Alors là, chapeau bas @LaurenceFerrari pic.twitter.com/j99nOYcAin
— VERITY France (@verity_france) July 10, 2023
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RTS – Pap Ndiaye: “La Suisse ne peut pas s’exonérer d’une histoire qui a des liens avec le vaste monde colonial”
Il y a quelques jours, le "New York Times" qualifiait Pap Ndiaye (lire encadré) de "Quiet Revolutionary", le révolutionnaire tranquille. A 55 ans, il a été nommé par Emmanuel Macron en février à la tête du Palais de la Porte Dorée, qui héberge le Musée national de l’histoire de l’immigration et un aquarium tropical, à Paris.
"Loin de ces polémiques politiques, un musée de l'histoire de l'immigration présente plutôt cette question dans une longue perspective historique depuis le XVIIIe siècle, en ce qui nous concerne. Le travail des scientifiques et des historiens nous permet de prendre la bonne distance par rapport à des questions qui sont souvent mal traitées dans la vie publique."
Selon lui, la Suisse "ne peut pas s’exonérer d’une histoire qui a des liens avec le vaste monde colonial", qui se déploie à partir du XVIe siècle: "La Suisse n’a pas de passé colonial, au sens où elle n’a pas eu d’empire, mais tous les pays d’Europe ont été liés à l’histoire coloniale des Européens par des relations commerciales ou des investissements de marchands suisses, y compris dans la traite transatlantique."
>> Relire: Suisse et colonialisme, les luttes antiracistes réaniment le débat
Question sur la statuaire publique
Faut-il déboulonner les statues liées à l'esclavagisme dans les villes? Entre déboulonner ou garder, le débat est "un peu simple", selon Pap Ndiaye. Il prend l'exemple de la statue du général Lee, partisan de l’esclavage dans le sud des Etats-Unis, à Richmont, en Virginie.
>> Relire aussi: D'emblématiques déboulonnements de statues par les antiracistes
"On peut imaginer un entre-deux qui consiste à conserver la statue, mais à l’accompagner de dispositifs qui détournent le sens originel. Il ne s’agit plus de glorifier un partisan de l’esclavage - ce serait ridicule - mais de montrer que ce général a joué un rôle néfaste dans l’histoire du pays. La présence même de cette statue a plus d’intérêts mémoriels aujourd’hui que sa disparition pure et simple", juge-t-il.
La présence même de cette statue a plus d’intérêts mémoriels aujourd’hui que sa disparition pure et simple
Selon lui, les artistes contemporains pourraient être sollicités pour imaginer ces dispositifs, comme l'a spontanément fait Banksy pour la statue d'Edward Colston à Bristol, au Royaume-Uni. "Il y a énormément de choses plus créatives et plus intéressantes à explorer que la simple alternative entre le boulonnage et le déboulonnage."
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Cenator: Ce même jour, Forum (émission la plus écoutée en Suisse romande) organise un "débat" pour savoir comment la Suisse devrait décoloniser ses musées.
Faut-il changer le nom du Musée d'ethnographie: supprimer seulement le mot honteux d'"ethnographie", ou supprimer même le nom musée ?
L'ethnologue Isabelle Raboud-Schuele déplore que les tentatives pour supprimer le mot musée aient chaque fois échoué car les gueux, malgré les efforts décoloniaux, ont continué à utiliser ce mot.
Selon ces personnes au pouvoir, ce genre de préoccupation devrait devenir un des soucis majeur permettant d'expier et d'effacer nos souillures ancestrales – nous devrions "décoloniser nos musées".
Ces musées, au nombre de plus de 1100, vivant de la manne publique, semblent ignorer qu'un public informé préférerait probablement fermer certains de ces musées plutôt que d'avoir à financer les conséquences de tels débats byzantins, débats odieux en cette période de Covid, mortifère pour tant de petits indépendants.
