La Suisse se rue partout dans le monde, où l’extrême-gauche sème la guerre, pour y faire son importante et sous prétexte de rétablir le dialogue entre les belligérants et les légitimer à part égale puisque la Suisse est neutre.
Une fois sur place, ses délégués de la bienpensance (CICR, etc) mènent un train de vie très enviable pour les habitants en pleine guerre, ils distribuent de l’aide, font de la pub, directement ou indirectement, pour faire venir en Suisse des « réfugiés » de tous les pays en conflit.
Conflit Tchétchène? La Suisse s’y rue. Conflit entre tutsis et hutus, la Suisse fait son importante. Puis, les médias et les professeurs d’université entrent en scène pour convaincre la population qu’il s’agit là de son affaire. Finalement, à nous la Chaîne du Bonheur et les réfugiés.
Par le biais de certaines ONG, une sorte de symbiose s’est établie entre la Suisse et les idéologies progressistes, marxistes et leurs dérivés. Les révolutionnaires communistes ont pu ainsi entrer par la grande porte chez nous.
Beaucoup d’exemples s’offrent à nous : Cesla Amarelle, Rebecca Ruiz, et bien d’autres sont les enfants de parents gauchistes/révolutionnaires qui, ayant traversés bien des pays, tout aussi sûrs que la Suisse pour y demander asile, ont préféré la gamelle helvétique.
Cette Suisse neutre a également offert l’asile à beaucoup de communistes corrompus des pays de l’Est durant une vingtaine d’années avant la chute du communisme. Les vrais réfugiés de l’Est savaient que ceux qui « fuyaient » leur pays en emportant leurs biens n’étaient que des opportunistes de ces pays. Durant le communisme, personne ne pouvait traverser la frontière avec ses biens, et surtout pas en voiture, si l’État communiste n’avait pas donné sa permission. Beaucoup de ces, subitement, anti-communistes sont devenus des militants, enseignants, politicards, journalistes et intellectuels en vue.
Une fois en Suisse, cette espèce de réfugiés se retrouvait toujours au bon endroit pour affirmer, au bon moment, que l’esprit du socialisme était juste, et que ce qu’ils avaient vécu à l’Est n’était pas le vrai socialisme.
L'exemple de Sri Lanka, pays d'origine de Ganga Jey Aratnam:
Le CICR était aussi présent dans le conflit entre tamouls et cingalais et, en même temps, la Suisse a ouvert ses bras, tradition humanitaire oblige, aux réfugiés tigres. En majorité, il s’agissait de faux réfugiés, provenant d’un endroit économiquement et sanitairement sinistré. Un endroit sans électricité, où les chiens enragés remplissaient les rues et où tout était en décomposition depuis le départ des Cingalais.
Une fois arrivés en Suisse, les réfugiés économiques étaient dominés par les réfugiés tigres, ces réfugiés de la « Lutte finale ». Cela surtout dans les communautés très fermées comme celle des Tamouls.
Au Sri Lanka, les soldats cingalais capturés par des révolutionnaires tigres étaient torturés avec une cruauté surréaliste.
Ces tamouls en Suisse avaient participé à une vraie révolution communiste, comme ceux qui avaient dévasté l’Amérique centrale et du Sud, ou l’Afrique. Ces jeunes totalement endoctrinés n’avaient rien appris d’autre que la haine. La Suisse en a accueilli plus que de raison.
L’argent économisé en Suisse par ces réfugiés tamouls était envoyé à Jaffna, il y aidait à financer la révolution. Révolution qui a pu survivre durant des années et maintenir la population dans la terreur.
Très probablement, contrairement aux croyances de la bienpensance, en essayant d’établir le dialogue entre les protagonistes, le CICR a fait plus de mal que de bien.
Si ces ONG disparaissaient à temps, cela pourrait, peut-être, encore sauver la Suisse, car rompre ce maillon important "d'enchainement" de la Suisse à la révolution néo-communiste en cours pourrait entrainer la chute du reste.
Sinon, la Suisse ne s’en sortira pas vivante, son désir de plaire l’enterrera.
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Nos communistes de salon, qui peuplent nos ONG sont en lien étroit avec nos professeurs en tiers-mondisme et multiculturalisme.
