La vérité sur l’horrible tri des patients éclate enfin !

 "Des personnes âgées ont été écartées des hôpitaux" : voilà le titre d'un article du Monde aujourd'hui ! Quand j'ai osé dénoncer cette indignité, j'ai été accusé de "fake news" par les médias et le Gouvernement. Emmanuel Macron et les Ministres devront répondre devant l'histoire pour avoir abandonné nos aînés !

Nicolas Dupont-Aignan : “J’ai claqué la porte quand j’ai compris les manigances entre l’Élysée et les députés En Marche pour accuser la police”

Depuis, tous les éléments de langage rabâchés par la macronie vont en ce sens. La ligne de défense de l'Élysée c'est de tout mettre sur le dos des forces de l'ordre!

Si j'ai claqué la porte de la Commission d'enquête de l'Assemblée nationale sur l'affaire Benalla-Macron, c'est entre autres parce que j'ai compris les manigances qui se tramaient entre l'Élysée et les députés En Marche pour faire porter le chapeau à la hiérarchie policière.

Les faits m'ont donné raison seulement quelques heures après la dénonciation de cette mascarade: les députés En Marche ont tenu une conférence de presse affirmant qu'ils savaient déjà, avant même la fin des auditions de la Commission d'enquête, que la crise révélait des responsabilités policières et non politiques!

 

 

Depuis, tous les éléments de langage rabâchés par la macronie vont en ce sens, y compris l'interview d'Alexandre Benalla dans "Le Monde" organisé par la fameuse "Michèle Mimi Marchand", patronnesse de la presse des époux Macron. Tout ce cinéma permet de comprendre la ligne de défense choisie par l'Élysée pour l'ancien garde du corps d'Emmanuel Macron: tout mettre sur le dos des forces de l'ordre!

Alexandre Benalla se victimise et serait au cœur d'un règlement de compte entre services. La police ne supporterait pas qu'un "génie de l'organisation", comme il se décrit lui-même, qui n'a ni le cursus ni l'expérience requise, s'occupe de la sécurité du Président de la République.

En vérité, Alexandre Benalla était sans doute en train d'organiser une police parallèle au sein de l'Élysée.

On l'a compris, Emmanuel Macron prétend tout assumer caché à l'Élysée, mais a désigné des fusibles de la manière la plus indigne qui soit, puisqu'il met en cause l'honneur de ceux qui défendent la France au quotidien!

Personne ne croira que c'est à cause de la hiérarchie policière que le chef adjoint du cabinet du Président a usurpé les insignes de la police, frappé des manifestants le 1er mai. Personne ne croira que c'est la police et non l'Élysée qui a couvert ce comportement, inventé une fausse sanction, offert un salaire de 6000 euros nets, une voiture, un appartement luxueux, un badge d'accès du niveau le plus élevé à l'Assemblée nationale pour aller soi-disant à la salle de sport, j'en passe et des meilleures!

En vérité, Alexandre Benalla était sans doute en train d'organiser une police parallèle au sein de l'Élysée. Une police qui ne répondrait devant aucune juridiction puisque la Constitution assure l'irresponsabilité judiciaire d'Emmanuel Macron et sa protection au nom de la séparation des pouvoirs!

La police, tenterait donc de faire tomber Alexandre Benalla, alors que trois de ses fonctionnaires, dont un commissaire, un commandant général à la Préfecture de police et le commandant chargé des relations avec l'Élysée ont été suspendus pour lui avoir fourni des vidéos en dehors de toute enquête. On notera d'ailleurs que la communication de ces vidéos à Ismaël Emelien, l'un des principaux lieutenants de Monsieur Macron, fait de celui-ci un receleur que nous aurions aimé entendre à l'Assemblée nationale.

La police n'est en rien le coupable à la place d'Emmanuel Macron, elle est sa première victime!

Il n'est plus question d'acte violent, Alexandre Benalla serait, selon ses dires, intervenu au secours des CRS présents sur place, en bon citoyen. L'existence des coups, pourtant visibles dans la vidéo, est totalement niée. La violence qui entoure ce personnage est pourtant de notoriété publique, puisqu'il s'en était violemment pris à un journaliste de Public Sénat venu prendre des photos lors d'un déplacement à Caen en pleine campagne présidentielle!

La violence qui entoure ce personnage est pourtant de notoriété publique, puisqu'il s'en était violemment pris à un journaliste de Public Sénat venu prendre des photos lors d'un déplacement à Caen en pleine campagne présidentielle!

