Par Mahin Nezam Mafi
Le mot islam signifie littéralement soumission, donc dépendance. L'islam est-il une une idéologie suprémaciste, totalitaire, sectaire, fanatique, politique, et fasciste déguisée en religion? L’islam correspond-il à notre conception européenne de la notion de religion? Evidemment, depuis la nuit des temps, chaque religion dans le monde et chaque religieux, ont leur propre appréciation de ce qu’il leur convient d’appeler religion.
L’Europe judéo-chrétienne et greco-latine, depuis Cicéron qui fut assassiné en 43 avant J-C, soit VII siècles avant la naissance de l’islam de Mahomet, a la sienne. Dans nos langues européennes, où le terme religion est issu du terme latin «religio», la religion est envisagée comme ce qui concerne la relation entre l'Humanité et Dieu, alors que dans le coran, le terme arabe « dîn", qui peut être considéré comme l’équivalent de notre terme religion, désigne la nature de l'islam comme un système idéologique tout à la fois politique, militaire, économique, social, juridique et « religieux », soit un mode de vie caractérisé par la soumission complète de l'individu à une divinité (Allah), à son messager (Mahomet), à la loi coranique en particulier à la « charia », si ce n’est au calife le lieutenant de Allah.
Une religion est une organisation humaine qui affirme apporter un message et un prêche d’une morale positive et humaniste (déiste ou philosophique) à laquelle des citoyens et des citoyennes sont invités à adhérer. Affaiblis par une ignorance crasse de l’islam, certains de nos élus, de même que des juges qui leur sont soumis, affichent leur antiracisme en confondant race et religion, s’opposent à la libre expression, cherchent à imposer, comme lors de l’Inquisition espagnole, une censure et une police de la pensée, définissent la religion de façon simpliste, c’est-à-dire avec une vision élémentaire et trompeuse, comme « un système de croyances débouchant sur une pratique partagée ». Une telle définition ouvre la porte à tous les abus; cela signifie que tant les idéologies politiques autoritaires comme le nazisme, le maoïsme, le castro-chavisme, l’islam, etc, que des concepts à la fois économiques, sociologiques et politiques comme le capitalisme, ou des courants de pensée et de mouvances politiques comme le socialisme international, ou encore des orientations telles que la pédophilie, l’homosexualité, le mariage pour tous, la zoophilie, etc, seraient des religions. Ce n’est pas parce qu’on voue une sorte de vénération, un attachement passionné d’aficionado voire un culte à une des douze principales divinités gréco-romaines, un sportif dieu du stade, un petit dieu fils à maman, la politique, une idéologie, un « Führer », un guérisseur, l’aveugle dieu du hasard, le dieu dollar, le politiquement correct, etc, qu’on les considère comme supérieurs, voir même qu’on a la conviction ou fait croire que tel dieu, telle divinité, tel guide, tel messager, tel guérisseur, tel dirigeant, etc, ont des pouvoirs surnaturels, qu’on a une religion. Il y a croyance et croyance, superstition et superstition, religion et religion, idéologie et idéologie, conviction, secte et foutoir.
A noter que pour de nombreux Français la religion musulmane n’est pas une religion mais serait une secte. Les critères précisés par plusieurs commissions d’enquêtes parlementaires françaises mettent en évidence les indices suivants permettant de caractériser l’existence d’un risque de dérive sectaire:
• manipulation puis déstabilisation mentale
• destruction de la personne et/ou de la famille, voire de la société
• contrôle de la pensée des adhérents
• viol psychique des adhérents
• caractère exorbitant des exigences financières,
• rupture avec l’environnement d’origine,
• existence d’atteintes à l’intégrité physique,
• endoctrinement et embrigadement des enfants,
• discours antisocial,
• troubles à l’ordre public
• importance des démêlés judiciaires,
• éventuel détournement des circuits économiques traditionnels,
• infiltration des pouvoirs publics.