Un exemple illustre est donné par Mme Caroline Abu Sa-Da, la réfugiée palestinienne qui a dirigé SOS Méditerranée.
Dr Caroline Abu-Sa-da : Titulaire d’un doctorat en science politique et dirige l’Unité de Recherche sur les Enjeux et Pratiques Humanitaires (UREPH) au sein de Médecins Sans Frontières (MSF) Suisse.
Cesla Amarelle: Assistante diplômée à la Chaire de droit constitutionnel européen de l'Université de Lausanne (1996-1999). Première assistante à l'Université de Lausanne (1999-2001). Chercheure FNS (2003-2005) en droit européen et droit international économique (2004). Chargée de cours à l'Université de Fribourg pour la Chaire de droit international public et de droit européen (2008-2009). Professeure assistante à l'Université de Neuchâtel (2009-2015). Professeure ordinaire à l'Université de Neuchâtel (de janvier 2016 au 30 juin 2017).
D'autres figures comme les sociologues, à la Ganga Jey Aratnam, qui demandent aux Suisses de s'adapter à la diversité sont du même tonneau.
En Suisse, pour chaque université disposant d’une faculté en sciences humaines, avoir quelques professeurs en « tiers-mondisme » est devenu un must incontournable.
Voici une autre professeure qui collabore avec Ganga Jey Aratnam, Biglin Ayata.
"FeminisTische" Avec Ganga Jey Aratnam et Bilgin Ayata
programme du 14. Juni 2018
Bilgin Ayata est professeur assistant de sociologie politique à l'Université de Bâle et mène des recherches sur des sujets tels que le racisme, la fuite, le post-colonialisme et la migration.
À qui donne-t-on une visibilité et le droit de s'exprimer en Suisse ?
Quelles voix entendons-nous lorsque nous allumons la télévision ou que nous suivons des débats politiques ?
Qui est autorisé à s'exprimer sur quoi et quelles sont les opinions cachées ?
Qui est dans notre société et qui ne l'est pas ?
Qui a le droit de s'exprimer dans la Suisse démocratique et qui ne l'a pas ?
Ces questions et d'autres seront abordées dans la série d'événements FeminisTisch de cette année. (Table ronde féministe) Dans le cadre d'un cycle de discussion ouvert, les parties intéressées auront l'occasion d'échanger leurs points de vue avec des experts, des chercheurs et des politiciens sur ces sujets et de trouver des solutions possibles.
[...]
La sociologue Ganga Jey Aratnam montrera comment, dans l'hypermultiplicité de la Suisse, les migrants font l'expérience de la représentation - mais ne se représentent pas eux-mêmes.
Le chercheur en sciences sociales nous donne un aperçu passionnant des résultats de ses recherches, par exemple sur le surclassement et le sous-classement des Suisses par le biais de la migration.
Le 21 septembre, nous passerons de la théorie à la pratique : avec le professeur Dr Bilgin Ayata, nous discuterons de la manière de rendre les groupes discriminés plus visibles, de sensibiliser la société majoritaire et de renforcer les réoccupations des minorités.
source: https://www.lucify.ch/event/feministische-2018-mit-ganga-jey-aratnam-und-bilgin-ayata/
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Nous avons déboulonné le christianisme et élus les Professeur en science de l'"inassimilation", pour donner de nouveaux fondements moraux à nos sociétés. Qui sont ces Professeurs en Étrangers inassimilables qui veulent nous assimiler à eux?
Ces Prof. en multiculturalisme sont des "réfugiés" en Occident provenant de pays et de civilisations très différentes (Turquie, Sri Lanka, ...) mais ils se reconnaissent de la "même famille". Leur identité de gauchiste non-blanc les rend inassimilable pour leur pays d'adoption qui leur a plus donné que ce qu'ils n'auraient jamais pu rêver.
Leurs origines culturelles sont exacerbées par les idées émanant du marxisme culturel et le rejet et la haine de ce que sont les fondements de notre civilisation. Bien que, par ailleurs, les libertés prônées par notre civilisation chrétienne semblent attrayantes, ces deux forces contradictoires d'attirance et de rejet engendrent des êtres inadaptables condamnés à rester dans une situation inextricable dont ils ont trouvés les moyens d'en vivre sur le dos des contribuables.
