Par Pierre Duriot, enseignant spécialisé à l’école primaire.
♦ Plusieurs données émanant d’études internationales révèlent que les enfants nés en France de parents immigrés en provenance des pays musulmans réussissent moins bien, en ce qui concerne les garçons. Les travaux du psychologue danois Nicolai Sennels expliquent pourquoi.
La réussite scolaire des enfants de l’immigration et les questions d’intégration sont aujourd’hui sur le devant de la scène, mais sont soumises d’une manière extrêmement violente à une forme de censure par la correction politique, enjoignant de considérer uniquement des questions de pauvreté, d’exclusion géographique ou sociale, ou d’origine des parents. Alors même que les batailles font rage, le croisement de plusieurs types de données permet de séparer la réussite des filles et celle des garçons et de pondérer les items politiquement corrects puisque garçons et filles sont soumis aux mêmes contraintes scolaires, culturelles et géographiques.
Ça fait au moins 50 ans qu’on nous bassine avec l’intégration qui est une faillite généralisée. Il n’y a qu’à écouter les bavardages dans les transport publics et visionner les sorties d’écoles pour s’en faire une raison. Pourquoi faillite ? Parce que tout simplement la droite à laissé le champ libre à la gauche, qui n’a fait que de pomper du fric des poches des contribuables pour embrigader, endoctriner ces pauvres étrangers en cultivant leur victimisation perpétuelle. Condamnés comme faire valoir au profit des socialo-fasciste, c’est sûrement une perspective d’avenir dans laquelle aucun étranger ne peut se complaire. On comprend que nombre de ces alibis préfèrent l’AI puisqu’ils finissent par croire que le travail est dégradant alors que c’est aussi une libération si on sait vraiment s’y prendre. C’est clair que la gauche propose des planques d’inutiles, puisque ses cadres le sont déjà, mais un peu beaucoup trop bien payés…
Tout est dit. Si les musulmans encombrent les prisons suisses, c’est bien la preuve que pour eux, les lois sont faites pour être contournées , quel qu’en soit le moyen, la violence étant bien sûr privilégiée.
Je pense que leur endogamie n’est pas de nature à favoriser leur développement cérébral et social.
Certes, les critères de filiation culturelle sont à prendre en compte. Ils contribuent à ce rejet de l’acculturation que l’on retrouve dans les écoles dès qu’il s’agit d’enfants musulmans. L’islam et les sociétés qu’il fabrique sont donc mis en cause. Peut-on aller plus loin et envisager d’autres critères venant s’ajouter à ceux-là ? La doxa dit que tous les humains ont d’égales capacités cérébrales ; certes ils ont tous le langage, l’outil, la société, le désir, mais tous ne s’en débrouillent pas de la même façon, n’importe qui peut le constater. Serait-il « raciste » d’examiner la question sous cet angle ? En tous cas, c’est anathème dans nos sociétés « égalitaires ».