Le Grand Reset économique, l’arme fatale des mondialistes ? Voici le VRAI Davos !

Tout le monde est partant pour le grand reset, enfin presque tout le monde, il y a un gars qui a le pouvoir de faites quelque chose pour arrêter ça et vous savez exactement de qui je parle, et ils ont fait une erreur qu'ils ont essayé de de mettre Trump de leur côté.

Ils ont invité Donald Trump à Davos, deux fois je crois, mais en janvier, quand Donald Trump a vraiment commencé à voir la bête qui se dressait contre lui, il est allé à Davos, oui au forum économique mondial, et il leur a fait un énorme doigt d'honneur nous nous sommes engagés à préserver la majesté de la création de dieu, et la beauté naturelle de notre monde, mais pour embrasser les possibilités de demain nous devons rejeter les éternels prophètes de malheur, et leurs prédictions de l'apocalypse, ces alarmistes exigent toujours la même chose : le pouvoir absolu de dominer, transformer et contrôler chaque aspect de nos vies, nous ne laisserons jamais les socialistes radicaux détruire notre économie et ruiner notre pays. deux jours après que Donald Trump ait donné ce discours, un gauchiste de 89 ans l'étrange milliardaire George Soros a fait une intervention d'urgence, à Davos une fois de plus, avertissant que les élections américaines de 2020 déterminerait, je cite le sort de notre monde.

Maintenant puisqu'on parle de Davos, jetez un coup d'oeil une fois de plus, c'était un mois après que Dnald Trump s'est adressé à Davos et leur a fait un doigt d'honneur, voici ce que le pape François et l'économiste Jeffrey Sachs ont répondu.

C'est un pays dangereux, en ce moment, il sera absolument dangereux si l'atout Trump est réélu, si Trump est réélu, si Trump est Réélu François a invité ce type au synode sur l'Amazonie en tant qu'invité d'honneur et conseiller, il est aussi conseiller de Bernie Sanders, qu'est-ce que qu'il fait au Vatican, pourquoi ce type qui est un promoteur, pour le socialiste, le socialiste pur et dur Bernier Sanders se retrouve en tant que conseiller pour le pape, pourquoi a-t-il ses accès au Vatican, les gars; Jeffrey Sachs soutient l'avortement et la contraception mais ce n'est pas un problème pour le Vatican.

Pour le Vatican, pour le pape François et pour ses amis à l'ONU, c'est évidemment Donald Trump le problème, Je considère clairement l'administration Trump comme un danger pour le monde, mais tel que je le vois, comme un phénomène purement temporaire, qui disparaîtra en 2020.

Vous comprenez, vous voyez pourquoi il y a tant de haine envers Trump ? Parce que malgré tous ses défauts il est capitaliste il n'est pas mondialiste, il ne sera jamais l'un d'entre eux, c'est pourquoi il a retiré les États-Unis de l'accord de paris sur le climat, Donald Trump a retiré les Etats-unis de l'organisation mondiale de la santé, l'entreprise de Bill Gates, et maintenant il menace de retirer les états-unis de l'organisation mondiale du commerce.

Les gens disent :" oui Donald Trump s'est marié deux fois, c'est vraiment un homme mauvais", il est en train de tenir tête à des démons, personne n'a dit qu'il était saint, il frappe les vaches sacrées des nations unies dans le monde entier en ce moment-même. l'assemblée générale vote couramment à 185 voix contre les états-unis sur presque tout les sujets désormais.

Et vous vous souvenez, puisqu'on parle des nations unies, en novembre 2019, juste avant que le coronavirus arrive, Trump est allé aux Nations unies, à l'assemblée générale, et il a déclaré la guerre au mondialisme, Les dirigeants avisés mettent toujours le bien de leur propre peuple, et de leur propre pays, d'abord, l'avenir n'appartient pas aux mondialistes, l'avenir appartient aux patriotes. peu après le discours que Donald Trump a livré à l'ONU, que s'est-il passé ?

