Santé – des nanoparticules magnétiques dans les cellules que l’on peut commander à distance!

Lecteur vidéo

Nous volons de découverte en découverte, avec pour seul fil rouge la stupeur pour ne pas dire l’effroi.

Souvenez-vous du choc que certains ont pu ressentir lorsque nous avions découvert la fabrication des jumelles chinoises OGM.

Il y a quelques jours, la mise au grand jour des vaccins autodisséminés représenta une étape essentielle de nos recherches.

L’article de Science qui nous rapproche toujours plus de la confirmation de l’hypothèse d’un virus SARS-CoV-2 fabriqué en laboratoire aurait dû faire la une des médias officiels.

Aux quelques doléances qui précèdent doivent s’ajouter l’euthanasie bien entendue des personnes âgées, le refus de considérer un tant soit peu le traitement de l’infection par le coronavirus, l’acharnement à ne rien changer au protocole ou aux composants des « vaccins » malgré les chiffres accablants dont nous disposons, mais aussi des conséquences problématiques de ces produits sur des personnes jeunes et en bonne santé.
https://childrenshealthdefense.org/defender/cdc-investigating-reports-heart-problems-teens-adolescents-covid-vaccine/?utm_source=salsa&eType=EmailBlastContent&eId=bcaaec43-2eda-4bae-b08c-4612a77b3b03

Nous avons tenté de traiter ces thèmes de la manière la plus neutre et la plus sourcée possible…En revanche, nous avons du mal à répondre à la question du pourquoi!

Pourquoi s’acharner pareillement sur l’humanité? Pourquoi s’en prendre aux personnes vulnérables et sans défenses?

Il est très compliqué de répondre à cette question sans affoler et/ou sans être traités de complotiste. Pourtant, si les autorités sanitaires avaient été loyales envers les populations, elles auraient dû faire une pause dans ce que l’on appelle « vaccination », étudier les effets indésirables nombreux et handicapants, et refuser net de continuer d’administrer ces choses aux populations âgées. C’est une question de bon sens n’est-ce pas? Pourtant, rien n’a été fait. Et pire face aux résultats catastrophiques de AstrZeneca, on a poursuivi dans la stratégie destructrice de vies et de familles. Dans certains pays, on a poussé le cynisme encore plus loin en réservant ce qui devrait être apparenté à un produit dangereux pour la santé aux plus de 55 ans. Quelles conclusions en tirer?

A ce stade, nous sommes sûrs d’une chose:

Manifestement, ce que nous observons ne correspond pas aux résultats communiqués par les industriels qui nous parlaient de 95% d’efficacité n’est-ce pas?

En même temps, les résultats des essais ont été présentés par les industriels eux-mêmes et les « scientifiques » et les gouvernants ont accepté leurs chiffres, et les critiques européennes vues précédemment dans les mails hackés ont été mises en sourdine.

Des vidéos de bras aimantés

Tous les jours apportent donc son lot de surprises dans un monde qui semble avoir basculé dans un chaos éthique. Ainsi un jour, je découvre des vaccinés qui arrivent à s’accrocher un aimant là où ils ont reçu l’injection.

Les vaccinés qui testent des aimants sur leur bras ridiculisés dans une émission grand public.

C’est en choeur que les animateurs de l’espace public ont crié à la fake info. A priori les images ne pouvaient convaincre un esprit rationnel. Impossible donc que le corps humain soit aimanté. Mon professeur de biologie du Lycée aurait dit la même chose. Sauf que la science des années 70-80 n’a plus rien à voir avec les défouloir débridés que sont devenus les labos du 21ème siècle. Forte de cette conviction j’ai mené ma petite enquête. J’ai commencé par tomber sur les liens mis en avant par Google tous dénonçant la fausse info. Voici un message pris au hasard:

« Pour cet épisode, Elsa de La Roche Saint André a contacté Julien Bobroff, physicien français spécialiste du magnétisme, qui enseigne à l’Université Paris-Saclay. “Un vaccin contre le Covid-19 qui puisse contenir des puces, et qui accrocherait des aimants quand on l’injecte, c’est absolument impossible du point de vue de la physique”, assure-t-il.

