Entretien avec Renaud Camus

Je me présente en 2017, car il faut impérativement un candidat anti-remplaciste.

Renaud Camus vient d’annoncer sa candidature à l’élection présidentielle de 2017. De retour de Béziers, il a accepté de répondre à quelques questions de notre fondateur, Pierre Cassen. Dans cet entretien, il affirme malicieusement qu’il y avait tout le monde, ou presque, et que « Pierre Cassen et Christine Tasin brillaient par leur absence ». Cela nous permet d’amener une précision importante : Christine Tasin, présidente de Résistance républicaine, qui continue de se réclamer des valeurs de la gauche, était en désaccord de fond avec la démarche « Oz La Droite » de Robert Ménard. Quant à Pierre Cassen, il était présent à une réunion rédactionnelle de Riposte Laïque, programmée de longue date, ce samedi 28 mai, avec 25 personnes, venues de toute la France, et même de Suisse, et ne pouvait pas en être absent. Mais Riposte Laïque n’a pas eu d’hostilité vis-à-vis de l’initiative de Béziers. Quelques semaines auparavant, nous avions donné la parole à Robert Ménard, et avions, à l’occasion de ces trois jours, délégué la plume de Caroline Alamachère et la caméra de Guy Sauvage. Il fallait que cela soit dit, et merci à Renaud Camus de nous avoir permis de clarifier les choses…

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2050… Le grand remplacement

Par Vincent Godefroy

Je me promène dans cette bonne ville de Lyon que je n’ai pas revue depuis près de trente ans, qu’il fait bon vivre dans cette cité, ancienne capitale des Gaules.
En arrivant à la gare ce matin, débarquant de ma campagne profonde où je me suis retiré, je ne me suis pas trop inquiété en découvrant cette population si différente de mes souvenirs ; ce doit être une fête locale, des gens qui reviennent peut-être d’un bal masqué, ou un enterrement, que sais-je ? Des hommes en djellabas, des femmes tout de noir vêtues ne laissant voir que leurs yeux, d’autres plus jeunes le visage enturbanné et de longues robes jusqu’aux pieds, des centaines de marmots courant dans tous les sens …

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Suicide collectif mode d’emploi

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Eviter, mais sans se presser, une guerre directe entre l'Arabie saoudite et l'Iran. Combattre l'Etat Islamique, mais sans vraiment le combattre. Ne pas éliminer le président syrien Bachar al-Assad, mais tout en essayant de l'écarter. Eviter que l'Iran n'occupe une partie de l'Irak, mais par pur soutien aux Saoudiens. Critiquer la Turquie islamiste, mais la maintenir dans l'OTAN et la faire adhérer à l'Union Européenne. Mettre fin, mais en douceur, à la guerre irano-saoudienne au Yémen. Normaliser les relations entre l'Occident et l'Iran.
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Fermer les yeux sur le nucléaire et le balistique offensif iranien. Ne pas mettre fin au soutien de l'Arabie saoudite, du Koweït, de la Turquie et du Qatar à l'Etat Islamique. Faire en sorte que des élections légistatives et présidentielles se tiennent au Liban, mais sans heurter le Hezbollah. Contribuer à la création d'un "Etat palestinien" alors que cela ne nous regarde pas et qu'en plus nous avons déjà assez de problèmes comme ça. Ne pas mettre fin à la prédication de l'islam radical dans les mosquées d'Occident. Ne surtout pas mettre fin au flux migratoire musulman massif vers l'Europe.
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Combattre par tous les moyens "l'islamophobie", en clair, combattre par tous les moyens la moindre critique de l'islam. Maintenir en Occident une laïcité à géométrie variable, qui soit d'un côté islamophile, et de l'autre, christianophobe et judéophobe. Continuer à diaboliser, jour après jour, Israël, tout en alléguant que nous serions soi-disant attachés à sa sécurité. Par le biais de toutes ces mesures suicidaires, contribuer à l'instauration d'un Califat en Europe, puis, d'un Califat universel basé sur la charia même si ça fait chier.
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Michel Garroté, 22 janvier 2016
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La substitution

 