Cette attraction fatale amène un double bind, ou contrainte double* insoluble.
Les liens cultivés avec les valeurs de leurs pays d'origine, liées aux idéologies marxistes nous rendent inatteignables pour ces gens.
Inatteignables, car pour s'assimiler, devenir un "étranger comme Zemmour", il faudrait renier le marxisme et leurs propres origines dont ils font leur gagne-pain, leurs raisons de vivre et d’exister.
*[Une double contrainte (de l'anglais double bind) est une situation dans laquelle une personne est soumise à deux contraintes ou pressions contradictoires ou incompatibles.]
Ces deux professeurs sont la démonstration même que d'être de gauche et cultiver ses origines étrangères sont totalement antinomiques avec une identité suisse.
Tous ces postes d’enseignement, de recherche, d'expert,... procèdent de l’asile business au sens large. Toute leur vie n'est que "gesticulations" mais malheureusement, ces gesticulations ont un coût, tant financier, culturel, que moral.
Au niveau financier, les professeurs Ayata et Ganga Jey Aratnam, et les équipes qui les forment et les accompagnent durant toutes leurs vies, coûtent des millions au contribuables bien que tout ce beau monde ne fasse que brasser de l’air.
Au niveau culturel et moral, les professeurs Ayata et Ganga Jey Aratnam et les équipes qui les forment et les accompagnent durant toutes leurs vies, pervertissent les manières de penser des personnes en contact avec eux-mêmes ou leurs diverses productions… ce qui est probablement le pire des préjudices occasionné par ces parasites.
Ces idéologues finissent par corrompre toutes nos institutions, l'enseignement, les médias, tout le système social et judiciaire, les églises, les partis politiques, la liberté de paroles muselée par le politiquement correct, ...
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Prof. Dr. Bilgin Ayata
Le professeur Bilgin Ayata a rejoint le département en août 2015. Elle a obtenu son doctorat en sciences politiques à l'université Johns Hopkins
(Ndlr: Baltimore, États-Unis, ville dirigée par les Démocrates depuis 25 ans et se déclare comme Sanctuary city) Bilgin Ayata a obtenu sa maîtrise à l'université York (Toronto, Canada).
Ses recherches portent sur les processus de transformation sociopolitique, en particulier sur les migrations, les mouvements de protestation, la religion, l'affect et les émotions, le transnationalisme, la mémoire, les interventions intersectionnelles et postcoloniales.
Son expertise régionale comprend l'Europe et la région MENA. Elle a publié de nombreux ouvrages sur les migrations et les déplacements, les diasporas, le déni et la mémoire, l'affect et les émotions, la mobilisation et la citoyenneté.
Elle mène actuellement trois projets de recherche : Financé par le Fonds national suisse de la recherche scientifique (FNS), le projet de recherche "Citoyenneté affective" : Religion, migration et appartenance en Europe explore la relation entre l'incorporation religieuse et l'appartenance avec une étude comparative sur les communautés sunnites et alevies qui ont migré de Turquie vers l'Europe.
Le deuxième projet de recherche "Infrastructure space and the future of Migration Management" : The EU Hotspots in the Mediterranean Borderscape est financé par le Réseau suisse d'études internationales (SNIS) et mène une exploration comparative, interdisciplinaire et multi-sites de l'infrastructure du contrôle des migrations dans le contexte de la nouvelle approche des points chauds de l'UE.
Le troisième projet de recherche "La dynamique affective de la participation politique" est basé à Berlin, où l'Ayata est membre associé et partenaire de coopération internationale du groupe de recherche1171 Sociétés affectives de la Freie Universität Berlin. De l'automne 2019 à l'été 2020, Ayata sera membre du DFG Mercator-Fellow basé au SFB 1171.
Bilgin Ayata a reçu des bourses de recherche du Fonds national suisse de la recherche scientifique (FNS), du Réseau suisse d'études internationales (SNIS), de la Deutsche Forschungsgemeinschaft (DFG), de la Fondation MacArthur, de l'Office allemand d'échanges universitaires, de la Friedrich-Ebert Stiftung, de la FU Berlin, de la Johns Hopkins University et de la York University.