Le coronavirus s'est répandu dans le monde, et l'économie américaine qui était en plein essor, a été mise sous assistance respiratoire, pensez-vous que c'était un accident ? donc quand ils vous disent et qu'ils nous disent à tous, de rester à la maison, de porter un masque, pour que grand-mère ne tombe pas malade, vous devez comprendre ce qi se passe vraiment, ils ne s'intéressent pas à votre grand-mère, ils ne s'occupent pas des personnes âgées, ils ne se soucient pas des bébés, ils veulent les avorter, afin de pouvoir sauver notre société, ils avortent des millions de bébés dans le monde entier , ils ne se soucient pas des bébés, ils ne s...

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Rappel: Un site pour les détruire tous !

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Le test PISA devient un dangereux instrument de promotion de l’illettrisme et de propagande mondialiste

J’ai toujours apprécié le test PISA. L’idée de comparer les différents systèmes scolaires m’a toujours semblé un excellent moyen de se situer et de se remettre en question. Certes, il n’est pas parfait, les enseignements qui sont les siens sont somme toute restreints en comparaison de ceux des mega-analyses sérieuses existantes dans le monde éducatif (mais qu’on ne prend malheureusement pas en compte…) mais, dans l’ensemble, l’outil est intéressant. Ou plutôt devrai-je dire était, tant l’imparfait d’un passé définitivement révolu semble se profiler au regard des dernières orientations prises par le test éducatif de l’OCDE.

En 2012 déjà, outre les traditionnels tests portant sur les maths, la langue maternelle et les sciences, PISA commençait à fournir des impulsions farfelues avec un nouveau module portant sur la résolution de problèmes. Pour bien comprendre ce que les grands pontes de l’OCDE entendent par résolution de problème, voici un exemple de question qu’on trouvait alors :

Il s’agissait donc pour l’élève de tâtonner jusqu’à trouver un trajet de 15 minutes. Toute connaissance a complètement disparu de la chose (sauf évidemment la lecture de l’énoncé). Même les plus élémentaires calculs étaient évacués puisque le programme se chargeait d’additionner les durées des différents tronçons. Autant dire qu’une telle question n’analyse en fait que la capacité qu’a un élève à tâtonner et éventuellement à persévérer un peu devant l’échec. Si on peut estimer que l’école peut, accessoirement, se livrer occasionnellement à ce genre de performances, il ne faudrait pas oublier que son rôle est totalement à l’opposé : elle transmet des connaissances, ce qui est justement la meilleure manière de résoudre des problèmes sans avoir à recourir au tâtonnement et donc au hasard.

En poussant un peu la réflexion, il faut bien admettre que l’apprentissage de la résolution de problème par des heuristiques hasardeuses est le propre des sauvages, des personnes vivant à l’état de nature hors civilisation. Et encore est-ce là tout relatif, puisque toutes les sociétés, même les plus primitives essaient d’organiser un minimum de transmission des savoirs…Ce que Schleicher et consort estiment donc comme important est…la capacité que peut avoir un illettré à se mouvoir dans un environnement technologique ! Autant dire l’inverse de tout ce que le progrès peut apporter !

Mais ce n’est pas tout. Encouragé par ce ballon d’essai, l’aréopage OCDE a franchi un pas supplémentaire puisque le PISA 2015 fut l’occasion de tester la collaboration entre élèves pour résoudre des problèmes ! Il ne leur suffit donc plus de tester le vide, il faut le faire en collaboration avec d’autres ! Et de mettre sur pied des situations en ligne bidon simulant l’interaction avec d’autres élèves par le biais d’un tchat à choix multiples. Penser à la nécessité de former un élève à communiquer via la technologie à l’ère de whatsapp et des réseaux sociaux, il fallait le faire ! De plus, à voir les propositions possibles, je pense honnêtement que si j’avais été élève j’aurai cliqué à quelques reprises sur des réponses farfelues rien que pour le plaisir ! Voici quelques étapes d'une situation problème à résoudre collectivement pour vous faire une idée.

Les grands penseurs de l’OCDE ne semblent pas être au fait que la résolution de problème par le biais d’heuristiques hasardeuses comme la collaboration sont des éléments que l’évolution humaine semble avoir préprogrammés en nous. Ce qui a pour conséquence que ce sont des objectifs que nous atteignons extrêmement rapidement et sans faire de grands efforts. Autant dire des éléments dont on peut laisser l'apprentissage à la vie de tous les jours. L’école devrait plutôt avoir pour ambition d’atteindre le lointain, le difficile, ce que la vie ne nous apprendra pas d'elle-même.