Les participants à cette l'émission:
Boris Wastiau est directeur du Musée d'ethnographie de Genève depuis février 2009. Il est également professeur titulaire à l'Université de Genève. Né en Belgique, il a fait ses études à l'Université libre de Bruxelles, à l'Université de Coimbra et à l'Université d'East Anglia. Wikipédia
RTS: Isabelle Raboud-Schuele - une enfance protestante à Crans-Montana
Isabelle Raboud-Schuele est ethnologue, aujourdʹhui directrice du Musée gruérien de Bulle. Femme d'action et de recherche, entreprenante, elle suit un parcours immergé dans les questions de patrimoine, de patois, de musées, de traditions régionales. La pomme nʹest pas tombée loin de lʹarbre puisque ses parents étaient de célèbres dialectologues. Elle a créé le Musée de la vigne et du vin à Sierre-Salquenen, puis a été conservatrice à lʹAlimentarium de Vevey.
Depuis 2006, au Musée gruérien de Bulle, elle renoue avec un domaine familier lié aux questions agricoles, alimentaires, patrimoniales et rurales, mais avec la même la conscience de "n'être pas d'ici", celle quʹavait sa famille en Valais. Cela signifie observer, mais avec un respect et une distance en plus, car un peu extérieure quand même.
De cette expérience de distance-différence, elle a gardé une forte sensation d'être bien d'ici mais sans être liée par des racines verticales, plutôt de manière flottante et dynamique.
Dʹaprès ce que sa mère lui a raconté, le premier mot prononcé par Isabelle Raboud-Schuele aurait été "trax". La station est en effet en plein essor dans ces années 1960. Ce goût pour lʹobservation sʹaffirme très vite et sera plus tard au cœur de sa formation ethnologue. Être une enfant protestante dans une région majoritairement catholique, ça laisse aussi des empreintes, impression de ne pas appartenir à des racines liées à un terroir, à une famille. Ces réflexions vont traverser toute existence dʹIsabelle Raboud-Schuele et vont forger son identité.
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Autres émissions récentes à la RTS avec Pap Ndiaye:
L'invité-e de La Matinale (en vidéo)L'invité de La Matinale (vidéo) - Pap Ndiaye, historien français et nouveau directeur du Palais de la Porte Dorée 25.03.2021 07:33 Vidéo, 11 min
La MatinaleL'invité de La Matinale - Pap Ndiaye, historien français et nouveau directeur du Palais de la Porte Dorée
19h30Pap Ndiaye: "La paix civile est menacée aux Etats-Unis, ce pays où la Constitution dit peu de choses sur les élections"
ForumFlambée des émeutes raciales à Minneapolis: interview de l'historien Pap Ndiaye
ForumFlambée des émeutes raciales à Minneapolis: interview de l'historien Pap Ndiaye
Tout un mondeUn film rétrospectif sur les évènements de 1967 à Détroit (USA): interview de l'historien Pap Ndiaye
Le Journal du matinPap Ndiaye, historien spécialiste de l'Amérique du Nord
Le Journal du matinL'invité de la rédaction - Pap Ndiaye
Le Journal du matinPap Ndiaye, historien des Etats-Unis
Cette conception est elle aussi raciste .
Pap Ndiaye, qui a fait une carrière fulgurante, probablement grâce à la discrimination positive et à son orientation politique, semble ignorer que c'est l'histoire même de l'humanité qui est faite de conquêtes; que c'est l'homme Blanc qui a aboli l'esclavage (alors que cette pratique préexistait en Afrique avant l’arrivée des Blancs) et que le peuple suisse n'a jamais eu de colonies.
Par ailleurs, de nombreux Blancs ont œuvré bénévolement en Afrique pour y apporter une amélioration fantastique de la qualité de vie dont la démographie galopante de l’Afrique d’aujourd’hui en témoigne.
Mais rien de tout cela n’a d’importance, le fait que des Blancs aient existé durant la période coloniale est un crime en soi.
