigrant, les regroupements familiaux, les frais scolaires, l’explosion des coûts des assurances maladie-accident, les frais de logement, les coûts de la délinquance, etc. A ces montants en milliards, il faut ajouter que les contribuables des cantons et communes supportent des charges estimées à près de 2 milliards de francs et que l’aide publique suisse au développement coûte quelque 3 milliards de CHF. A moyen terme, tous ces coûts dépasseront et 10 milliards et 250.000 CHF par demandeur d’asile; ces coûts jetteront la Suisse, en particulier ses communes, dans la ruine.

En Allemagne voisine, Hans-Werner Sinn, directeur de l’Institut Ifo de Munich pour la recherche économique, dresse un tableau encore plus sombre des coûts de l’accueil des demandeurs d’asile. Selon les calculs des chercheurs de cet institut, l’Etat allemand va débourser au moins 450 milliards d’euros pour le million de demandeurs d’asile qu’il (ou plutôt elle Multi Mutti Merkel) a laissé entrer en 2015. Cela signifie 450.000 euros par immigré. Mais en vérité, ces coûts pourraient être beaucoup plus élevés; les calculs sont vraisemblablement bien trop optimistes au sujet de l’arrivée des immigrés sur le marché du travail puisque la majorité de ce million d’immigrants n’ont aucune formation professionnelle et plus de 200.000 sont mêmes analphabètes. Déjà aujourd’hui, en Allemagne, les immigrés représentent un quart des dépenses de l’aide sociale. Et cela va être rapidement pire. En 2015, le grand patron de Daimler militait pour le massif accueil d’immigrants en affirmant qu’il allait créer un deuxième miracle économique, « Wirtschaftwunder ». Pour le moment il n’en est rien! Des 1.300.000 immigrants enregistrés que 30.000 ont trouvé du travail ou obtenu un poste subventionné par l’Etat, pas étonnant puisque le gouvernement a découvert, bien tardivement, que les trois quart de ces immigrants n’ont aucune formation professionnelle. Non sans raison le Souverain suisse tout comme l’allemand attendent de l’Etat une révision complète des lois fixant les droits et les devoirs de l’immigrant accepté dans le pays ainsi que le statut des membres de sa famille et de ses enfants nés ou à naître.

Proclamer comme le parti communiste français « L’immigration est une chance fantastique pour le pays d’accueil. C’est la preuve qu’il fait encore rêver, qu’il peut séduire. On ne choisit pas un pays dont on ne veut pas apprendre la langue, dont on n’aime pas l’histoire, les mœurs ou la culture. » (Sauf évidemment pour les immigrés militants). « Plutôt que de refouler aux frontières les immigrés qui s’y présentent, on devrait les remercier de nous avoir choisis plutôt qu’un autre pays. » est pour beaucoup d’autochtones une aberration grandiloquente et une sotte utopie, sauf évidemment pour des autochtones européens  assimilés aux Autres. Et François Mitterand d’enfoncer le clou en déclarant: « Ils sont chez eux chez moi ». Combien en-a-t-il accueilli chez lui, à ses frais, comme de nombreuses familles suisses ont accueilli chez eux des juifs fuyant le nazisme?

Mais il y a pire. Avant de se convertir à l’islam en 2011 et d’épouser, à 52 ans, Yad’mine Tordjman, une étudiante de 24 ans en école d’art et arrière-petite-fille de l’ancienne première dame de Tunisie, Wassila Bourguiba, Éric Besson (ancien Ministre de l'Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Développement solidaire du gouvernement François Fillon II), a même affirmé: « La France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France du métissage ». (déclaration faite à la Courneuve, une cité emblématique de la Seine-Saint-Denis). Ces élus français métissés qui rêve de l’Eurabia, ces élus angéliques métissés de gauche et du centre ne sont vraiment pas à l’écoute du peuple. Se sont-ils demandés si eux et leurs proches seraient heureux de s’intégrer dans un pays dans lequel ils se verraient obligés de migrer, un pays affichant des valeurs opposées aux leurs, tels que xénophobie, racisme, « apartheid », « charia », « hadiths », intolérance, autoritarisme, théocratie, corruption, très grande disparités des revenus, polygamie, interdiction aux femmes de conduire, mariage forcé, habillement forcé c’est-à-dire tenue islamique, mutilations sexuelles, meurtres d’honneur, « jizya » ou taxe compensatrice des infidèles « dhimmis », etc, etc?

Les médias et les politiques ont ainsi mis à la mode le terme pluriel pour faire croire aux « useful idiots » qu’un manque d’homogénéité dans un pays serait une qualité. Par exemple ils bassinent nos voisins avec « la France plurielle » que l’on devrait plutôt qualifier de carnavalesque quand on écoute les discours de leur Pepe Manuel.

Il y a tant de dirigeants politiques et de représentants des médias européens qui tentent de convaincre les citoyens que l’islam est une religion comme les autres, que l’islam est une religion de paix et de tolérance, en réalité plutôt de pets et de tollé rance, que « culture » et colonisation islamiques sont formidables et prodigieuses, que c’est une immense chance pour la France plurielle d’être le premier pays musulman d’UE etc. Pour ceux qui manquent encore de lucidité voici quelques déclaration récentes.

En février 2013, Jack Lang, en France, le président du ruineux Institut parisien du monde arabe a affirmé: « Il y a tout un travail à accomplir en faveur de la langue arabe, il faut qu’elle puisse être présente à l’école primaire. » Et le 15 janvier 2015 il enchaîne en affirmant que: « L’islam est une religion de paix et de lumière. » Barbara Pompli, femme politique française membre d'Europe écologie les verts (EELV) et députée à l’Assemblée nationale a, le 13 janvier 2015, milité à ses côtés en regrettant que: « La place de la langue arabe, de la culture musulmane, dans notre société, est très insuffisante. »

Bruno-Roger Petit, chroniqueur politique au Nouvel Observateur a prédit avec enthousiasme le 16 décembre 2014: « Oui il y aura une jour, avant la fin de ce siècle, un président de la République française dont le prénom sera Mohammed, ou Ahmed, ou Norrédine. C’est une perspective formidable. »

Quand à Vincent Peillon ex-ministre socialiste de l’éducation nationale (2012-2014) nommé en novembre 2014 professeur associé à l'Université de Neuchâtel en Suisse, il a affirmé: « On ne pourra jamais construire un pays de liberté avec la religion catholique. » Et Bernard Cazeneuve, ministre de l’intérieur du gouvernement français de Hollande, clame sur RTL le 5 août 2014: « Ce n’est pas un délit de prôner le djihad. »« Evoquer les racines chrétiennes de la France, c’est faire une relecture historique frelatée qui a rendu la France peu à peu nauséeuse. » Quand au Président François Hollande, il a affirmé le 7 février 2014. « L’islam est compatible avec la démocratie. » Qu’a-t-il appris à l’ENA?

Ainsi les citoyens européens autochtones (auxquels se joignent nombre de citoyens anciens immigrés) se divisent actuellement en deux groupes opposés.

Le premier groupe sur la défense réaliste s’oppose aux risques de l’immigration incontrôlée, tout particulièrement de l’islam, résiste à l’invasion militante, voire même quelques- uns émigrent dans les pays plus démocratiques de l’Est européen en particulier en Hongrie. Pour le sondage Ipsos-Le Monde du 24 janvier 2013, 74% des personnes interrogées par Ipsos estiment que l’islam est une « religion » intolérante , incompatible avec les valeurs de la société française. L’islam, qu’il soit appelé ou qualifié de religion (à tort), d’idéologie ou de système politique, est donc bien peu compatible avec la nature humaine et avec le simple bon sens, puisque trois quart des Français ont exprimé qu’ils sont perturbés par le profond malaise qu’ils ressentent à l’égard de l’islam-idéologie. Ce premier groupe, qualifié de monstres par le deuxième groupe, répète: ne posons plus de questions inutiles. Allons à l’essentiel. Il y a danger. Repoussons ce danger. L’Europe a souffert, depuis trente ans, d’une politique migratoire expérimentale, néfaste et fatale. Non seulement il ne faut pas aggraver la situation tendue actuelle, mais il est urgent de l’inverser en renvoyant chez eux les immigrés qui n’ont pas leur place chez nous, notamment tous ceux qui veulent imposer l’islam et leurs traditions tribales qui ne font pas partie de notre civilisation, de nos valeurs et de nos vertus. La Suisse ne peut pas devenir un pays musulman ou africain. La Suisse est la Suisse. On a bien renvoyé en France un million de pieds-noirs d’Algérie; avec les progrès des transports l’Europe pourrait bien renvoyer chez eux dix millions de musulmans. Le sort de notre pays, de nos enfants, de nos écoliers, de nos petits enfants, de nos retraités, de nos chercheurs d’emploi, de notre mode de vie, de notre civilisation nous importe davantage que celui de ces immigrés qui nous envahissent. Nous n’avons pas envie de vivre un grand remplacement du peuple, d’avoir l’impression de changer de continent quand nous sortons de chez nous faire nos courses, de nous retrouver minoritaires dans nos quartiers, de ne plus y entendre parler nos langues nationales. Nous ne voulons pas subir leurs coutumes, leurs rituels et leurs soit-disantes valeurs qui sont si divergentes des nôtres. Nous n’avons plus aucune envie de vivre l’enfer quotidien du vivre ensemble avec eux dans la cité. La surnatalité et la pauvreté dans les pays en voie de développement n’est pas notre problème, mais le leur. Nous n’en sommes pas responsables et ce n’est pas à nous à subir les conséquences de leur irresponsabilité et de leur corruption. A eux de résoudre leurs problèmes et de se débarrasser de leurs terroristes, de leur racaille, de leurs dictateurs et de leur corruption. Ce premier groupe de citoyens attend que leur gouvernement soit en priorité à leur service, qu’il assure leur sécurité, qu’il empêche, par tous les moyens modernes, les clandestins accueillis à tort en Italie, en Grèce, en Turquie et ailleurs de mettre les pieds dans leur pays et qu’il protège ses propres citoyens avant de leur faire des leçons de morale et de chercher à les culpabiliser. Ces citoyens sont convaincus que la meilleure façon d’éviter les naufrages en Méditerranée est de faire savoir aux immigrés et à leurs milliers de passeurs mafieux qu’ils n’ont aucune chance de mettre les pieds chez nous, et qu’ils devront faire demi-tour, à leurs frais, quoiqu’il arrive.

