Témoignage : une étudiante en classe préparatoire raconte l’enfer idéologique qu’elle a vécu

Christian Hofer : La situation n'est évidemment pas différente dans les universités romandes, expériences personnelles que j'ai effectuées à l'appui : éloge du multiculturalisme, dénigrement systématique de Donald Trump et de l'UDC, propagande d'extrême gauche concernant tout ce qui touche la "diversité" et le féminisme.

Comme elle le dit, c'est que le début et le peuple lambda n'en a pas connaissance. Mais il est obligé de financer ces universités sans savoir ce qui s'y passe réellement.

Et demain, ces milliers d'individus instruits à la sauce de gauche gouverneront nos pays, siégeront dans nos tribunaux, donneront notre argent à des "pays en développement", organiseront des "actions contre le racisme" à sens unique, avec les conséquences auxquelles on doit s'attendre.

 

 

Campus Vox

Via Fdesouche


Rappel :

L’Université de Lausanne reste un foyer pour les marxistes

Sur les campus américains, la remise en cause de la liberté d’expression absolue pour ne pas heurter les minorités

Aux Etats-Unis, une nouvelle génération d’étudiants remet en cause le principe d’une liberté d’expression absolue (« free speech »). Pour ne pas heurter la sensibilité des minorités, ils demandent à ce que l’université devienne un «safe space», à l’abri de tout propos haineux. Au risque de fuir le débat et d’aveugler les jeunes ?

Le 1er octobre 1964, Jack Weinberg, un étudiant activiste engagé dans le Mouvement des droits civiques, est arrêté à l’université de Berkeley, en Californie. […]

Aujourd’hui, la situation semble s’être inversée. C’est la direction qui rappelle régulièrement ses étudiants à l’ordre lorsqu’ils désapprouvent, avec trop de vigueur, la venue de personnalités politiques controversées et réclament qu’elles soient décommandées. Les forces de l’ordre sont convoquées non pas pour disperser les étudiants venus faire un discours mais pour assurer la sécurité des orateurs quand l’audience est en colère. L’université fait même l’objet d’une enquête judiciaire pour possible entrave à la liberté d’expression parce qu’elle a annulé l’année dernière, en invoquant des raisons de sécurité, plusieurs conférences en quelques mois : celles de Milo Yiannopoulos, de David Horowitz ou encore d’Ann Coulter, tous trois connus pour être conservateurs et provocateurs.

Il n’est pas tant question de savoir si Berkeley va à l’encontre de sa propre histoire que de s’assurer qu’elle respecte un des piliers de la Constitution américaine. Car, contrairement à la France et à la plupart des pays européens, le 1er amendement garantit aux Etats-Unis une liberté d’expression sans limite de contenu ou de point de vue, même si cela implique de protéger du même coup le discours haineux. […]

Les uns craignent une jungle des idées qui blesse les minorités et les réduise au silence. Les autres alertent contre le risque pour les universités de devenir des «bulles filtrantes», qui couvent en même temps qu’elles aveuglent la jeune génération. […]

Libération Via Fdesouche.com

France. Violences, dégradations et amphis bloqués : l’extrême gauche détruit l’université

Un article qui complète celui que nous avions déjà publié ici sur la situation des universités françaises où l'extrême gauche impose sa loi.

A noter que pour nos médias romands, la racaille de gauche occupant ces universités est transformée en "simples étudiants" sans jamais évoquer les tags racistes et anti-police.

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La paralysie des universités françaises depuis bientôt trois semaines, fruit d'une minorité d'extrême gauche qui n'est souvent même pas étudiante, est un problème qui doit être pris à bras-le-corps par les autorités, assure le professeur Kevin Bossuet.

Cela fait maintenant plusieurs jours que la loi Orientation et réussite des étudiants (ORE), accusée par certains d’instaurer un système de sélection à la fac, suscite au sein des universités françaises une contestation qui prend de plus en plus des allures d’insurrection. En effet, dans près d’une douzaine d’universités, dont trois étaient toujours bloquées (Paul-Valéry à Montpellier, Jean-Jaurès à Toulouse et Tolbiac à Paris) dimanche soir, c’est bien un vent de rébellion qui s’est emparé des amphithéâtres, empêchant des milliers d’étudiants d’assister à leurs cours. Ce mouvement qui est pourtant loin d’être massif, contrairement à ce qu’on a pu connaître en 1986 avec le projet Devaquet ou en 2006 avec le CPE, est en train progressivement de semer l’effroi et l’exaspération sur un bon nombre de campus.

La haine comme principal moteur

Même si un certain nombre d’étudiants sont opposés à cette loi, la plupart sont exaspérés par les occupations et les blocages des locaux universitaires par une minorité d’extrémistes qui les empêchent d’étudier dans de bonnes conditions. En effet, dissimulée derrière le paravent que constitue ce texte législatif, c’est bien une lutte politique beaucoup plus large qui est actuellement menée par une poignée d’activistes. Les tags que l’on a pu retrouver dans certains locaux ne laissent d’ailleurs aucun doute sur le corpus idéologique qui anime les militants pro-blocus : « Frappez vite, frappez fort ; un bon flic est un flic mort » (Paris-VIII), « kiff la Révolution » (Paris-VIII), « 68, let’s do it again…2018 » (Dijon), « L'humanité ne sera heureuse que le jour où le dernier bureaucrate aura été pendu avec les tripes du dernier capitaliste » (Paris-VIII), « A mort Israël » (Paris-1 Panthéon Sorbonne) ou encore « Nike la France » (Tolbiac). A Strasbourg, ce sont des tags incitant à tuer le président de l’université, Michel Deneken, qui ont été retrouvés. La haine comme principal moteur, la violence gratuite comme arme politique, on reconnaît bien ici la patte fielleuse des groupuscules d’extrême gauche !

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Source et article complet Valeurs Actuelles