Ce monsieur oublie également de relever que ce sont des Noirs africains qui vendaient, aux trafiquants d’esclaves œuvrant pour chacune des traites négrières, des pauvres hères noirs destinés à un futur d’esclaves à vie.
Il omet également de relever que durant la période coloniale, bien des pays africains allaient mieux qu'après le départ des Blancs.
Pap Ndiaye et consorts s'attaquent au peuple suisse, qui est maladivement disposé à se laisser culpabiliser pour tous les malheurs du monde.
Ces attaques culpabilisantes incessantes contre des Suisses auraient-elles un but non formulé ?
Serviraient-elles à détourner les regards des Suisses de l’assujettissement bien réel qu’ils subissent en devant financer les multiples assistance, les frais de justice et pénitencier que certaines populations, en situation régulière ou non, occasionnent aux contribuables, pour le coup vraiment réduit en « esclavage fiscal» ?
Par ailleurs, actuellement, c'est la Chine qui "colonise" à sa manière l'Afrique. Mais là, Pap Ndiaye n'a rien à redire, ni sur les conditions de travail dans les mines chinoises en Afrique ni sur le pillage bien réel effectué par des Chinois. Mais c’est bien normal, car, hormis les Blancs, il n'y a pas de peuple au monde qui soit « culpabilisable » au point de verser de l'argent pour dédommager des victimes imaginaires.
Via la culpabilisation et la désinformation, le peuple suisse est devenu une vache à lait pour la terre entière.
Merci la gauche, merci aux très nombreux 'journalistes marionnettes', conscients ou non de cette supercherie qui vise le contrôle mental sur la population.
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Autres exemple de séries sur notre passé colonial imaginaire:
Le Temps: La Suisse coloniale
- La Suisse est un pays sans colonies, mais qui a participé à l'entreprise coloniale.
Cette histoire méconnue émerge timidement. En 2020, la prise de conscience de ce passé s'est accélérée suite au renouveau du mouvement anti-raciste à travers le monde.
Plongée dans cette histoire helvétique en cinq volets:
La Suisse coloniale (5/5)
-Quand Saint-Maurice l’africaine organisait un bal nègre
Publié 07.01.2021 - 16:03Modifié 12.01.2021 - 10:58Alors que l’histoire de la cité rempart du Valais a forgé son identité autour de la figure d’un saint patron du continent noir, elle fut pendant près de quatre décennies le lieu d’une drôle de manifestation
Les adeptes du marxisme culturel et leurs médias ont-ils tendance à cracher sur la Suisse et son passé? 05.08.2020
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lemuslimpost.com - Suisse : prendre conscience des liens entre colonisation et racisme anti-Noirs
Dans un rapport, la Commission fédérale suisse contre le racisme estime que la Suisse a peu conscience des liens entre son histoire coloniale et le racisme.
Les émeutes et pillages de Minneapolis, réinterprétés par un professeur de Sciences Po Paris
RTS/Forum, 29.05.2020
Flambée des émeutes raciales à Minneapolis: interview de l'historien Pap Ndiaye
Cenator : Sur les émeutes de Minneapolis, après la mort d’un Noir imputée à une contention inadéquate par un policier blanc, nous ne trouvons qu’une seule et unique approche dans les médias romands.
Pour servir la soupe, Renaud Malik tape dans le catalogue de la RTS pour dénicher le Noir de service qui va répondre à chaque question selon les attentes du plus puissant parti de Suisse : Pap Ndiaye, professeur à Sciences Po, Paris, spécialiste de l’Amérique du Nord.
Résumé de l’interview:
Pap Ndiaye : Le contexte de cette bavure policière est aggravé par le fait que 23'000 Africains-Américains sont morts du Covid, sur 100'000 Américains. On sait aussi le poids des conditions sociales des Africains-Américains et l’indifférence du gouvernement fédéral. En plus, Trump, ce n’est pas Obama, déplore le professeur.
