Le «communautarisme a protégé» Salah Abdeslam

La maire de Paris Anne Hidalgo a évoqué «la forme très communautariste de la ville de Molenbeek».

La maire de Paris Anne Hidalgo a dénoncé lundi une «forme très communautariste d'organisation» de la commune bruxelloise de Molenbeek. Elle estime qu'elle a «sans aucun doute protégé» Salah Abdeslam, seul survivant du commando auteur des attentats du 13 novembre.

«Il ya des réseaux de solidarité familiaux, sûrement aussi de petite délinquance qui ont joué, l'enquête dira tout ça, je ne suis pas qualifiée pour avoir un jugement là-dessus. Ce qui est sûr, c'est que la forme très communautariste d'organisation de la ville de Molenbeek est un sujet», a déclaré Anne Hidalgo à la radio France Info , qui l'interrogeait sur les quatre mois de cavale d'Abdeslam.

Source

Salah Abdeslam capturé à Molenbeek: On craint des émeutes après son arrestation

Jets de bouteilles et de pierres sur les policiers, attroupements de jeunes: on craint des émeutes après l'arrestation d'Abdeslam

De tristes scènes sont en cours du côté de Molenbeek après l’arrestation de Salah Abdeslam. Plusieurs personnes ont lancé des bouteilles et des pierres sur des policiers. Il pourrait même y avoir des émeutes, ce soir.

Des jeunes sont pour l’instant attroupés devant les forces de l’ordre. Certains dépassent même les limites en lançant des bouteilles et des pierres sur les policiers.

Ces scènes nous font craindre le pire : on pourrait assister à des émeutes ce vendredi soir du côté de Molenbeek.

Source

Le suspect-clé des attentats du 13 novembre a été blessé vendredi lors de l'intervention des forces de sécurité dans une commune de la capitale belge. Il a été arrêté.

Le suspect-clé des attentats de Paris, en fuite depuis plus de quatre mois, a été arrêté après une brusque accélération de sa traque ces derniers jours. L'opération de police à l'origine de son arrestation est toujours en cours.

L'homme le plus recherché d'Europe, Salah Abdeslam, témoin-clé des attentats de novembre à Paris, a été arrêté vendredi à Molenbeek, au cours d'une vaste opération policière, lancée après la découverte de l'ADN du fugitif dans un appartement de l'agglomération bruxelloise, ont confirmé à Libération des sources policières.

Salah Abdeslam, qui était jusque-là en fuite et activement recherché par la police franco-belge depuis les attentats du 13 Novembre, a été blessé à une jambe. Selon un journaliste de la télévision publique belge RTBF, il a été transféré vers un hôpital.

Il n’est pas possible dans l’immédiat de savoir si un autre homme a été arrêté ou blessé, ou est actuellement retranché dans une habitation de Molenbeek, comme une source policière l'a affirmé plus tôt. Il y aurait eu «deux blessés» lors de l'assaut policier, si l'on en croit la bourgmestre de la commune, Françoise Schepmans. Un homme «jeune, de petite taille et portant une casquette» aurait essayé de fuir pendant l’assaut, «lancé après les sommations d’usage», et se serait fait tirer dessus par la police dans la rue, selon un autre élu de Molenbeek citant des témoins. L'agence de presse belge Belga parle quant à elle de deux personnes actuellement retranchées dans l'appartement situé rue des Quatre-Vents à Molenbeek.

Source

Molenbeek: “Je suis le dernier à proposer de l’alcool”

Différentes pressions et une clientèle en baisse pourraient mener à la fermeture du dernier débit de boissons du bas de Molenbeek.

La majorité des habitants du bas de Molenbeek, soit la partie située entre le canal et la chaussée de Gand, sont précarisés financièrement et d’origine maghrébine. Une situation qui pousse certains à présenter cette partie de la commune comme un ghetto social et culturel. Et les mésaventures de Murat, le gérant de la Chope, le dernier débit d’alcool du quartier, ne risque pas de modifier l’image du quartier.

Suite

Belgique: Reporters tabassés par des proches de l’islamiste

Une perquisition a été menée vendredi matin par la police fédérale dans la rue Evariste Pierron à Molenbeek-Saint-Jean, au domicile de la famille de Chakib Akrouh. Plusieurs riverains s'en s'ont pris violemment à une équipe de RTL Info ainsi qu'à un journaliste de France 3 présents sur les lieux. La perquisition est entre-temps terminée.

