Ils disent « Plus jamais ça » et ils financent le Hamas !

24 janvier 2020 - par

Vissée à l’écran de ma télévision depuis hier matin, j’ai suivi, émue jusqu’aux larmes par moments, par d’autres, enragée et écœurée, la parade de tous ces chefs d’État, ces monarques, ces personnalités venant affirmer tout haut leur sympathie aux victimes et aux rescapés de la Shoah, et leur promesse de « Plus jamais cela ».

Ce n’était pas un rêve, ni un miracle… Ils étaient tous là, fringants, souriants, confiants et très omniprésents.

Oh comme j’aimerais tant y croire ! J’aspire tant à y croire… tout mon être se sent emporté par cette promesse… « plus jamais » LO OD en hébreu.

Puis, je me suis mise à scruter les visages, cherchant à y découvrir quelques bribes de sincérité… à certains moments, j’étais certaine de la véracité de leurs promesses, à d’autres l’image d’un Israël jeté en pâture après la Shoah, entre les griffes rapaces et acérées des Arabo-musulmans au lendemain de la déclaration de 1948 – rétablissant et reconnaissant l’État juif d’Israël sur la terre de leurs ancêtres en Palestine.

D’ailleurs, s’il y a un peuple qui ne fait pas usage d’hypocrisie, il est composé sans doute d’Arabo-musulmans, puisque aucun de leurs représentants n’était présent dans ce défilé de sympathisants, ce défilé d’épouvantails, qui – soit la sincérité y faisait défaut, soit qu’ils soient inconscients des ravages de l’antisémitisme qui se perpétue à ce jour dans leurs pays, au pas de leurs portes.

Comment vous révéler que j’aime beaucoup monsieur Poutine, ce serait peu dire… je l’admire. Comment peut-on être capable d’un côté de démontrer une solidarité avec les Juifs d’Israël au seuil de sa création en 1948 et, depuis, le combattre auprès de ses ennemis  – en Égypte, au Moyen-Orient et à aujourd’hui, en Iran.

Je ne vais pas citer des noms, mais réalisez-vous que la majorité des chefs d’État qui se trouvaient au sein de cette troupe de prétendus sympathisants, il y a encore ceux qui financent le Hamas et la terreur arabo-palestinienne, ceux qui appuient le BDS, ceux qui ont aboli l’étude de la Shoah dans leurs écoles et ceux qui assistent, indolents, à l’assassinat, au meurtre froid et à la destruction des tombes de Juifs dans leurs pays… et cerise sur le gâteau, ceux qui nient toute appartenance aux Juifs des vestiges du peuple juif sur ses terres… le tombeau des Patriarches, le Mur des Lamentations, Jérusalem qui porte en elle le sceau de la présence juive depuis plus de 2 000 ans… la Judée-Samarie qui renferme une archéologie juive depuis la nuit des temps… et encore.

Vous savez, les belles paroles nous émeuvent à des degrés inimaginables, puisque moi, je n’ai pas su comment étancher le flot de larmes qui coulait de mes yeux…

La réalité, la maudite réalité me remet très vite dans l’orbite du perfide jeu de vilains auquel s’adonnent tous ces chefs d’État à l’Onu… sur place, lorsqu’ils sont appelés à condamner Israël pour avoir osé défendre sa population contre les actes de terreur commis envers ses civils…

Assez. Je ne broie pas du noir. Le défilé a été un événement unique en son genre, comme tous ceux que Israël est capable de produire…

Je m’amuse à imaginer, demain, ces chefs d’État, ces monarques, ces personnalités, lancer des lois abolissant toute atteinte de toute sorte à l’État d’Israël et à ses Juifs qui s’étaient, rappelons-le, réfugiés après avoir fui la mort, l’injustice, la discrimination, tant dans une Europe avilie que dans des pays arabes…

Je m’amuse à imaginer ces pays combattre de toutes leurs forces l’antisémitisme et l’antisionisme qui fusent des pores de leurs pays…

