Socialisme: François Hollande aurait bel et bien traité le peuple français de Sans-Dents

Alors qu’elle affirmait en 2014 détenir la "preuve" de ce qu’elle avançait, l’ex-Première dame l'avance ce mercredi 12 octobre. Elle balance sur son réseau social favori, Twitter, ce qui ressemble à un SMS que lui a envoyé François Hollande, en précisant la date et l’heure : le 31 mai 2005 à 12h39.

C’est elle qui avait révélé une des phrases les plus commentées du quinquennat de François Hollande : le Président surnommerait les pauvres les "sans-dents". Dans son pamphlet post-rupture avec le chef de l’État, Merci pour ce moment, Valérie Trierweiler révélait : "Il s'est présenté comme l'homme qui n'aime pas les riches. En réalité, le Président n'aime pas les pauvres. Lui, l'homme de gauche, dit en privé : 'les sans-dents' très fier de son trait d'humour."

Alors qu’elle affirmait en 2014 détenir la "preuve" de ce qu’elle avançait, l’ex-Première dame l'avance ce mercredi 12 octobre. Elle balance sur son réseau social favori, Twitter, ce qui ressemble à un SMS que lui a envoyé François Hollande, en précisant la date et l’heure : le 31 mai 2005 à 12h39.

 

Trierweiler

François Hollande était alors Premier secrétaire du PS, officiellement compagnon de Ségolène Royal mais amant de Valérie Trierweiler.

En septembre 2014, François Hollande était déjà revenu sur cette expression. "C’est un mensonge qui me blesse", affirmait-il alors dans une interview à L’Obs.

Un "mensonge" qui lui sera difficile, aujourd'hui, de justifier.

Source

Nos remerciements à Monsieur Lochaberaxe

Valérie Trierweiler déverse une benne à ordures sur l’Elysée


Trierweiler-2


Valérie Trierweiler, l'une des anciennes compagnes de François Hollande, balance, mercredi 13 mai 2015, dans le journal ‘Le Parisien’, une nouvelle benne à ordures sur les têtes de François Hollande et de Ségolène Royal. Couple indissociable, psychanalyse-t-elle, couple dont le pouvoir est l'obsession commune, assène-telle. L'auteure du navet narcissique « Merci pour ce moment », dit « s'incliner » (tu parles…) devant l'ex-compagne du président, actuelle ministre de l'Ecologie.

Trierweiler : « Cela dépasse leurs enfants. Tous les deux partagent un goût immodéré pour la politique. Le pouvoir est leur raison de vivre, leur obsession commune. L'enjeu a longtemps été de savoir lequel des deux accéderait à l'Elysée. C'est tranché », raconte la doctoresse Trierweiler, qui elle, naturellement, se préoccupe exclusivement de ses enfants et n’éprouve aucun intérêt pour le pouvoir et pour les médias.

« Il n'y avait pas de place pour une autre femme dans cette histoire. Maintenant, ils peuvent se retrouver et s'entraider. Et utiliser à leur profit les médias et le pouvoir dont ils raffolent l'un comme l'autre », déclare Trierweiler-la-haine, qui, elle, aime l’argent, son bouquin à la noix ayant fait d’elle une provinciale devenue provinciale millionnaire.

La ridicule et narcissique Trierweiler estime, en toute modestie, avoir servi « d'instrument » (dans quel sens du terme, on l’ignore, quoi que…) pour la conquête du pouvoir, rien que ça, quand, en 2005, la rivalité entre François Hollande et Ségolène Royal a pris le pas sur leur complicité. En somme, tout a toujours tourné autour de Trierweiler, selon Trierweiler.

Plusieurs médias français ont récemment souligné l'omniprésence de Ségolène Royal, surnommée « la vice-présidente » par le magazine gauchiste ‘L'Obs’ (l’un des fils de Trierweiler travaille dans la royale cuisine du Palais de l’Elysée. Pour empoisonner le Roy et sa préférée ?).

Le Premier secrétaire du parti socialiste, Jean-Christophe Cambadélis, a balayé (avec une brosse à dents), mercredi 13 mai 2015, toute polémique, soulignant notamment que la présence de Ségolène Royal à côté de François Hollande lors de son déplacement (aux Caraïbes) était justifiée, dit-il, par la préparation de la conférence sur le climat en fin d'année (à Paris, capitale des Caraïbes).

Ségolène Royal accompagnait aussi François Hollande en Suisse en avril, selon divers médias français (pour la préparation du concours international de la fondue chinoise à Pékin en 2017).

L’on espérait qu’avec « Merci pour ce moment », Trierweiler tournerait la page. Mais non. « Ce moment » l’obsède au point qu’elle continue la guerre ; cette guerre qui couvre la France de ridicule dans le monde entier. Mais ça, Trierweiler, avec son moment tout le temps, elle s’en tape…

Michel Garroté, 13 mai 2015