Sportive patriote Noire / sportives Blanches qui déshonorent leur pays

"J'adore représenter les États-Unis": Tamyra Mensah-Stock remporte l'or en lutte aux Jeux olympiques de Tokyo 2020

Tamyra Mensah-Stock, qui a remporté une médaille d'or en lutte, dégage le genre de joie et d'amour du pays qui incarne la véritable signification d'un champion olympique.

Tamyra Mensah-Stock, parle de la somme de travail qu'elle a investie dans cette victoire, tout en tenant un drapeau américain autour d'elle
"J'adore représenter les États-Unis. J'adore y vivre. J'adore ce pays et je suis tellement heureuse de pouvoir représenter les États-Unis."

L'Américaine Tamyra Mensah-Stock est devenue la première femme noire à remporter l'or en lutte en battant la Nigériane Blessing Oborududu 4 à 1 en finale de la lutte libre féminine des 68 kg.

La séquence suivante de la vidéo, c’est l'équipe américaine de football féminin, des sportives Blanches décervelées par la cancel culture, qui se mettent à genou durant l'hymne national, pour montrer leur honte  d’appartenir à la nation américaine.

 

 

 

Comment l’Amérique se suicide

Les ravages du mouvement "woke" dans les écoles américaines - Michèle Tribalat

Zone non mixte» dans une manifestation LGBT: «Se retrouver entre soi, c’est exclure les autres»

Après avoir annoncé une zone non mixte, le centre LGBTI de Touraine a dû annuler sa marche pour la Journée mondiale de lutte contre l’homophobie, suite à des menaces.
Pour Sami Biasoni, cet épisode illustre la radicalisation ambiante.

«La non-mixité n’est en aucun cas négociable et toute personne blanche qui essaiera de s’incruster dans ce cortège se fera cordialement (ou non) dégager

Le centre LGBTI (lesbiennes, gays, bi, transgenres et intersexuels) de Touraine aura beau plaider une publication par inadvertance, après le partage d’un message d’un collectif antiraciste de Tours en «story» Instagram, supprimé par la suite, le mal est fait.

L’association a annulé sa marche pour la Journée mondiale de lutte contre l’homophobie, qui devait se tenir le samedi 15 mai, à cause «des menaces et des risques encourus par l’association».

​Peu avant cette décision, dans une interview donnée à France 3, Johan Yager, co-président du centre LGBTI, avait pourtant tenu à défendre l’idée d’une zone non mixte:

«Nous avons accédé à la demande de personnes qui souhaitaient une place réservée dans le cortège en non mixité afin de se sentir plus à l’aise et libérés pour porter leurs revendications.»

Une référence notamment à la fétichisation des corps «exotiques» dénoncée par certains militants antiracistes.

Zone non mixte, racisme anti-blanc pour se sentir à l’aise?

Certains plaident donc ainsi pour la tenue de ce type de dispositif, à l’image de Rokhaya Diallo, journaliste et militante, qui estime que ce sont simplement «des moments de respiration pour les personnes qui subissent des oppressions». Néanmoins, cette démarche pose question.

Pour Sami Biasoni, co-auteur avec Anne-Sophie Nogaret de Français malgré eux (éd. L’Artilleur), s’il y a une volonté pour les participants de «se rendre visibles», en permettant à des personnes partageant des revendications de se retrouver dans des «safe spaces», cela crée des conflictualités. «Se retrouver entre soi, c’est exclure les autres», résume l’essayiste.

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USA: Le Congrès américain veut indemniser les descendants des esclaves Noirs – vidéo pour illustrer les conséquences de cette hystérie woke

Albert Coroz: Black Lives Matter a produit du racisme, mais ce mouvement a également profondément divisé la société américaine, détruit la liberté d'expression, donné un sentiment d’impunité à une population déjà fortement surreprésentée dans les statistiques de la criminalité. A présent, la gauche américaine veut faire payer toute la nation, riches et pauvres, pour indemniser les Noirs en tant que "victimes héréditaires".

Les Afro-Américains devraient être fiers d'avoir participé à la construction des USA et de figurer aussi parmi les personnes de premier plan du pays.

A la place de cela, la haine raciale, artificiellement alimentée par la gauche, a généré la haine des Noirs pour d'autres races, les Blancs mais aussi les Asiatiques.

Les Noirs vivant aux USA, 13% de la population, ne sont nullement tous des descendants d'esclaves, mais aussi d'immigrants volontaires à la recherche d'une vie meilleure.
La révolte et le déchaînement de haine et de barbarie qui secouent les USA depuis la mort du délinquant toxicomane Floyd sont juste honteux.