Les Suisses de ce premier groupe posent les deux questions suivantes.

Répondre oui comme notre Conseil fédéral, Merkel ou Hollande, etc, est un insensé non-vouloir utopique de politiciens qui ne sont plus à l’écoute du peuple, soit du Souverain, le manipule et ont comme objectif de renforcer le pouvoir centralisateur, antinationaliste et antidémocratique de l’UE. La prospérité par l’immigration c’est insensé! Avec plus de 23 millions de chômeurs (sans compter tous ceux qui sortent de la statistique), soit 10 % de sa population, l’UE n’a certainement aucun besoin d’immigrants peu qualifiés professionnellement, sans aucune formation, analphabètes et qui ne pourront même pas remplacer un futur robot. Faire croire aux contribuables que l’immigration de masse va remédier au chômage structurel est le comble de la stupidité et de l’hypocrisie des élites européennes. Notre histoire nous a démontré que la prospérité par l’immigration ne peut s’envisager puis se developper que si les immigrants apportent aux pays les formations, les professionnels qui manquent, les moyens et les innovations dont les habitants du pays d’accueil ne disposent pas et dont leur pays a réellement besoin, comme se fut le cas des Huguenots immigrants en Suisse. Si ce n’est pas le cas, l’Etat et ses contribuables s’appauvriront à coup sûr.

Avons-nous besoin d’une immigration de masse pour des raisons démographiques?

La taille de la population n’est pas du tout essentielle pour qu’un pays progresse et augmente son PIB par habitant. Plus d’habitants au km carré en Suisse n’est certainement pas un enrichissement pour le pays mais bien plutôt une dégradation de la qualité de vie de ses habitants. Répondre oui est une autre stupidité politique manipulatrice et utopique qui amène le chaos et la crise la plus grande en Europe depuis la deuxième guerre mondiale, crise comparable à la chute fatale de l’Empire Romain il y a XV siècles. Si il y a des régions en Europe où la natalité est très faible, cela est du aussi d’une part au retard d’émancipation et à la discrimination des femmes et d’autre part à l’insuffisance des structures d’accueil pour les jeunes enfants des couples qui travaillent, surtout pas au manque d’immigrants; ces facteurs sont corrigibles. Nous connaissons ces eurocrates incompétents de Bruxelles qui ont prêté des centaines de milliards à la Grèce. Ne leur faisons pas confiance. Les politiciens de l’UE, en invitant puis en accueillant cette invasion immigratrice en Europe qui est déjà le continent avec la plus forte densité d’habitants du monde, se livrent à une expérimentation sociale démesurée et déstabilisatrice, sans même avoir consulté tous les citoyens de chaque nation, ni même en avoir étudié les effets secondaires. Une telle expérimentation sociale continentale, sans aucune étude préalable de ses effets secondaires et de ses effets pervers, prend place parmi celles si meurtrières de Joseph Staline ou de Mao Zedong et sera fatale pour les pays de l’Europe, ce qui convient évidemment aux USA actuels. Ce qui est important ce sont les activités, la production, les capacités, l’innovation, de vrais professionnels dans tous les domaines et à tous les échelons hiérarchiques, une forte proportion de contribuables productifs, des femmes qui travaillent, un haut niveau d’éducation et de formation, etc, surtout pas une immigration économique et/ou militante de masse et encore plus de dettes de l’Etat.

Les moyens concrets propres à ralentir l’invasion migratoire économique et militante de l’Europe sont pourtant bien connus:

  • Lutter contre la fraude identitaire en entrant dans une banque de données centrale toutes les empreintes digitales et le DNA de tous les immigrants. C’est la seule manière d’éviter le shopping migratoire d’immigrants qui déposent plusieurs fois des demandes d’asile en des lieux différents en changeant d’identité et en présentant de multiples vrais ou faux papiers d’identité
  • Faire contribuer les migrants à leurs frais de santé et de justice.
  • Supprimer les subventions étatiques aux associations d’aide aux immigrants.
  • Supprimer tous les avantages particuliers accordés par les Etats aux immigrants
  • Appliquer avec sévérité et rapidité toutes les décisions concernant les déboutés et bien sûr empêcher qu’ils disparaissent dans la nature.
  • Supprimer tous les subsides sociaux qui attirent les immigrants.
  • Abolir le regroupement familial tant que l’immigré ne peut pas couvrir lui-même toutes les dépenses.
  • Ne pas accueillir nos ennemis.
  • Appliquer la règles de la priorité nationale notamment en matière d’emploi, de formation, d’allocations et de subsides
  • Affirmer la souveraineté de chaque pays et refuser que l’UE ou quelques pays que ce soit, tel l’Allemagne ou la France, donnent des leçons, décident de nos charités et dictent la conduite à tenir en matière d’immigration. Que la France, l’Allemagne et l’UE balayent devant leur porte avant d’aller faire la leçon aux autres à tout vent et de s’ingérer dans les autres nations en suivant le mauvais exemple des USA.
  • Ne pas se laisser manipuler par la dite stratégie de tension permanente. En l'absence d'invasion soviétique pendant la guerre froide, la fonction principale des groupes opérationnels de la CIA semblables à Gladio, a été de discréditer tous les groupes et les politiciens de gauche en recourant à la «strategy of tension» comprenant aussi les opérations fausses-banières (« false flag »). Cette stratégie de la tension permanente est régulièrement appliquée de nos jours et a comme objectif de contrôler et de manipuler l'opinion publique, en utilisant l’épouvante, la propagande, des agents provocateurs, le terrorisme, etc, pour instiller la peur dans la population tout en cadrant certains individus soit-disant caractériels, certains dirigeants et les opposants politiques pour les atrocités tant des actes terroristes que des opérations fausses-banières.

Tant de citoyens ordinaires sont contre cette invasion immigratoire mais étrangement, peu de leurs gouvernants le sont. Pourtant, ces derniers devraient savoir que les différences culturelles et les influences du milieu d'origine sont une réalité, et qu’il faut absolument en tenir compte. La politique d'immigration est toujours une question d'individualités, de mesure, de nombre, de sécurité et de coût pour les contribuables. Plus l’intégration de certains immigrants est questionnable voir utopique, plus l'immigration doit être prudente, mesurée et contrôlée. Comme l’Arabie Saoudite, réciprocité, réciprocité, nos gouvernants, nos fonctionnaires et notre industrie du social doivent apprendre à dire non, sans quoi eux et les médias seront incapables de débattre des gigantesques problèmes qu'ils ont créés avec leur gigantesque expérience sociale, ni de les résoudre.

Qui, en Australie est chargé de la politique du refus total d’accueil de tels immigrés? Avec raison, c’est l’armée. L’immigration actuelle est un problème militaire puisque l’islam nous a, maintes fois, déclaré la guerre et que les Autres nous envahissent. Les Australiens l’ont bien compris. Ils réservent leur pitié à leurs concitoyens et se sont cuirassés contre la pitié à l’égard des Autres. En Méditerranée européenne, c’est aussi une armée, mais cette armée italienne ne combat pas ceux qui nous font la guerre, elle inverse les valeurs et se prend pour l’Armée du salut. C’est une armée lâche, ni déterminée, ni efficace, ni rapide, alors qu’il lui serait tout à fait possible, comme en Australie, de mettre fin en quelques jours à cette immigration militante inhumaine et galopante au travers de la mer et d’éviter nombre de noyades. La tolérance de l’intolérance par cette armée, c’est un stratégie de la lâcheté. Tout comme trop d’armées européennes soumises à l’OTAN, donc aux USA, cette armée italienne, pourtant composée traditionnellement de patriotes pas forcément enclins à se laisser attendrir, a fait l’apprentissage des remords et de la culpabilisation à l’égard des Autres. Il n’y a aucune raison à se sentir coupable d’une faute commise par une ou des personnes que nous ne connaissons pas personnellement, par exemple au sujet de la colonisation européenne, du nazisme ou de l’apartheid en Afrique du sud, surtout si elles ont vécu à une époque où nous ne vivions même pas. Cette culpabilisation qui nous est imposée par le politiquement correct fait passer d’une part notre attachement aux racines et au modèle de civilisation de notre propre nation pour un sentiment impérialiste et du chauvinisme, et d’autre part fait passer notre regard critique sur des idéaux différents de ceux de notre propre culture, de nos valeurs et de nos vertus pour de la haine ou du mépris des autres. Autres temps: le pilote de l’avion ayant largué la bombe atomique d’Hiroshima est mort paisiblement à quatrevingt-trois ans.

On a tellement anesthésié et culpabilisé les peuples de l’Europe qu’ils n’ont plus la clairvoyance et la force d’imaginer d’autres types de guerre que celles de 14-18 et de 39-45 que, régulièrement, ces peuples commémorent tout bêtement. Ils sont incapables d’affronter cette nouvelle forme de guerre moderne asymétrique, où l’ennemi attaque peu armé, se cache derrière la misère de ses condisciples, derrière ses femmes et ses enfants, se fait passer pour victime, encadré par des terroristes musulmans et subventionné par quelques riches pays musulmans, qui eux refusent avec obstination d’accepter ces immigrants chez eux, quand ce n’est pas subventionné, aidé et formé par les USA, la France, etc.

Le deuxième groupe multiculturaliste, angélique et idéaliste, qualifié par le premier groupe de bobos compassionnels et de « useful idiots » manquant d'intelligence, de jugement, de réflexion, de clairvoyance et de connaissances historiques, économiques et fiscalistes, postule le « vivre ensemble, vivre ensemble», de plus en plus utopique compte tenu de la prolifération des territoires de non-droit dans les villes, de l’importance de l’économie informelle, de la violence, des terroristes, des trafics, de la corruption et des coûts pour les contribuables, etc. Pour la gauche bien pensante, l’immigration est devenue, aux frais de tous les contribuables, un levier politique remplaçant la lutte des classes qui n’apporte plus guère de voix aux partis. Le scénario de cette gauche islamoafricano-gauchiste est le rêve du « mélangez-vous, mélangez-vous, métissez- vous ». Une significative partie de la gauche européenne et suisse (des hommes évidemment mais aussi des femmes) est même fascinée par l’islam-idéologie.