Par Hank

La substitution démographique est l'un des thèmes les plus rebattus sur mon blog. À tous égards, c'est l'une des données majeures de ce début de siècle, l'une des rares, peut-être, qui permette de décrypter les bizarreries post-politiques auxquelles nous sommes soumis. L'Europe entière commence tout juste à faire face à un phénomène absolument inédit dans son histoire : l'installation massive sur son sol de populations étrangères désarmées, globalement pacifiques, super-prolifiques et en inadéquation culturelle quasi-totale avec les peuples supposés les accueillir sans rechigner. Ces peuples - les plus anciennement installés sur ce territoire, c'est à dire "les nôtres" - ont vu leurs taux de natalité se stabiliser très logiquement suite à une hausse conséquente du niveau de vie. Les conséquences de ce chassé-croisé sont évidentes : les derniers arrivés vont, en l'espace de quelques décennies seulement, prendre le pas sur les premiers, pourtant installés là depuis des siècles.
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Bref. Nous connaissions les déclarations de Boumédienne, ancien président algérien, en 1974 : "Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront avec leurs fils. Le ventre de nos femmes nous donnera la victoire." Celles de Kadhafi, actuel dirigeant libyen, en 2006 : "Le monde entier doit devenir musulman. Aujourd'hui, ici à Tombouctou, nous rectifions l'histoire. Nous avons 50 millions de musulmans en Europe. Il y a des signes qui attestent qu'Allah nous accordera une grande victoire en Europe: sans épées, sans fusil, sans conquêtes. Les 50 millions de musulmans d'Europe feront de cette dernière un continent musulman. Allah mobilise la Turquie, nation musulmane, et va permettre son entrée dans l'Union européenne. Il y aura 100 millions de musulmans en Europe. L'Europe subit notre prosélytisme, tout comme l'Amérique. Elle a le choix entre devenir musulmane ou déclarer la guerre aux musulmans." Celles d'Erdogan, premier ministre turque : "Les mosquées sont nos casernes, les minarets nos baïonnettes, les dômes nos casques et les croyants nos soldats."
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Nous connaissions la plupart des opinions des grands leaders du monde musulman au sujet de l'Europe.
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Mais c'est bien la première fois, à ma connaissance, qu'un leader musulman européen fait une déclaration de ce genre, avec autant de franchise. Monsieur Shahid Malik est un député britannique. Travailliste, bien entendu (le PS local, pour faire vite). Ancien secrétaire d’Etat à la Justice et actuel secrétaire d’Etat aux Communautés et au Gouvernement local. Ce n'est donc pas vraiment un obscur imam qui ne représenterait que lui-même. Ce n'est pas non plus un jeune discriminé issu des quartchés.
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Le document date d'octobre 2008 (félicitations à ceux qui l'ont déniché et traduit). Étrangement, il n'a pas été relayé. On se demande bien pourquoi :
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Voilà. C'est tout. C'est aussi simple que ça. Des peuples vont mourir, d'autres vont prendre leur place. Le pouvoir changera de mains. Pas de combat. Pas d'héroïsme. Pas de résistance. Seulement la démographie. Les ventres. La base de la base, le b.a.-ba.

Vous ne pourrez pas dire que vous ne saviez pas. Ou que c'est un fantasme d'estrême-drouââââte lepenistonaziste. Vous ne pourrez pas non plus vous plaindre parce que votre liberté part en lambeaux. Parce qu'on ne peut plus boire d'alcool ou bouffer du cochon. Qu'on ne peut plus chanter, peindre ou écrire. Qu'on ne peut plus se promener dans la rue en mini-jupe sans risquer de gros ennuis. Qu'on ne peut plus se promener tout court sans devoir baisser les yeux, pour les moins bien lotis.

Vous ne pourrez pas vous plaindre parce que - pour paraphraser un peu aléatoirement Renaud Camus et son ouvrage Le Communisme du XXIème siècle - "des pans entiers de la connaissance, de la culture et du savoir accumulé de l'espèce seront récusés, mis à bas et enterrés. Parce que des pans entiers de l'expérience, de l'actualité bien sûr, mais plus directement de l'expérience quotidienne de vivre, de bouger, d'habiter la ville, d'éprouver ce qui arrive quand on descend dans la rue, quand on prend l'autobus, le métro ou le train, des pans entiers du temps, des pans entiers du regard, des pans entiers de la tactilité d'exister auront disparu, et qu'on affirmera, très tranquillement (et, ajouterais-je, pour ne pas déplaire à nos nouveaux maîtres) qu'ils n'ont simplement jamais existé".