Alors comment faire croire en vidéo qu’un magnet est attiré par une puce implantée dans le bras par le biais de la vaccination ? L’auteur scientifique anglo-américain Mick West, qui s’est spécialisé dans la vérification des théories du complot, détaille dans une vidéo quelques possibilités, comme le fait que la peau soit grasse ou l’utilisation d’une crème huileuse. 

Une dernière hypothèse repérée sur le site de fact-checking “Fact and Furious”, créé en réaction aux fausses informations circulant depuis le début de la crise sanitaire, serait que certaines des personnes qui tournent ces vidéos soient porteuses d’une prothèse d’épaule. En effet, les prothèses peuvent contenir du cobalt, un métal qui attire les aimants.  «

https://observers.france24.com/fr/%C3%A9missions/info-ou-intox/20210521-info-ou-intox-episode-47-vaccin-covid-19-magnet-challenge-aimant-puce

Comment fonctionne un aimant?

Des nanoparticules magnétiques

Eh bien nous avons mené notre propre check. Et figurez-vous que j’ai découvert des paquets d' »inventions » plus qu’édifiantes! Il existe même un projet tout ce qu’il y a de plus officiel puisque figurant sur le site de l’UE.

Sous le titre de « Comment faire croître les neurones avec des aimants et des nanoparticules« , nous découvrons des trésors. La chose est présentée sous le prétexte acceptable de venir en aide aux malades de Parkinson, les réformes des lois sur la bioéthique feront le reste. On nous dit notamment que:

« Le projet MAGNEURON vise à développer une nouvelle technologie d’actionnement magnétique des fonctions cellulaires pour traiter la maladie de Parkinson. Le concept innovant de notre technologie est de contrôler à distance le comportement des cellules à l’aide de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées. Les nanoparticules sont de très petits objets, de l’ordre du nanomètre, généralement connus pour être nocifs, mais ils peuvent également être utilisés de manière positive. En attachant à leur surface des biomolécules spécifiques, il est possible d’interagir avec les molécules cellulaires pour donner des signaux spécifiques aux cellules. En utilisant des nanoparticules magnétiques, il est possible d’utiliser des dispositifs magnétiques pour agir sur elles à distance afin de déclencher des réponses cellulaires.

Pour relever le défi de la télécommande des neurones à distance, nous proposons l’utilisation de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées conçues pour fonctionner comme des «points chauds» intracellulaires qui indiqueront à la machinerie cellulaire ce qu’il faut faire. Une fois délivrées dans le cytoplasme des neurones, ces nanoparticules magnétiques activeront des réactions biochimiques spécifiques à l’intérieur des cellules en réponse à des champs magnétiques externes de sorte que les nanoparticules favoriseront et orienteront la croissance des bras des neurones.«

http://magneuron.eu/

Le principe de cette technologie qui révolutionne la biologie et la médecine est expliquée ci-dessous par un schéma. Dans ce cas, il est question de reprogrammation cellulaire dans un but fort louable puisque le patient est atteint d’une maladie grave. Qu’est-ce qui empêcherait de l’utiliser dans d’autres circonstances? A relever que lesdites cellules augmentées sont contrôlables à distance (par remote coontrol).

http://magneuron.eu/images/research-p_img3.png

Vous constaterez aussi qu’il est question d’un outil magnétique communiquant avec les nanoparticules aimantées. Est-ce que dans notre environnement cet outil peut être représenté par les antennes 5G, ce qui nous introduirait brusquement et brutalement dans le monde de l’Internet des Humains?

Les scientifiques de l’Université de Washington espèrent que l’avenir permettra d’améliorer considérablement cette technologie du Brain to brain communication pour envoyer des informations plus complexes d’une personne à une autre.  Andrea Stoco souligne “Internet est un moyen pour connecter les ordinateurs, et maintenant il peut être un moyen des connecter des cerveaux. »

Qu’est-ce que le sigle iPSCs qui figure sur le dessin de Magneuron?

N’étant pas biologiste, mais simplement capable de suivre les flèches de ce processus, j’ai été intriguée par le iPSCs qui semble tenir un rôle central. Et voici ce que j’ai trouvé. Une plateforme dédiée à la communauté des sciences de la vie à Zurich. On nous dit:

Depuis la découverte par Yamanaka et Takahashi des cellules souches pluripotentes induites (iPSC), cette technologie a ouvert des possibilités sans précédent pour étudier pratiquement tous les types de cellules d’intérêt in vitro et pour modéliser les maladies humaines «dans une boîte». La communauté des sciences de la vie de Zurich profite activement de ces nouvelles possibilités.

