Un Trierweiler à l’Elysée – Vive la République !


Trierweiler-Léonard


Purée, quelle semaine ! Jean-Marie Le Pen massacre sa fille Marine, et, appelle à voter pour Pétain en 2017, dans l’hebdomadaire sulfureux ‘Rivarol’. C’est Le Pen vitriol. Du coup, Marine Le Pen, par médias interposés, excommunie son père (Vade retro Satanas !). Qui lui, répond, toujours par médias interposés, qu’il se battra, arme à la main, jusqu’à son dernier souffle. Un vrai-faux site Internet annonce la candidature de Jean-Marie Le Pen aux présidentielles de 2017.

De son côté, l’UMP, par fuites interposées, annonce qu’elle vire à gauche parce qu’elle a encore une fois décidé de se suicider. On croyait que cela s’arrêterait là. Mais non : Lady Rottweiler, hollandophobe obsessionnelle, revient à l’Elysée, par fiston interposé. Dans son pamphlet mélodramatico-narcissique, elle écrivait que l’Elysée, c’était l’enfer. Sauf pour son benjamin, Léonard. Lui, il va faire du Hell’s Kitchen au Château, et, Madame n’est pas contre. Vive la République !

Ainsi, Closer (lien en bas de page) révèle que « Léonard Trierweiler » est « stagiaire aux cuisines de l'Elysée », « une information qui « peut faire sourire », ajoute Closer. « Et pourtant, le fils de l'ancienne compagne du chef de l'Etat a été choisi par le Château pour faire un stage de 3 mois au sein de sa brigade. Un Trierweiler à l'Elysée, l'information peut surprendre tant la publication du livre de Valérie Trierweiler a fait jaser dans les couloirs de l'Elysée et ulcéré le président de la République ».

Closer : « Six mois après, l'eau semble avoir coulé sous les ponts. Moins rancunier que son ex, François Hollande a choisi de donner sa chance à Léonard Trierweiler. Selon nos informations, Léonard Trierweiler, 17 ans, le plus jeune fils de Valérie Trierweiler est de retour à l'Elysée. Non pas pour prendre les affaires de sa mère ou comme community manager du compter Twitter de l'Elysée », poursuit Closer.

Closer : « Non c'est en tant que stagiaire dans les cuisines de l'Elysée que Léonard Trierweiler, qui suit des études de cuisine dans la prestigieuse école Ferrandi, fera son retour rue du Faubourg Saint Honoré. Au sein d'une équipe de 20 personnes, Léonard Trierweiler aura la charge et le privilège, le temps d'un stage de 3 mois, de préparer les menus mis au point par le chef Guillaume Gomez pour les grands de ce monde... et peut-être pour Julie Gayet ».

Closer : « Si Léonard Trierweiler est, comme sa maman, un pro du tweet clash, il a toujours affiché son soutien à François Hollande, avec qui il a vécu plusieurs années. Nul doute aussi que François Hollande – dont la gourmandise n'est un secret pour personne et qui a malgré tout, sous l'impulsion de Valérie Trierweiler, fait un régime strict avant la campagne de 2012 - a été sensible aux photos de bons petits plats publiées par le fils de son ancienne compagne sur son compte twitter », conclut Closer.

De son côté, Valeurs actuelles (lien en bas de page) écrit que « malgré les relations tendues entre le président de la République et la mère du nouveau stagiaire depuis la parution de Merci pour ce moment, le jeune homme, qui a partagé la vie de François Hollande pendant neuf ans, et le chef de l’Etat seraient restés très proches. Valeurs actuelles confiait par ailleurs en octobre dernier que le jeune garçon avait continué à vivre au sein de l’Elysée pendant huit mois après le départ de sa mère. L’adolescent a été choisi pour intégrer l’équipe du chef Guillaume Gomez, composée d’une vingtaine de personnes. Petit nouveau dans la brigade, il a au moins l’avantage de connaitre les goûts de son président », conclut Valeurs actuelles.

Michel Garroté

Sources :

http://www.closermag.fr/people/politique/info-closer-leonard-trierweiler-fait-son-retour-a-l-elysee-489178

http://www.valeursactuelles.com/politique/leonard-trierweiler-en-stage-a-lelysee-52110


Qu’est-ce que Valérie Trierweiler a dû souffrir…

Par Martine Chapouton (Riposte Laïque)

Valérie Trierweiler est partie faire la promotion de son livre « Merci pour ce moment » en Angleterre, avant l’Italie et probablement l’Espagne et d’autres pays.

