« Et les Cloches se sont tues » : histoire d’un film inspiré du Camp des Saints de Jean Raspail

Il n’y a pas que la presse, la radio ou la télévision qui soient victimes de la dominante libérale libertaire, le cinéma aussi, côté réalisation ou côté distribution. En 2019 le réalisateur vendéen Eric Dick termine son film sur l’immigration, inspiré du livre culte de Jean Raspail, Le Camp des Saints. Ce film n’est jamais sorti en salles, le réalisateur a choisi de le diffuser gratuitement sous forme digitale (vous trouverez deux liens en bas de l’article). Nous l’avons interrogé sur l’histoire de son film où les cloches peuvent enfin résonner mais seulement sur internet.

Quelle est la genèse de votre film « Les Cloches se sont tues » ?

source et article complet: https://www.ojim.fr/et-les-cloches-se-sont-tues-histoire-dun-film-inspire-du-camp-des-saints-de-jean-raspail/

Attentats: mode d’emploi pour journalistes subventionnés

Attentat : 2 morts dans la Drôme, embarras dans les médias

Rediffusion estivale 2020. Première diffusion le 6 avril 2020

Alors que la France est arrêtée par le coronavirus, un attentat meurtrier commis par un demandeur d’asile soudanais a eu lieu en fin de matinée le 4 avril 2020 à Romans-sur-Isère, petite ville de la Drôme. Courte et instructive revue de presse.

Dans le « direct » du Dauphiné Libéré, principal organe de presse locale de la région, on évoque rapidement la nationalité soudanaise du suspect ainsi que son statut de réfugié. Le journal s’empresse de relayer le communiqué de presse de la maire LR de Romans-sur-Isère, Marie-Hélène Thoraval, qui mentionne pudiquement un « individu » dont « on ignore pour l’heure les raisons de son geste ».

Pourtant, FranceInfo évoque plusieurs éléments passés sous silence dans le papier du Dauphiné Libéré : le suspect aurait crié « Allahu Akbar » à plusieurs reprises, selon des témoins différents. De plus, selon une « source policière », « l’homme était agenouillé sur le sol et psalmodiait une prière en arabe » au moment où il a été interpellé.

Du profil du tueur et de ses motivations, la plupart des médias disent ne pas savoir grand-chose. Chez Europe 1, le Journal de la mi-journée de Fabienne Le Moal évoque simplement un « homme âgé d’une trentaine d’années » dont on attend d’avoir des « éléments consolidés sur le profil ». C’est tout. Le site internet de la radio, qui pourtant dispose logiquement des mêmes sources, mentionne bien la nationalité soudanaise de l’homme. Quant à la radio RTL, qui titre « Ce que l’on sait du drame qui a fait deux morts à Romans-sur-Isère », elle n’en sait pas beaucoup plus. Mensonge par omission ?

Libération, qui évoque un « homme, aux motivations encore floues » (sic), ne fait aucunement mention du cri « Allahu Akbar » entendu par plusieurs témoins. Ce n’est qu’en fin d’article que l’on apprend que si « l’assaillant s’est présenté comme un réfugié soudanais », il n’est « pas connu des services de police ». La même réserve est de mise chez L’Express qui sans mentionner aucun des éléments qui pourrait amener à penser à une attaque terroriste, conclut son papier par un bref rappel de différentes attaques terroristes en France, dont celle de la mosquée de Bayonne. Cette dernière figure en effet en bonne place après différents attentats djihadistes, car si « le Parquet National Anti-Terroriste n’a pas été saisi », elle avait été « qualifiée de terroriste par l’avocat des victimes ». Chez CNews non plus, l’on n’évoque aucune de ces données possiblement polémiques, et l’on décrit un homme dont on sait « peu de choses » et dont on « ne connait pas les motivations ». En revanche, cela n’empêche pas Jean-Marc Todeschini, sénateur PS de la Moselle d’alléguer que « si l’enquête nous dit qu’il est déséquilibré, on ne pourra pas faire grand-chose ».

Le Monde dans une alerte se contente de signaler le nombre des victimes et que le parquet national anti-terroriste se saisit de l’affaire, en ajoutant en sous-titre « L’auteur présumé des faits, inconnu des services de police, a été placé en garde à vue ». Pour le lecteur rapide qui ne lit que les titres, c’est d’une discrétion de violette.

