Avant d’aller en prison, le pédocriminel Jeffrey Epstein a fait d’importantes donations à une mystérieuse association liée à Jack Lang

Peu de temps avant d’être arrêté puis de mourir en prison, l’homme d’affaires américain a fait d’importantes donations à une association dont les dirigeants sont des proches ou d’anciens proches de l’ex-ministre de la Culture.

Jack Lang n’a jamais caché ses liens d’amitié avec Jeffrey Epstein. Dans une interview accordée à franceinfo, il avait décrit le milliardaire américain comme étant « personne charmante, courtoise et très agréable ». Il avait également déclaré dans le même entretien avoir vu le pédocriminel à plusieurs reprises entouré de « plusieurs jolies femmes, qui n’étaient clairement pas mineures ». Il s’était ensuite dit très surpris d’apprendre que Jeffrey Epstein était accusé de pédophilie.

 

Mais les révélations du site d’information américain The Daily Beast posent question sur les liens réels qui unissaient l’ancien ministre socialiste de la Culture français et l’homme d’affaires sulfureux. En effet, d’après le média américain, Jeffrey Epstein a fait plusieurs donations importantes à une mystérieuse association dirigée par plusieurs proches et anciens proches de Jack Lang.

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Cette découverte est d’autant plus étrange que l’association gérée par des proches de Jack Lang semble presque inexistante. Elle n’a aucun site Internet et n’est présente sur aucun réseau social. D’autre part, la mission officielle de l’organisation est pour le moins vague et serait de promouvoir les grands leaders de la politique culturelle des années 1980 et 1990 et leurs accomplissements.

Les membres les plus hauts placés de l’association sont tous liés d’une manière ou d’une autre à Jack Lang.

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Valeurs Actuelles

 

Non, socialaud Jack Lang, les Arabes n’ont pas inventé l’algèbre, ni la chimie !

Publié le 26 février 2020 - par

L’ancien ministre Jack Lang maîtrise l’art de l’écran, non pas l’écran de cinéma ou de télévision, mais l’écran de fumée. Il se gargarise de grands mots, bien public, intérêt général, progrès, pour faire de l’islam l’alpha et l’oméga de la République.

Dans son dernier livre, il laisse accroire qu’il n’a que des buts louables : développer l’enseignement de toutes les langues étrangères dans les collèges, les lycées et les universités et réduire la domination de l’anglais. C’est enfoncer une porte ouverte : depuis longtemps (20 ou 30 ans), l’Union européenne a exigé de tous les États membres qu’ils développent l’enseignement des langues étrangères. Quant à la domination de l’anglais, elle résulte de la globalisation financière et de la mondialisation des échanges qui ont été conçues et imposées en France, en Europe et dans le monde après 1983 par les socialistes, dont Lang himself, sous la houlette de Delors. Étienne Dolet se gausse de ce ministre qui déplore les effets des causes qu’il chérit.

Venons-en à l’essentiel. Lang cite l’algèbre, la chimie, l’algorithme, dont il attribue l’invention aux Arabes. En réalité, le nom algèbre résulte de la latinisation d’un article suivie d’un nom – al jabr -, employé par Al Khawarizmi (fin IXe-Xe siècles), qui n’était pas arabe, dans le titre d’un traité sur les opérations de restauration et de réduction dans les égalités. C’est de la bonne arithmétique certes, mais loin de ce qu’est l’algèbre. Al jabr est un mot de la langue courante, l’algèbre est une discipline : il y a un abîme entre le mot et la chose. La survalorisation, totalement idéologique, des Arabes dans l’élaboration d’une civilisation, comme en témoignent les chiffres indiens, dits à tort arabes, et le zéro (qui n’est jamais dit arabe – par euphémisme sans doute), a pour effet l’effacement du nom et l’oubli de l’œuvre de celui qui a fait de l’algèbre une véritable science : François Viète, protestant et compagnon d’armes d’Henri IV. Jack Lang a été ministre de l’Éducation nationale. Il ne faut pas s’étonner que, sous l’emprise d’un politicien aussi obscurantiste, les écoles de France soient tombées dans les abîmes du trente-sixième dessous.

Il en va de même pour l’exemple de l’alchimie. C’est le mot lui-même qui vient des Arabes, qui l’ont emprunté aux anciens Égyptiens, lesquels avaient de vraies connaissances dans la transformation des matières organiques, ne serait-ce que pour réussir les processus de momification. Faire des Arabes les inventeurs de la chimie, sous le prétexte que le mot alchimie a été emprunté à leur langue, c’est guillotiner une seconde fois après 1794 Lavoisier, le génial inventeur de cette science qu’est la chimie. Voilà à quoi besogne un ancien ministre de la Culture et l’Éducation nationale. Pour lui, la culture est inculture et l’éducation un formatage idéologique.

Il en va ainsi de l’algorithme. C’est un mot valise, formé du mélange de deux mots : un mot emprunté à la langue espagnole (alguarismo) laquelle l’a emprunté à l’arabe et un mot grec arithmos (d’où arithmétique), qui signifie nombre. Il y a très longtemps, l’algorithme était l’art de compter avec les chiffres dits arabes ou le système de numération décimale en chiffres arabes. La science des algorithmes est toute différente et n’a quasiment aucun rapport avec le mot arabo-espagnol mâtiné de grec.