Je l’ai vue à la télévision, très chic, revêtue d’un chemisier rose « boudoir », où elle raconte très digne, avec juste ce qu’il faut « d’affectation », son histoire….

En gros elle a torché en trois mois un bouquin où elle raconte son « histoire de c… » avec François Hollande, (Quand on pense que Éric Zemmour a mis trois ans à écrire son remarquable pamphlet…c’est finalement moins rentable, car ça intéressera moins à l’étranger…. cela confirme que c’est bien le sexe qui gouverne le monde).

A la voir, avec son air contrit (mais digne !), j’ai cru qu’elle racontait 12 ans de captivité aux mains du Hezbollah… !!!

Suite

Trierweiler: «Je vais te détruire, toi et ton gros porc»

L’hebdomadaire satirique raconte que l’ex-première dame a surgi comme une furie dans la boîte, se jetant sur ses anciennes amies. Nathalie Mercier se fait empoigner par le cou, alors qu’elle tentait de calmer le jeu: «Toi, la grosse, tire-toi d’ici, tu n’as rien à faire. Tu as déjà dû te jeter aux pieds de cette pute de Gayet!»

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Au tour de Valérie de Senneville qui en prend pour son grade: «Je vais te détruire, toi et ton gros porc de Sapin», lui lance-t-elle en lui empoignant le visage et lui griffant les bras.

Source

Petit résumé du livre de Valérie Trierweiler

Par Caroline Alamachère

A la lecture du livre de Trierweiler, Hollande nous apparaît lâche, menteur, méprisant du peuple.

Si Valérie Trierweiler ne nous est jamais apparue proche de nos idées, elle qui est plus prompte à s’inquiéter du sort des enfants pauvres originaires d’ailleurs en laissant pour compte ceux de chez nous dont pourtant elle est elle-même issue (sa famille politique n’a de cesse de rejeter le peuple français qui a fait la France d’avant le grand remplacement),  il faut reconnaître malgré tout à la lecture de son brûlot qu’elle apparaît bien loin du portrait de la femme dominant son conjoint soumis, telle que nous l’ont donné en pâture les médias. L’image de l’arriviste aux dents longues qui aurait porté la culotte à la maison a fait long feu. Son histoire reflète au contraire le portrait d’une femme très amoureuse, parfois à la limite de la candeur, suffisamment amoureuse en tout cas pour supporter les remarques de mépris glacé sur ses origines sociales et les multiples goujateries sexistes à son encontre de la part de celui qui partageait sa vie.

Tout ce qui a été dépeint d’elle par les médias charognards est expliqué, décortiqué et nous apparaît finalement tout à fait crédible, compte tenu des circonstances qu’elle décrit de l’intérieur.

Si ce grand déballage impudique ne grandit pas l’univers politique déjà lamentablement à la ramasse qui est le nôtre, ni la fonction présidentielle qui n’avait vraiment pas besoin de cela pour être la risée du monde, dans Merci pour ce moment Valérie Trierweiler dépeint page après page un François Hollande froid, menteur, calculateur, malotru, couard, d’une muflerie effrayante, lâche, égocentrique et méprisant du peuple.

Elle rapporte par exemple un repas de famille, sa famille à elle, les Massonneau, suite auquel Hollande dans un petit ricanement de mépris pour leur condition modeste lui balance à la figure « elle n’est quand même pas jojo, la famille Massonneau ». Ce président-là n’aime pas les pauvres, les « sans dents », se sentant nettement plus à sa place chez les parents de Julie Gayet qui, eux, ont le bon goût de posséder un château cossu du XVIIe siècle. Valérie Trierweiler prend soin de préciser que sa propre famille est à l’image des électeurs de Hollande. Nous ne saurons pas ce qu’il a répondu à cela…

Elle raconte encore ce rire plein de muflerie qu’il a eu un jour et qu’elle a reçu comme une gifle lorsqu’une femme a abordé Hollande pour lui demander de ne pas épouser « Valérie », alors qu’il aurait dû normalement prendre la défense de celle qui partageait sa vie, celle à qui précisément il a demandé par trois fois de l’épouser, dont la dernière il y a seulement quelques semaines.

