Christian Lantenois, le photojournaliste agressé à Reims, veut retrouver sa vie d’avant

14 juillet 2021

Quatre mois après sa violente agression dans le quartier Croix Rouge de Reims, Christian Lantenois, le photojournaliste de L'Union, s'exprime pour la première fois à la radio ce mardi. "Tout ça a bouleversé ma vie" explique-t-il au micro franceinfo de Sébastien Baer.

Christian Lantenois revient de loin. Quatre mois après sa violente agression dans le quartier Croix Rouge de Reims, alors qu'il couvrait un reportage, le photographe du journal L'Union s'exprime pour la toute première fois à la radio. Il répond aux questions de Sébastien Baer de franceinfo dans l'émission Ils ont fait l'actu.

"Tout ça a bouleversé ma vie", confie-t-il.

Le 27 février 2021, rue Jean Louis Débar, le photographe a été agressé par un groupe de jeunes et violemment frappé à la tête avec son propre appareil photo.

Tout ça a bouleversé ma vie

Après des semaines dans le coma artificiel à l'hôpital de Reims, (ndlr: Pendant quatre mois, il était entre la vie et la mort), Christian Lantenois explique qu'il garde aujourd'hui de graves séquelles de son agression.

"J'ai encore des problèmes de concentration, d'équilibre, j'ai une mémoire immédiate qui ne va pas bien, je fatigue vite et j'ai perdu de l'audition", raconte le journaliste.

Aujourd'hui, Christian Lantenois se dit chanceux d'être entouré de "sa petite femme, qui est là tout le temps, tous les jours".

De la colère à l'égard de ses agresseurs

Quand on demande à Christian Lantenois ce qu'il éprouve à l'égard de ses agresseurs, il répond sans hésiter "de la colère" en qualifiant cette agression de gratuite : "Le fait qu'un journaliste se fasse agresser pendant son boulot, ce n'est pas possible. On est dans une démocratie, il y a la liberté de la presse qui mise à rude épreuve".

Aujourd'hui, Christian Lantenois confie qu'il a envie que la vie reprenne son cours normal, de ne plus être accaparé par les soins, la rééducation. "J'espère que tout redeviendra normal, que je redevienne normal, l'homme d'avant."

Dans cette affaire, le principal suspect, un jeune homme de 22 ans a été incarcéré pour tentative de meurtre aggravé.

Dans les heures, les jours et les semaines qui ont suivi cette agression, une vague de soutien à Christian Lantenois s'était déployée à Reims et bien au delà. 

source: https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/christian-lantenois-le-photojournaliste-agresse-a-reims-en-fevrier-s-exprime-pour-la-premiere-fois-1626147610

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/journaliste-agresse-a-reims-christian-ne-sera-plus-jamais-comme-avant-dit-sa-femme-1617024930

Français, pratiquez l’évitement, regroupez-vous hors des zones islamisées

Les récentes déclaration du Président Macron sur la partition musulmane en cours ne laissent rien espérer de bon. Surtout comme l’ont déjà très bien dit Lucette Jean-Pierre et Josiane Filio, qu’il n’entend rien faire pour s’y opposer.

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Le président de la République française ne compte rien faire pour enrayer le mouvement. Au contraire, il nous recommande de nous y faire. Pire, on peut largement comprendre que son projet est justement de consacrer cette partition afin de finir de dissoudre ce qu’il reste de la France telle que nous l’avons connue.

Les Français abandonnés. Nous voilà donc prévenus, les citoyens français sont laissés seuls face à la menace. L’État ne fera rien pour les protéger. Au contraire, il fera tout pour aggraver la situation : signature du pacte de Marrakech, laxisme judiciaire, libération et réimportation de terroristes avérés qui formeront l’encadrement militaire de la cinquième colonne, importation accélérée et sans contrôle de nouveaux venus dont certains sortent directement des prisons de leurs pays d’origine, immigration de masse et sans aucun contrôle, victimisation et légitimation de la vindicte des masses musulmanes.

Dans ces conditions, nous ne pouvons plus compter que sur nous-mêmes. L’abandon est tel que dans nos vies personnelles, nous ne pouvons plus compter que sur nous-mêmes. Personne ne nous protège plus, ni ne nous protègera. Ainsi il n’est que de voir le déni de l’Éducation nationale face aux agressions barbares de professeurs ou d’enfants blancs par de jeunes barbares totalement désinhibés. Quel professeur, quel enfant peut se sentir protégé par l’Éducation nationale ? Que dire de la justice ? Et que dire des forces de l’ordre auxquelles il est donné consigne de laisser faire les barbares et de nous casser la gueule à nous ?