La plupart des gouvernants européens, des dirigeants politiques et des représentants des médias font partie de ce deuxième groupe et se refusent de participer à la controverse entre ces deux groupes. Pour eux il ne s’agit pas d’un conflit d'idées et de visions égales du monde dont le peuple Souverain doit absolument débattre; pour eux il s’agit d’un conflit entre le bien (ce qu'ils sont) et le mal (soit les autres du premier groupe). Avec arrogance et radicalisme, ils refusent un vrai débat, affirment sans études préliminaires que la migration de masse vers l'Europe est positive (le bien) et refusent de prendre des mesures (le mal) contre l’immigration de masse économique et militante. De plus, ils se persuadent qu’ils sont dans le bien parce que l’immigration est bonne pour leur carrière, leur statut et leur désir de se valoriser et/ou parce que l’immigration offre une excellente occasion de changer le statu quo européen en renforçant le pouvoir centralisé de la dictature silencieuse qu’est devenue l’UE.

Le mécanisme migratoire comprend deux catégories de facteurs. Les facteurs « push » sont ceux qui poussent le candidat à la migration à quitter son pays ; les facteurs « pull » sont ceux qui exercent sur lui un effet d’attraction vers un pays de destination et d’accueil. L’association de ces deux facteurs accélère le désir et la prise de décision d’émigrer. En général (sauf depuis ces dernières années), l’immigré qui a quitté son pays au nom de facteurs « push », (il ne pouvait plus supporter d’y vivre, ni n’arrivait guère à y survivre économiquement), a une attitude positive à l’égard de son pays d’accueil; il est prêt à comprendre les autres, à se remettre en cause, à évoluer avec eux, à apprendre leur langue nationale, à s’intégrer, à ne pas ménager ses efforts pour grimper dans l’ascenseur social. Au contraire, l’immigré qui a quitté son pays, pour des facteurs « pull », parce qu’il a succombé à la société de consommation des feuilletons télévisés, à d’autres tentations, à d’autres incitations et parce que l’UE et Multi Mutti Merkel, etc, l’ont invité à venir, a beaucoup plus d’illusions, exprime des exigences croissantes, revendique des droits, ne s’intègre pas et se soucie guère de ses devoirs envers le pays qui l’accueille. Ses exigences n’étant pas satisfaites, il rejette ce pays d’accueil, ses lois et ceux qui le gouvernent, voire devient un délinquant, fait raid et razzia sur son pays d’accueil, l’exploite, et/ou se laisse manipuler par tout discours démagogique et/ou idéologique.

Si, de nos jours, le métissage des teints et de certains aspects culturel sont plus ou moins acceptés et le métissage social plus souvent un échec qu’un succès, le métissage idéologique et l’oecuménisme entre une religions et une idéologie ne fonctionnent pas. Le vivre ensemble dont parlent tant d’élus, résiste mal à l’épreuve de la vie quotidienne dans la cité. Les affirmations au sujet de différences culturelles qui enrichissent les autochtones sonnent de plus en plus creux. Une minorité musulmane intolérante qui n’accepte pas de se soumettre aux lois du pays d’accueil et qui milite pour/exige que ce soient celles de son pays musulman d’origine qui s’appliquent dans les quartiers et communes où les musulmans sont majoritaires, puis sur l’ensemble du territoire, n’arrange pas les choses. Faute de réciprocité, le scénario de la convivialité multiculturelle a surtout du plomb dans l’aile; le négatif de la fraternité musulmane serait mieux toléré par la population des pays d’accueil s’il y avait réciprocité du côté des pays musulmans d’origine, des pétromonarchies, des théocraties, etc, et si les européens et les européennes, chrétiens ou athées, pouvaient se sentir des citoyens et des citoyennes libres dans tous les pays musulmans.

Malgré les efforts financiers faits en faveur de ce que la novlangue française appelle pudiquement « quartiers sensibles » ou « zones de sécurité prioritaire », qui sont en fait des « quartiers de non-droit » soit la preuve qu’un pays comme la France voisine n’est plus un état de droit, les migrants font de moins en moins ce que souhaitent les États qui les accueillent. Ils ne subissent plus la migration mais choisissent (« asylum shopping ») le pays avec le plus d’avantages, le plus de leurs compatriotes, la meilleure diaspora, le moins d’inconvénients et les meilleures prisons; pire, les fervents musulmans qui appliquent le coran à la lettre s’adonnent au terrorisme musulman. Aujourd’hui en général, émigrer est un choix collectif notamment de la famille élargie, d’un groupe, d’une tribu, plutôt qu’un choix individuel; ce qui a pour conséquence que le déficit économique de l’immigration pour les pays d’accueil se creuse encore d’avantage. Chaque année l’immigration coûte à la France plus de 1 point de son PIB, ce qui est intolérable en temps de crise et d’intolérables dettes. Charité débridée n’est-elle pas d’abord péché contre soi-même? Il en est de même dans tous les pays de l’OCDE où le déficit de l’immigration régulière varie entre 6 à 10 milliards d’euros par pays et par an, à quoi s’ajoutent les gros frais directs et indirects de l’immigration clandestine et beaucoup de frais comptabilisés sous d’autres rubriques. Accepter sans contrôle strict les flux migratoires et les dépenses en milliards qui en découlent, c’est accepter aussi l’immigration militante musulmane et autres immigrations, clandestines en particulier, qui s’infiltrent. L’ancien président des USA Thomas Jefferson n’a-t-il pas rappelé que « Contraindre un homme à subventionner avec ses impôts la propagation d’idées auxquelles il ne croit pas et dont il a horreur est péché et tyrannie »? Toutes ces prestations sociales généreuses et coûteuses (en 2009 déjà, en Suisse, 45,3% des bénéficiaires de l’aide sociale étaient des étrangers) attisent la colère d’une partie croissante des autochtones qui s’estiment trahis et discriminés par rapport à des étrangers qui n’ont jamais ou guère travaillé et cotisé dans le pays d’accueil, qui sont au chômage, qui font des enfants qu’ils ne peuvent pas entretenir et éduquent mal, qui contestent les lois, les constitutions, la démocratie, nos religions chrétiennes et l’identité nationale dont ils bénéficient, bref qui profitent mais qui n’apportent guère ou rien au pays d’accueil et qui, de plus, ne font pas l’effort de s’intégrer. Quoiqu’en dise les angéliques madones Angela Merkel et Simonetta Sommaruga et autres politiques.

En Suisse comme dans tous les pays, les immigrants sont considérés avec une certaine suspicion, à moins que et jusqu'à ce qu'ils prouvent leur valeur. Partout dans le monde, j’ai moi-même été immigrant, les immigrants n’ont pu et peuvent gagner en respect qu’en se réalisant par leur travail, leurs efforts, leur ingéniosité, leur formation, leur intégration et leur apports au pays d’accueil. Ce qu’ont admirablement fait en Suisse au XVII ème siècle les immigrants Huguenots puis d’autres au XX ème siècle. Malheureusement, les musulmans en particulier, ont changé complètement la donne.

La Suisse a toujours été caractérisée par une forte migration bidirectionnelle: Suisses travaillant à l'étranger et étrangers travaillant en Suisse. Que les Suisses cessent de se sous-estimer et de culpabiliser. Actuellement, près d’un tiers de la population résidente de la Suisse est d'origine étrangère, alors que que plus de 700 000 citoyens suisses, soit quelque 10 pour cent de la population totale de la Suisse, sont expatriés à l’étranger. Les Suisses se sont expatriés le plus au XVIII ème siècle, lorsque quelques 350.000 mercenaires suisses servaient à l’étranger. Vu qu’à cette époque la population résidente de la Suisse n’était que de 1,7 millions, ces mercenaires émigrés représentaient un peu plus de un Suisse émigré sur cinq, ce qui est énorme. De même, la Suisse a accueilli massivement des immigrants; ainsi, durant les années 1680, la population de Genève qui s’élevait à 16.000 habitants, a accueilli plus de 30 000 Huguenots, cela sans confisquer des maisons privées ou construire des centres d’hébergement. Actuellement soit en 2015, la population genevoise comprend 490’578 habitants dont 201’983 personnes étrangères soit plus de 40 %.

En Suisse, entre 2003 et 2012, les dépenses du gouvernement fédéral pour l'aide sociale ont doublé pour atteindre 2,4 milliards de francs en 2012, ce qui faisait plusieurs centaines de francs par contribuable et ce qui est en passe de devenir plusieurs milliers de francs. Rappelons quelques chiffres actuels concernant cette coûteuse expansion de l'industrie du social; industrie du social qui en semant de l'assistance, nous fait récolter de plus en plus d’assistés. Parmi les bénéficiaires de l’aide sociale, la proportion des étrangers est très forte: 46,7%. Elle est ainsi deux fois plus élevée que la part des étrangers à la population totale. Pour certains migrants, c’est pire: 91% des Erythréens font partie de ces bénéficiaires de l’aide sociale et après quelques années de cette démesurée expérimentation sociale qu’un minorité de ces Erythréens gagne sa vie. En 2014, 87% des requérants d'asile ont touché l'aide sociale.

Pire, 42% des quelques 250.000 bénéficiaires de l'aide sociale ont moins de 25 ans. Ce n’est certainement pas ainsi que ces jeunes vont être convaincus que seul le travail permet une vie accomplie, libre et indépendante et de s’intégrer en Suisse.