L’insistance de Pap Ndiaye, tout au long de l’interview, à rebaptiser les Noirs « Africains-Américains » en dit long sur ce spécimen.
Renaud Malik déroule le tapis rouge à son invité :
C’est de nouveau une bavure policière qui a mis le feu aux poudres : est-ce qu’il y a un problème au nouveau des pratiques des forces de l’ordre ?
Pap Ndiaye : Il y a une très longue série de violences policières, déjà dénoncées dans les années 60 par Martin Luther King.
Les policiers s’attaquent ou agressent en particulier les minorités et surtout les Africains-Américains. Trois Américains sont tués chaque jour par la police, pas toujours pour des motifs illégitimes, mais la part des Africains-Américains est très élevée. Cela dure pratiquement depuis un siècle aux États-Unis.
Renaud Malik : Certains expliquent que Trump a jeté de l’huile sur le feu avec ses tweets. Mais à l’époque d’Obama, les tensions sociales étaient déjà très fortes ?
Pap Ndiaye rappelle le décès d’un Noir en 2014 à Ferguson, mais Obama avait alors réuni les chefs de la police, contrairement à Trump qui a tweeté qu’il fallait tirer sur les émeutiers. C’est quelque chose de singulier dans la parole d’un président, qui, loin de calmer, tend plutôt à exciter.
Le degré de malhonnêteté de Pap Ndiaye dépasse tout entendement. En écoutant son discours victimaire, sans un mot du fait que la majorité des crimes sont commis par des Noirs depuis des décennies, nous sommes en face de la propagande la plus crasse et mensongère qu’on puisse inventer. Même à la CNN, une émission si biaisée ne passerait pas.
Trump a mis une limite à ces émeutes en écrivant qu’en cas de pillages, la police devrait tirer. En effet, imposer une limite au déchaînement de barbarie déclenché sous prétexte de révolte raciale légitime est d’autant plus justifié que la pandémie aggrave les tensions, comme l’invité l’explique lui-même, et que les violences font beaucoup de victimes collatérales.
Et bien sûr, Pap Ndiaye parle de Charlottesville et des mots « compréhensifs » de Trump pour les « néo-nazis », lorsqu’il avait renvoyé dos à dos Antifas et souverainistes, événements que Pap Ndiaye transforme en lutte des justes contre la discrimination raciale des néo-nazis.
Trump aurait même démantelé le ministère de la Justice après Obama, tout est à l’arrêt depuis, et OBJECTIVEMENT il y a des reculs très nets.
Mais qui douterait un seconde de l’objectivité de la RTS et son invité, le professeur de Paris, Pap Ndiaye ?
Et Pap Ndiaye continue : Trump s’en moque, il a fait une croix depuis longtemps sur l’électorat africain-américain.
Renaud Malik : On se souvient de Black Lives Matter, mouvement PACIFIQUE (en réalité, ils se sont recyclés en Antifas) qui avait émergé à l’époque d’Obama. Il en reste quoi aujourd’hui ?
Pap Ndiaye : Depuis Trump, le mouvement a décliné, car il n’a plus d’interlocuteur à la Maison Blanche. En plus, Trump soutient les policiers lorsqu’ils sont incriminés.
Minneapolis est dirigée par les Démocrates, c’est une ville libérale, c’est-à-dire de gauche. Donc on ne s’attendrait pas à ce que ce genre d’événements y survienne. Mais c’est représentatif d’une situation générale aux États-Unis. Les policiers sont armés avec d’anciens rebuts des guerres menées en Asie. Ils n’ont pas significativement changé leurs pratiques qui demeurent des pratiques très violentes. A Minneapolis, comme partout aux États-Unis, la situation est dégradée, très tendue, en ce qui concerne les relations entre la police et les Africains-Américains.
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Cenator : La meute journalistique romande est en campagne électorale contre Trump : le tweet prétendument raciste du président le rendrait responsable des émeutes de Minneapolis.