Par ailleurs, être descendant d'esclave ne donne droit à rien du tout, absolument rien du tout. Malheureusement, les Démocrates pensent le contraire, un projet de loi vient d'être adopté par une commission du Congrès qui prévoit que l’État indemnise les descendants des millions d'Africains déplacés entre 1619 et 1865, date de l’abolition de l’esclavage.

En quoi serait-il juste qu'un Blanc, un Asiatique, un Amérindien, etc., paye pour un Noir, juste à cause de la couleur de sa peau ? L’illustre Kamala Devi Harris, vice-présidente actuelle des USA, et riche en mélanine (et pas seulement), est issue d'une famille qui avait de nombreux esclaves!

Toute cette révolution woke que la gauche a générée pour détruire Trump nous rappelle furieusement d'autres programmes communistes, comme la mise au pilori des bourgeois, des intellectuels, des koulaks par des révolutionnaires, dérives qui servaient à justifier la lutte des classes.

Se complaire dans un rôle de victime perpétuelle est le meilleur moyen de rater sa vie et désigner un groupe comme victime amène à détruire l'unité d'une nation.

Mais une fois de plus, l'histoire se répète: tout ce que les gauchistes peuvent faire, c'est de dresser les humains les uns contre les autres, de semer la haine et la désolation... au nom d'une prétendue justice.

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Voici une illustration des conséquences de la révolution antiraciste en cours:
"Ils frappent tous les blancs !"  "Ils sautent sur tous les blancs !"

 They beating up every white person!” “They jumping every white person

https://twitter.com/i/status/1381782409767575553

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Canada: formation des fonctionnaires fédéraux en racialisme (pardon antiracisme…) et stéréotypes anti-blancs

Jeudi dernier, le Toronto Sun a dévoilé des documents qui montrent à quel point l’idéologie woke est en train de contaminer nos institutions.

Cliquer pour agrandir l’image

Selon le Toronto Sun, tous les fonctionnaires fédéraux doivent désormais suivre une formation destinée à les sensibiliser au racisme.

Voici des extraits des documents que les employés de l’État fédéral doivent lire :

  • « Le racisme est aussi grave au Canada qu’aux États-Unis. »
  • « Au Canada, les Blancs détiennent le pouvoir en raison des modes de pensée eurocentriques, enracinés dans le colonialisme, qui perpétuent et privilégient l’hégémonie blanche. »
  • « Il existe des préjugés à l’égard des Blancs (exemple : les Blancs ne savent pas danser), mais cela n’est pas du racisme. »
  • « Le racisme et le colonialisme font partie des fondements de ce que nous appelons aujourd’hui le Canada. »
  • « La suprématie blanche est présente dans nos hypothèses institutionnelles et culturelles, qui attribuent une valeur, une moralité, une bonté et une humanité au groupe blanc, tout en attribuant aux personnes et aux communautés de couleur le rôle de sans valeur, d’immoraux, de mauvais et d’inhumains ainsi que non méritants. »

« Voici des caractéristiques de la culture de la suprématie blanche qui existe au Canada :

  •  Le perfectionnisme
  • La quantité au détriment de la qualité
  • Le culte de la parole écrite
  •  Le paternalisme
  •  La peur du conflit
  •  L’individualisme
  • Le progrès, c’est nécessairement plus
  •  Le droit au confort
  • L’objectivité »

On reconnaîtra des thèses répandues notamment par la militante Judith Katz.

Pour Brian Lilley du Toronto Sun, alors que les participants à cette formation, offerte par Affaires mondiales Canada, sont invités à remettre en question le nom même du pays, on les informe également de ne pas remettre en question d’autres questions telles que l’affirmation selon laquelle seuls les Blancs peuvent être racistes. Le premier « mythe » que le cours tente de déboulonner est que le racisme inversé existe et que des noirs ou des autochtones peuvent être racistes. Le début de cette section est repris ci-dessous :

Mythe n° 1 :  Le racisme inversé existe, et les Noirs, les Autochtones et les personnes de couleur peuvent être racistes envers les Blancs.

Bien qu’il existe des suppositions et des stéréotypes sur les Blancs, on considère qu’il s’agit de préjugés raciaux et non de racisme. Le préjugé racial désigne un ensemble d’attitudes discriminatoires ou méprisantes fondées sur des suppositions découlant de perceptions au sujet de la race ou de la couleur de la peau. Ainsi, des préjugés raciaux peuvent être entretenus à l’égard des Blancs (p. ex. « les Blancs ne savent pas danser »), mais cela ne constitue pas du racisme en raison des rapports de force systémiques.