L’homme dont elle nous brosse le portrait dans une suite d’anecdotes est clairement avide de pouvoir et de reconnaissance, de possession. Il veut posséder son ex compagne même au-delà de leur séparation, l’empêcher de tourner la page, de passer à autre chose. Il décortique son emploi du temps, suit ses moindres pas, la harcèle de multiples textos chaque jour. Il l’a répudiée comme une malpropre aux yeux du monde entier mais veut tout de même en garder le contrôle par jalousie, par égoïsme, mais aussi comme rempart réconfortant face à sa chute dans les sondages. La répudiée doit se rendre disponible pour compenser cette image déplorable que lui renvoie à la face ce méprisable peuple français de si petite extraction. Valérie, qu’il a abandonnée seule en la jetant négligemment sur un lit pour courir retrouver Julie Gayet alors qu’elle venait d’avaler un paquet de comprimés, devrait aujourd’hui lui revenir pour l’aider à conjurer la détestation et le rejet violent qu’il suscite dans l’opinion publique.

Elle relate cette phrase qu’Hollande a eu à son retour du Mali où il disait, parlant de cette visite, qu’il « s’agissait du plus beau jour de sa vie politique », ce à quoi elle a répondu que « si le plus beau jour de ta vie politique n’est pas le jour où les Français t’ont élu président de la République, alors ils ont eu tort ». On ne saurait mieux dire. On mesure tout le mépris pour la fonction que les Français – du moins une partie d’entre eux – lui ont confiée. Le pouvoir le grise même au point de considérer que Fabius a raté sa vie parce qu’il n’a jamais été président, un point de vue qui nous fait rire jaune. Le devoir consistant à prendre soin du pays qu’on lui a confié semble par contre lui être tout à fait accessoire.

« Les hommes de pouvoir perdent très vite le sens des limites », explique le psychiatre de V. Trierweiler qui ajoute qu’Hollande serait atteint du « syndrome du gagnant », lui l’éternel perdant, le poissard, le sans stature, lui qui ne doit sa place non à son seul mérite mais parce qu’un autre a failli et que le président sortant n’avait plus la cote. Hollande est là par erreur, par accident, sur un malentendu du destin.

Celui qui fait semblant d’aimer les pauvres mais ne fréquente que des riches, celui qui est né avec une cuillère en argent dans la bouche, ce « sans amis » qui ne côtoie que les fréquentables énarques de la promotion Voltaire avec lesquels il parle politique, aime tellement le pouvoir qu’il veut le garder pour lui seul, ne pas le partager. Laisser une trace dans les manuels d’Histoire pour l’éternité, voilà son ambition ultime, comme d’autres se font cryogéniser par désir fou d’immortalité et par peur de n’être plus, par vanité de se croire indispensable au monde des vivants. Il a soif de pouvoir au point de ne même pas vouloir partager avec sa famille un moment au Palais : « pas une seule fois il n’a invité son père à l’Élysée, ni son frère. Il se veut un destin hors norme, un Président orgueilleusement seul », lui qui n’est là que parce qu’il est arrivé premier dans un concours de circonstances…

L’homme est lâche. Il jure, promet, ment sans cesse par principe et pour gagner du temps, pour ne pas lâcher la proie pour l’ombre, pour éviter l’affrontement, se débarrasser et remettre à plus tard les contrariétés. « Le mensonge est ancré en lui, comme le lierre se mêle à l’arbre ». Peu importe la blessure occasionnée, peu importe la tromperie et la trahison, du moment que cela est bon pour lui. Hollande est lâche et couard au point de ne même pas être capable de dire à sa mère qu’il est en couple avec Valérie. C’est donc à elle qu’il demande de l’appeler pour lui annoncer…

Un chef d’Etat est-il censé être un lâche qui fuit sans cesse ses responsabilités et ment à tout bout de champ ?

« La fonction présidentielle doit être respectée afin de préserver nos institutions » a dit Hollande. Qu’il commence lui-même par la respecter.