Que faire à titre personnel pour se protéger au quotidien ? Il ne s’agit pas ici de savoir comment lutter au plan politique contre cette volonté de destruction du pays. Simplement de voir comment, à titre personnel, on peut se protéger des conséquences de cette avancée de la barbarie ou, plus simplement, échapper aux incivilités et à la promiscuité insupportable. Qui a envie de vivre dans un cloaque urbain au milieu de gens qui nous détestent, qui ne respectent aucune règle et qui au contraire vont tout faire pour vous pourrir la vie ?

L’évitement, seule protection du citoyen abandonné par l’État. Dans ces conditions et à ce point d’avancement de la pression et du risque pour chacun, l’évitement est la seule solution pour tenter de se protéger. D’ores et déjà, le niveau de la menace est devenu extrêmement prégnant. Qui n’a pas eu connaissance dans son entourage ou dans sa proximité géographique, d’incivilités récurrentes, d’une agression, d’une attaque, voire d’un assassinat ou d’un massacre ? Qui peut sérieusement se dire qu’il ne risque strictement rien dans certains endroits, à certaines heures ou dans telle ou telle circonstance ? Quelle femme n’est pas d’ores et déjà dans l’évitement, même si elle s’en défend pour se conformer au politiquement correct.

L’évitement par un apartheid à l’envers. L’évitement consiste à raréfier au maximum les contacts avec ces populations, à éviter les zones où elles nidifient, à n’entretenir aucun commerce avec elles, aucun rapport. L’évitement consiste en une sorte d’apartheid à l’envers. Si on nous impose leur présence, alors qu’ils restent entre eux et nous entre nous. Bien entendu, cela n’est pas simple pour tout le monde, et il appartient à chacun, en fonction de sa situation personnelle, de définir les limites de ce qu’il peut faire et selon quel agenda. Mais, chaque personne inquiète de la tournure des événements et pessimiste quant à l’avenir doit se mettre en disposition d’échapper au gros du risque lié à un côtoiement subi.

La localisation géographique, première condition de l’évitement. La première des dispositions est de s’éloigner des zones concernées. Sortez des villes gangrenées, fuyez au loin dans la France périphérique. Tant pis pour le travail, vous trouverez toujours à vous réorganiser ou à changer d’orientation. Surtout, vous y ferez des économies de loyer, ou sur l’acquisition de votre logement, la vie y sera plus agréable pour vous et pour vos enfants. Arrêtez de conditionner votre lieu de résidence et votre vie à votre travail. Conditionnez votre travail à votre lieu de résidence.

Le regroupement dans des zones homogènes pour anticiper l’avenir. On en parle de plus en plus et certains auteurs commencent à y faire référence. Compte tenu de ce qui se prépare et, contre quoi il semble bien que nos ne puissions plus rien dans le registre de l’action politique globale, une solution pourrait être d’anticiper la confrontation finale en nous regroupant dans des zones homogènes, non encore envahies. Bien entendu, le pouvoir fait tout ce qu’il peut pour accélérer l’épandage et pour farcir le pays dans la profondeur. Toutefois, ce n’est pas encore fait et des zones subsisteront où nous serons encore largement majoritaires. Une décantation géographique permettrait de préparer la reconquête.

Évitez de vous exposer. N’entrez plus dans les grandes villes. Pratiquez l’évitement social, culturel, scolaire, sortez vos enfants des écoles ou des clubs sportifs trop envahis, évitez les grandes zones commerciales, évitez les gares, les stades, les zones de forte concentration humaine où vous ne pourrez pas échapper au côtoiement.  Même chose au travail, n’entrez pas dans des boîtes qui font de la mixité une raison sociale. Boycottez les produits qui nous assomment de publicités ethniques. Bref, discriminez tout ce qui ne vous convient pas. Vous y perdrez peut-être en commodité, mais vous y gagnerez en sécurité, en cohérence personnelle et en estime de vous-même. Bref, ça ira mieux pour vous.

La première des résistances, c’est de se soustraire à la soumission par la promiscuité imposée. Libérons- nous, regroupons-nous hors de zones tenues par les islamistes.

Carte des zones sensibles. Les informations sont occultées et les cartes documentées ont disparu d’internet. Toutefois, il en reste une datant de 2010 qui recense toutes les ZUS. Vous y verrez le détail département par département et zone par zone, ainsi que les rues concernées au cas par cas. Enregistrez ce document tant qu’il est encore disponible et surtout regardez ce qu’il se passe à côté de chez vous et là où vous projetez de vous relocaliser. N’allez pas retomber de Charybde en Scylla. Si vous le pouvez, à titre personnel, mettez-le à jour en fonction de ce que vous aurez pu constater dans votre voisinage.

ZUS

Addendum. Bien entendu, je suis profondément nationaliste et jamais je ne me résoudrai à une partition territoriale. Malheureusement, le pire n’est pas exclu et il n’est pas inutile de s’y préparer. Surtout si par ailleurs, cela permet de mieux vivre.

Martin Moisan

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