Aujourd’hui, en Suisse et ailleurs, près d'une personne sur deux touchant des prestations de l'assurance-chômage (AC) est un étranger. Un rapport publié en été 2015 par la Confédération helvétique confirme que les immigrants touchent même jusqu'à trois plus d'indemnités de chômage que le montant de leurs cotisations AC. Les premières victimes en seront les salariés suisses qui cotisent davantage à l'AC qu'ils ne touchent de prestations de chômage. Pour tout citoyen-contribuable raisonnable, il est évident qu'une personne immigrée récemment pour exercer une activité lucrative et qui a perdu son emploi devrait quitter son pays d’accueil. Il est tout aussi logique que pour avoir droit à des prestations de chômage, il faudrait avoir cotisé suffisamment longtemps dans le pays d’accueil.

La solidarité prend fin là où les abus et les excès de l’industrie du social, de la Conférence suisse des institutions d'action sociale ou CSIAS et d’angéliques, qui tous font les généreux avec l’argent des autres, conduisent manifestement à des injustices, injustices en particulier pour les citoyens de la classe moyenne en voie d’appauvrissement, qui, par leur travail et leurs impôts, doivent entretenir tant d'autres personnes et pour nombre de rentiers AVS qui se voient prétérités en comparaison avec des condamnés en prison, de jeunes délinquant en maison, de délinquants multirécidivistes (dénommés dans la presse de gentils garçons peu favorablement connus des services de police!) et d’immigrants assistés. A tel point que des étrangers et des requérants d'asile reçoivent des contribuables plus d'argent en poche que des citoyens qui travaillent ou qui sont à la retraite.

En Suisse la rente maximale AVS des retraités est de guère plus que 42.000 CHF/ an pour un couple marié retraité, ce qui fait 58 CHF par personne et par jour. La rente minimale de l’AVS, elle, ne donne que 38 CHF par jour. Avec cette somme, le retraité doit payer ses assurances maladie et accident, son loyer, ses impôts, ses assurances, ses consultations chez le médecin, ses médicaments jusqu’à concurrence de la franchise, ses lunettes, ses appareils auditifs, ses frais dentaires, etc. Un demandeur d’asile qui n’a jamais ni payé ni rien apporté la Suisse lui reçoit 56 CHF par jour et tous les frais annexes sont pris en charge par l’Etat, c’est-à-dire les contribuables. Et des « useful idiots » ont clamé que c’était honteux si peu pour les requérants et pas digne d’un pays riche, etc. La priorité et la justice n’est-elle pas de faire en sorte que nos retraités aient une retraite décente après 44 ans de travail et de cotisations. Est-il normal qu’un retraité devrait vivre avec 36 CHF par jour en payant toutes ses charges annexes et qu’un requérant étranger reçoive 56 CHF en ne payant aucune de ces charges annexes?

Autre scandale et perversion: que va devenir la classe moyenne suisse si en 20 ans, la CSIAS a fait plus que doubler les emplois du social alors que les emplois du secteur productif ont chuté eux de moins 4%? Pourtant l'émergence d'une classe moyenne robuste et son maintien est le but premier de toute économie de libre marché qui fonctionne correctement, alors que justement le citoyen a le sentiment, aujourd’hui, que cette classe moyenne est érodée, et s’appauvrit dans de nombreux pays dans lesquels, d’une part elle est exploitée par l’Etat et d’autre part la culture du gagnant remporte tout, du vainqueur qui gagne la timbale au «winner takes all », sape la démocratie.

Vu le caractère géopolitique des migrations, on ne peut pas déconnecter la situation de ce qui se passe à l’étranger. La géopolitique de « géo » la terre et de polis » la cité, est l'étude de l'influence des facteurs géographiques, économiques et culturels sur la politique des Etats et sur les relations internationales. Elle déchiffre les mécanismes et les rapports de force qui régissent les communautés en liaison avec leur environnement. En matière d’intégration, la Suisse qui, avec quatre langues nationales et plus d’un quart de sa population étrangère, est championne de la diversité culturelle et de l’immigration et constitue un véritable laboratoire de géopolitique dont les pays européens devraient mesurer les avancées, analyser les échecs et respecter les décisions de son Souverain.

De plus, les véritables résultats politiques de la Suisse, soit l’art du compromis, la prévention de la concentration du pouvoir chez les politiques, une gouvernance de bas en haut, le principe de subsidiarité et la promotion disproportionnée de minorités helvétiques, comment n’ont-ils pas encore trouvé un ensemble systématique de symboles qui agissent sur les peuples européens?

Contrairement à certaines idées reçues, ce ne sont pas les plus pauvres qui émigrent. Pour réussir son émigration, il faut disposer d’un bon capital de départ pour le voyage, les voleurs et assassins que sont les passeurs mafieux, un choix de faux documents pour faire plusieurs demandes d’asile et la survie pendant quelques mois dans le pays de transit ou d’accueil, surtout pour la moitié des immigrants qui se perdent dans la nature et autres immigrants clandestins. Les migrants militants obtiennent beaucoup plus facilement, sans devoir s’endetter, ce capital de condisciples, de lieux où ils se prosternent, de guides idéologiques, de pétromonarchies et de califats prêts à financer le « jihad » de leurs guerriers.

Les réfugiés musulmans des califats et autres territoires musulmans relèvent de l’émigration de fuite mais aussi de l’émigration militante, sans oublier les lâches jeunes patriotes qui préfèrent abandonner ou déserter leur pays plutôt que de prendre les armes pour le défendre. La convention de Genève de 1951 définit les premiers comme « ceux qui, craignant avec raison d’être persécutés en fonction de leur race, de leur religion, de leur nationalité, de leurs idées politiques ou de leur appartenance à un groupe social, se trouvent hors du pays dont ils ont la nationalité et ne veulent ou ne peuvent se réclamer de sa protection ». Quel Français peut-il, encore de nos jours, se réclamer de la protection de son pays? En réalité, en Europe on a de plus en plus l’impression que par définition un réfugié est un immigrant fin connaisseur de notre droit qui exige un avocat gratuit, des menus et des femmes à sa convenance et refuse d’être logé comme une recrue de l’armée.

L’immigration militante est une des tactiques actuelles du « jihad » des musulmans en Europe. Ces immigrants musulmans font partie de la stratégie de la fraternité musulmane pour déstabiliser notre civilisation et nos valeurs occidentales et de la stratégie de l’UE pour renforcer son pouvoir centralisateur et sa dictature silencieuse. Cette immigration militante crée des réseaux dormants; elle implante ou mobilise des individus qui reçoivent un endoctrinement et une formation appropriés. Ils se fondent dans leur communauté et dans la population du pays, font les gentils garçons, afin de ne pas se faire remarquer. Au moment choisi, leurs guides les réveillent, leur font parvenir les financements et les armes nécessaires, leur donnent les consignes opérationnelles pour le « jihad » et aussi pour la conduite à tenir après l’opération de « jihad »: soit mourir en kamikaze, soit disparaître dans la nature et la population, soit souvent mais pas toujours revendiquer avec sensationnalisme dans les médias leur responsabilité de l’acte terroriste commis sur des braves gens, tout en rejetant la faute sur les autochtones, les Américains et leurs alliés. Il suffit d’un petit groupe déterminé pour qu’un pays soit désécurisé et qu’il s’incline. De plus, l’immigration militante, quand elle est le fait de familles polygames, profite, à l’exemple de la France, des possibilités erronées et de l’absurdité des lois sociales du pays d’accueil et de son contrôle déficient des habitants.

L’économie informelle est adaptée aux immigrés et fortement adoptée par les immigrés musulmans et/ou africains, tout simplement parce qu’elle correspond à l’économie de leur pays d’origine. L’économie informelle génère un engrenage criminel. Elle déstructure l’économie officielle, gangrène l’économie réelle et finit par la supplanter; cela commence par le travail au noir ou dissimulé et la contrefaçon et finit dans des trafics, des magouilles, de la prostitution et du blanchiment d’argent sale. Avec une économie informelle déjà entre 13 et 28 % du PIB dans les principaux pays d’Europe, c’est toute l’économie formelle que les immigrés vont mettre en crise.

Pour les immigrants accueillis dans un ancien pays colonisateur comme par exemple la France, l’Italie ou l’Allemagne, il y a des interrelations complexes entre victimisation à posteriori des uns et glorification des autres, ce qui compliquent la situation.

Plus la diaspora musulmane est forte dans un pays d’accueil, plus elle attire comme un aimant les migrants du pays d’origine. La diaspora est une des chaînes migratoires, comme l’est la famille élargie et la communauté locale d’origine.

Quoiqu’en disent les immigrationnistes, les statistiques mettent en évidence un taux plus élevé de criminalité parmi les immigrants que dans la population autochtone. Ainsi en Allemagne, les statistiques montrent que le taux de criminalité des immigrés est 4,9 fois celui des Allemands et qu’à Berlin les jeunes immigrants de sexe masculin commettent 3 fois plus de crimes violents que les jeunes allemands. De plus, bien que les non-Allemands représentent seulement environ 9% de la population de l’Allemagne ils représentent le 30% des délinquants emprisonnés.

Le sociologue franco-iranien Farhad Khosrokhavar a estimé que les musulmans représentent entre 50 et 80 pour cent des détenus des prisons de France, alors que les musulmans représentent 10 pour cent de la population française. Ceci signifie soit que les musulmans sont beaucoup plus criminels que les Français, soit que la justice française est horriblement et très régulièrement discriminatoire à l’égard des musulmans; c’est fort improbable puisque que, en France, de nombreux délinquants musulmans ne sont pas derrière les barreaux, mais en liberté conditionnelle, portent des bracelets électroniques, sont en résidence surveillée, sont justes fichés ou encore bien que déclarés coupables, ont bénéficié de la clémence des tribunaux et ne sont pas emprisonnés. En conclusion le chiffre réel pour la part de l’islam-idéologie dans la criminalité en France est probablement plus élevée que l'estimation de ce sociologue.