Selon la Commission parlementaire française d'enquête sur les sectes, une secte est un groupe visant par des manoeuvres de déstabilisation psychologique à obtenir de leurs adeptes une allégeance inconditionnelle, une diminution de l'esprit critique, une rupture avec les références communément admises (éthiques, scientifiques, civiques, éducatives), et entraînant des dangers pour les libertés individuelles, la santé mentale et physique, l'éducation, les institutions démocratiques. Tout un chacun constate qu’un grand nombre de ces critères concernent l’islam tel que décrit dans ses « sacro-saints » textes et pratiqués par de fervents musulmans qu’ils soient guides doctrinaires ou disciples. Un point important est que, dans les sectes et les idéologies autoritaires, contrairement aux religions, il n’est pas autorisé, voire impossible, de les quitter; c’est le cas de l’islam puisque le crime d’apostasie y est des plus sévèrement puni.
Au XXI ème siècle en Europe, nous ne sommes plus au temps des croisades, loin de tout parti pris idéologique:
• Une vraie religion est un choix personnel. Renoncer en son âme et conscience à une religion et l’athéisme sont également des choix personnels. Le musulman, lui, nait musulman et est obligé de mourir musulman. Il n’a pas le choix. Etre musulman est une obligation héréditaire depuis la création du monde par Allah l’unique dieu. Au contraire pour nous européens, comme l’a écrit Lucius Caecilius Firmianus, dit Lactance (250-325) surnommé le « Cicéron chrétien » et l’a rappelé Voltaire (1694-1778): « La religion forcée n’est plus religion ; il faut persuader, et non contraindre. La religion ne se commande point. » Le musulman est donc totalement dépendant de l’islam. Comme toute dépendance, celle du fervent musulman est l'impossibilité partielle ou totale pour lui d'effectuer, sans l’aide et les instructions impératives de ses guides doctrinaires et des écrits « sacro-saints » de l’islam, les activités de la vie quotidienne, qu'elles soient physiques, psychiques, sociales, économiques, politiques, militaires, etc, et de s'adapter à son environnement, tant en pays musulman qu’en Occident. De plus sa perte d’indépendance fonctionnelle influence à l’évidence sa vie affective et celle de de ses proches et de ses enfants; alors que la relation parents-enfants est justement le lieu de formation et de structuration de leur personnalité. De même que toute personne devenue dépendante de son entourage et de son idéologie, le musulman puise dans des registres archaïques et réactive des modes de relations anciens et infantiles et en souffre. Au contraire, le chrétien occidental est caractérisé par son autonomie, sa capacité à se gouverner soi-même ce qui présuppose la capacité de jugement, c'est-à-dire la capacité de prévoir et de choisir, et la liberté de pouvoir agir, raisonner, accepter, remettre en question ou refuser en fonction de son jugement et de sa conscience. Cette liberté s'exerce bien évidemment dans le respect des lois laïques, de nos usages communs et de nos valeurs et vertus. Contrairement au musulman, le chrétien est ainsi caractérisé par sa cohérence: il est un citoyen qui converse et/ou se comporte de façon logique, raisonnable, critique et sensée par rapport aux normes admises par la nation dans laquelle il vit.
• Contrairement à l’islam, dans nos démocraties, chaque citoyen peut choisir et pratiquer une vraie religion comme il l’entend, à la condition que cette/sa religion reste dans le domaine privé. L’islam actuel ne sera ainsi jamais une religion européenne
• Alors que nos religions respectent les états laïques et la prise de position de Jésus Christ « Rendez à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu », les musulmans, eux, refusent la laïcité. Le terme laïque est frappé d’anathème dans le monde musulman où il est pris pour synonyme d’athéisme, ce qui est, pour les musulmans, un péché très grave d’une personne « enfoncée dans la mécréance ».
• Contrairement à l’islam-idéologie, une vrai religion ne prive pas les gens de leur droit le plus important: penser, raisonner et s’exprimer, cela librement. Les chrétiens, qu’ils soient catholiques ou protestants, ne sont pas liés à Dieu aveuglément, mais librement par la démarche de la raison.
• Aucune vraie religion ne tue ceux qui la quittent. L'islam lui justifie le meurtre de tout musulman qui désire faire le choix libre en son âme et conscience de quitter l’islam. Ce faisant, l'islam se comporte comme un système idéologique totalitaire et barbare, pas du tout comme une vraie religion comme la catholique ou la protestante.
