La propagande du jour: pour le Parti évangélique suisse «No Billag est une gifle cinglante contre la diversité»

Visiblement ânonner des formules creuses est tout ce que savent faire les extrémistes de gauche.

Quant à faire passer à la caisse des gens qui ne veulent pas de cette propagande médiatique, détruisant ainsi la liberté individuelle, cela ne pose aucun problème à ce parti "évangélique".

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Mme Streiff a parlé de «gifle cinglante contre la diversité actuelle de la radio et de la télévision et, par conséquent, également contre une information indépendante incontournable dans notre démocratie directe».

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Propagande du PDC contre No Billag avec une affiche nauséabonde

Le Parti démocrate-chrétien (PDC) veut fédérer l’opposition à l’initiative «No Billag»

Le PDC soutient la décision de la Commission des transports et des télécommunications du Conseil national (CTT-N) qui recommande le rejet sans contre-projet de l’initiative populaire « Oui à la suppression des redevances radio et télévision (suppression des redevances Billag) ». La CTT-N suit la décision unanime prise aussi par le Conseil des Etats de rejeter l’initiative.

OUI À L’INTRODUCTION DE LA REDEVANCE BIÈRE !

Les jeunes UDC Vaud :

Soucieux de la qualité du service public, les Jeunes UDC Vaud constatent que le système actuel, selon lequel chaque personne paie la quantité de bière qu'elle consomme, tend vers une "Blocherisation" du marché de la bière, ce qui représente un danger pour le débat démocratique.

Afin de mettre fin à cette situation qui profite surtout aux acteurs privés, les Jeunes UDC Vaud demandent l'introduction d'une redevance obligatoire pour chaque habitant ayant l'âge légal de consommer de la bière. Peu importe la quantité de bière consommée, toute personne domiciliée en Suisse ayant atteint l'âge de 16 ans révolus devra s'acquitter d'une taxe annuelle de Fr. 462.40 (Fr. 451.10 si le Tribunal fédéral juge ultérieurement que cette taxe ne doit pas être soumise à la TVA) !

La Redevance Bière permettra de donner d'importants moyens financiers au groupe Carlsberg, garant du service public et de la diversité brassicole, qui lui permettront de fabriquer des Feldschlösschen ainsi que de rémunérer très fortement ses cadres et ses Maîtres-brasseurs.

Le 95% de la redevance perçue sera affecté à l'activité de cette entreprise. Le 5% restant permettra à quelques fabricants locaux de bières industrielles (tels que Boxer, Calanda, Eichhof) de pouvoir vivre. En revanche, les fabricants de bières artisanales, qui incarnent une concurrence féroce à notre service public de qualité, ne toucheront pas d'argent public et devront se débrouiller pour s'auto-financer en travaillant très dur afin de fidéliser leurs clients. Ces derniers paieront leurs boissons avec des abonnements mensuels ou "à la demande", tout ceci bien sûr en plus de s'être déjà acquittés de la Redevance Bière.

Dans un futur lointain, si une initiative populaire devait venir contester ce système absolument nécessaire au bon fonctionnement de notre pays, les Jeunes UDC Vaud proposent que la Confédération annonce la baisse de la Redevance Bière à Fr. 365.- par année. Ce montant provient d'un calcul très compliqué contenant beaucoup de paramètres divers et variés, mais qui n'a strictement rien à voir avec le nombre de jours par année. Il s'agit d'un pur hasard.

Néanmoins, les Jeunes UDC Vaud attirent l'attention de la population pour qu'elle se rende compte que; Fr 1.- par jour pour consommer de la bière de qualité, ce n'est vraiment pas cher. De plus, il ne faut surtout pas que le peuple accepte une initiative extrémiste qui tuera la bière en Suisse. En effet, la production de Feldschlösschen ne pourrait pas survivre sans cette taxe. Par voie de conséquence, s'il n'y a plus de Feldschlösschen dans les magasins suisses, le marché de la bière "s'américanisera" et les clients ne sauront plus faire la différence avec une "Fake-Beer". Dire oui à l'initiative, c'est aussi prendre le risque de traverser un dangereux désert brassicole.

Comme nous l'avons laissé entendre ci-dessus, les Jeunes UDC Vaud tiennent à ce que chacun paie ce qu'il consomme. De plus, notre section condamne toute menace et manipulation envers les citoyens qui laisseraient croire à ces derniers qu'ils n'auront plus accès à une information et des programmes de qualité en cas de oui à "No Billag".

EN RÉSUMÉ, LES JEUNES UDC VAUD INVITENT LE PEUPLE À GARDER LES YEUX OUVERTS ET À VOTER OUI À L'INITIATIVE "NO BILLAG" !

