Procès liberticide. Nos libertés en danger de mort…

En Suisse, la suspicion d'intentions d'opinion basée sur l'appréciation d'une "impression" d'un juge est désormais suffisante pour vous faire condamner.

Le conseiller national Jean Luc Addor à été condamné jeudi pour discrimination raciale. Il à écopé de 60 jours amende et 300 Frs avec sursis de deux ans pour un Tweet ou il avait écrit ironiquement et laconiquement: "On en redemande." suite à une fusillade entre albanais dans une mosquée de St. Gall qui avait couté la vie d'un des protagonistes.

Pour le tribunal de Sion, au cours d'un procès kafkaïen, les propos de J-L Addor auraient donné "l'impression" qu'en raison de leur appartenance religieuse les membres de la communauté musulmane étaient des êtres dont la vie serait de moindre valeur. (???)

Il est savoureux de relever que la plainte à été déposée par le CCIF (Centre du Conseil Islamique de Fribourg) présidé par l'islamiste bien connu Nicolas Blanchot, personnage sur lequel il suffit d'évoquer la suspicion de penser qu'il serait le bras juridique et idéologique des Frères Musulmans en Suisse pour vous valoir une condamnation sur la simple impression d'un juge.

En condamnant sur une simple suspicion le conseiller national UDC valaisan, le tribunal de Sion à clairement attaqué la liberté d'émettre publiquement l'impression d'une opinion mais il a aussi servi les intérêts et les manoeuvres de l'islam politique en Suisse incarné par Nicolas Blanchot.

Nos médias ont évidemment célébré l'événement en donnant la parole aux adversaires politique du conseiller UDC qui n'ont pas manqué d'applaudir la décision du tribunal favorable aux adeptes suisse de l'islamisme radical et aux castrateurs de notre liberté de donner l'impression d'avoir une opinion.

Dominique Bianchi,19.8.2017