Je m’amuse à imaginer des Arabo-musulmans venant de tous les pays du monde s’aligner aux côtés des Juifs et déclarer qu’un crime inimaginable a été perpétré contre eux et que cela ne doit jamais être répété…

Puis je me souviens de la phrase célèbre dans la Genèse : Caïn où est ton frère Abel ? Et je cesse de fantasmer…

Thérèse Zrihen-Dvir

http://theresedvir.com/ (Copier coller sur Google chrome)

https://theresezrihendvir.wordpress.com/

Le Premier ministre pakistanais, Imran Khan, réclame le même respect pour Mahomet que pour les victimes de la Shoah

In western society, holocaust is treated with sensitivity because it gives pain to Jewish community. That’s all we ask, don’t use freedom of speech to cause us pain by insulting our Holy Prophet (PBUH). That’s all we want.

 

Via Fdesouche

A propos des deux Yézidies qui ont reçu le prix Sakharov

   
Michel Garroté - Deux jeunes femmes irakiennes, membres de la communauté yézidie, ont reçu le prix Sakharov pour la liberté de l'esprit, mardi 13 décembre 2016, au Parlement européen. Elles s'appellent Nadia Murad et Lamia Haji Bachar. Toutes deux ont été enlevées et utilisées comme esclaves sexuelles par l'Etat islamique avant de parvenir à s‘échapper. Elles ont appelé à traduire les chefs de l'EI devant la Cour pénale internationale. C'est une très bonne idée : la CPI devrait, en effet, s'occuper, plus souvent, des dictateurs et tortionnaires musulmans, plutôt que de se concentrer essentiellement sur des Africains et des Balkaniques.
-
A ce propos j'aimerais revenir ici sur la vie du père Patrick Desbois, vie qui ressemble à un « long rendez-vous » avec la mémoire, rendez-vous qui l’a mené sur les traces de la Shoah et le conduit à enquêter sur la persécution des Yézidis par le groupe jihadiste Etat islamique (extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page) : Ce prêtre catholique de 61 ans au verbe direct et chaleureux, peu à cheval sur l’étiquette, troque volontiers le col romain pour l’habit civil. Son quotidien n’est pas commun pour un ecclésiastique, avec des séjours répétés dans les camps de réfugiés du Kurdistan irakien. Là, avec un ex-policier rom, Nastasie Costel, il a interviewé 110 rescapés des exactions visant les Yézidis, minorité kurdophone confessant une foi préislamique.
-
Les deux enquêteurs viennent d’en tirer la substance d’un livre, « La Fabrique des terroristes » (Fayard), écho au sort tragique d’hommes assassinés, de femmes réduites à l’esclavage sexuel, d’enfants drogués et enrôlés comme futurs soldats. L’Onu estime qu’environ 3'200 Yézidis restent aux mains de l’EI. Apprenant l’hébreu, sensibilisé à la lutte contre l’antisémitisme, le prêtre devient en 1999 – et jusqu’à l’été dernier – directeur du service de l’Eglise de France pour les relations avec le judaïsme. Cinq ans plus tard, avec la bénédiction du cardinal Lustiger et de responsables juifs, il fonde l’association Yahad In Unum (ensemble, en hébreu comme en latin) pour mieux faire connaître la « Shoah par balles » menée par les Einsatzgruppen nazis en Union soviétique.
-
Depuis, le collectif international, qui compte aujourd’hui 25 collaborateurs (chercheurs, traducteurs, vidéastes…), a répertorié plus de 1'900 sites d’exécutions et filmé près de 5'000 témoignages. « Je pense que le modèle des Einsatzgruppen est le prototype des massacres actuels », dit le père Desbois. « Avec Auschwitz, on croyait que les génocides étaient entrés dans l’ère de la modernité industrielle. Mais qui dit camp dit traces, mémoire, photos. L’archaïsme est redevenu la norme pour échapper à la justice, à la mémoire martyre ». Ainsi de la persécution des Yézidis, que le prêtre a en ligne de mire depuis une rencontre, là encore presque fortuite. Quelques mots échangés dans un salon de Molenbeek (Belgique) avec un jeune barbier issu de cette minorité.
-
Le père Desbois pressent qu’il tient là un nouveau terrain d’enquête, après les tueries de l’Est européen et les massacres au Guatemala. L’EI a appliqué début août 2014 « une méthodologie particulière, disloquant les familles dès l’arrestation », et s’abattant sur femmes, hommes, enfants. « On focalise sur les filles, mais tout le monde est martyr », souligne le père Desbois. Son équipe réunit une matière « disponible pour la justice » internationale. « Nous sommes dans une démarche scientifique. Le père Desbois du début, avec ses petites caméras, c’est fini », assure le prêtre, même s’il dit être resté l’enfant né dans une « famille simple, sans grande théorie », qu’il était.
-
Critiqué hier par certains historiens pour sa méthodologie et sa communication sur la « Shoah par balles », le président de Yahad in Unum ne rejette pas les polémiques : « parfois elles nous aident à être plus précis ». Comment tenir face à des témoignages éprouvants ? « Par la prière et la solitude », répond le père Desbois. Et la contemplation des petites victoires, au contact d’évadés « qui ne sont pas les esclaves » voulus par l’EI, mais des « êtres humains » pleins de dignité (fin des extraits adaptés ; voir lien vers source en bas de page).
-
Introduction et adaptation de Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
-
http://www.ladepeche.fr/article/2016/11/04/2452287-shoah-yezidis-pere-desbois-pretre-combat-memoire.html
-
© 2016 AFP
-