Les jeunes UDC Vaud

Des PDC, PLR, PS et Verts contre l’initiative No Billag. Pour le PS “Il ne s’agit pas de dire si on est content ou pas de telle émission.”

Christian Hofer: C'est ainsi que l'on perçoit la liberté au PS: payer et se taire, financer la propagande socialiste tout au bénéfice de journalistes dont le parti pris est scandaleux.

Pour ce socialiste, imposer aux gens, même en situation précaire, un produit dont ils ne veulent pas ne pose aucun problème de morale.

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Des élus des partis PDC, PLR, PS et Verts ainsi que des acteurs de différents milieux romands se sont réunis à Lausanne pour s'opposer au texte soumis au peuple en mars.

"Il ne s'agit pas de dire si on est content ou pas de telle émission", a lancé le conseiller national neuchâtelois Jacques-André Maire (PS).

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Pour le journaliste du 24H Florent Quiquerez, No Billag est “un texte extrémiste, aux propositions radicales”

Comment un journaliste milite pour ses petits copains de la RTS sous couvert de faire une interview.

A contrario, taxer obligatoirement toute personne qui possède Internet ou un téléphone mobile même si elle ne consomme pas ce "service public" n'était pas du tout considéré comme "extrémiste". Voilà qui nous rassure!

Les gens n'ayant que peu de moyens ou qui refusent de financer la propagande de la RTS apprécieront ce traitement inégalitaire.

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La SSR fait face à la grogne des organisations économiques. L’Union suisse des arts et métiers pourrait aller jusqu’à soutenir l’initiative «No Billag» qui veut sa disparition totale. Interview de son président Jean-François Rime (UDC/FR).

C’est pourtant un texte extrémiste, aux propositions radicales.

La faute à qui? Doris Leuthard nous a promis un débat qu’elle refuse d’avoir aujourd’hui. Elle a mis la charrue avant les bœufs. On ne nous laisse pas le choix. En tant qu’entrepreneur, je n’aime pas les épreuves de force. Mais on nous oblige à choisir entre tout ou rien. Et pour moi, le rien l’emporte. D’ailleurs, Doris Leuthard devrait se méfier. La loi sur la radio-TV n’a été acceptée que de justesse. Trois milles voix d’écart, c’est très peu.

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L’initiative «no Billag» balayée au Conseil des Etats

La redevance radio-TV ne devrait pas disparaître. Le Conseil des Etats a balayé mercredi l'initiative visant à la supprimer. La balle est dans le camp du National, où les attaques contre le service public sont plus fortes.

En 2015, la redevance a rapporté 1,35 milliard de francs (hors TVA). Sur ce total, la part de la SSR est de 1,235 milliard, soit l'essentiel de son budget de quelque 1,6 milliard. Le reste est essentiellement allé à 34 radios et télévisions locales et régionales.

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La RTS exclut les initiants de «No Billag» d’une émission sur la redevance

Dans l'émission de la RTS (de la télévision alémanique) "Arena" le thème de la fonction publique sera discuté ce vendredi. Cependant, les représentants de l'initiative "No Billag" n'ont pas reçu d'invitation.

Le sujet du Service public continuera d'occuper la Suisse - précisément à cause de l'initiative "No Billag" qui a été déposée la semaine dernière auprès de la Chancellerie fédérale. Le 18 décembre, l'émission "Arena" est dédiée à ce thème dont le titre est: «Bien-aimée SRG, détestée SRG - combien de servie public voulons-nous?".

Mais seuls les représentants de "No Billag" sont absents de l'émission "Arena". Olivier Kessler, co-président du comité d'initiative est bouleversé. «Notre pétition a été certifiée par 110.000 signatures - mais ces gens n'ont droit à aucune voix dans cette émission." Dans ce cadre, une proportion non négligeable de la population est exclue.

"Il n'y a aucune personne dans l'émission Arena qui veut rayer complètement les taxes obligatoires " Certes, une opposante à la RTS sera invitée avec la conseillère nationale UDC Natalie Rickli. "Pourtant, elle défend seulement un partage en deux des taxes et non comme "No Billag"  l'abolition des taxes obligatoires de Billag."

«la RTS craint notre initiative"

L'exclusion du représentant de "No Billag», laisse planer le soupçon que la RTS n'était pas intéressée par un véritable débat sur le service public. "Parce que si vous voulez un débat équitable, même ceux qui s'opposent à la perception des droits doivent avoir leur mot à dire" déclare Kessler. Pour cette raison, on nous refuse à présent la plate-forme - peut-être, par la crainte que notre initiative puisse trouver une majorité chez le peuple.

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Source Traduction Christian Hofer pour Les Observateurs.ch