"C'est quoi le problème? Arrêtez de filmer! Qui a sonné chez moi comme ça? Il y a des gens qui dorment. Dégage ce micro! Dégage, j'ai pas besoin! Mon frère il est mort. Casse-toi", s'énerve Mohamed, l'un des frères de Chakib Akrouh.

"Une atteinte inacceptable à la liberté de la presse"
Dans un communiqué, la rédaction de RTL a fait part de sa "profonde indignation" à la suite de cette agression "qui constitue une atteinte inacceptable à la liberté de la presse". "Dans l'exercice de son métier, et alors qu'il tentait depuis la voie publique d'entrer en contact avec des proches d'un des suspects des attentats de Paris, un de nos journalistes a été frappé sans raison par un individu", commente RTL Belgium.

https://youtu.be/YKncfn0WX-8

Le domicile du frère de Chabik Akrouh a également fait l'objet d'une perquisition après l'altercation.

Chakib Akrouh s'est fait exploser le 18 novembre 2015 dans l'appartement de la rue Corbillon, à Saint-Denis, et a été identifié sur la base d'images de vidéosurveillance du métro parisien. L'analyse des photographies de la personne aperçue aux côtés d'Abdelhamid Abaaoud dans le métro, le 13 novembre 2015 à 22h14, après les attentats de Paris, a permis aux enquêteurs de la police judiciaire fédérale de faire un rapprochement, le 17 décembre 2015, avec Chakib Akrouh.

Source

Des patriotes belges déversent du fumier chez l’ancien maire socialiste de Molenbeek

Du fumier a été déversé samedi dernier devant le domicile de l’ancien vice-président du parti  socialiste belge, Philippe Moureaux, qui a dirigé pendant 20 ans la commune bruxelloise de Molenbeek, devenue un fief de l’islamisme et une pépinière de djhadistes.

Cette action, menée par un mouvement nationaliste belge, « Nation », est sans nul doute la seule action dont les Belges peuvent s’enorgueillir dans la lutte contre le « terrorisme » qui s’abat actuellement le pays.

Complétement paralysée pendant 4 jours par la grâce d’un seul homme, Salah Abdeslam, l’un des auteurs présumés des tueries de Paris, la Belgique a été brusquement secouée mardi par un article d’un parlementaire flamand, Karl Vanlouwe, qui osé déclarer que Bruxelles était devenue « une base arrière de la barbarie islamique ».

« Vingt ans de laxisme du PS et d’islamo-socialisme nous ont conduits où nous en sommes, avec Bruxelles comme base arrière de la barbarie islamique », souligne l’auteur, un membre du parti autonomiste flamand N-VA, un parti de la majorité gouvernementale fédérale.

Ce fut l’horreur. La stupeur générale. L’effroi qui glace le sang dans les veines. Le mot tabou, le mot qui terrorise, le mot qui blesse avait été prononcé : islam.

Il y eut spontanément une levée de boucliers pour crier au scandale. De partout, on crie à l’indécence et à la gravité de tels propos qui mettent l’avenir du pays en jeu. L’unité nationale est brisée, se lamente le journal « Le Soir ». L’unité a volé en éclats, se désole « La Libre Belgique ». Partout, c’est le même cri de douleur, les mêmes lamentations, les mêmes jérémiades et les mêmes pleurnicheries.

Le pays affichait une magnifique unité nationale face à la menace (de qui, de quoi ?) et à l’état d’alerte maximale décrété à Bruxelles et voilà qu’à cause de ce sénateur flamand, cette unité est sérieusement remise en cause, pratiquement éclatée, brisée, torpillée. Carrément morte.

Le pays se redressera-t-il jamais de cette infamie, de cette agression caractérisée ?

L’unité du pays est remise en question non parce que le parlementaire flamand s’est attaqué au parti socialiste dont la compromission avec l’islam et l’islamisme n’est plus un secret pour personne (socialisme et islamisme vont bras dessus, bras dessous en se frottant le popotin depuis longtemps en Europe), mais parce qu’il a évoqué l’islam. Pire, il a parlé de « barbarie islamique ». Or, l’unité de la Belgique moderne est fondée sur l’escamotage et l’occultation de la présence islamique dans le pays. Prononcer ce mot, c’est remuer dans la mare. C’est réveiller les démons qui hantent la Belgique.