Vous ne pourrez pas non plus pleurnicher parce qu'un jour des désespérés décideront que non, vraiment, on ne peut pas laisser faire ça.

Enfin, il faut bien noter que ce député ne parle même pas de diversité ou de multiculturalisme. Non, non. Il parle de prendre le pouvoir. Purement et simplement. Sans même prendre la peine de noyer le poisson avec les habituels discours métissolâtres. Les choses sont dites crument. Le projet est annoncé. C'est officiel. C'est presque déjà fait, et avec le plus grand naturel du monde.

Car, nous dit à nouveau Renaud Camus, "nous avons cessé d'accueillir des individus, nous nous sommes mêlés de recevoir des peuples ; et cela d'un cœur d'autant plus léger qu'un peuple, on ne savait plus trop, ni ne voulait-on savoir, Hitler aidant, ce que cela voulait dire (mais lui oui). Et ces peuples à présent parmi nous, ils continuent, avec une innocente obstination de peuples (parfois un peu nocente, tout de même), à se ressembler à eux-mêmes, bien plus étroitement en tous cas qu'ils ne ressemblent à ce qui fût le nôtre. De ceci ni de cela ils ne paraissent éprouver grand regret, d'ailleurs. Ils n'ont pas lu Adolf Hitler, même à l'envers" (ndr : ils n'ont pas la crainte du retour du nazisme, ce spectre malveillant dont ils n'ont que faire et qui hante les seules consciences occidentales).

Ne manquons pas non plus de remarquer le sourire goguenard du député quand il dit "au cas ou il y aurait des journalistes ici, qu'ils sachent que ce [ndr : l'islamisation totale de l'Angleterre donc] n'est pas mon objectif". Le foutage de gueule à son paroxysme.

Bref, je ne sais pas s'il est arrivé une seule fois dans l'histoire qu'un grand peuple se soit laissé remplacer aussi facilement. Sans se poser la moindre question. En riant. En se félicitant pour sa tolérance.

Nous sommes minables.

Hank   (connu de la rédaction)