Le big boss du PISA justifie ces choix par la nécessité au 21ème siècle de travailler de nouvelles compétences, de cesser de transmettre des connaissances. Pour lui, l’école doit dorénavant « donner une boussole à chacun, pour le rendre capable de construire son propre savoir, apte à distinguer le vrai du faux quand il navigue sur Google » démontrant par là une totale incompétence en matière de fonctionnement du cerveau. En effet, pour pouvoir raisonner ou distinguer ce qui est vrai du faux, il est impératif d’avoir des connaissances. On ne raisonne pas à partir de rien.

Mais la cerise sur le gâteau réside vraisemblablement dans le mépris de la démocratie qu’exprime le grand patron du PISA. Lorsqu’on est démocrate et à la tête d’un institut de recherche international sur l’éducation, on s’abstient de politiser son discours. Surtout ce qui touche aux contenus éducatifs. L’école n’est pas là pour former des militants, mais pour donner des éléments permettant à tout un chacun de se faire son opinion de la manière la plus neutre possible. Or, ça, Schleicher et consort semblent s'en moquer comme de leur dernière chaussette puisqu’ils préconisent d’une part de former les gens à « accepter de perdre leur boulot » en leur donnant « confiance en leur capacité d’en trouver un ou d’en créer un autre », ce qui fait, vous l’imaginez bien, le grand bonheur de tous ceux qui se battent pour la protection des travailleurs. D’autre part, ils annoncent la couleur pour le PISA 2018 qui testera… suspense, roulements de tambour… le niveau d’«acceptation entre les peuples, les cultures » autrement dit la dose de cosmopolitisme ingurgitée par les élèves. Je vois d’ici se réjouir les islamo-sceptiques ou simplement ceux qui pensent que l’assimilation est une meilleure option que le multiculturalisme.

En bref, ce qui était à la base une bonne idée est en train de dégénérer en un fatras d’inepties pédagogiquement et idéologiquement orientées. En conséquence, il ne me reste qu’à demander à monsieur Schleicher de montrer l’exemple en acceptant de céder son travail à une autre personne plus compétente et démocrate avec toute la confiance en sa propre capacité à en retrouver un qu’il souhaite que notre jeunesse développe…

Stevan Miljevic, le 1er juillet 2016 pour les Observateurs.ch et contrereforme.wordpress.com

Vous avez dit Bilderberg ?

German Chancellor Merkel and other G7 summit participants gather outside the Elmau castle in Kruen