Il n’y a guère que chez BFMTV que les possibles motivations du tueur sont plus précisées. Interviewé, David-Olivier Reverdy (secrétaire général adjoint d’Alliance police nationale), ajoute même que l’assaillant aurait demandé à être tué par les forces de police lors de son interpellation. Un élément qui n’est « pas anodin dans le procédé », et qui ajouté aux autres, lui permet de conclure que « tous les ingrédients sont réunis » pour étayer la thèse d’une attaque terroriste. Cet entretien a été repris par Le Figaro.

Cet évènement intervient quelques jours après que 14 députés aient publié un communiqué de presse demandant la régularisation des immigrés pour mieux lutter contre l’épidémie de Covid-19.

source: https://www.ojim.fr/
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Le difficile confinement des « quartiers » : analyse médiatique

Le difficile confinement des « quartiers » : analyse médiatique

Depuis mardi 17 mars 2020, les déplacements sont strictement réglementés en France. En tout et pour tout, 5 motifs de déplacement sont tolérés. Le décret les instituant écarte toute autre possibilité, ainsi que toute possibilité de regroupement. Si dès le 17 mars, la contravention pour non-respect de ces dispositions était majorée, il en faudra plus pour intimider une partie de la population.
Nous revenons sur le traitement médiatique de la violation délibérée et assumée de ces règles, qui, conjuguée à la persistance d’une délinquance de droit commun, aboutit à mettre en danger de nombreuses personnes, dans un point de situation arrêté le 21 mars.

Les faits divers

Les articles consacrés au non-respect du confinement et à la délinquance pendant la première semaine de restriction de la circulation sont nombreux. Ils démentent les propos angéliques de la porte-parole du gouvernement sur les ondes de RMC le 20 mars. Nous y revenons plus loin. Les articles peuvent être classés en plusieurs catégories : les faits divers, les analyses sur la délinquance, les analyses consacrées à la politique pénale et au fonctionnement de la justice.

Les articles que nous citons vont du plus ponctuel et local à une échelle plus importante, jusqu’à constituer un véritable phénomène de société.

Les faits divers locaux

Parmi les événements ponctuels, on peut citer sur les réseaux sociaux la diffusion le 18 mars une vidéo prise à Grigny où visiblement, « personne ne respecte l’ordre de confinement ». Le site Actu 17, qui recense de nombreux faits divers, publie le 19 mars la photo de dealers à Melun qui défient le confinement pour faire leur publicité, équipés d’un matériel de protection (masques, combinaisons) si souvent absent pour le personnel soignant. « Ils sont mieux équipés que les policiers », déplore l’un d’entre eux.

À Nantes, la vente de drogue va bon train Place du commerce, nous informe Breizh-Info le 19 mars. Les dealers sont bien « à leur poste, bien agglutinés » selon le site d’information breton. Le 19 mars, c’est la Préfecture de police de Paris qui sur son compte Twitter nous informe que « des incendies volontaires nécessitant l’intervention de pompiers et de la police sont déclenchés » à Aulnay sous-bois. « Les auteurs irresponsables empêchent les secours d’intervenir et lancent des projectiles sur les policiers ».

Le journal suisse Le Temps consacre un article à l’impossible confinement dans la ville de Saint-Denis (93). Des policiers interrogés indiquent qu’ils verbalisent avec parcimonie, pour ne pas faire de vagues. Des épiceries servent de points de vente de masques dérobés à des hôpitaux, « la revente illicite de stupéfiants continue aussi ». Business as usual. Alors que sur le site internet du Parisien, une publicité remercie les « héros discrets », on apprend le 19 mars que « des véhicules des agents de l’hôpital de Poissy ont été fracturés pour voler leur macaron » afin de l’utiliser pour déjouer les contrôles de police.

À Trappes, les incidents se multiplient, constate Le Parisien le 19 mars. Des individus lancent des projectiles contre les forces de l’ordre, trois policiers sont blessés lors d’un contrôle d’attestation. Les jeunes contrôlés considèrent selon un policier qu’« ils sont au-dessus de ça ».