Le grand remplacement : témoignage

En 2011, revenant de ma Flandre natale, à destination de ma région d'adoption, la Champagne...
Revenant de ma Flandre natale, dont la frontière-sud est limitée au niveau de la rivière "La Lys", je voulais revoir la route nationale que j'empruntais, pour me rendre de Lille à Cambrai.
J'accède à Lille par l'autoroute en provenance de Dunkerque.  ( Dunkerque, fief des socialistes D. et D. mérite l'écrit d'une encyclopédie. Cela se fera prochainement : "L'art de couler un port maritime, à la sauce C.G.T" ou : "Coulage d'un port, par Rose-la-dunkerquoise"... )
Je traverse Lille-Sud par la voie rapide, "le périphérique".
Sur la gauche : les barres-HLM des "étrangers".
Sur la droite : les volutes de fumées s'échappant des camps de "voyageurs". Camps cachés de la vue des automobilistes, par le talus bordant "le périphérique".
Lille-capitale des Flandres... Capitale des Flandres ? (Gent et Brugge doivent rougir !)
J'emprunte l'autoroute de Paris, et sors à Carvin, afin de rejoindre la RN.
Arrivé à Douai, via Sin-le-Noble :
Une grande pancarte indique : "Ici, construction d'un éco-quartier à vocation HLM, constitué de 4000 pavillons individuels" (quatre mille).
Je contourne Douai et rejoins la RN, au niveau d'Arleux, pour acheter de l'ail, chez la productrice que j'ai toujours connue.
La dame me reconnait.
Je lui dis : "quel changement, par ici".
La dame se met à sangloter, expliquant que les "étrangers" posent problème.
Voulant en avoir le coeur net, je m'arrête, un peu avant Cambrai, à Aubigny-au-Bac, pour faire le plein de carburant. Cette station-service dans laquelle j'étais, également, connu.
Remarque identique, aux deux propriétaires : "quel changement, par ici".
Ils soupirent, puis les larmes coulent, discrètement.
Je demande ce qui se passe, dans ce coin du département du Nord.
Réponse :
Douai va doubler sa population, à court terme, par importation "d'étrangers".
Ces derniers mènent la vie dure, aux "souchiens" :
Interdiction de manger du porc et de boire de l'alcool (entre autres).
Le porc et l'alcool sont difficiles à trouver, dans le commerce local : ceux qui en vendent se font caillasser.
Si un "souchien" en trouve, et qu'un "étranger" l'aperçoit, les "frères" sont appelés et le "souchien" se fait insulter...voire, tabasser !
De plus, les "étrangers" fouillent les poubelles.
S'ils trouvent un emballage de jambon ou une bouteille d'alcool vide, la maison du "souchien" est vandalisée : jets de pierres dans les fenêtres, automobiles incendiées...j'en passe et de meilleures !
Voilà quelques motifs des pleurs des "souchiens" rencontrés entre Douai et Cambrai.
La police ? inexistante...le no man's land !
Voilà ce qui nous attend.
Dans le silence-complice des politiciens-de-tous-bords...
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P.S. Les 4000 maisons de Douai sont labellisées "éco-quartier".
Autant dire que ces maisons sont de qualité, bien isolées, chauffage au minimum.
L'APL (mon bas-de-laine) couvre le montant du loyer de ces petites villas destinées aux "étrangers" !
Au final, les "étrangers" sont mieux logés que les "souchiens", dans cette région déshéritée du Nord de la France. Cela, aux "frais de la princesse". C'est à dire, sur mon compte !
 
Tourcoing : "ZUP de la Bourgogne".
La ZUP fut très rapidement envahie par les "étrangers".
La technique employée, afin d'en chasser les derniers "français", fut la suivante :
Les numéros des plaques d'immatriculation des véhicules appartenant aux "français", furent inscrits, en un lieu de passage.
Les "étrangers" se mirent à l'oeuvre : Brûler les automobiles. Chaque incendie voyait le N° d'immatriculation, barré sur la liste.
Autant dire que les derniers "français" prirent la poudre d'escampette, vite-fait, bien-fait !
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Pour terminer en beauté...
L'affaire remonte à une bonne trentaine d'années.
Des amis âgés habitaient Tourcoing, rue du Dragon, précisément.
C'était un quartier peuplé de personnes vieillissantes, de familles-sans-histoire.
Les maisons étaient mitoyennes, comme on le constate souvent, dans le Nord.
De plus, ces maisons n'étaient pas luxueuses. Elles ne valaient pas très cher.
Mes amis coulaient des jours heureux, rue du Dragon.
Une petite maison fut mise en vente. Rapidement achetée par une famille "étrangère". Ces "étrangers" qui peuplent Roubaix-Tourcoing, actuellement.
Ces personnes se montraient serviables, gentilles, prévenantes.
Puis, une seconde maison fut mise en vente. Achetée par des "étrangers".
Ainsi de suite.
Plus les "étrangers" se faisaient nombreux, plus leur gentillesse diminuait.
On conseilla à mes proches de quitter le quartier avant qu'il ne fut envahi.
Il n'en fut pas question. Attachés à cette maison pour des motifs personnels, ils ne souhaitaient pas quitter leur lieu-de-vie.
Arriva le jour, où la rue du Dragon fut peuplée d'étrangers, en majorité.
Tout bascula rapidement :
Malgré leur âge, mes amis furent l'objet d'intimidations. On creva les pneus de la voiture, on dégradait la façade de la maison. Barricadés, volets clos, ils subissaient les injures quotidiennes, les "barre-toi", "sale pute"...l'urine, les défécations au seuil de la porte d'entrée...Le jardinet situé à l'arrière du domicile, fierté de la dame y cultivant quelques fleurs, fut transformé en dépotoir recevant les objets les plus hétéroclites.
Lorsque je leur rendais visite, j'étais obligé de garer l'automobile en périphérie de Tourcoing. Je me rendais chez eux, à pied, les "étrangers" se gaussant, à la vue de "l'envahisseur" que je représentais, à leurs yeux !
Dernier réveillon de Noël, rue du Dragon : Des "étrangers" avaient acquis les deux maisons mitoyennes.
Durant la soirée, ces charmants voisins s'entendirent afin de faire fonctionner des marteaux-piqueurs dans leurs habitations. Le réveillon fut gâché.
Il était trop tard.
Mes connaissances furent obligés de vendre leur maison pour un prix dérisoire, à ...des "étrangers".
Ces derniers avaient gagné : Ils avaient chassé les français-de-souche, occupaient le quartier dans sa totalité.
Ejectés, mes amis s'installèrent dans une "ruine", loin de ce lieu devenu "maudit".
Ils moururent très rapidement de cancer...ou plutôt, de cancer causé par le chagrin.
Parachèvement de cette "agréable" comptine : L'épouse était d'origine "pied-noir". Elle fut expulsée d'Afrique du Nord, emportant quelques biens, et...le fruit, bien maigre, des transactions opérées "en partenariat", vis-à-vis des nouveaux propriétaires des lieux.
Virée de son domaine, deux fois, de suite !
Les pieds-noirs ? "Les oubliés de l'Histoire".
Reconnaissons que cet oubli convient, parfaitement, à tous les partis, ainsi qu'à toutes les parties.
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Et, en guise d'épilogue, voici un texte écrit par un Algérien plus lucide que nous. Extraits :