   
La droite de la droite et la gauche de la gauche ont toujours fantasmé sur le groupe de Bilderberg. Les patriotes et les gauchistes reprochent beaucoup de choses à ce groupe. Le principal reproche qu'ils formulent, c'est que Bilderberg serait un important vecteur du mondialisme. Certains vont plus loin : Bilderberg  serait l'outil d'un complot en vue de contrôler le monde, rien que ça. Je ne partage pas tous ces points de vues un brin extrêmes pour deux raisons. D'abord, parce que Bilderberg agit à visage découvert. Ensuite, parce que Bilderberg rassemble des Etats de droit et non pas des régimes dictatoriaux. Néanmoins, je publie ci-dessous une analyse de Pauline Mille parue sur  Réinformationtv, car Les Observateurs est un site de droite ouvert et diversifié, et, non pas, une secte....
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Sur Réinformationtv, Pauline Mille a notamment écrit, il y a un certain temps déjà, à propos du groupe de Bilderberg (voir lien vers source en pas de page) : La soixante-quatrième réunion annuelle du groupe de Bilderberg se tiendra du neuf au douze juin à Dresde en Allemagne. Environ cent trente participants ont confirmé leur venue. Au menu des discussions, l’élection américaine, la crise des migrants et d’une manière générale tout ce qui intéresse l’élaboration du mondialisme.
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 Fondé en 1954, le groupe de Bilderberg se caractérise par le caractère informel des discussions qu’il organise. Aucune réunion ne fait l’objet de minutes, ni de procès-verbal, ni même de communiqué final. Rien ne s’y écrit. Les membres ont le droit de diffuser des informations qu’ils y recueillent, mais sans mentionner la source. Il s’agit en fait de conversations tenues entre une centaine de gens importants, un tiers environ venant d’Amérique, deux tiers d’Europe, un tiers d’hommes politiques, deux tiers de journalistes, entrepreneurs, militaires, économistes, scientifiques parfois.
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Le gratin du mondialisme participe à la réunion de Dresde: Cette année, la présidence de la réunion sera assurée par le Français Henri de Castries, président des assurances Axa. Les Français présents ne sont pas tous très connus. On relève les noms de Patricia Barbizet (Artemis), Nicolas Baverez, Olivier Blanchard (Peterson Institute), Emmanuelle Richard, directrice de l’institut Max Planck pour l’étude des maladies infectieuses, Laurent Fabius, Etienne Gernelle, directeur du Point et Edouard Philippe, maire du Havre.
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Parmi les politiciens étrangers, il faut noter une forte participation néerlandaise, avec le roi Willem-Alexander, le premier ministre Mark Rutte et le maire de Rotterdam, Ahmed Aboutaleb. On remarque aussi l’ancien président de la commission européenne Manuel Barroso, le ministre allemand de l’intérieur Thomas de Maizière, le premier ministre belge Charles Michel, un bon paquet de ministres des finances, dont celui de république fédérale, Wolfgang Schäuble, et le vice premier ministre turc, Mehmet Simsek. Il n’est pas rare en outre, et conforme à l’usage du Bilderberg, qu’un ou plusieurs invités dont le nom ne figure pas sur la liste vienne se joindre aux travaux.
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Quand le Bilderberg se penche sur la crise : il est toujours difficile de faire des conjectures sur des conversations qui n’ont pas encore eu lieu et qui resteront en tout état de cause discrètes. Mais le groupe de Bilderberg, dans le communiqué de presse qui annonce sa réunion de Dresde, a dressé la liste des dix points qui seront principalement examinés par les participants. Les voici, sans paraphrase ni délayage, et dans l’ordre : L’actualité du jour ; La Chine ; L’Europe : migration, croissance, réforme, perspective, unité ; Proche orient ; Russie ; Tour d’horizon sur les États-Unis, économie : croissance, dette, réforme ; Sécurité informatique ; Géopolitique de l’énergie et prix des matières premières ; Précarité et classe moyenne ; Innovation technique.
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La présence de Lindsay Graham, sénateur de la Caroline du Sud, républicain de gauche (il a notamment élu à la Cour suprême deux candidates d’Obama, Sonia Sotomayor et Elena Kagan) violemment opposé à Donald Trump peut donner à penser que celui-ci (comment l’éviter ?) sera l’objet d’une conversation. De même que la confrontation du point 3 (L’Europe : migration, croissance, réforme, perspective, unité) et du point 9 (Précarité, classe moyenne) peut faire penser que l’élite du mondialisme réunie à Dresde va se pencher sur la colère que suscitent dans les peuples d’Europe la crise économique et l’invasion causées par l’ouverture des frontières.
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Qui le Bilderberg va-t-il prendre pour cible à la réunion de Dresde ? On voit surtout, à considérer le choix et la hiérarchie des sujets qu’ils prévoient d’aborder, que les membres du groupe Bilderberg se préoccupent d’abord de l’équilibre géopolitique de la planète. Si l’on met de côté l’actualité du jour, la Chine, l’Europe, le Proche-Orient, la Russie et les États-Unis seront les cinq thèmes primordiaux de la réunion de Dresde. L’élite du mondialisme est à la page, elle sait parfaitement que la maîtrise de la planète passe par le contrôle de l’information (sécurité informatique), de l’énergie (géopolitique de l’énergie) et de la science (évolution technique).
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Un point attire l’attention. Lorsque leur attention se porte sur l’Amérique, les participants à la réunion de Dresde envisagent sa dette et sa réforme. Sans préjuger des solutions qu’ils proposeront, on notera l’intérêt du groupe de Bilderberg pour une question primordiale pour l’équilibre économique et politique de la planète, mais dont les États-Unis se réservent la gestion exclusive. Le fait que le Bilderberg, figure de proue du mondialisme, y mette le nez préfigure-t-il une nouvelle bataille dans la guerre qui vise à mettre au pas la haute finance américaine ? (voir lien vers source en pas de page).
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Introduction et mise en page de Michel Garroté
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http://reinformation.tv/reunion-bilderberg-dresde-mondialisme-crise-mille-56458-2/
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