La muflerie transpire tout au long du livre avec notamment ce passage concernant la fameuse dépêche AFP annonçant la rupture, dont on mesure après coup, toute l’effarante teneur, quand nous imaginions une toute autre scène : « Il me lit le communiqué de rupture qu’il a prévu de livrer à l’AFP, dix-huit mots froids et orgueilleux, chacun est comme un coup de poignard. Je m’effondre devant la dureté de sa phrase, cette manière méprisante de « faire savoir » qu’il « met fin à la vie commune qu’il partageait avec Valérie Trierweiler »… Je me lève et pars en hurlant : 

– Vas-y, balance-le ton communiqué si c’est ça que tu veux. 
Il tente de me rattraper, de me prendre dans ses bras.


– On ne peut pas se quitter comme ça. Embrasse-moi.
 Il me propose même que nous passions la dernière nuit ensemble… ».

Valérie Trierweiler décrit la proximité presque maladive d’Hollande avec les médias dans une collusion intime, voire charnelle entre média et politique, ces deux branches amantes du pouvoir, toujours si intimement imbriquées « Les journalistes politiques ont essayé de comptabiliser le nombre d’entre eux qui reçoivent des SMS du Président. Ils ont dépassé le chiffre ahurissant de 70 ».

« Il faut juger les hommes politiques sur leurs actes », a dit Ségolène Royal, celle qui disait pourtant d’Hollande qu’il n’avait jamais rien fait de sa vie. Avec le bouquin de celle qu’on a surnommée « la Rotweiller », nous jugeons effectivement les actes d’Hollande et le moins qu’on puisse dire c’est qu’ils sont encore plus affligeants que ce qu’on imaginait.

Merci pour ce moment de lecture, Mme Trierweiler. Vous n’en sortez sans doute pas grandie et les Français ne vous en aimeront probablement pas davantage, mais au moins les « sans dents » savent maintenant à quoi s’en tenir.

Caroline Alamachère

PS : j’ajouterais qu’on ne saurait trop conseiller à François Hollande de bien vouloir respecter les règles de sécurité routière appliquées aux Français ordinaires qui, eux, doivent payer cher quand ils les outrepassent : « Il est capable de danser le sirtaki sur la chanson de Dalida, même au volant ».

Source Riposte Laïque

 

 

«Trierweiler a encore tous leurs SMS, elle est inarrêtable»

Alors que le livre de Valérie Trierweiler sort ce jeudi en librairie, les réactions fusent dans l’entourage de François Hollande. Le président, lui, est «catastrophé» mais ne portera pas plainte.

File picture of Valerie Trierweiler, former companion of French President Francois Hollande, attending the traditional Bastille day military parade on the Champs Elysee in ParisAprès la publication d’extraits du livre de Valérie Trierweiler, qui sort ce jeudi en librairie, François Hollande accuse le coup. Selon «Le Parisien», le président français n’a rien vu venir, même si son ex-compagne l’avait menacé de se venger en prenant la plume. Ce n’est que mardi que le chef de l’Etat a appris la parution de «Merci pour ce moment».

Source

Hollande surnomme les gens pauvres “les sans-dents”

Le véritable visage du socialisme en direct:

Cette information sera, pour certains, beaucoup plus ravageuse que tout détail sur la vie privée du président. François Hollande n'aime pas les pauvres selon son ancienne compagne, Valérie Trierweiler. Et le président les affuble même d'une formule *imagée*:"les sans-dents".

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Le Monde publie des extraits du livre Merci pour ce moment, dans lequel l'ancienne Première dame raconte un repas de famille. François Hollande se moque alors des origines modestes de celle qui partage sa vie. Et Valérie Trierweiler d'en dire plus :

Il s'est présenté comme l'homme qui n'aime pas les riches. En réalité, le président n'aime pas les pauvres. Lui, l'homme de gauche, dit en privé : ‘les sans-dents' très fier de son trait d'humour. 

 

François Hollande, en 2006, avait pourtant fait polémique lors d'un débat avec Michèle Alliot-Marie, en affirmant à la télévision qu'il n'aimait pas "les riches" :

Je n'aime pas les riches. Je n'aime pas les riches, j'en conviens.

Source

 

A noter le "travail" du président pendant que les Français souffrent énormément sur le plan économique:

 

Une fois que l’affaire s’est estompée, on apprend que François Hollande a maintenu le contact avec Valérie Trierweiler en lui envoyant des SMS, jusqu’à 29 par jour.

Paris Match révèle un autre extrait du livre : "Il me dit qu'il a besoin de moi. Chaque soir, il me demande de dîner avec lui. [...] Il me dit qu'il me regagnera comme si j'étais une élection".

 

Source