L’objectif de cette plateforme est de favoriser les interactions, les collaborations et l’éducation sur cette technologie parmi les chercheurs travaillant sur les iPSC dans la région de Zurich . Les groupes affiliés à toutes les institutions académiques sont invités à présenter leurs recherches liées à l’iPSC, y compris l’Université de Zurich, l’ETH Zurich et les hôpitaux universitaires (USZ, Kinderspital, PUK, Balgrist, Zentrum für Zahnmedizin). Tous les sujets de recherche peuvent être inclus, allant des questions de recherche fondamentale sur la pluripotence des cellules souches à la modélisation des maladies ou à la médecine régénérative. Les troubles affectant tout système organique peuvent être inclus (système nerveux central, cœur, rein, muscles, système immunitaire, yeux ou maladies métaboliques).

https://www.ipsc-research.uzh.ch/en.html

Et qui est M Yamanaka qui semble occuper une place centrale dans cette médecine d’un nouveau genre? Shinya Yamanaka (山中 伸弥 : Yamanaka Shinya) est né à Higashiosaka au Japon. Médecin japonais, il est chercheur sur l’induction des cellules souches pluripotentes et la reprogrammation des cellules somatiques. (Wikipédia)

Dans un article paru dans Science en février 2008, Yamanaka affirme que la méthode de transformation génétique des cellules à l’aide d’un virus n’entraîne pas de problème de tumeurs, ce qui pourrait ouvrir la voie vers un usage thérapeutique pour la régénération de tissu.

Wikipédia

Cette assertion est à la fois énorme pour le monde de la médecine, mais en même temps effrayante dans le contexte actuelle. Et comme Wikipédia n’a pas donné de références sur l’article de Science, il a bien fallu aller dénicher ce qui pourrait être une perle dans l’énigme vaccinale covidienne. Voici le résumé d’une publication mRNA-Based Genetic Reprogramming écrite cette fois en 2018:

La découverte que les cellules cutanées ordinaires peuvent être transformées en cellules souches pluripotentes par l’expression forcée de facteurs définis a fait naître l’espoir que des traitements régénératifs personnalisés basés sur du matériel immunologiquement compatible dérivé des propres cellules d’un patient pourraient être réalisés dans un avenir pas trop lointain. Un obstacle majeur à l’utilisation clinique des cellules souches pluripotentes induites (iPSC) a été initialement présenté par la nécessité d’utiliser des vecteurs viraux d‘intégration pour exprimer les facteurs qui induisent un profil d’expression génique embryonnaire, ce qui entraîne une altération potentiellement oncogène du génome normal. Plusieurs systèmes de reprogrammation «non intégrateurs» ont été développés au cours de la dernière décennie pour résoudre ce problème. Parmi ces techniques, la reprogrammation de l’ARNm est la plus sans ambiguïté «sans empreinte», la plus productive,et peut-être le mieux adapté à la production clinique de cellules souches. Ici, nous discutons des origines du système de reprogrammation à base d’ARNm, de ses avantages et inconvénients, des améliorations techniques récentes qui simplifient son application et de l’état des efforts actuels pour industrialiser cette approche pour produire en masse des cellules souches humaines pour la clinique.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6453511/

Magneuron, projet porté par les gouvernants!

Retour au projet Magneuron. Dans un silence consternant, on découvre que ce genre de projet est porté par les gouvernants qui ne jugent pas utiles d’informer les sans-dents de ce qu’ils leur ont réservé pour un avenir immédiat! Voici ce que présente le Portail français du programme européen pour la recherche et l’innovation. Dans la liste des témoignages des lauréats, nous trouvons une référence à Magneuron:

Détournement des voies de signalisation cellulaire avec des nanoactionneurs magnétiques pour les thérapies télécommandées par cellules souches des troubles neurodégénératifs.
https://www.horizon2020.gouv.fr/cid130111/boite-outils-pour-les-projets-technologies-futures-emergentes-fet.html