Cette section suscite beaucoup de questions pour Brian Lilley.

Les blancs pauvres qui n’ont aucun pouvoir peuvent-ils alors être considérés comme racistes ? Selon ce cours, le racisme concerne la structure du pouvoir et l’autorité et il y a beaucoup de pauvres blancs, dont certains seront racistes, mais devrions-nous simplement les désigner comme ayant des « préjugés raciaux ».

Lectures essentielles selon le gouvernement du Canada, des ouvrages (majoritairement en anglais) et militants. C’est ainsi que l’« antiracisme » dont Kendi est l’exposant le plus sûr n’est pas simplement un nouveau nom pour un vieux concept. C’est plutôt la doctrine politique derrière les manifestations de rue, les « annulations », les attaques sur Twitter, les boycottages, les renversements de statues et l'intimidation des adversaires politiques.Ces nouveaux antiracistes considèrent que les systèmes politique, économique et policier américains sont gangrénés par des préjugés raciaux et que ces préjugés expliquent toute la différence de statut socio-économique entre les Noirs et les autres (y compris les Asiatiques), que le statu quo doit être combattu et que quiconque ne cherche pas à abattre cet état de fait est un collaborateur du racisme structurel de nos sociétés.

Les personnes qui ne sont pas blanches peuvent-elles être racistes les unes envers les autres?

L’expérience de Brian Lilley, y compris de son éducation très multiculturelle, me dirait, oui, mais ce cours tente de prétendre que toutes les personnes de couleur sont unies dans une lutte pour la « libération ».

C’est en fait ce mot même, plusieurs autres phrases à la mode dans tout le document qui me disent que cette « formation » pour tous les travailleurs du service extérieur [ministère des Affaires étrangères] n’est rien de plus qu’une tentative d’inculquer une idéologie politique utilisant la race comme point d’entrée.

Les documents en question : […]

source: https://www.pouruneécolelibre.com/

Voir aussi 

« Nous irons dans les écoles pour entamer un dialogue » sur le racisme systémique au Québec

Éducation à la sexualité : « les craintes des parents sont légitimes »

« La blanchité multiraciale » : comment les wokes expliquent que des non blancs votent pour Trump

La théorie de la « fragilité blanche » (une nouvelle ordalie de l’eau utilisée pour découvrir les sorcières)

Délire antiraciste: même les arbres à feuilles persistantes ont un passé raciste

Le conifère ne convenait pas comme nouvelle mascotte de l’école, car il risquait d’évoquer les lynchages dont des Noirs ont été victimes.

Le vote sur la nouvelle mascotte d’un lycée de Portland a été reporté car des scrupules se sont fait jour. Un conifère – arbre toujours vert – aurait dû être le nouveau symbole, mais au dernier moment on a craint qu’il ne rappelle la pratique du lynchage.

Les victimes du lynchage aux 19e et 20e siècles aux États-Unis étaient en majorité des Noirs, et souvent on les pendait à un arbre.
Or l’école en question porte justement le nom d’une militante noire, Ida Bell Wells-Barnett ,  journaliste connue pour ses travaux sur le lynchage.

La directrice de la commission scolaire de Portland State, Michelle DePass, a relayé le souci de certains habitants que cet arbre ne risque de faire penser aux lynchages. Elle a commenté: «Nous avons tous nos angles morts, et je crois que celui-ci aurait été un très gros angle mort.»

Un autre membre de la commission, Martin Osborne, a répondu «Nous y avons pensé au cours de nos discussions, mais nous avons surtout vu dans cet arbre un symbole de vie et non de mort.» Osborne, qui est lui-même Noir, a ajouté que la mascotte du conifère n'avait rien à voir avec la terrible histoire du lynchage aux États-Unis: on pendait les gens à d’autres sortes d’arbres, pas à des conifères.

L’école a décidé de contacter d’abord la famille Wells-Barnett et de voter seulement après.

 

Plusieurs personnes ont posté sur les réseaux sociaux sur cette étrange affaire, par exemple:
«Des arbres sont racistes. Et ce n’est pas tout: des arbres ont envie de tuer des Noirs.»

C’est ainsi que des arbres sans défense ont rejoint la longue liste des choses accusées de racisme, comme la musique classique ou l’imprimerie.

Source: https://v4na.com/hu/mar-az-orokzold-fak-is-rasszista-multtal-rendelkeznek

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Albert Coroz pour lesobservateurs.ch

Voir aussi: Portland school delays ‘Evergreens’ mascot vote over fears it’s tied to lynching

Portland school fears 'Evergreens' mascot tied to lynching

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