Les requérants d’asile, en Suisse, sont, ces dernières années, en moyenne cinq fois plus souvent criminels que les Suisses. Cette délinquance se forme sur les ruines de la non-intégration de ces mêmes jeunes, même si les immigrants irréguliers ou clandestins seraient les principaux responsables de la délinquance. Autre source de coûts pour les contribuables, les immigrés et leurs descendants des pays de l’UE ont un taux de chômage environ deux fois supérieur au reste de la population. Ainsi en France, le chômage des immigrants est le double de celui du pays et pour les immigrés de moins de 26 ans il y a 40 % de sans-emploi. L’intégration dans la société et l’insertion dans la vie économiques de ces jeunes ayant la rue pour espace de vie, l’échec scolaire et professionnel comme quotidien, l’économie informelle pour survie, le chômage comme futur, et dans les lieux où ils vont se prosterner l’islam-idéologie comme idéologie, est insoluble. Voilà pourquoi en Occident, sauf quelques exceptions, tout jeune musulman a un profil psychologique de musulman radical et est un terroriste en puissance. Le gouvernement français refuse cette réalité et a inventé dernièrement, pour se disculper, de son absence de stratégies et d’efficience pour lutter contre le terrorisme, la « radicalisation express », par exemple pour le terroriste musulman de Nice. L’Allemagne flagellée par son passé nazi et colonial préfère faire passer un musulman terroriste pour un cas pathologique de l’extrême droite, ce qui convient très bien à DAESH qui a comme objectif de faire en sorte que nous perdions tous la confiance en nos gouvernants.

Il n’en reste pas moins qu’une population souveraine, qui se sent unie par ses valeurs, satisfaite de ses gouvernants et responsable de ses projets, favorise l’intégration de ses migrants et accepte des immigrants qui s’intègrent et même l’enrichissent de leurs différences culturelles, etc. En ces temps de crise où la maîtrise des déficits publics est une condition du rétablissement de la crédibilité de l’Etat et de la confiance du Souverain dans ses élus, la poursuite de l’expérimentation immigration de masse coûte à l’économie et introduit la méfiance; les mensonges des médias et des élus sur les véritables chiffres et coûts de l’immigration font perdre confiance aux citoyens dans leur gouvernants. Une population, comme par exemple la française ou l’italienne, qui a perdu ou perd sa confiance dans ses dirigeants, qui perd sa cohésion nationale, son identité nationale et ce à quoi elle croit et qui de plus voit sa qualité de vie se péjorer, rejette de plus en plus les immigrants coupables à ses yeux de détruire les repères qui lui restent de sa culture, de ses valeurs et de ses vertus.

Les citoyens de l’Europe savent d’instinct, que la minorité visible des musulmans va devenir majorité et, qu’alors, il n’existera plus aucun moyen d’inverser cette tendance. Ce sera foutu. Il y a feu à la maison. L’Europe telle que nous l’avons connue sera perdue à jamais. Avec l’aide de l’UE et des USA, deux mille ans de civilisation seront détruits par les mêmes musulmans fanatiques barbus, sectaires, brutaux, stupides, ces bâtards belligérants qui sont en train d’abattre leur propres concitoyens et les mécréants que nous sommes et de faire exploser notre ancien et irremplaçable patrimoine mondial que se soient des bâtiments, des monuments, des livres, des manuscrits et autres historiques et importants trésors d’art.

Actuellement pour les élus et le Souverain, la seule manière d’agir pour obtenir un résultat, pour maîtriser la tension actuelle et pour éviter une guerre généralisée, est d’être d’une fermeté absolue en matière de loyauté nationale. Dans chaque pays d’accueil, les musulmans doivent faire passer la loi nationale avant la « charia » et les « hadiths », etc, et ne plus créer une nation musulmane dans la nation d’accueil. Il n’y a qu’une alternative à cette soumission des immigrants musulmans à notre nation: retourner dans leurs pays musulmans mécréanophobes, sexistes et tribalistes. A ce jour, les technocrates et la bureaucratie indolents de l’UE et leur politique de l’autruche en ont été incapables. Il est des plus urgent qu’ils s’appliquent à cette tâche; tâche ardue, vu que par exemple aux Pays-Bas plus des deux tiers des musulmans s’y refusent, mais tâche indispensable, urgente et vitale.

Malheureusement, nos élus n’ont plus une volonté déterminée de vaincre le mal et de défendre notre civilisation contre les attaques intérieures et extérieures. Ils se complaisent dans leur naïveté, leur aveuglement, leur culpabilisation, leur auto- flagellation, une totale irresponsabilité politique et leur désir que la dictature silencieuse de l’UE centralise tous les pouvoirs des pays de l’Europe. Il nous faut répertorier et garder en mémoire leurs erreurs de gouvernance et les noms de ces irresponsables, de ces islamo-collabos et de ces traîtres à la nation, pour leur rappeler leurs responsabilités et leur trahison et les faire condamner quand l’existence même de notre nation sera menacée. L’heure est grave. Philippe de Villiers, interrogé par Ruth El Krief, a entièrement raison d’accuser les dirigeants français, en place depuis quarante ans, d’avoir sur les mains le sang des victimes de Charlie Hebdo et du Bataclan. Et la traîtrise continue en France, en Belgique, en Allemagne, aux USA et ailleurs.

En Suisse, l’intégration des musulmans est, pour le moment encore, moins problématique que par exemple en France. La raison n’est, ni mai 1968 qui fut, en fait, une révolution contre le peuple, ni les coûteuses brochures de l’OSCE, ni les principes de base communs du Conseil « justice et affaires intérieures » de l’UE, ni nos dirigeants politiques helvétiques, ni l’UE et ses dirigeants, ni les dépenses des Communes, des Cantons et de la Confédération, ni les angéliques, ni les multiculturalistes, ni l’industrie du social, ni la Conférence suisse des institutions d'action sociale ou CSIAS, ni le politiquement correct, etc. Les raisons sont: les Suisses n’ont pas fait l’erreur de faire venir en Suisse des dizaine de milliers de manoeuvres pour soit-disant sauver des industries pas rentables en Suisse et condamnées à disparaître comme ce le fut le cas par exemple en France avec les aciéries, des constructeurs automobiles, etc, la Suisse est depuis longtemps une championne de l’accueil d’étrangers et de leur assimilation, beaucoup moins de disparités de revenus que chez nos voisins, beaucoup moins de chômage que chez nos voisins, les Suisses sont innovateurs, nous sommes un pays où l’instruction publique reste efficiente, preuve en est que baccalauréat/maturité fédérale sélectionne les candidats et leur ouvre la porte de toutes nos meilleures universités, le pourcentage des jeunes qui font un baccalauréat est parmi les plus bas des pays occidentaux, la formation duale avec son système d’apprentissage puis des passerelles vers des formations supérieures est bien rodée, présente dans tous les domaines d’activité et ouvre le marché du travail aux adolescents qui apprennent à 16 ans à s’intégrer dans le monde du travail, à chercher en entreprises un poste d’apprentissage et cela beaucoup mieux que dans d’autres pays, le fait que tous ces jeunes apprentis soient considérés déjà et aussi comme des « Mitarbeiter », des collaborateurs et pas bêtement des salariés avec un SMIC, en Suisse tous ceux ayant une formation professionnelle, qu’elle soit modeste comme un apprentissage professionnel ou qu’elle soit universitaire et élitiste, sont respectés et se sentent valorisés dans ce qu'ils font et ce qu'ils sont, pour autant qu’ils fassent leur travail vite et bien. Grâce à quoi l’ascension sociale des immigrés leur a été souvent possible, cela en Suisse sans discrimination positive; cette stupide discrimination positive, qui consiste à donner des avantages à une catégorie de la population se prétendant discriminée par rapport aux autres, s’oppose au principe de l’égalité entre les citoyens.

Aucun autre pays de la taille de la Suisse n’a atteint un tel niveau de revenu moyen disponible, tout en maintenant une répartition équitable. Aucun autre pays de sa taille détient une position de premier plan dans tant de nombreuses industries et dans l’innovation. Aucun autre pays développé a, jusqu’ici et aussi bien, évité d’imposer à ses générations futures de folles dettes pour donner l’illusion à ses électeurs de bénéficier d’une future retraite généreuse et de coûteux soins de santé. Concernant les caisse retraites, contrairement aux Américains (!) les Suisses ont tenu compte du conseil éclairé du Président américain Thomas Jefferson (1743-1826): « Il incombe à chaque génération de payer ses propres dettes. si ce principe était respecté, il y aurait moitié moins de guerres dans le monde. » Dans aucun autre pays, individus et citoyens, soit le Souverain, sont si puissants et si certains que leurs voix comptent. À un moment où dans la plupart des démocraties occidentales l'opinion publique sur les politiciens et les organismes du secteur public est tombée à son niveau le plus bas, l'efficacité du système suisse de gouvernance est un indicateur puissant du succès de cette nation.

Le succès suisse qui a apporté aux Suisse paix et prospérité s'explique principalement par la forme propre de son Etat de bas en haut qui a été créé par leurs ancêtres depuis des siècles. Les piliers de ce succès sont l'indépendance, la démocratie directe et participative incluant référendums et initiatives populaires, le fait que l'autorité appartient au peuple, aux citoyennes et aux citoyens, soit au Souverain qui constitue l'instance suprême. C’est le Souverain qui fixe le droit et les lois pas une idéologie ou les gouvernants. En Suisse, les lois sont respectées plus que chez ses voisins parce que c’est le peuple Souverain qui se les donne à lui même, pas le gouvernement, une idéologie ou une religion. A cela s’ajoutent la neutralité permanente et armée, le fédéralisme, le principe de subsidiarité, les droits de l’homme et de la femme, la liberté, l'économie de marché libre.

Les oligarques bruxellisés de Berne, de Zürich, de Bâle, de Genève, etc, ne sont pas meilleurs que ceux de Bruxelles, Berlin ou Londres, etc, mais ils sont moins nocifs parce qu’ils sont mieux surveillés et contrôlés par la démocratie directe, participative et milicienne et son principe de subsidiarité.

Pour conclure, la question prenante et fondamentale que chacun devrait se poser à propos des immigrants musulmans est la suivante. Un bon musulman peut-il être un bon Suisse, un bon Français, un bon Européen, etc ?

Théologiquement: non parce que son allégeance est au seul Allah.

Religieusement: non parce que son Allah n’accepte aucune autre religion que la musulmane et aucun autre Dieu que Allah.

Idéologiquement: non parce que son Allah n’accepte aucune autre idéologie que l’islam-idéologie.