Tout aussi intéressant que ce projet Magneuron est celui de Luminous

Ce projet est décrit en termes de vision de la manière suivante. plutôt très inquiétant…

Vision à long terme « Notre vision est que les informations théoriques joueront un rôle central dans la compréhension de la conscience, que la conscience sera un jour de plus en plus mesurée, quantifiée et modifiée en toute sécurité grâce à l’interaction électromagnétique » Percée scientifique et objectif technologique – « La première percée proposée est » la création d’une nouvelle classe motrice de la conscience sensorielle, qui minimise « la création d’une nouvelle classe de conscience motrice ou de dépassement de la conscience ». La deuxième percée ciblée ici est l’altération électrique de la conscience. « Nouveauté » travail pionnier en science fondamentale, y compris les concepts de théorie de l’information, et la physiologie expérimentale, les applications cliniques et la technologie «

Voilà donc que l’insertion de nanoparticules magnétiques n’est pas une vue de l’esprit de complotistes. Ces individus qui squattent les laboratoires d’un nouveau genre et qui bénéficient de l’argent pléthorique de Planète finance sont en train de reléguer Frankenstein dans un coin de l’histoire, avec bonnet d’âne en prime.

Nous avons affaire à de très grands chercheurs de diverses disciplines qui se sont retrouvés autour de projets communs. La synergie qui s’en dégage semble libérer une puissance dont le potentiel maléfique n’est pas difficile à imaginer.

Alors ami lecteur, je vous ai apporté ces quelques infos dans le but de nous aider à décoder l’image finale très probablement monstrueuse que des esprits malades ont dessinés pour l’humanité.

Tout silence de tout individu habitant cette terre face à ces données publiques financées avec nos impôts aura un coût humain inimaginable à ce stade.

LHK

Complément d’info

Le projet MAGNEURON Future and Emerging Technologies (FET) a pour objectif de déterminer comment contrôler les neurones nouvellement implantés dans le cerveau, afin qu’ils puissent se développer, se recâbler et fonctionner correctement. Ceci est particulièrement important pour les maladies neurodégénératives comme la maladie de Parkinson.

Image montrant le fonctionnement du projet MAGNEURON
Projet MAGNEURON – Schéma du fonctionnement du projet MAGNEURON

Le   projet FET-Open MAGNEURON vise à développer une nouvelle technologie d’actionnement magnétique des fonctions cellulaires pour traiter la maladie de Parkinson. Le concept innovant de leur technologie est de contrôler à distance le comportement des cellules à l’aide de nanoparticules magnétiques bio-fonctionnalisées. MAGNEURON est dirigé par le Dr Mathieu Coppey, de l’Institut Curie, France. Le projet comprend 6 partenaires de France, d’Allemagne et du Royaume-Uni, couvrant les domaines de la physique-chimie, de la biochimie, de la biophysique, des nanosciences, des neurosciences et de la médecine régénérative.

source: https://lilianeheldkhawam.com/2021/05/25/sante-des-nanoparticules-magnetiques-dans-les-cellules-que-lon-peut-commander-a-distance/

Des scientifiques construisent une armée d’un million de microrobots pouvant tenir dans une aiguille hypodermique

Une tranche de silicium de 10 cm a été transformée en une armée d’un million de robots marchants microscopiques, grâce à l’ingéniosité de chercheurs de l’université Cornell de New York.

Dans un article publié mercredi dans la revue Nature, une équipe de roboticiens détaille la création de leur armée invisible de robots, dont la taille est inférieure à 0,1 mm (environ la largeur d’un cheveu humain) et qui ne peuvent être vus à l’œil nu. Les robots sont rudimentaires et rappellent Frogger, le célèbre jeu d’arcade des années 1980. Mais ils tirent parti d’une nouvelle classe innovante d’actionneurs, qui sont les pattes des microrobots, conçues par l’équipe.

Pour contrôler le mouvement de ces minuscules machines, les chercheurs doivent faire briller un laser sur de minuscules circuits photosensibles situés sur leur dos, ce qui fait avancer leurs quatre pattes. Elles ont été conçues pour fonctionner dans toutes sortes d’environnements, notamment dans des conditions d’acidité et de température extrêmes. Selon les chercheurs, l’un de leurs principaux objectifs pourrait être d’étudier le corps humain de l’intérieur.