 "Pour les Français, le train de l'Histoire est arrivé à son terminus. C'est fini. Il faut ramasser ses bagages et se préparer à descendre.
 Quand la Seine-Saint-Denis a commencé à pourrir, les Français de souche ont quitté la Seine-Saint-Denis transformée depuis en coupe-gorge.
 De la même manière, ils quittent Lille, Marseille, Roubaix, les quartiers nord de Paris.
 Progressivement, viendra le jour où changer de ville ne résoudra pas le problème.
 Il faudra alors s'écraser ou bien quitter le pays.  Peu à peu, le Français de souche se fait remplacer et il est heureux.
 Il regarde béatement sa Nation partir dans le tout-à-l'égout...
 Dans l'océan, quand un animal est blessé, les rapaces viennent de partout.  Chacun veut son petit morceau. La France est aujourd'hui cet animal mourant.
 Jusqu'au fond de l'Afrique, le dernier des somaliens accourt pour prendre son petit morceau. Par leurs impôts, les Français financent les logements, la nourriture et les      soins de ceux qui sont en train de les remplacer.  Quand il n'y aura plus assez de travailleurs pour payer les parasites, ça sera le chaos et la violence.
 Pour son immigration, la France a particulièrement choisi des populations incapables de gagner ou de produire ne serait-ce que leur pain quotidien. Les Français ne souhaitent qu'une seule chose : Disparaitre. Ils ont trop honte d'exister.
 Ils se sentent tellement coupables qu'ils traversent ce monde en s'excusant.
 Leurs ancêtres ont, pour diverses raisons, tué des gens.
 Si je remonte assez en arrière, les miens ont aussi tué des gens.
 Ça m'empêche de dormir la nuit ?
 Ça me donne envie de faire envahir mon pays par des crevards ?
 Probablement pas ! "
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JMD (nom connu de la rédaction)

Remplacement de Population en Suède et en… Silence !

Par Aldo Sterone

C’est quoi le point commun entre l’organisation terroriste Etat Islamique et la Gauche Politique suédoise ? Aucun, les deux mènent une guerre de génocide et d’éradication ethnique. EI contre les kurdes, chiites et yazidis, la Gauche suédoise contre les habitants historiques de leurs propres pays. Selon des modalités différentes, ils travaillent à la réalisation d’objectifs similaires dans leur finalité. Le génocide etant un crime contre l’humanité, chaque humain doit se sentir concerné et a le droit de s’en mêler. Il n’est pas besoin d’être kurde pour dénoncer les crimes de l’Etat Islamique comme il n’est pas nécessaire d’avoir du sang viking pour dénoncer le génocide lent que subit ce peuple…

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