• Une vraie religion n’ordonne jamais de tuer, de soumettre ou que l’Etat taxe les citoyens, soit les « dhimmis », qui ne choisissent pas d’en être membres. L’islam affirme même, que si un musulman a faim et n’a rien à manger, il a l’ordre de tuer un non-musulman ou un athée et de le manger. L’université islamique du Caire l’a encore confirmé il n’y a pas longtemps. Il est évident que cette institution égyptienne n’est pas du tout une université comme les nôtres, par exemple celle de Zurich, fondée en 1833, et qui fut la première université d’Europe à ne pas devoir son existence à un prince ou à une religion, mais à une décision populaire du Souverain.
• Contrairement à l’islam, une vraie religion fait preuve de tolérance, de miséricorde et respecte les droits fondamentaux de l’homme, de la femme et des enfants.
• Contrairement aux vraies religions, il est fort difficile de trouver les notions de paix et d'amour dans les écritures haineuses de l’islam. Le coran est politique et belliqueux. Jésus et Mahomet ce n’est donc pas du pareil au même, même pour un athée.
• Contrairement à l’islam, pour une vraie religion, Dieu respecte tous les peuples et toutes les cultures, athéisme inclus. Il fut un temps où la doctrine catholique interdisait aux théologiens de débattre avec des « hérétiques », mais cela est de l’histoire très ancienne.
• Pour une vraie religion, tuer au nom de Dieu est un blasphème, un péché mortel et un assassinat pour nos lois. Pour l’islam tuer au nom de Allah est un acte glorieux, preux, saint et légal.
• Pour une vraie religion, il n’est pas admis d’avoir une position de pouvoir et d’en profiter pour détruire la vie d’une autre personne ou l’agresser. Le crime d’honneur, les brûlures à l’acide et le viol punitif musulmans sont tout le contraire.
• Ce sont les idéologies comme le nazisme, le communisme internationaliste, les impérialismes des USA et de l’UE et l’islam qui apportent la guerre, pas les vraies religions telles qu’elles ont évolué au XXI ème siècle.
• Le mot amour ne figure pas dans le coran. Tant la haine, qui y est citée si souvent et qui est toujours un état émotionnel intense, hostile, barbare, calculé, froid, systématique et très particulier, que le « djihad » ne lui laissent aucune place.
• Pour les chrétiens, les bouddhistes et autres, Dieu ou l’équivalent est bienveillant et pardonne. Allah lui est menaçant, autoritaire et vengeur.
• Toutes les vraies religions laissent une porte de sortie à leurs fidèles. Pour les musulmans, Allah est tout le contraire. Il est menaçant, conquérant, vengeur, unique et les musulmans lui appartiennent. En islam, aucune porte de sortie, sauf vers l’enfer éternel.
• Le christianisme, tout comme par exemple le bouddhisme, est avant tout une religion personnelle et intime, avec des doctrines mystiques et un amour de l’état contemplatif. Ce qui manque à l’idéologie musulmane, c’est précisément ce religieux, au sens spirituel du terme. Voilà pourquoi, quand on voit se recueillir et prier un/une fervent/e croyant/e d’une vraie religion, on ne peut s’empêcher d’être ému; au contraire lorsqu’on voit des hommes musulmans prier ostensiblement dans la rue, on n’est pas ému parce qu’ils sont prosternés, «culos en pompa», pour adorer servilement l’idéologie qui les maintient dans la soumission.
• Au lieu de traiter ses disciples comme des êtres humains spirituels, l’islam les contrôle dans leurs moindres aspects, gestes, écrits, pensées et paroles, comme si ils étaient des objets. Toute théorie idéologique devient pour le musulman une prison avant même qu’il ne l’ait étudiée en détails; du reste une telle étude lui est interdite.
• L’islam, tout comme le communisme internationaliste et le nazisme nationaliste, a une finalité pratique, sociale, matérielle, prosélytique, politique et guerrière dont le premier objectif est d'étendre et de récupérer sa domination sur le monde. Cela n’a rien de religieux.
• L’islam n’est pas une race mais une croyance premièrement idéologique; Une idéologie qui croit convertir le monde entier à l’islam et tuer tous les mécréants n’est pas une religion mais qu’une utopie qui se doit d’être exposée à toute opinion et critique.
• L’islam est une législation pas une spiritualité intime. Ce n’est même pas une errance spirituelle comme certaines sectes ou superstitions. N’ayant guère de dimension spirituelle et n’étant pas exclusivement de la sphère privée de chaque citoyen, mais une législation étatique et une idéologie totalitaire, l’islam n’est pas une religion comme nous le concevons en Occident. Du reste selon les écritures de l’islam, un musulman, qui croit seulement en un islam spirituel, blasphème l’islam.