« Contrôler un minuscule robot, c’est peut-être ce qui se rapproche le plus d’un rétrécissement de soi », a déclaré dans un communiqué Marc Miskin, aujourd’hui ingénieur à l’université de Pennsylvanie et auteur principal de l’étude.

« Je pense que des machines comme celles-ci vont nous amener dans toutes sortes de mondes étonnants qui sont trop petits pour être vus. »

Une illustration d’artiste du petit robot.
Criss Hohmann

Mais réduire les robots à cette taille et leur permettre de se déplacer dans le monde à l’échelle microscopique est une tâche technique difficile. Il est beaucoup plus difficile de se déplacer dans le monde lorsque vous avez la taille d’une paramécie.

L’équipe a réussi à construire des pattes incroyablement petites, qui sont reliées à deux patchs différents à l’arrière du robot – un pour la paire de pattes avant, un pour la paire de pattes arrière. L’alternance de la lumière entre les patchs propulse le microrobot en avant.

Comme vous pouvez le voir dans le GIF ci-dessus, ce n’est pas gracieux, mais cela fait l’affaire.

Ces types d’appareils sont connus sous le nom de « marionnettes » parce que leur source d’énergie n’est pas à bord de l’appareil et que leurs fonctions sont contrôlées à distance, notent les chercheurs du MIT Allan Brooks et Michael Strano dans un article connexe publié dans Nature.

Sans l’apport extérieur des chercheurs, les dispositifs n’ont pas la capacité de se déplacer. Mais selon Brooks et Strano, ces marionnettes sont importantes car elles constituent un tremplin pour de futurs appareils capables de fonctionner de manière autonome. Pour l’instant, les microrobots sont plus des démonstrations techniques que des produits fonctionnels, mais ils montrent ce dont le monde microscopique est capable.

L’équipe de recherche a pu montrer que les microrobots pouvaient tenir dans l’aiguille hypodermique la plus étroite et donc être « injectés » dans le corps. Ce genre de capacité n’est pas valable pour le moment et n’est pas possible. Les machines ne sont pas assez intelligentes pour cibler une cellule malade ou répondre à des stimuli, de sorte que cette armée invisible n’a pas d’application. Toutefois, les chercheurs ont déclaré que « leurs capacités peuvent évoluer rapidement » et suggèrent que les coûts de production futurs pourraient être « inférieurs à un penny par robot », ce qui en ferait un allié précieux dans la lutte contre la maladie.

Les chercheurs essaient maintenant de programmer les robots pour qu’ils effectuent certaines tâches, en utilisant des calculs plus complexes et une plus grande autonomie. Ces améliorations pourraient permettre à des essaims de robots de pénétrer à l’intérieur du corps et de réparer des blessures ou d’attaquer des maladies comme le cancer, mais il faudra attendre encore des années, voire des décennies.

Même si l’avenir n’est pas pour demain, il convient de noter que toute option de traitement potentielle utilisant de tels dispositifs nécessiterait des contrôles de sécurité rigoureux, devrait surmonter d’importants obstacles réglementaires et devrait être testée à grande échelle avant d’être utilisée à l’intérieur d’êtres humains.

Lire aussi : Les nanorobots circuleront dans votre corps d’ici 2030

Source : CNET, 26-08-2020 – Traduit par Anguille sous roche

 

L’agenda transhumaniste: Elon Musk teste des implants cérébraux

Gertrude participe à une expérience de science-fiction : la start-up d’Elon Musk, Neuralink, a implanté une puce connectée dans le cerveau de ce cochon cobaye, un prototype en vue de fabriquer la version pour les humains qui redonnera la parole et la mobilité aux personnes paralysées.

« C’est comme une Fitbit (montre connectée) dans votre crâne », s’est enthousiasmé Elon Musk vendredi, lors d’une conférence en ligne sur les progrès de son projet d’interface reliant le cerveau aux ordinateurs, qui suscite beaucoup de scepticisme dans la communauté scientifique. L’entrepreneur futuriste (Tesla, SpaceX, Starlink) avait présenté il y a un an une puce dotée de fils ultra-fins, pouvant être implantés dans le cerveau par un robot.