Le patron de Radio Courtoisie conteste la Shoah

   
L'affaire fait beaucoup de bruit en France, depuis des semaines, y compris dans les milieux catholiques conservateurs. En effet, un certain Henry de Lesquen (président de Radio-Courtoisie, une radio parisienne catholique conservatrice, parfois un brin "traditionaliste") a publié des textes sur les réseaux sociaux et sur son site Internet « s'émerveillant de la longévité des rescapés de la Shoah » et évoquant « la musique nègre [qui] s'adresse au cerveau reptilien ». On le voit, Henry de Lesquen le Narcissique, a causé et cause encore énormément de tors aux catholiques français de droite qui, évidemment, sont choqués par ses prises de positions (extraits adaptés ; voir source en bas de page).
-
A noter, dans ce contexte, que Pierre Henri, directeur du pôle communication de l’AGRIF, a récemment fait savoir que "suite aux incessantes injures et diffamations diverses contre l’AGRIF" (une association chrétienne conservatrice qui fait un excellent travail, depuis des années, pour défendre le christianisme et la France) "et son président Bernard Antony par le sieur Henry de Lesquen, président de Radio-Courtoisie, une première plainte a été déposée il y a quelques semaines. Mais devant la gravité des nouvelles injures proférées ce jour, l’avocat de l’AGRIF a  immédiatement fait partir une nouvelle plainte avec constitution de partie civile pour injure publique".
-
Le procès, car il y a bel et bien eu procès, n'avait pas commencé, que l'on en devinait, déjà, sa théâtralité (j'apprends à l'instant -- vendredi 9 décembre 2016 à 11h43... -- que ses propos répugnants valent aujourd'hui à Henry de Lesquen, président de radio Courtoisie et candidat à la présidentielle, de voir requis à son encontre six mois de prison avec sursis et 15.000 euros d'amende). Le prévenu battait lui-même le tambour depuis des jours pour appeler ses soutiens à « venir nombreux » à l'audience, qui s'est déroulée mercredi à 13h30 devant la 17e chambre correctionnelle du tribunal de grande instance de Paris. "La Licra, officine juive communautariste dite antiraciste, me fait un procès politique pour délit d'opinion", ironise-t-il.
-
Thèmes abordés : la musique nègre, le racisme juif, le coefficient de blancheur des équipes de balle au pied. Un appel passé sur son « site officiel de campagne », puisque celui qui comparaît devant la justice est candidat à la présidentielle 2017. Il s'agit d'Henry de Lesquen, haut fonctionnaire de 67 ans, plus connu du monde et de la ville pour être le patron de Radio Courtoisie. Le parquet a mis Henry de Lesquen en cause pour « injure raciale » et « contestation de crime contre l'humanité ».
-
Ce procès en trois actes - il y a trois citations distinctes réunies en une seule audience - visait « le particulier » qu'il est, et, non le dirigeant de la radio, car les propos incriminés n'ont pas été tenus à l'antenne de Radio Courtoisie mais sur ses comptes Twitter et sur son site Internet.
-