Spirituellement: non parce que, dans notre culture judéo-chrétienne, Dieu est un père bon, qui aime et pardonne, alors que Allah est dur, menace de l’enfer, punit, exige de tuer les mécréants et venge.

Socialement: non parce que son allégeance à l'islam lui interdit de se lier d’amitié avec des chrétiens, des juifs, des athées et tout non-musulman, soit, selon l’islam tous des mécréants.

Quand au milieu du travail et au milieu scolaire: non parce que son allégeance à l’islam l’empêche de se soumettre à une supérieure de sexe féminin et à des non-musulmans et l’oblige à pratiquer suppliques et « ramadan ».

Quand aux lois: non parce que son allégeance est aux cinq piliers de l’islam, au coran, à la « charia », aux « hadiths », au prosélytisme, au « jihad », à l’infériorité des femmes, etc.

Politiquement: non parce que le bon musulman doit se soumettre à ses guides doctrinaires musulmans qui lui enseignent l’extermination des juifs, l’annihilation d’Israël, la destruction du grand satan que sont les USA, la destruction de toute démocratie directe participative, etc.

Quand à la vie de famille: non parce que le bon musulman peut posséder quatre épouses dont des fillettes, les battre quand elles lui désobéissent, épouse souvent une cousine du premier degré et que le mariage et les droits des femmes musulmans sont à l’opposé du mariage et des droits occidentaux des femmes.

Intellectuellement: non parce que le bon musulman ne peut pas accepter et se soumettre à nos constitutions, à nos lois et aux droits de l’homme, ni même jouer aux échecs.

Moralement: non parce que il y a divergence entre nos valeurs judéo-chrétiennes et greco-romaines, notre graduation des erreurs et des péchés et celles de l’islam.

Verbalement: non parce que le bon musulman pratique l’art oratoire dissimulatoire musulman ou « taqiya ».

Géographiquement: non parce que son allégeance est à la Mecque, vers laquelle le bon musulman doit se tourner plusieurs fois par jour et prier.

Philosophiquement: non parce que islam-bunker, Mahomet et coran interdisent la liberté de religion et la liberté d'expression.

Démocratiquement: non parce que islam-bunker et démocratie directe et participative ne peuvent pas coexister. Un gouvernement musulman est soit dictatorial, soit théocratique, soit autocratique.

Quant à la nation: non parce que le bon musulman, lorsqu’il est immigré, tient à être reconnu d’abord comme musulman; il fait partie d’abord de sa « nation » ou de sa tribu musulmanes qui se veut être ou devenir une nation ou une tribu dans notre nation, puis la remplacer. Comme l’a écrit Dalil Boubakeur dans son « Traité moderne de théologie islamique » aux éditions Maisonneuve et Larose en 2003: « La nationalité musulmane est une supranationalité, essentiellement morale et indivisible, fondée sur l'accord des âmes et des cœurs. Elle est au-dessus de toutes les nationalités fondées sur la race, la langue, la politique, l'intérêt, les données de l'histoire ou de la géographie. » Bien que très claire, la prise de position de ce musulman, qui se dit « moderne » dans le titre de son traité, n’est toujours pas comprise par la majorité des dirigeants de l’Europe. Pire, selon les photos de presse, lors de l’investiture du Président (islamo-collabo?) François Hollande, le 16 mai 2012, ce haut dignitaire de la fraternité musulmane en France était à la gauche du président de gauche.

Psychologiquement: non, parce que, pour croire ou souscrire à ce qui est écrit et prescrit impérativement dans le coran, les centaines de milliers de « hadith » de Mahomet et dans d’autres textes « sacro-saints » de l’islam-idéologie, il faut être un individu bien dérangé ou un psychopathe et souffrir en plus d’une soit-disante anxiété sexuelle des plus graves.

Par conséquent, tant que les bons musulmans ne réformeront pas leur islamidéologie, de fond en comble comme nécessaire, nous devons tous nous méfier de tous les musulmans, parce que ces Autres ne peuvent évidemment pas être à la fois de bons et fervents musulmans et de bons citoyens de Suisse, de France, d’Espagne, d’Allemagne, etc. De plus il est très dangereux pour l’avenir de nos démocraties de donner le droit de vote à ces bons musulmans, d’autant plus que les pays musulmans ne nous le donnent pas. Réciprocité. Réciprocité.

Les actes terroristes barbares des fervents musulmans de DAESH et autres groupes, actes faits au nom d’Allah, actes appliquant d’une part fidèlement les prescriptions impératives du coran et d’autre part l'exemple violent de Mahomet et de ses razzias, horrifient des musulmans qui remettent en question leur foi en l’islam-idéologie. De « religieux » guides doctrinaires musulmans avouent que, depuis l’attentat du 9 septembre, plus de musulmans se seraient convertis au christianisme que durant les 14 siècles passés de la colonisation musulmane. Des musulmans deviennent athées, d’autres, craignant pour leur vie, se convertissent en secret au christianisme. Ces anciens musulmans sont en général convaincus que le coran et autres textes « sacro-saints » comme les « hadith » ne peuvent pas être vrais, que l’islam n’est pas une religion mais une idéologie politique autoritaire et barbare et découvrent un Dieu qui aime ou deviennent athées. Mais, tant que des milliers d’occidentales se convertissent à l’islam, que des « useful idiots » admirent et défendent l’islam-idéologie en affirmant, comme Hitler, que « toutes les religions c’est la même chose » et que de nombreux élus occidentaux sont des islamo-collabos, ce n’est pas demain que la « religion » musulmane des pays musulmans et des immigrants en Europe, telle qu’elle persiste à être, va s’effondrer, être domestiquée, réformée et faire enfin son aggiornamento.

Dominique Schwander, juillet 2016

Choix de lectures à ce sujet

Bat Ye'or: Eurabia: The Euro-Arab Axis. Fairleigh Dickinson University. 2010.

Baud Jacques: Terrorisme : mensonges politiques et stratégies fatales de l’Occident. Le Rocher Editions. 2016.

Bernais Edward: Propaganda. Comment manipuler l'opinion en démocratie. Editions H.Liveright. New York. 1928. Réédité chez Ig publishing en 2004 Pour la traduction française. Zones / Éditions La Découverte. 2007.

Caldwell Christopher: Reflection on the Revolution in Europe: Immigration, Islam and the West. Penguin. 2009.

Caldwell Christopher: Comment l'Islam va transformer la France et l’Europe. Edition Toucan. 2011 et 2014.

Camus Renaud: Le Grand remplacement, suivi de Discours d’Orange. Renaud Camus. 2012.

Driant Emile-Cyprien (Capitaine Danrit): La guerre au XXe siècle. L'invasion noire. Flammarion 1895.

Engels David: Le Déclin. La crise de l’Union européenne et la chute de la République romaine - quelques analogies historiques. Toucan. 2013.

Gourevitch Jean-Paul: Les Migrations Pour les Nuls. First. 2014

Hammond Peter: Slavery, Terrorism and Islam: The Historical Roots and Contemporary Threat. Xulon Press. 3ème édition 2010.

Houellebecq Michel: Soumission. Flammarion. 2015.

Kemp Arthur: Jihad: Islam's 1.300 Year War Against Western Civilisation Ostara Publications. 2013.

Klaus Vàclav et Weigl Jiri: Völkerwanderung: Kurze Erläuterung der aktuellen Migrationskrise. Manuscriptum Verlagsbuchhandlung Thomas Hoof KG. 2016.

Krakhauer Jon: Under The Banner of Heaven: A story of Violent Faith. Pan. 2013.

Raspail Jean: Le camp des sains. Précédé de Big Other. Robert Laffont. 2015.

Sabbath Antoine et Le Roux Hubert: Paroles de soldats - Les français en guerre - 1983-2015: Liban, Koweït, Bosnie, Rwanda, Afghanistan, Libye, Mali… Taillandier. 2015.

Sauvy Alfred: L’Europe submergée. Sud-nord dans 30 ans. Dunod. 1987.

Sternberg Jonathan: Why Switzerland? Cambridge University press. 12 ème édition. 2012.

Tchoudinova Elena: La Mosquée Notre-Dame de Paris : année 2048. Tatamis. 2008.

Valette Mireille: Boulevard de l’islamisme. L’essor du radicalisme islamique en Europe illustré par l’exemple. Xenia. 2012.

Véliocas Joachim: Ces maires qui courtisent l’islamisme. Tatamis 2015.

Warraq Ibn: Why I Am Not a Muslim. Prometheus Books. 1995.

Zemmour Eric: Le suicide français. Les 40 années qui ont défait la France. Albin Michel. 2014.

24 commentaires

  1. Posté par jean le

    dans mon entreprise qui travaille dans le domaine de la défense, le dernier mail du boss c’était ” nous embaucherons principalement des étrangers ” déja le niveau actuel est difficile à gérer car les gens partent manger en fonction de leurs couleurs et leur religion ! donc demain nous aurons encore plus de mal à communiquer et se projeter dans l’avenir car nous n’avons plus envie de partager cet avenir !! les gens autour de moi se sentent de plus en plus mal dans cette entreprise ! comme les français se sentent de plus en plus mal dans leur pays !!
    voila ou nous en sommes ! malgré tout ce n’est pas tous les étrangers ! certains partagent parfaitement notre table comme notre vie ! et ils ne s’imposent pas !! voila il suffit de faire le tri mais il sera difficile ! mais il faudra le faire et en avoir le courage ! car je vous garanti que eux ….. ils savent parfaitement le faire !

  2. Posté par Brechon le

    Je suis persuadé que d’ici 40 ans l’Europe se sera effondrée, économiquement et socialement, pour toutes les raisons exprimées ci dessus. La démagogie politique effective depuis 40 ans, la culpabilité générationnelle entretenue, le déni, la désinformation, le mensonge et la manipulation ou tout simplement l’ignorance et l’incompétence des dirigeants, des politiques, soutenus par les médias, seront les vrais responsables du chaos social, ethnique et religieux que vont vivre nos enfants et petits enfants…. Ces derniers sont actuellement aveuglés par le bain constant dans le consumérisme, la course à la technologie et dans l’exacerbation des sens, ils sont de plus manipulés par l’ idéologie gauchisante qui a main mise dans le secteur de l’enseignement, et de l’information. Ils en feront les frais dans leur chair, et dans leur quotidien et n’en prendront conscience qu’à ce moment.