À Royan, une personne présentant des symptômes du coronavirus crache sur un policier d’après France 3. Un phénomène qui n’est pas isolé selon un syndicaliste policier qui s’exprime sur le site Boulevard Voltaire.

Les faits divers à l’échelle du département

En Seine-Saint-Denis, des « jeunes encapuchonnés (…) caillassent policiers et pompiers en plein confinement » le 17 mars toujours selon Le Parisien. Les six jeunes interpellés sont relâchés, apprend-on avec effarement. En Seine-et-Marne, la baisse de la délinquance n’est pas visible selon Actu.fr le 18 mars. Des chauffards alcoolisés sont interpellés, tandis que des voitures ont été brûlées à Dammarie-Les-Lys.

Le 18 mars, Le Figaro recense dans un article différents faits divers attestant que « les appels au civisme et à la retenue n’ont pas été entendus ». Vols, escroqueries, agressions, querelles dans des files d’attente : les exemples sont nombreux qui témoignent de cet incivisme qui se manifeste notamment en Ile-de-France, à Lyon et à Grenoble. Dans l’Oise, Le Parisien nous apprend le 19 mars que la délinquance n’est pas entrée en confinement « entre covid 19 et délinquance, les forces de l’ordre sont sur tous les fronts ». En Haute-Garonne, ce sont selon La Dépêche des voitures qui sont incendiées en plein confinement.

Les faits divers à l’échelle nationale

Le Figaro consacre dans l’édition du 21 mars un article à « la tension (qui) monte dans les quartiers sensibles ». La liste des incidents répertoriés 4 jours après le début du confinement est longue :
des policiers pris à partie par une cinquantaine de jeunes à l’occasion d’un barbecue géant à Elbeuf, des insultes contre des policiers par des jeunes en région lyonnaise, des contrôles qui virent à l’échauffourée à Savigny-sur-Orge et Massy. À Chanteloup-Les-Vignes, les contrôles sont « délicats », etc.

L’oisiveté des jeunes est soulignée, tout comme la difficulté de faire appliquer les couvre-feux qui seraient décidés. La chaine TV Libertés dresse le 19 mars le portrait de « l’autre France du confinement ». On y apprend exemples à l’appui que « le confinement est le terrain de jeu idéal pour les petits et grands délinquants ».

Les analyses des professionnels

Un professeur de criminologie, Alain Bauer, est interviewé par CNews le 19 mars. Il s’attend à ce que les vols avec violence sur la voie publique augmentent, tandis que le trafic de drogue baisserait. Une policière syndicaliste est interviewé le 20 mars par Le Figaro : « Dans certains quartiers, les forces de l’ordre sont prises à partie et les guet-apens se poursuivent » affirme-t-elle au journaliste.

La politique pénale

Libération consacre le 16 mars un article au recentrage des activités de la gendarmerie et de la police.

« Nous allons reporter sine die tout ce qui n’est pas urgent, tout ce qui n’est du flagrant délit ». Bien que le quotidien ne le précise pas, les enquêtes en cours risquent d’en faire les frais. L’insuffisance des moyens de protection des forces de l’ordre est également pointée du doigt.

Le fonctionnement de la justice

L’Opinion fait le point le 18 mars sur le fonctionnement de la justice pendant la période de confinement. « Tribunaux fermés, audiences reportées, dossiers en suspens : pendant l’épidémie, magistrats et avocats se concentrent sur l’essentiel » résume le journal libéral.

Les clandestins libérés

La libération des clandestins placés en centre de rétention administrative parait « inévitable » selon Le Figaro le 20 mars. Certains sont d’ores et déjà relâchés, notamment à Bordeaux, Toulouse et Rouen nous apprend Sud Ouest. « En même temps », on apprend que les demandeurs d’asile sont les seuls usagers à pouvoir venir physiquement aux guichets de la Préfecture du Rhône. Ce qui amène le journaliste Yves Mamou à réagir : « Même en situation de guerre sanitaire, la priorité est encore donnée à l’idéologie asilaire. Pas de droit administratif en France pour les personnes âgées, les plus faibles, ceux qui ont besoin de la Nation ».