La désinformation dans la totalité des médias en Suisse romande bat son plein dès qu’un sujet touche le vivre ensemble. La propagande victimaire de gauche est déversée à flots, en escamotant la réalité de la criminalité des Noirs en Amérique et en culpabilisant les Blancs, forcément racistes s’ils ne sont pas de gauche. Le rouleau compresseur enfonce le message dans le crâne de la population, appuyée par des fausses statistiques et des affirmations mensongères, sans qu’aucune opinion tant soit peu divergente puisse se faire entendre.
C'est encore la même partition que les médias nous jouent: tout est de la faute des Blancs qui ne sont pas de gauche, tout est de la faute de Trump, ... mais nous n’entendrons JAMAIS que ces événements tragiques à répétition sont l'expression de la plus grande catastrophe de notre civilisation, à savoir le multiculturalisme qui entraîne partout la déchéance.
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Jean-Cosme Delaloye, un de ces journalistes, montre l’exemple. Il est correspondant aux États-Unis pour la Tribune de Genève, 24 heures et la Radio Suisse romande. Il commente la mort de George Floyd dans 24 heures : «Je ne peux pas respirer» - Noir américain mort le cou écrasé par le genou d’un policier.
«Je ne peux pas respirer». Depuis le début de la pandémie de coronavirus, l’Amérique blanche dont je fais partie vit avec cette phrase terrifiante dans un coin de sa tête. Pour elle, ces quelques mots évoquent le virus qui attaque le système respiratoire […]
[…] La liste de Noirs tués par des Blancs en raison de leur couleur de peau aux États-Unis, est longue et s’est encore rallongée en février avec le meurtre d’Ahmaud Arbery en Géorgie.
[…] Les relations raciales étaient loin d’être parfaites sous la présidence de Barack Obama. Mais à l’époque de la mort de Trayvon Martin, l’Amérique avait un président qui l’avait consolée en disant: «Si j’avais un fils, il ressemblerait à Trayvon Martin.» Aujourd’hui, elle est dirigée par un homme qui, la veille de la mort de George Floyd, relayait des tweets racistes et sexistes d’un ancien candidat au Congrès.
Source : https://www.24heures.ch/je-ne-peux-pas-respirer-115059179332
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L’article de Dreuz, par Jean-Patrick Grumberg, explique bien les événements de Minneapolis, la récupération par les Antifas, l’inaction de la police locale, le casier judiciaire de George Floyd :
Minneapolis: les Antifas et émeutiers professionnels sèment la violence et le chaos
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« Je vais faire tomber les États-Unis en finançant des groupes de haine noirs. Nous allons les faire tomber dans un piège mental et leur faire mettre les fautes sur les Blancs. La communauté noire est la plus facile à manipuler. »
Georges Soros, interview au journal allemand Bild, sept. 2014.
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Le décret de Trump concernant la censure des réseaux sociaux: Trump signs social media executive order that calls for removal of liability protections over 'censoring'
Concernant la prudence qui s'impose sur l'affaire de Minneapolis, en attendant les résultats de l'enquête:
Attention!!! Affaire Minneapolis cet Événement est très Bizarre et serait Organisé?
Concernant les prétendues bavures des policiers blancs commises contre la communauté noire:
USA : un Noir n’est pas davantage en danger face à un policier blanc, selon une étude
Gilles-William Goldnadel sur l’Affaire Telford : «Le racisme anti-blanc impose l’omerta médiatique»
Enseignements politiquement incorrects de la tuerie de Floride
Etats-Unis: derrière le “encore un Noir tué par des policiers blancs”
Charlotte (USA) : chasse aux blancs après la mort d’un Noir tué par un policier noir
DALLAS VIOLENCES POLICIÈRES ET DÉLINQUANCE AFRO-AMÉRICAINE
Rappels sur ce qui s’est passé à Charlottesville :
https://lesobservateurs.ch/2017/08/15/ce-qui-sest-vraiment-passe-a-charlottesville/