Quant aux mots arabes utilisés en français, ce sont surtout razzia, matraque, séide, Allah akbar, kouffar, djihad, chicha, haschich, Qoran, etc. et leurs équivalents : mécréants, associateurs, égorger, tuer, etc. Les termes désignant des réalités de la civilisation, jupe, sucre, abricot, ont été empruntés aux diverses langues de l’Italie, de l’Espagne ou de l’ancien Empire byzantin.

Certes, il y a depuis le XVIe siècle au Collège de France d’admirables orientalistes qui ont pris pour objet d’étude la langue arabe, la religion musulmane, les mœurs et les coutumes des Arabes. Mais, les chercheurs en sciences sociales et islamiques actuels les tiennent au mieux pour des mécréants, au pis pour des ennemis de l’islam et des Arabes. Lang ferait preuve de courage si, au lieu de les couvrir de mépris, il exhumait leurs œuvres. Mais le plus grand d’entre eux, Barthélemy d’Herbelot de Molainville (XVIIe siècle), était jésuite et sa Bibliothèque orientale reste méconnue.

Le livre Langue arabe, Trésor de France est au mieux de la propagande, au pis une énorme provocation, du type CRS SS ou Staline antifasciste ou Mitterrand résistant, slogan que Lang ânonnait déjà il y a un demi-siècle. Tout dans le titre, comme dans la volonté de faire de l’arabe une langue de France, pue la désinformation bête, le mensonge pourri, la propagande débile. Tout ça est bien digne d’un vrai socialaud.

Étienne Dolet

source:

Paris : Jack Lang célèbre « L’arabe, une langue de France » à l’IMA

Pour cette édition placée sous le signe du plurilinguisme en France, Jack Lang, président de l’IMA, souhaite rappeler combien l’arabe est, aujourd’hui, pleinement une langue de notre pays. « L’arabe, une langue de France », car elle est quotidiennement pratiquée à l’oral comme à l’écrit dans l’hexagone.

Malheureusement, elle souffre encore d’une image ambivalente et ne bénéficie pas de l’enseignement qu’elle mérite à l’école. C’est pourquoi l’IMA propose tout au long de l’année, avec son Centre de langue, un enseignement moderne et laïque, loin de toute considération religieuse ou ethnique, ouvert à tous les âges et tous les niveaux. […]

IMA

Via Fdesouche

Jack Lang traite Donald Trump de «président de merde»

L'ancien ministre de la Culture Jack Lang ne mâche pas ses mots pour dénoncer les propos de Donald Trump sur les "pays de merde", qualifiant en retour le président américain de "président de merde".

L'ancien ministre de François Mitterrand a utilisé cette expression samedi sur son compte Twitter et sur Facebook. "C'est un cri du coeur, un cri de révolte après ce qu'il a dit sur les Haïtiens", s'est justifié Jack Lang contacté par l'AFP. "J'ai envie qu'on dise dans le monde entier: 'président de merde', comme un cri de ralliement contre ce personnage humiliant et offensant", a insisté le président de l'Institut du monde arabe (Ima).

jack lang

"Ce qui m'a motivé, a expliqué l'ancien ministre âgé de 78 ans, c'est d'entendre ce type (Donald Trump, ndlr) chaque heure chaque jour dire n'importe quoi, insulter".

L'ancien ministre qui se déclare "solidaire" des pays africains et d'Haïti, "pays que j'aime", a dénoncé le "mépris" du président américain à leur encontre. "Ce mépris est inqualifiable. C'est blessant, offensant (...) Tous les jours, il déverse du mépris sur les uns sur les autres".

Selon Jack Lang, Donald Trump est "un xénophobe et un raciste maladif". "C'est indigne de l'Amérique, grand pays de liberté, de grandes aventures d'émancipation", a estimé l'ancien ministre.

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France: Pour Jack Lang, la langue arabe devrait être reine en France.

Jack Lang a donné une interview à Libération dans le cadre de la semaine de la fête de la langue arabe. Il regrette que cette dernière n’ait pas une place plus importante en France.

Le président de l’Institut du monde arabe s’est confié sur sa conception de la place de l’arabe en France au journal Libération. Pour lui, nul doute possible, “nous sommes dans un pays où la langue arabe devrait être reine” car c’est “la quatrième langue la plus parlée au monde, la sixième officielle des Nations Unies, la cinquième en France”.

En rappelant certains liens historiques entre la France et le monde musulman, l’ancien ministre de l’Education national affirme que ce dernier “fait partie de nous-même” et que “c’est une chance d’avoir été ensemencé par ces cultures. Il faut le revendiquer avec fierté”. Il rappelle plus loin que lorsqu’il a été ministre de l’Education nationale entre 2000 et 2002, il s’est battu pour “l’enseignement des langues vivantes dès le CP, et en particulier l’arabe”…

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