Les attributs des forces de l'ordre qu'il portait sur lui? Uniquement pour sa sécurité personnelle! Alain Gibelin, directeur de l'ordre public auprès de la préfecture de police (DOPC), qui est revenu sur ses déclarations concernant la participation d'Alexandre Benalla aux réunions pendant sa mise à pied et qui a jugé "inacceptable" que ce dernier ait détenu un brassard de police ainsi qu'une radio, n'est qu'un menteur. Il s'en voudrait d'ailleurs de ne pas avoir prévenu sa hiérarchie, ce qui l'aurait poussé à mentir... On croit rêver!

Sans revenir sur la totalité des privilèges dont a bénéficié Alexandre Benalla, il a bien été protégé par l'Élysée. La sanction qui découle de son acte de violence se révèle être finalement factice. Il a d'ailleurs obtenu un logement au 11 Quai Branly après les faits et sa mise à pied de 15 jours n'a pas eu d'incidence sur sa rémunération, même si l'Élysée a tenté maladroitement de se justifier en parlant de ses congés. Quant à sa rétrogradation, Bruno Roger-Petit a menti, il continuait d'assumer ses missions et d'être l'homme clef du Président de la République. La vérité est que si "Le Monde" n'avait pas révélé l'affaire, Alexandre Benalla serait parti en vacances sans sanction effective.

Ainsi, en pleine campagne de fausses nouvelles Élyséennes, Emmanuel Macron tente de se soustraire à la vérité et d'accuser les forces de l'ordre.

La contre-offensive médiatique préparée depuis plusieurs jours ne suffira pas. Il ne s'agit pas d'une "tempête dans un verre d'eau", il y a encore beaucoup à dire et le pouvoir s'est organisé pour que nous ne puissions pas auditionner les responsables à l'Assemblée nationale. Les députés LREM distillent des éléments afin de pouvoir retourner la situation à l'encontre d'Alain Gibelin et des forces de l'ordre. Et la Présidente de la commission d'enquête, Yaël Braun-Pivet, refuse les auditions demandées par l'opposition. Ainsi, l'Assemblée nationale n'a pas eu le droit d'auditionner Monsieur Alexis Kohler, Secrétaire général de la présidence de la République Française, qui aurait sanctionné Alexandre Benalla suite aux faits de violence et est son supérieur hiérarchique. C'est tellement plus facile de faire justice entre amis d'En Marche! C'est ce qui m'a poussé à en claquer la porte, suivi par la totalité de l'opposition.

Ainsi, en pleine campagne de fausses nouvelles Élyséennes, Emmanuel Macron tente de se soustraire à la vérité et d'accuser les forces de l'ordre. Oui Alexandre Benalla "a fait une grosse bêtise", mais on voit bien qu'il n'a pas trahi le Président de la République. Il est toujours dans la bande de Monsieur Macron, couvert par l'Élysée et ce n'est sûrement que la partie émergée de l'iceberg.

Huffingtonpost.fr

Nicolas Dupont-Aignan rend fou les minables Biolay-Kassovitz

Par , romancier

Salut le show-bousenesse ! Alors comme ça on menace, on insulte les candidats patriotes parce que, depuis les orgies culturelles de Jack Lang, dans les années 1980, on vous a donné l’illusion que vous pouviez faire la pluie et le beau temps dans la vie politique française ?

Remarquez, je vous comprends, à votre place je réagirais tout pareil car, si par aventure – de plus en plus probable, l’aventure ! –, la candidate de la France réelle – vous savez, cette pute que vos camarades rappeurs appellent à baiser ! – remporte la mise dimanche 7 mai, les subventions accordées à vos manifestations idéologiques à outrance, et médiocrement artistiques, ça risque de ne plus le faire !
Alors toi, Benjamin Biolay, qui ricanait jadis de la mort accidentelle de Jean-Pierre Stirbois, dans ta chanson « Vengeance », et qui pleurnichait ensuite parce que tu avais reçu des menaces de mort, sache que ton infecte prose ne nous arrêtera pas et que, le cas échéant, si tu t’en prends à nous, nous nous en prendrons à toi. Ton copain, le vilain Hobbit joufflu de l’Élysée, n’y pourra rien : le peuple est plus fort que les enfants gâtés de ton espèce !

D’ailleurs, ton courage, petite frappe, ne va pas bien loin : presque aussitôt après avoir, sur Instagram, balancé à Nicolas Dupont-Aignan – en réponse à son ralliement à Marine, ce qui n’a pas eu l’heur de te plaire – « À tes risques et périls petite teupu. Tu vas le payer cher », tu as retiré ton message, remplacé par des Bisounours – ce qui est raccord avec ta maturité ! –, comme un pauvre type qui n’assume pas ses actes !

