En pointe depuis longtemps pour tout ce qui concerne la culture de mort, l’Ontario vient de franchir une nouvelle étape dans la mise en place du totalitarisme gay et antichrétien. La majorité de gauche du parlement de la province vient d’adopter, à la veille de la levée de la session pour les vacances d’été, la « Loi 89 » qui élargit les pouvoirs des services sociaux en vue de placer des enfants dont les parents contreviendraient à l’idéologie dominante.
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En Ontario, des musulmans refusent que leurs enfants suivent les cours de musique obligatoires
«Nous ne faisons aucun compromis sur les commandements et principes clairs transmis par le prophète», a déclaré M. Ingar, qui dirige l'Association musulmane de Scarborough.
«M. Dasu […] a insisté pour que ses enfants soient exemptés des cours de musique, en invoquant la perspective de poursuites en justice et la liberté de religion garantie par la Charte canadienne des droits et libertés.»
(Globe and Mail) - Quand les cours de musique commenceront cette semaine à l'école primaire Donwood Park de Toronto, Mohammad Nouman Dasu enverra un membre de sa famille chercher ses trois jeunes enfants pour les ramener à la maison pendant une heure plutôt que de les laisser chanter et jouer des instruments de musique. M Dasu croit que l'enseignement de la musique, qui est obligatoire en vertu du programme scolaire de l'Ontario, contrevient à sa foi musulmane.
L'école de Scarborough et la Commission scolaire du district de Toronto ont d'abord proposé un accommodement : les enfants ne seraient pas totalement exemptés des cours mais pourraient taper des mains au lieu de jouer des instruments, ou écouter des versions a cappella du Ô Canada.
Selon des documents obtenus par le Globe and Mail, certains parents insistent qu'ils ne peuvent permettre à leurs enfants d'être dans une pièce où des instruments de musique sont joués. M. Dasu, qui enseigne le coran et conduit parfois la prière à la mosquée Jam'e Abu Bakr Siddique de Scarborough, dit qu'il a mené la lutte au nom des parents. Il a consulté des organismes islamiques nationaux, et a demandé une lettre au responsable de sa mosquée. «Nous croyons que la musique est haram [interdite]. Nous ne pouvons ni l'écouter ni en jouer», a déclaré l'imam de la mosquée, Kasim Ingar.
M. Dasu, qui dit représenter un grand nombre de parents touchés par cette question à l'école concernée, a insisté pour que ses enfants soient exemptés des cours en invoquant la perspective de poursuites en justice et la liberté de religion garantie par la Charte canadienne des droits et libertés. [...]