Interrogé par Konbini, l’acteur français s’est montré très critique vis-à-vis de l’industrie du cinéma où la liberté de ton est souvent censurée.
Faut-il différencier l'homme de l'artiste ? Les Marvel, c'est du "vrai cinéma" ? l À l'occasion de la sortie d'Underwater, on a posé 5 questions reloues à Vincent Cassel, et ça donne ça 👇 pic.twitter.com/zdX4SFXRp2
— Konbini France (@KonbiniFr) 9 janvier 2020
C’est un véritable coup de gueule. Alors que le débat sur la liberté d’expression est toujours d’actualité, Vincent Cassel regrette la dictature de la bien-pensance dans le monde du cinéma. Selon lui, le septième art n'ayant aujourd'hui guère plus d'objectif que de « vendre du popcorn », « Il faut faire des films easy, qui ne prennent pas trop la tête, où les gens n’ont pas peur, où on ne dit rien sur les femmes, sur les noirs, rien sur les juifs, rien sur les pédés… rien sur n’importe quoi. On peut plus rigoler. Donc ce qui se passe, c’est qu’on est formatés et ça, c’est la mort », explique l’acteur français dans une interview accordée à Kombini.
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Nos remerciements à Josée-Christine Lavanchy-Trépey