Ainsi, le 29 décembre 2015, il twitte « Centrée sur le rythme, la musique nègre s'adresse au cerveau reptilien ». Le 24 janvier 2016 il écrit « C'est le racisme des juifs qui les a conduits au monothéisme quand ils ont privé de leurs dieux les 'Goyim' qu'ils haïssaient ». Des propos qu'Henry de Lesquen maintient aujourd'hui « s'étonnant », dans le premier cas, que « la critique d'art » et, dans le second cas, « une discussion théologique » soient convoquées devant un tribunal.
-
Les autres tweets en cause concernent la Shoah. « Je suis émerveillé de la longévité des 'rescapés de la Shoah'' morts à plus de 90 ans. Ont-ils vécu les horreurs qu'ils ont racontées ? », écrit Henry de Lesquen le 27 avril 2016 pour commenter le décès de Martin Gray. Lequel, selon lui dans un autre tweet, « a tout inventé ». "Quand je dis qu'il a inventé, je ne remets pas en cause l'existence de la Shoah, se défend-il, mais l'imposture avérée du récit 'autobiographique' de Gray, dans 'Au nom de tous les miens', écrit par Max Gallo, car il n'a jamais mis les pieds dans un camp de concentration. Je dis seulement que c'est un affabulateur et que ce n'est peut-être pas le seul".
-
La cour priera aussi Henry de Lesquen de s'expliquer sur cet autre tweet : « La plantureuse Simone Veil, 'rescapée de la Shoah'', qui 'va bien' à 88 ans ». La troisième citation, elle, concerne une salve de tweets de juillet dernier sur la « mélanisation » du sport en général et du football en particulier, « dramatique pour les identités nationales », a tweeté Henry de Lesquen.
-
Ou encore « À cause du cosmopolitisme, le coefficient de blancheur de l'équipe de France de balle au pied est en chute libre », et « comment franciser l'équipe de France de balle au pied ? 1- Expulser les Français de papier. 2- Réprimer le communautarisme ». Toutes ces déclarations ont d'ailleurs entraîné, depuis juin dernier, une crise dans la station de radio Courtoisie. Onze responsables d'émission ont réclamé son départ tandis qu'il dénonce « une cabale » et demeure « candidat à [sa] réélection » à la présidence de la station en 2017. Quant au procès, c'est pour lui « très clair » : « c'est un procès politique pour délit d'opinion, pour imposer une pensée unique qui s'appelle le cosmopolitisme, souligne Henry de Lesquen. Or je suis résistant, et la Licra collabo ». À l'audience, il a cité le Général De Gaulle et dénoncé « un terrorisme intellectuel relayé par un terrorisme judiciaire, qui enfreint la loi sur la liberté d'expression » (fin des extraits adaptés ; voir source en bas de page).
-
Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
-
Source : lefigaro.fr, 7 décembre 2016
-

Chambres à gaz : je suis excédé par la nouvelle affaire Le Pen

Je ne connais pas personnellement Jean-Marie Le Pen ni les raisons du contexte de sa récente déclaration sur les chambres à gaz. Je trouve même que cela a été une faute politique qui a donné immédiatement du grain à moudre à la bienpensance donneuse de leçons. Et cette dernière ne s’est pas privée : propos racistes, élucubrations, propos haineux, éructations, antisémitisme, négationnisme, pétainisme, elle nous a sorti toute la panoplie qui lui est habituelle. Le CRIF est consterné et l’Union des étudiants juifs de France va déposer plainte pour contestation de crimes contre l’humanité.