 

La nation belge se terre pendant 4 jours parce qu’un islamiste, un seul, risque de débarquer avec de mauvaises intentions. Puis elle se soulève comme un seul homme prêt à lyncher l’insolent qui a osé prononcer le mot « islam ».

Ainsi va la nation belge. Ainsi vont la plupart des nations européennes d’aujourd’hui.

Que se passera-t-il demain quand Salah se transformera en Saladin et pointera à l’entrée de Bruxelles, du côté de l’Atomium, avec une armée de milliers de soldats ?

Les militants de « Nation » ne devaient pas se limiter à déverser du fumier devant la résidence du socialiste Philippe Moureaux, fossoyeur de l’identité belge. Du fumier, il en faut partout en Belgique.

La stupidité est à tous les niveaux. La Fondation Roi Baudouin, qui vise à améliorer les conditions de vie de la population, tant sur les plans économique, social et culturel que scientifique, a décidé de s’investir dans la lutte contre la radicalisation islamiste en « répondant aux besoins psychologiques des familles concernées par la radicalisation ou le départ en Syrie d’un de leurs membres » (Valls fait des émules en Belgique…).

Elle va dégager une centaine de milliers d’euros pour la mise en place de groupes de paroles de mères, d’outils pédagogiques, de séances de sensibilisation…

Les experts belges de la Fondation se sont rendu compte qu’ « on a trop tendance à se focaliser sur les individus qui partent, en oubliant qu’ils font partie d’un réseau (famille, quartier…). La solution se trouve donc aussi dans ce réseau », affirment-ils.

Le problème de la radicalisation en Belgique sera donc bientôt réglé en famille.

En Belgique, on dit que l’inceste n’est pas un problème tant que ça se passe en famille. L’islamisme donc aussi.

 

On fait tout pour ne pas s’attaquer à l’essentiel du problème. Qui pourra soulever la question de la grande mosquée de Bruxelles (avec son centre culturel islamique), l’un des vecteurs principaux de l’islamisme en Belgique ? Une mosquée bâtie sur un site offert en cadeau à l’Arabie saoudite par ce même roi Baudouin.

Une bêtise royale qui, avec la compromission de la caste politique belge, socialistes en tête, coûte cher aujourd’hui à la Belgique.

Messin’Issa

Paru en premier sur RL

Belgique. Molenbeek: Des produits chimiques et des explosifs découverts suite aux perquisitions

Un important arsenal a été découvert ce vendredi soir lors des perquisitions effectuées à Molenbeek.
D’ après nos informations, des produits chimiques et des explosifs ont notamment été retrouvés…

Aussi, une perquisition a été menée au domicile du suspect placé vendredi sous mandat d’arrêt, indique samedi le parquet fédéral. Quelques armes ont été découvertes, mais pas d’explosifs ni de ceinture explosive. Aucun autre renseignement ou précision supplémentaire ne sera donné, précise le parquet.

Le suspect avait été interpellé jeudi lors de la série de perquisitions menées à Bruxelles. L’intéressé est soupçonné de participation à des attentats terroristes et de participation aux activités d’un groupe terroriste.

DHnet.be via Fdesouche.com

Rentrée à Molenbeek: une caricature polémique publiée par «erreur»

Ndlr : Molenbeek est un des quartiers les plus islamisés de Bruxelles

.

Le Centre pour l’Egalité des chances a ouvert une enquête après la publication d’une caricature dans le quotidien néerlandophone Het Belang van Limburg afin de déterminer si celle-ci est contraire ou non à la loi. Sur le dessin qui caricature la rentrée des classes dans une école à Molenbeek, on aperçoit un enfant qui crie « Allahu akbar» en égorgeant une peluche. Il s’agit d’une illustration de Canary Pete, qui collabore surtout pour Gazet van Antwerpen mais dont les travaux sont parfois également repris par la publication limbourgeoise.

«Le dessin avait été rejeté par Gazet van Antwerpen mais a ensuite atterri automatiquement dans nos colonnes», explique Indra Dewitte, rédactrice en chef du Het Belang. «Il s’agit d’une erreur technique. Cela n’a pas sa place dans notre journal.»Il a été retiré là où c’était possible, notamment dans l’édition digitale de la publication.