Au centre France Terre d’asile boulevard Ney à Paris, selon Michel Ney sur Twitter, les clandestins se massent dans un groupe compact le 19 mars. Ce qui inspire ce commentaire à Jean-Yves Le Gallou, président de Polemia : « Rassurez-moi, @Prefpolice, c’est une fake ? Et si ce n’était pas le cas, vous faites quoi pour faire respecter le confinement ? ».

La problématique du confinement

Parmi les nombreux articles et reportages consacrés au non-respect du confinement imposé aux français, France 2 diffuse vendredi 20 mars lors du journal télévisé de 20 heures un reportage à ce sujet. En ce début de weekend, les fraudeurs sont à rechercher parmi ces franciliens qui cherchent à aller en province en train ou en voiture. Le maire de Nice Jean Estrosi est ensuite interviewé. Il évoque la fermeture de la promenade des anglais, l’interdiction des regroupements et le couvre-feu qu’il a mis en place dans la ville. Il mentionne furtivement (14e minute) une « scène de pillage et d’émeutes dans un quartier à l’ouest de Nice ». Il ajoute que « le Préfet reconnait que ce type de dispositions peut l’aider dans l’action à mener ». Ce sera la seule allusion aux règles de confinement qui ne sont pas respectées dans les « cités ».

La porte-parole du gouvernement :
circulez, y’a rien à voir

Guillaume Tabard résume cette vision des choses dans l’édition du Figaro du 21 mars :

« Il serait de bon ton de pointer du doigt ces « bourgeois » partis sur la côte atlantique, mais scandaleux de dire que les consignes sont foulées aux pieds dans certaines banlieues de Seine-Saint-Denis ou d’ailleurs ? ».

Cela n’empêche pas le blogue Œil sur le front (Libération) de consacrer le 21 mars un article sur « Comment l’extrême-droite veut tirer profit du coronavirus » en « rejetant la faute sur l’invasion migratoire et en demandant une fermeture pérenne des frontières ». Le compte Twitter du militant et lanceur d’alertes Damien Rieu et le site de revue de presse Fdesouche sont pointés du doigt.

Dans la continuité, quand Jean-Jacques Bourdin estime sur RMC le 21 mars que le confinement est plus difficile à faire respecter dans les banlieues, la porte-parole du gouvernement coupe court au journaliste :

« Je vois très bien le relent qui va arriver. J’entends les dérapages de certains, je vous bien où ça peut vite mener. Je préfère mettre le holà tout de suite, il n’y a pas de moindre respect dans certains endroits que dans d’autres en fonction de l’origine sociale ou des pays d’origine de nos compatriotes ».

Pourtant, dès le 19 mars, Le Parisien apporte un démenti cinglant à cette vision édulcorée et toute macronienne de la réalité. On apprend en effet de source policière que « 10% des amendes dressées dans le pays l’ont été en Seine-Saint-Denis ». Ceci bien que, selon Sputniknews, « la police reçoit l’ordre d’éviter certains quartiers sensibles » et de privilégier les contrôles sur les grands axes.

Une vision édulcorée de la réalité

Des nombreux articles consacrés au sujet du confinement, il ressort que beaucoup de médias montrent une incapacité à désigner par leur nom des problèmes bien réels. La volonté de ne pas stigmatiser aboutit à ne pas nommer les choses. Seuls certains médias minoritaires ne cachent pas la réalité et engagent une analyse de fond, qui va au-delà du récit ponctuel des événements : la persistance de la délinquance dans certains quartiers qui sont de véritables poudrières, la violence utilisée par des racailles pour déjouer des contrôles, le non-respect délibéré des règles de confinement, les consignes données à la police pour ne pas faire de vagues et subir des rixes.

Au final, peu de médias soulignent que la police aura toutes les difficultés à faire respecter dans de nombreux « quartiers » un nouveau tour de vis au confinement, par des couvre-feux décidés par des maires. Ceci alors que cette nouvelle restriction de la liberté de mouvement pénalisera, si elle était généralisée, l’ensemble de la population.

N’en déplaise au clergé médiatique du camp du bien, l’épisode du confinement n’agit pas comme un buvard sur les taches de la société française. À l’inverse, il agit comme un révélateur des contradictions et de l’aveuglement de ses dirigeants : l’immigration massive imposée notamment par la politique d’asile est une priorité du gouvernement, des centaines de milliers de jeunes sont désœuvrés, le droit est appliqué de façon différenciée en fonction des secteurs géographiques, la partition du territoire ne fait que se confirmer. Après le confinement des personnes — et comme le promet la loi Avia — la parole sera-t-elle aussi confinée ?