En juillet 2014, elle a reçu le prix Lorbär pour l'excellence dans l'enseignement de l'Institut Otto-Suhr, FU Berlin et a été nominée pour le prix d'excellence dans l'enseignement de l'Université de Bâle en 2017. Elle est membre associé du corps professoral d'EIKONES, de Critical Urbanisms et du Center for Gender Studies.
En plus de ses activités de recherche et d'enseignement, Ayata a organisé de nombreux événements visant à accroître la visibilité de la recherche en sciences sociales dans le public.
Au printemps 2019, elle a supervisé et co-organisé l'exposition Çok Basel - Transnational Memoryscapes Switzerland-Turkey qui présente des histoires de migration de la Turquie vers Bâle.
Le travail exposé est le résultat et l'expression d'un dialogue transnational comprenant des projets vidéo et audio développés par les étudiants de son séminaire Migration et Mémoire qui a eu lieu au cours du semestre d'automne 2018 à l'Université de Bâle.
À l'occasion de l'exposition de Martha Rosler et Hito Steyerl au Kunstmuseum Basel pendant le semestre d'automne, le professeur Dr. Bilgin Ayata a co-organisé la série de conférences publiques The Art of Intervention visant à explorer l'impact radical et la potentialité de l'art et de la culture en conjonction avec la pensée critique et la mobilisation politique.
À l'automne 2016, elle a co-organisé la série de conférences publiques Topographies de déplacement et de résistance au lendemain de l'été de la migration en 2015. La série de conférences enregistrées est incluse dans le portail d'éducation électronique de l'Université de Bâle.
Plus récemment, le théâtre Maxime Gorki de Berlin a consacré le 4e Herbstsalon en 2019 au concept d'Ayata sur la déshumanisation. [Maxim Gorki est considéré comme un des fondateurs du réalisme socialiste en littérature et fut un homme engagé politiquement et intellectuellement aux côtés des révolutionnaires bolcheviques.]
source: https://dgw.philhist.unibas.ch/de/forschung/professuren/bilgin-ayata/
Sociologie politique
Ndlr: Le fait qu'il existe un théâtre Maxim Gorki à Berlin, trente ans après la chute du Mur de Berlin, est aussi alarmant que le financement des professeurs en bolchévisme pour corrompre le mental de la jeunesse dans nos universités.
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[…] «Pour une immigration modérée» - c'est le nom de l'initiative qui sera présentée à la population en septembre. Si la réponse était oui, le Conseil fédéral aurait un an pour négocier la fin de la libre circulation des personnes avec l'UE. Dans une interview accordée au «journal du dimanche» , le sociologue Ganga Jey Aratnam affirme que l'immigration ne peut plus être ralentie - même pas avec de nouvelles lois. Les droits de l'homme, l'intégration en Europe et la structure économique y font obstacle. «Aujourd'hui, nous sommes trop étroitement liés et intégrés». […]
Source : https://lesobservateurs.ch/2020/08/21/ganga-jey-aratnam-sociologue-les-suisses-devraient-suivre-des-cours-dintegration-pour-comprendre-les-etrangers/
[…] Le sociologue Ganga Jey Aratnam n'est pas un provocateur, mais un homme de faits et de chiffres. Lorsqu'il a émigré du Sri Lanka en Suisse il y a 23 ans, il a appris l'allemand en trois mois. Pendant 12 ans, il a enseigné la sociologie à l'université de Bâle.
Il souhaite que la Suisse puisse célébrer son "hypervariété" de manière plus détendue : "Mais je voudrais aussi mentionner que la Suisse gère comparativement bien cette diversité, qu'il y a étonnamment peu de problèmes". […]
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"Il est important de dire les problèmes à voix haute" : Ganga Jey Aratnam à Zurich.
par Sebastian Magnani
Au Sri Lanka, il a été le détenteur de records d'athlétisme sur 800 et 1500 mètres. Même aujourd'hui, Ganga Jey Aratnam est toujours aussi rapide comme l'éclair - surtout dans ses pensées. Le sociologue, qui vit en Suisse depuis 25 ans, a tous les faits et chiffres sur l'immigration en Suisse à portée de main. Toujours élégamment vêtu, il se révèle dans la conversation un débatteur humoristique et intelligent qui identifie aussi clairement les côtés sombres de la migration. Après tout, il connaît le sujet non seulement par la théorie mais aussi par sa propre expérience.