  3. Posté par lucide le

    Retirer tous les avantages que la très généreuse France endettée jusqu’au cou leur offre et vous verrez la difference sera rapide. Ils réfléchiront à deux fois avant de franchir le pas.

  4. Posté par Hérodote le

    A Jenkins,
    Naturellement, je suis tout à fait d’accord avec ce que vous dites.
    A mon tour d’ajouter quelque chose, si je puis, à votre commentaire: non seulement, nous allons être plumés, comme vous dites très justement (en fait, ce processus a déjà commencé), mais en fait nous allons être remplacés par un processus de métissage, voire pire (voir la thèse du grand remplacement de Renaud Camus). A ce stade, il est encore temps de prendre des mesures, mais d’ici quelques années ce ne sera plus le cas.

  5. Posté par Jenkins le

    @ Hérodote. Les terroristes ne sont pas seulement Merkel, Hollande et Valls mais aussi tous nos partis politiques à Berne, sauf l’UDC, qui veulent accueillir encore et encore des refugiés pour avoir bonne conscience et pour plaire à l’Europe.
    On a voté non au mois de fevrier et, il y a tjrs plus de réfugiés, de frontaliers etc. Similitude ? Oui les uns vivent à nos depens et, les autres, prenant nos jobs, ont 4 x notre pouvoir chez eux. Conséquences ? Nous allons être totalement plumés d ici 10 ans : plus de travail, les prestations sociales vont diminuer pour les résidents, les appartements seront inaccessibles et, nous ne bougeons pas ! Il faudra voter non aux bilaterales et au libre échange, prenons le risque car ce que prônent aujourd’hui les partis bien pensants est tout simplement l’extinction de notre liberte et de tout ce que nos parents, nos grands parents ont construit. Pensez y surtout avec l’accord UE/Turquie et l’accord USA/UE qui vont être signés, que restera-t-il pour nos enfants ?

  6. Posté par Franz le

    La déstabilisation est déjà patente, avec une série de crimes-types qui vont s’accroître. Socialistes-traîtres aux nations et leurs peuples, Angela Merkel, l’Histoire retiendra votre culpabilité à hisser au niveau de l’acte génocidaire.

  7. Posté par Jean-Francois Morf le

    Interdire islam et sharia, et envoyer la facture de l’immigration musulmane aux juges des droits de l’homme qui nous ont imposé cette législation étrangère diabolique, la sharia, se prétendant religion de paix et d’amour. Avec un commandement de payer de quelques billions EUR!

  8. Posté par Nicolas le

    L’esprit toujours vif et combatif, un pur bonheur.

  9. Posté par Myrisa Jones le

    Que les migrants soient secourus au large des côtes de la Lybie pour leur éviter une traversée dangereuse dans des conditions épouvantables, soit! Qu’on leur donne à manger et à boire, soit!
    Désolée de devoir le dire ainsi, mais qu’ils ne soient pas remorqués IMMEDIATEMENT à quelques centaines de mètres des plages d’où ils proviennent, est un comportement d’une stupidité inimaginable !
    En continuant ainsi ces opérations de secours, nous faisons le jeu des trafiquants et donnons un très mauvais signal aux millions d’africains, principalement, qui migrent pour des raisons économiques.
    Même si cela peut être compris, à l’heure où l’UE se désagrège politiquement et économiquement et socialement, il n’y a plus de place, ni de moyen, ni d’ailleurs de volonté de la part des populations autochtones dont le rejet devient manifeste, pour offrir une vie digne à une telle quantité de personnes.

    Tout ceci est de la pure folie!

    La marine italienne secourt 3400 personnes
    Les migrants se trouvaient au large de la Libye, vendredi. Un autre sauvetage a été mené, jeudi.

    http://www.20min.ch/ro/news/monde/story/La-marine-italienne-secourt-3400-personnes-29309597

  10. Posté par un observateur le

    Merci à Michel Mottet qui rappelle cette histoire terrible de l’invasion arabo-musulmane, qui à partir de l’Espagne est arrivée au sud de la France jusqu’à la sicile, la Corse etc.
    Beaucoup d’habitants de ce qu’était la France ont subi la barbarie islamique. Oui, l’ordre du prophète de conquérir le monde et lui apporter l’islam était et reste d’actualité. les Arabes n’ont plus la puissance guerrière, mais le logiciel de conquêtes est devenu l’immigration massive et la natalité supérieure à la notre.
    Le discours de Kadhafi, Assad, Komeiny, Boumedienne, Erdogan etc. dans la ligue arabe depuis 50 ans est : ” un jour viendra où les peuples du sud ( musulmans , pauvres et militairement faibles) iront à la conquête de l’hémisphère nord (riche, chrétien et puissant) pour le coloniser et l’islamiser… sans un coup de feu, uniquement par le ventre “.
    J’ai pensé à cette phrase que j’ai entendu depuis mon enfance lorsque Merkel a accepté l’invasion avec le sourire d’Erdogan qui voit cette prophétie se réaliser.
    Erdogan ne veut pas que ses compatriotes turcs s’intègrent à l’Allemagne, comme le Roi du Maroc, Hassan 2. Quel bonheur de voir l’Europe molle, inconsciente accepter ces arabo-musulmans qui, une fois installés, vont faire fleurir les mosquées, les écoles coraniques et la visibilité de l’islam en Occident… quelle victoire, QUELLE REVANCHE !
    Les peuples européens participent à la perte de leurs pays et… en payant l’envahisseur (logement, nourriture, soins, habillement, transport, prestations sociales etc.)
    Mais il y a un autre péril à venir… dans l’immigration de masse actuelle, la population immigrée qui augmente le plus est celle d’Afrique noire. Il y a un rapport explosif que le gouvernement enterre qui parle de précaution. La masse critique, le seuil de tolérance sont largement atteint, mais le flux continue. Focalisés sur l’islamisme, on ne voit même pas l’invasion de populations d’Afrique noire qui nous rapproche des Usa avec le problème racial qui est un cancer que les Usa n’ont jamais pu solutionner. Allez voir toutes ces belles villes à 95% blanches à l’origine devenues noires à 100% en 30 ans tel Jacksonville, Fergusson et tant d’autres que je connais. Les blancs, silencieusement, vont habiter (uniquement entre eux) en périphérie dans des lotissements pavillonaires très sécurisés avec une seule entrée/sortie.
    Dès qu’une minorité atteint un certain nombre, c’est la séparation, le racisme, la violence et un certain apartheid etc.
    Dans 15 à 20 ans, nous auront importé le même problème racial que les Usa… car on ne peut parler de ce sujet sensible, vu le politiquement correct, nos lois, la crainte d’un politique de ne pas être réélus, d’être traités de racistes etc.

  11. Posté par marguerite le

    à regarder la carte ci-dessous :
    http://www.diploweb.com/cartes/qi2.htm

    on y voit en vert les pays excédentaires en ressources pétrolifères et en orange ceux à qui il en manque.
    l’oligarchie mondiale elle ce qu’elle veut est posséder et contrôler au maximum, dès lors, semer la zizanie et les conflits dans les pays “en vert” jusqu’à ce que la situation ne soit plus viables pour les populations et “évidemment” celles-ci vont vouloir s’enfuir et donc rejoindre des pays plus “civilisés” dont l’Europe est une des emblèmes. pas si compliqué en soi comme mécanisme.
    ensuite deuxième “but” recherché, détruire l’Europe et sa civilisation représentant un danger par le potentiel de liberté et d’émancipation qu’elle autorise. L’oligarchie mondiale ne désirant pas que les populations puissent avancer ou évoluer ou devenir autonomes, les migrations ainsi induites permettront donc sous couvert de solidarité, d’accueil, de nécessité, d’humanitaire d’envahir la dite Europe avec des millions de personnes poussées à fuir et rendront donc cet immense service qu’au prétexte de cette nécessité d’accueil on arrivera petit à petit à anéantir cette Europe civilisée dont personne ne veut plus puisque ce que l’on veut ce sont des humains soumis ignorants et esclaves.

    dans cette “affaire” on fait donc d’une pierre deux coups, un coup de maître donc, mais pas encore ni abouti, ni finalisé ni réalisé, ayons confiance en l’humain civilisé.

  12. Posté par Hérodote le

    Pas mal, la comparaison avec les terreurs staliniennes et maoïstes. Les terroristes, ce sont aussi les Merkel et les Hollande et les Valls.

  13. Posté par Michel Mottet le

    La Suisse n’a jamais été directement menacée, mais il n’est pas inutile de rappeler pourquoi !
    Dame Merkel s’en charge en les amenant en masse à notre frontière nord…

    From: Jacques DUCAROUGE
    Rappel d’un petit cours d’histoire !

    Ignorer l’histoire, c’est s’apprêter à la revivre !
    Même en paca il n’y a pas une personne sur dix qui sait l’origine de l’appellation : « massif des Maures » sur la route de Saint-Tropez !
    Qui étaient les marchants d’esclaves de cette époque ? Où étaient les femmes de ces barbares ?
    A lire et à méditer … ce n’est pas dans les programmes !
    Un petit rappel d’histoire très intéressant, car jamais étudié à l’école dans sa continuité et sa totalité.
    C’est pourtant notre histoire !