Et pourtant, si Jean-Marie Le Pen avait raison ?

Les chambres à gaz mises en œuvre par les nazis n’étaient qu’un moyen parmi d’autres pour éliminer au plus vite les ennemis et les indésirables du régime et ce, principalement les juifs. Mais il serait faux de croire que ces derniers étaient les uniques victimes des chambres à gaz. On estime à 6 millions ceux à avoir perdu leur vie par ce moyen.

Il y eut d’autres méthodes. Dans la plupart des cas, les nazis tuaient les détenus au travail par la dénutrition, les mauvaises conditions d’hygiène, l’absence de soins, les mauvais traitements, etc., tous ces facteurs qui faisaient que les prisonniers mouraient à petit feu tout en produisant de manière forcée et jusqu’à leur dernier souffle pour le Grand Reich. Ils furent également des millions, hommes, femmes et enfants, pauvres êtres décharnés, à bout de forces, à ne plus pouvoir se relever, à sentir leur vie s’envoler. Mais là, il semblerait que cette mort n’intéresse pas beaucoup nos moralisateurs.

Mais il y eut bien d’autres morts occasionnés par ce conflit. Ainsi, on estime entre 42 et 50 millions de pertes civiles durant cette guerre et entre 22 et 25 millions de soldats qui ont péri durant cette période (Wikipédia), au total entre 60 et 80 millions de personnes.

Alors, bien sûr, 6 millions de gazés, ce n’est pas rien, c’est même horrible. Mais à bien y réfléchir, était-il plus noble de mourir en quelques secondes dans une chambre à gaz  que les 70 millions d’autres auxquels on a pris la vie, écrasés sous les bombes, brûlés par le phosphore, tués par les obus et les balles, dans les tranchées, au bord des routes, morts de famine et d’épuisement dans les prisons et les camps, jetés dans les fosses communes, brûlés dans leurs maisons, morts de faim, de soif, de frayeur, de blessures, étaient ils seulement des banals détails de l’histoire ?

Et les 26 millions de morts subis par les pays de l’Union soviétique étaient-ils des quantités négligeables par rapport au 6 millions de gazés ?

Sait-on qu’il y eut plus d’un millier d’Oradour-sur-Glane en Russie ? Oui, vous avez bien lu, mille fois plus qu’en France ! Les nazis considéraient les Russes comme des Untermenschen, des sous-hommes, ce n’était nullement le cas pour les Français. Sur ce point, Jean-Marie Le Pen avait aussi raison.

Alors, cessons cette comédie ridicule. Certes, la Shoah a été une chose épouvantable, mais ni plus ni moins que les milliers d’horribles détails qui constituent l’histoire de la Seconde Guerre mondiale. Il n’y a pas de morts meilleurs et plus à plaindre que d’autres. Pourtant, c’est ce qu’on voudrait nous faire croire.

Jean-Louis Burtscher

Via RL

Une marque espagnole vend un pull pour enfant évoquant les camps de la mort.

La marque espagnole a mis en vente un pull pour enfant évoquant les camps de la mort. Il a été retiré mercredi suite à une vague d'indignation.

1983961_pic_970x641 1983933_pic_970x641

Un pull rayé et une étoile à six branches. Pour quiconque a un minimum de culture historique, un tel habit n’est pas sans évoquer une page particulièrement douloureuse de l’histoire, celle de la Shoah. Mais visiblement, chez Zara, on échappe à ce genre de considérations.

Suite