Pierre Ménès et le racisme anti-Blancs : les médias contre-attaquent

Publié le 18 septembre 2019 | Étiquettes : , , ,

Pierre Ménès, habitué à dire ce qu’il pense, a estimé sur CNEWS, le 7 septembre 2019, que "le vrai problème, en France, dans le foot, c'est le racisme anti-blancs". Ce commentaire faisait suite aux récents propos de Lilian Thuram sur la “nécessité d'avoir le courage de dire que les Blancs pensent être supérieurs et qu'ils croient l'être".

Pierre Ménès n’en n’est pas à son premier coup d’essai, il avait déjà évoqué le racisme anti-blancs en 2010, lors de la Coupe du monde. Mais cette fois, ses propos ont engendré un véritable emballement médiatique. Petit florilège.

Encore un qui fait le jeu de la “fachosphère”

Les articles dans la presse généraliste s’intéressant uniquement à ces déclarations, ne sont pas si nombreux. Le vocabulaire employé tourne toujours autour des mêmes termes, “polémique”, “controverse”, ou même, “dérapage” et “propos déplacés” pour Voici ! En clair, il faut comprendre que Ménès a dit des gros mots.

Quitte à décrédibiliser son propos, autant aller jusqu’au bout. Plusieurs articles, de L’Obs à Quotidien, évoquent par la suite, la fameuse “fachosphère” et “l'extrême droite” qui se frotteraient les mains de cette sortie. Un sujet les fait bien plus réagir, celui de la possible existence ou non, du racisme anti-blancs.

De toute façon, le racisme anti-blancs, ça n’existe pas

Petits comme grands médias ont axé l’essentiel de leur production dans cette “affaire”, sur la question du racisme anti-blancs, et se sont tous empressés de montrer son absence de bien-fondé.

Quotidien nous fait un “fact-checking” (sic) des propos de Ménès, en allant interroger les joueurs d’un club de football, et comme dans ce dernier, cela se passe bien, ils sont formels, il n’y a pas de racisme anti-blanc dans le football ! Le journaliste nous rappellera de toute manière, "[qu']il n’y a aucune réalité scientifique et sociologique sur le racisme anti-blanc”. Ceci dit, rien d’étonnant quand on se rappelle l’intervention dans leur émission, de l’écrivain américaine Neil Irvin Painter.

Mais nombreux sont les autres médias à suivre Quotidien dans sa démarche, Mediapart nous parle de “l’impossibilité de penser le racisme en tant que système” ; LCI de “Lilian Thuram au cœur des critiques : peut-on vraiment parler de “racisme anti-blanc” ?” ; RTL du ““Racisme anti-blanc” : pourquoi cette expression est-elle contestée ?” ; et bien d’autres…

Pas certain de les avoir entendus pour autant dénoncer le complexe de supériorité attribué à tous les Blancs par Thuram… Comme dirait So Foot, “belle flûte Ménestrel” !

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Lilian Thuram accusé de racisme "anti-blanc"

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Rokhaya Diallo parle du racisme "anti-blanc"

Du même tonneau: http://www.lallab.org/8-raisons-de-ne-pas-utiliser-le-terme-racisme-anti-blanc/

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Exclusif. Notre étude Ifop-“Valeurs actuelles” le révèle. Pour près d’un Français sur deux — et près de sept sur dix à droite ! — le racisme anti-Blanc est une réalité “assez répandue”.

 

C’est un pavé dans la mare du politiquement correct. Pour 47 % des Français, gauche et droite confondues, “le racisme anti-Blanc est un phénomène assez répandu en France” (voir notre tableau ci-dessous). Notre sondage exclusif Ifop-Valeurs actuelles révèle un mal profond, volontairement ignoré par le pouvoir, selon qui le racisme serait (forcément) à sens unique.

« Si les électeurs de gauche se disent moins convaincus que ceux de droite, plus d’un quart d’entre eux (28 %) considère cependant ce phénomène comme “assez répandu”, ce qui est loin d’être négligeable », relève Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de l’Ifop.

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