Le nouveau modèle, sans-fil, se recharge la nuit et mesure 23 mm de diamètre sur 8 mm d’épaisseur. En théorie, la puce ronde sera implantée dans le cerveau, sans qu’il y ait besoin de passer une nuit à l’hôpital, et sans laisser de trace, si ce n’est une petite cicatrice sous les cheveux.

Elle servira d’abord à traiter les maladies neurologiques. Mais l’objectif à long terme est de rendre les implants si sûrs, fiables et simples qu’ils relèveraient de la chirurgie de confort. Des personnes pourraient alors débourser quelques milliers de dollars pour doter leur cerveau d’une puissance informatique. Améliorer l’humain grâce à la technologie, c’est la base du courant transhumaniste.

Opération séduction

Pour l’instant, dans les laboratoires de Neuralink, le cochon Gertrude marche sur un tapis roulant, pendant que la puce retransmet ses signaux neurologiques. À partir de ces informations, l’ordinateur est capable de prédire à tout instant où se trouve chacun de ses membres. De quoi donner l’espoir de rendre la mobilité aux personnes paraplégiques. En cas de lésion à la moelle épinière, on pourrait implanter une autre puce à l’endroit de la blessure, et contourner les « circuits de transmission » endommagés, imagine ainsi Elon Musk.

De nombreux scientifiques rappellent cependant que le cerveau n’est pas aussi compartimenté qu’on aimerait le croire. « Chaque cerveau a une structure unique, massivement interconnectée », a commenté Dean Burnett, chercheur de l’université de Cardiff, en amont de la conférence, se disant sceptique sur les véritables avancées de Neuralink. L’objectif du fantasque patron était avant tout de séduire et recruter de nombreux ingénieurs, chirurgiens, chimistes, spécialistes de la robotique et autres.

La start-up ne compte qu’une centaine de salariés, mais en espère 10 000 aussi vite que possible, pour relever une montagne de défis.

Une puce qui doit être inviolable

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article complet: https://www.lavoixdunord.fr/857684/article/2020-08-29/elon-musk-teste-des-implants-cerebraux-comme-une-montre-connectee-dans-votre

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Neuralink : La présentation complète de la puce cérébrale d'Elon Musk en 14 minutes (traduction disponible)

Michel Onfray: «L’Occident va disparaître»

«L’Occident va disparaître»: Michel Onfray prononce sa sombre prédiction et fournit des explications - vidéo

Invité de l’émission web Thinkerview, le philosophe Michel Onfray a décortiqué de nombreux sujets, dont le déclin occidental. «Nous allons disparaître, l’Occident va disparaître», estime-t-il, ajoutant que «la France en est à un stade de coma et de mort avancé».

Dans un entretien accordé le 17 juillet sur le plateau du think-tank et de la web TV Thinkerview et repéré par Valeurs actuelles, Michel Onfray a prédit la disparition de la civilisation européenne.

«Nous allons disparaître, l’Occident va disparaître. Il n’y a aucune raison pour qu’il puisse continuer à durer», martèle-t-il.

«Le christianisme ne fonctionne plus»

Pour le philosophe, la déchristianisation est l’un des vecteurs du déclin occidental.

«Le christianisme ne fonctionne plus chez les chrétiens: ils ne croient plus au purgatoire, à l’Enfer, à la parousie, à Satan, à l’eucharistie, à la virginité de Marie…», explique-t-il, ajoutant que «tout ce qui était dogmatique, tout ce qui supposait une foi a disparu».

Mais la déchristianisation n’est pas la seule raison du déclin de l’Occident. Selon le philosophe, l’appétence contemporaine pour la déconstruction serait à l’origine du phénomène.

«Nous sommes dans une civilisation de l’épuisement. Nous n’aimons que ce qui nous déteste, tout ce qui nous détruit est [perçu comme, ndlr] formidable», dit-il ajoutant qu’«il y a une passion pour la déconstruction. Il faut détruire la vérité, l’Histoire».

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vidéo de l'interview (pas de son au début):

 

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Rappel: Micheline Calmy-Rey  - «Nous avons besoin d’une gouvernance mondiale»

Archives-27 août 2012

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article complet: https://www.migrosmagazine.ch/archives/nous-avons-besoin-d-une-gouvernance-mondiale