Mathieu Kassovitz, à ton tour : t’as la rage ? Dis-toi que nous aussi, qui crevons comme des chiens errants sous les coups de ceux que tu as si joliment exaltés dans ton film La Haine, on a la rage et on a fermement l’intention de faire changer la peur de camp, que ça te plaise ou non ! Tu te prends pour qui, toi qui as reçu des tonnes de fric public pour monter des films de plus en plus pourris, en injuriant un élu du peuple : « Espèce de trou du cul », as-tu twitté, toujours à l’attention de NDA, depuis ta tour dorée d’où tu craches sur la plèbe !

Gilles Lellouche, ton « Espèce de grosse merde », je te le renvoie volontiers, comme un boomerang Bleu Blanc Rouge. On s’en tape de tes opinions, en réalité ! T’étais où, par exemple, quand les délocalisations mettaient sur la paille des familles entières, avec la bénédiction de ton petit copain Macron ? Ah, oui, j’oubliai : le festival de Cannes, où tu as tes entrées, ce n’est pas le genre à se soucier de l’odeur de la précarité ! Alors bouffe ton caviar et ne te mêle pas de politique. Étant donné ton niveau de réflexion, c’est hors de ta portée !

J’en ai presque fini.

A vous tous, enfin, les sangsues richardes qui nous infligez l’islam dont vous ne voulez pas dans vos quartiers surprotégés, qui nous jetez à la face votre bonheur fortuné, méfiez-vous car il se pourrait qu’un de ces jours, avec ou sans Marine, on balade vos têtes au bout de piques ! Et ça ne sera pas du cinéma !
Dans l’attente de cette juste colère, laquelle ne saurait tarder, compte tenu de vos injures assaisonnées d’un mépris souverain à notre endroit, méditez, si cela se peut, ces vers de Victor Hugo qui voyait dans l’océan la puissance du peuple :
« Comme toi le despote il brise le navire ;
Le fanal est sur lui comme l’esprit sur toi ;
Il foudroie, il caresse, et Dieu seul sait pourquoi ;
Sa vague, où l’on entend comme des chocs d’armures,
Emplit la sombre nuit de monstrueux murmures,
Et l’on sent que ce flot, comme toi, gouffre humain,
Ayant rugi ce soir, dévorera demain. »
(« Au Peuple »);

.
Charles Demassieux

Article paru en premier sur Riposte Laïque

Benjamin Biolay insulte violemment Nicolas Dupont-Aignan : “petite teupu. Tu vas le payer cher.”

Le ralliement de Nicolas Dupont-Aignan à Marine Le Pen n'a pas plus à Benjamin Biolay et celui-ci n'a pas hésité à le montrer sur les réseaux sociaux où il a violemment insulté l'ancien candidat à la présidentielle.

Le 18 avril dernier, Nicolas Dupont-Aignan a déclaré en direct sur France 2 qu'il se rallierait à Marine Le Pen. Cette alliance a été officialisée ce 29 avril dernier lors d'une conférence de presse. Le moins que l'on puisse dire c'est que la position de l'ancien candidat à la présidentielle ne plait pas à tout le monde et encore moins à Benjamin Biolay.

En effet, le musicien a posté sur son compte Instagram une photo de Nicolas Dupont-Aignan et a ajouté une légende très équivoque : "À tes risques et périls petite te*pu. Tu vas Le payer cher #tout­sau­flefn." Ambiance. Ce n'est pas la première fois que l'artiste prend position politiquement. Il avait en effet décidé de signer la tribune contre le "Hollande Bashing", ce qui lui avait été reproché par Laurent Ruquier qui estimait que cette tribune allait favoriser le FN.

C'est le réalisateur et comédien Mathieu Kassovitz qui a lancé les hostilités. Celui qui avait déjà appelé à voter Emmanuel Macron au second tour - "Trop tard pour le vote blanc", disait-il - a lancé un "espèce de trou du c..." après le ralliement de l'ex-candidat, vendredi. Et ce samedi matin, en ressortant des archives un message de l'ancien candidat sur son "honneur" et son "intégrité", il cite cette chanson du rappeur Akhenaton: "J'ai pas de face".

Vendredi soir également, après le passage de Nicolas Dupont-Aignan sur France 2, le comédien Gilles Lellouche s'emporte, dans un message supprimé ce samedi: "Espèce de grosse m...",

Source Source2