Trois plaintes recueillies

Trois plaintes ont déjà été recueillies par le Centre interfédéral pour l’égalité des chances, qui a ouvert une enquête. «Le dessin exprime clairement un certain préjugé», selon son directeur Patrick Charlier. «Dans un journal comme Charlie Hebdo, cela serait peut-être acceptable, mais cela pose problème dans Het Belang van Limburg. Cela ne reflète pas les attentes des lecteurs.»

D’après le Centre, le dessin ne contrevient toutefois pas à la loi. «Pour cela, il doit y avoir une intention spécifique d’inciter à la haine ou au racisme», précise M. Charlier.«Mais l’illustration est de toute façon incorrecte du point de vue déontologique. Nous allons prendre contact avec le Raad voor Journalistiek (pendant flamand du Conseil de déontologie journalistique, ndlr).»

Source

 

Merci à Anne Lauwaert

 

Molenbeek, c’était Bruxelles avant l’islamisation

Ci-dessus, Molenbeek aujourd'hui

 

Bruxelles est certes une ville internationale et fut très agréable; mais une immigration accélérée de populations qui refusent opiniâtrement toute intégration en fait rapidement une ville interlope.

Ces populations s’agglomèrent dans certaines communes du grand Bruxelles, et entendent vivre selon leurs principes religieux, qui régissent toutes les activités,  principes à la fois archaïques et intolérants, opposés à la démocratie.

Comment réagissent les autorités ? Toutes, en un chœur dégoulinant de laxisme, entonnent ce slogan inepte « vivre ensemble », concept vieux comme le monde ! Veulerie, intérêts, dogmatique « humanistique » sont les lignes directrices. Pas de vagues, surtout, surtout pas de vagues. Dès lors les accommodements déraisonnables s’accumulent, au grand dam des autochtones et dans le silence le plus impérieux et la complicité des média.

Un exemple marquant qui illustre à merveille un climat général. Celui de Molenbeek-Saint-Jean, Commune de Bruxelles, que le bon peuple définit comme Mollahbeek. Le précédent bourgmestre (maïeur), socialiste, décrit comme « enragé », même parmi les siens, entendait appliquer à sa Commune les principes les plus « humanistiques », favorisant par tous les moyens à sa disposition, et nombre d’autres, les populations « discriminées ». Il déclara faire de sa commune un véritable «laboratoire social ». Le despote maïoral aux oubliettes, certaines éprouvettes dans son labo ont certes explosé. Molenbeek fait la une des média belges.

Les déclarations d’un photographe de guerre hollandais, Teun Voeten, baroudeur confirmé s’il en fut, – Rwanda, Afghanistan, Irak, etc…- bouleversent un climat imposé d’hypocrite et doucereuse coexistence.  Il habitait cette Commune et, observateur étranger donc impartial en l’occurrence, fait désormais des déclarations qui secouent la bien-pensance jusqu’au tréfonds.

« Molenbeek est l’image adéquate du fondamentalisme religieux, de la haine et du chômage ».

Ancien habitant, il quitte ses pénates, ne supportant plus « le radicalisme et la grisaille de la rue, qui engendrent la dépression, tout y est gris, tout y est pessimisme. Le fondamentalisme islamique dirige la vie dans l’entité, force les femmes à se voiler, expulse les homosexuels et les Juifs. »

Et il rajoute une volée des vérités vécues par les autochtones, ceux du moins qui sont plus ou moins contraints de demeurer sur place (quant à y vivre ?). « Des fondamentalistes qui se revendiquent de l’Etat islamique fanatisent les jeunes de plus en plus aveuglés par la haine et le racisme. Mes mots sont durs, mais j’ai trouvé épouvantable que des personnes ont tenté même en rue, de me convertir à l’islam. »

Voilà pour l’essentiel des déclarations de plus qu’un témoin, d’un participant à la vie commune.

Déclarations qui font éclater les couches de vernis multiples épandues à profusion par toutes les autorités mais qui décrivent des réalités quotidiennes.

Il est exemplaire le « laboratoire de Molenbeek ». Ce n’est pas impunément que les politiciens qui nous enfument, jouent aux apprentis-sorciers.

Marc Halestrel

(Source : Media belges du 20/3/15)

Sorti en premier sur Riposte Laïque