    Les musulmans sont entrés pour la première fois en 714 dans ce qui était la France de l’époque.
    Ils se sont emparés de Narbonne, qui est devenue leur base pour les 40 années suivantes, et ont pratiqué des razzias méthodiques.
    Ils ont ravagé le Languedoc de 714 à 725, détruit Nîmes en 725 et ravagé la rive droite du Rhône jusqu’à Sens.
    En 721, une armée musulmane de 100.000 soldats mit le siège devant Toulouse, défendue par Eudes, le duc d’Aquitaine. Charles Martel envoya des troupes pour aider Eudes.
    Après six mois de siège, ce dernier fit une sortie et écrasa l’armée musulmane, qui se replia en désordre sur l’Espagne et perdit 80.000 soldats dans la campagne.
    On parle peu de cette bataille de Toulouse parce qu’Eudes était mérovingien.
    Les Capétiens étaient en train de devenir rois de France et n’avaient pas envie de reconnaître une victoire mérovingienne.
    Les musulmans ont conclu alors qu’il était dangereux d’attaquer la France en contournant les Pyrénées par l’est, et ils ont mené leurs nouvelles attaques en passant à l’ouest des Pyrénées.
    15.000 cavaliers musulmans ont pris et détruit Bordeaux, puis les Pays de la Loire, et mis le siège devant Poitiers, pour être finalement arrêtés par Charles Martel et Eudes à vingt kilomètres au nord de Poitiers, en 732.
    Les musulmans survivants se sont dispersés en petites bandes et ont continué à ravager l’Aquitaine.
    De nouveaux soldats les rejoignaient de temps en temps pour participer aux pillages.
    Ces bandes n’ont finalement été éliminées qu’en 808, par Charlemagne.
    Les ravages à l’est ont continué jusqu’à ce qu’en 737 Charles Martel descend, au sud, avec une armée puissante, et reprend successivement Avignon, Nîmes, Maguelone, Agde, Béziers et met le siège devant Narbonne.
    Cependant, une attaque des Saxons sur le nord de la France obligea Charles Martel à quitter la région.
    En 759 enfin, Pépin le Bref reprit Narbonne et écrasa définitivement les envahisseurs musulmans.
    Ces derniers se dispersèrent en petites bandes, comme à l’ouest, et continuèrent à ravager le pays, notamment en déportant les hommes pour en faire des esclaves castrés, et les femmes pour les introduire dans les harems d’Afrique du Nord, où elles étaient utilisées pour engendrer des musulmans.
    La place forte des bandes se situait à Fraxinetum, l’actuelle Garde-Freinet (le massif des Maures). Une zone d’environ 10.000 kilomètres-carrés, dans les Maures, fut totalement dépeuplée.

    En 972, les bandes musulmanes capturèrent Mayeul, Abbé de Cluny, sur la route du Mont Genèvre.
    Le retentissement fut immense. Guillaume II, comte de Provence, passa 9 ans à faire une sorte de campagne électorale pour motiver tous les Provençaux, puis, à partir de 983, chassa méthodiquement toutes les bandes musulmanes, petites ou grandes.
    En 990, les dernières furent détruites. Elles avaient ravagé la France pendant deux siècles.
    La pression musulmane ne cessa pas pour autant. Elle s’exerça pendant les 250 années suivantes par des razzias effectuées à partir de la mer. Les hommes capturés étaient emmenés dans des camps de castration en Corse, puis déportés dans les bagnes du Dar al islam, et les femmes d’âge nubile dans les harems.
    Les repaires des pirates musulmans se trouvaient en Corse, Sardaigne, Sicile, sur les côtes d’Espagne et celles de l’Afrique du Nord.

    Toulon a été totalement détruite par les musulmans en 1178 et 1197, les populations massacrées ou déportées, la ville laissée déserte.
    Finalement, les musulmans ayant été expulsés de Corse, Sicile, Sardaigne, du sud de l’Italie et de la partie nord de l’Espagne, les attaques sur les terres françaises cessèrent mais elles continuèrent sur mer par des actions de pirateries.
    Ce n’est qu’en 1830 que la France, exaspérée par ces exactions, se décida à frapper le serpent à la tête, et à aller en Algérie détruire définitivement les dernières bases des pirates musulmans. Ce fut lorigine et la raison de notre présence en Afrique du Nord.
    Vous savez ce qu’est devenue ensuite l’Algérie… et l’histoire ne s’est pas figée……

    Ce qu’il y a de frappant, c’est qu’entre 714, la première entrée, et 1830, l’écrasement définitif des pirates arabesques, il s’est écoulé plus d’un millénaire, ce qui montre qu’ils ne renoncent jamais …
    Et aujourd’hui, effectivement, ils reviennent en masse, par le biais “pacifique” d’une immigration de peuplement, qui exploite à fond les failles de nos lois, de nos principes démocratiques, et de nos avancées sociales …
    Bientôt ils seront assez nombreux pour prendre démocratiquement le pouvoir dans les villages, les banlieues, les villes, les régions, les pays d’Europe !
    Il ne faut pas croire ceux qui les décrivent comme “modérés” !
    Car les exemples des “printemps arabes” qui se déroulent sous nos yeux en Tunisie, Libye, Egypte, montrent s’il en était besoin que les “modérés” se font toujours évincer par les enragés ! Qui ne cherchent qu’une chose : appliquer la charia et transformer nos pays d’Europe en un “Dar al Islam”, une terre d’islam.
    Il suffit de voir les exactions actuelles contre les chrétiens d’Afrique du Nord, d’Egypte, d’Indonésie, du Nigéria, etc. pour imaginer quel serait le sort réservé à nos familles, à nos peuples européens de souche judéo-chrétienne !
    La France est le pays européen avec la plus importante population musulmane qui augmente très rapidement avec l’immigration de peuplement et la natalité.
    Ignorer l’histoire, c’est sapprêter à la revivre !
    Eux ils savent ce qu’ils veulent… nous pas !

  14. Posté par un observateur le

    @ economico
    … En disant que “l’immigration n’est pas le problème, mais la capacité d’intégration”. Vous êtes certainement un économiste et ne regardez le monde que sous l’angle financier et économique. Je pense que l’identité, le mode de vie, la cohésion sociale, l’histoire, la communauté de destin, les valeurs, la liberté et tout ce qui fait d’un peuple une nation homogène est prime par rapport à l’économique.
    Dans une société communautarisée confictuelle et violente, “l’économique” est très secondaire. Voudrez-vous vivre en banlieue Parisienne dans des villes ghettoisées, islamisées, ethnicisées, très dangereuses pour vous et vos enfants, même si vous gagnez des millions ?

  15. Posté par un observateur le

    Article très complet et salutaire.
    Ayant passé 22 ans dans ces pays d’émigration que je connais, je tiens à préciser quelques points importants.
    ***oui, c’est bien un cataclysme cette invasion/colonisation/islamisation qui aura des conséquences dévastatrices sur nos libertés, mode de vie, cohésion sociale, identité, sécurité, culture etc…
    ***oui, c’est des populations à 95% inadaptées, inintégrables, inassimilable , ingérables et ruineuse pour les systèmes sociaux qui apportent avec elles de graves problèmes étrangers à l’Europe (ethnico-religio-socio-culturels et civilisationnels ), sans solution.
    ***nous découvrons les premières conséquences de cette immigration musulmane qui n’a rien à avoir avec celle des Polonais, Italiens, Espagnols etc. viols en masse, crimes, décapitations, égorgement, massacres avec le même programme idéologique que l’Arabie saoudite et l’Etat islamique qui ne sont que la stricte application de la charia et de certains versets coraniques que les musulmans ne veulent pas ou ne peuvent pas réformer car le Coran aurait été écrit par Allah ce qui lui confère le sacré, l’intemporel et le divin.
    ***oui, nos politiques et nos élites, surtout de gauche ont fait de graves erreurs depuis 35 ans en acceptant par humanisme, angélisme, idéologie etc. un flux migratoire massif, ingérable, dangereux pour la cohésion sociale en étant aveugles et laxistes malgrés les milliers d’avertissements.
    ***une mise en garde… la population qui augmente de plus par immigration forcée et natalité explosive est celle d’Afrique noire. On s’interdit de regarder… politiquement correct, angélisme, peur d’être traité de raciste etc. Il ya un seuil de tolérance, une masse critique qui est déjà largement atteinte. A partir d’un certain nombre, la société se sépare comme aux Usa où les blancs et les noirs vivent séparément (voir Jacksonville, Ferfgusson et tant de villes blanches devenue noires à 100%, les blancs allant vivre en banlieue dans des quartiers pavillonaires sécurisés). Si on ne fait rien, on importera ce problème racial américain insoluble.

  16. Posté par Mais voyons! le

    C’est un crime contre l’humanité, ce que les citoyens européens doivent supporter!

  17. Posté par Contest le

    La photo, en tête de l’article, fait nécessairement penser au Camp des Saints cité dans les références
    Insistez pour que tout le monde le lise ou relise

  18. Posté par Le Taz le

    J’ai bien peur que cela soit beaucoup plus qu’une expérimentation sociale, cela ressemble beaucoup plus à un génocide par métissage planifié !

  19. Posté par Christian P le

    Très bon résumé de la situation. BRAVO.

  20. Posté par Economico le

    Le problème n’est pas tellement l’immigration en soi mais la capacité de nos sociétés à les intégrer. L’Europe est déjà dans un déséquilibre d’offre et de la demande de travail qui met une pression sur les salaires. Ajoutons une pression déflationniste sur les salaires et une augmentation des coûts liés à l’augmentation de charges sociales diverse et nous aurons une continuelle augmentation du populisme. L’Europe doit revoir sa copie en défendant plus les intérêts des citoyens, l’emploi notamment, avant de penser à faire de l’immigration. Etrangement, le populisme commence à monter dans les couches sociales au fur et à mesure que les classes sociales supérieures commencent à être impactées.

  21. Posté par Bussy le

    Urgent : il faut trouver un moyen pour obliger tous les politiciens et “élites” suisses et européens à lire et comprendre ce texte, il en va de l’avenir des peuples européens, et je pense plus particulièrement aux jeunes !

  22. Posté par Ralph le

    Magnifique article. Mais alors que faire puisqu aucune volonté politique n existe pour arrêter le phénomène. Prendre les armes? Emigrer?

  23. Posté par Mylène le

    Question pour un Champion : “Quel sera le sort réservé aux autochtones de souche chrétienne lorsqu’ils deviendront minoritaires sur la terre de leurs ancêtre ? ” Phrase extraite du récit très love story “les corps indécents” que l’on ne risque pas de voir sur les présentoirs des rayons des libraires…..et pour cause !

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