- Lorsque vous êtes à l'étranger et que vous expliquez la migration en Suisse, que dites-vous ?
GJA: Que la Suisse est le pays le plus diversifié d'Europe - à l'exception du Luxembourg, qui, en termes de population, n'est même pas la moitié de la taille du canton de Zurich. Mais je voudrais aussi mentionner que la Suisse gère comparativement bien cette diversité, qu'il y a étonnamment peu de problèmes.
En Suisse, il n'y a pas de ghettos comme en France, ni de maisons en feu pour les demandeurs d'asile comme en Allemagne de l'Est. Et cela malgré plus d'un million d'immigrants rien qu'au cours des quinze dernières années. Pourquoi ?
Le fédéralisme aide, surtout dans le domaine de l'asile. Les demandeurs d'asile sont répartis de manière aléatoire entre les cantons. Vous ne pouvez pas dire : "Mon oncle vit dans le canton de Thurgovie, je veux y aller aussi". Il en résulte une dispersion, qui empêche la ghettoïsation et favorise la diversité. Mais il n'a pas toujours été aussi beau qu'il l'est aujourd'hui.
- Qu'en pensez-vous ?
GJA: À la fin des années 1980 et au début des années 1990, plusieurs attaques et meurtres à caractère xénophobe ont été commis en Suisse. À l'époque, le parti démocrate suisse (SD) était encore au Parlement, un parti qui polémiquait ouvertement contre les réfugiés. Le tabloïd "Blick" a mené une campagne contre les Tamouls. Mais cela est passé. Toute personne qui s'exprime contre la diversité en Suisse n'a généralement qu'un succès à court terme, au mieux. Même un Christoph Blocher a offert sa main en 1994 pour la création de la loi antiraciste.
La Suisse n'est pas perçue de manière aussi positive partout.
En effet, de nombreuses personnes à l'étranger pensent que le racisme est très répandu en Suisse et qu'il rend la vie difficile aux femmes migrantes.
L'acceptation de l'initiative sur les minarets est souvent mentionnée comme preuve. Je dois ensuite expliquer que les minarets en Suisse ne sont guère pertinents pour la pratique de la foi. Il s'agissait plutôt d'un discours islamophobe. Le vote avait une certaine fonction de soupape. Ces référendums permettent d'aborder des problèmes et de tenir des débats politiques qui sont réprimés ailleurs et qui mènent ensuite à la violence. L'initiative de limitation a également pour fonction de relâcher la pression. Mais même cela ne freinera pas, en fait, l'immigration.
- La suppression de la libre circulation des personnes serait-elle inefficace ?
GJA: Après la Seconde Guerre mondiale, nous avons choisi la voie de la migration et avons ainsi atteint la prospérité. Une autre voie aurait été possible, le Japon, par exemple, a atteint une grande prospérité sans migration. Mais ce n'est pas ce que la Suisse voulait.
Il faut savoir : La voie migratoire suisse est une voie à sens unique, il n'y a pas de retour en arrière.
- Il n'y a pas de retour en arrière, mais on pourrait ralentir la migration?
GJA: Non. Je prendrai comme exemple l'initiative Schwarzenbach de 1970, qui voulait également freiner l'immigration. Même certains partis cantonaux et syndicalistes du PS ont soutenu l'initiative afin de protéger les travailleurs indigènes. Néanmoins, l'initiative a été rejetée. Bien que des quotas aient été imposés, le regroupement et l'installation des familles ont augmenté. Une fois la diversité atteinte, on ne peut plus l'arrêter.
source: https://www.tagesanzeiger.ch/es-sollte-integrationskurse-fuer-schweizer-geben-646210628393
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Ganga Jey Aratnam à Davos:
[...] La commission Fédérale contre le racisme cite en exemple Jaya…..
3 Recommandations de la CFR visant à promouvoir l’égalité des chances et prévenir la discrimination des personnes hautement qualifiées issues de la migration [...]
Source: https://neu.schauspielhaus.ch/en/archiv/15557/davos-state-of-the-world-weltzustand-davos-state-4
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Image en avant: Ganga Jey Aratnam au Forum de Davos entre deux femmes portant les masques d'Arafat et Yitzak Rabin.
Commentaires, résumés, traductions: Cenator