• Pour les chrétiens, vont en enfer ceux qui font des péchés d’ordre moral. Au contraire, l'enfer musulman est avant tout une prison politique, puisque la grande majorité de ceux qui sont condamnés à l’enfer le sont pour avoir été en désaccord intellectuel, légal ou rituel avec Mahomet et seulement quelques uns pour avoir tué, volé, violé ou commis d’autres péchés contre la morale. Pour les musulmans, se désolidariser d’un frère agressé par les infidèles ou renier l’islam sont les plus grands des péchés; être athée est un péché impardonnable; tous les mécréants sont condamnés à l’enfer éternel. Pour le coran aucun crime n’est passible de prison; par conséquent on coupe la main du voleur, etc. Tout simplement parce que, il y a XIV siècles, lorsque Mahomet affirme avoir reçu sa dictée de Allah, les prisons n’existaient pas en Arabie. Bien sûr les chrétiens occidentaux furent aussi de sauvages barbares, mais, contrairement aux musulmans, ils évoluèrent, se réformèrent et se civilisèrent. Par exemple sous le roi français Chipéric III, en 744, on coupait le poing aux faux-monnayeurs. Cette pratique se transmit pendant plusieurs siècles en France et ailleurs en Occident. C’est le bon et rigide saint Louis qui le premier modifia ce châtiment corporel; il ordonna de crever les yeux aux coupables. Finalement, le 25 septembre 1791, la Constituante française substitua 15 ans de travaux forcés à la peine de mort pour faux-monnayage. Les musulmans, eux, sont figés au VII ème siècle et s’y accrochent avec véhémence et grotesque.
• Le coran n’est pas un texte inspiré, mais une dictée divine qui aurait été faite, dans l’intimité, à l’analphabète Mahomet par l’ange Gabriel ou ange Jibril, ce qui fait que l’islam n’est pas une religion similaire à la catholique ou la protestante.
• Mettre en question les religions, la catholique par exemple, c’est normal et accepté depuis l’Inquisition. De plus au XVI ème siècle nous avons eu la Réforme en Europe. L’historicité de Jésus a été débattue depuis deux siècles en Europe et aux États-Unis, sans qu'un seul de ceux qui niaient son existence ait été menacé de mort. Au contraire, mettre en question l’islam pour un musulman s’est se condamner à mort, puis aller en enfer. Les lois des pays musulmans contre le blasphème, défini comme discours ou acte jugé irrévérencieux à l'égard de ce qui est vénéré par un ensemble de croyances et de dogmes musulmans ou de ce qui est considéré comme sacré, soit mépris de Allah ou du divin, existent encore dans près d'un quart des pays du monde. Les pays musulmans, qui interdisent l’apostasie, punissent le blasphème comme un crime, certains d'entre eux fort sérieusement; récemment un chrétien au Pakistan a été condamné à mort par pendaison pour avoir « insulté » le messager Mahomet lors d'une simple conversation dans la rue avec une connaissance musulmane modérée qui s’empressa de le dénoncer à plus fervent que lui.
• En Europe, quand nous parlons de religion, il nous est évident que nous prenons des engagements pour des croyances et des comportements éthiques et tenons compte des relations existant entre croyance, morale et comportement. Mais vu que toute religion a des inconvénients, nous n’en faisons pas la base inconditionnelle de la morale. Comme exemple de relation entre croyance et comportement pensons au mariage religieux et civil en Occident, mariage d’un couple qui n’a évidemment rien à voir avec le mariage musulman (souvent avec une fillette) ou avec le « muta » ou « nikah al-mut’ah » ou mariage chiite ou temporaire ou de plaisir, soit de fait une forme de prostitution si ce n’est de pédophilie. Rappelons que le véritable pivot autour duquel gravite le chiisme, avec ses « mariages », est la figure de l’ « imam » soit du guide doctrinaire. Ainsi, certaines fillettes musulmanes seraient mariées jusqu’à 60 fois avant de fêter leurs 18 ans. Mais l’islam est sauf, ces fillettes galantes sont halal, elles ne boivent pas d’alcool, ne se droguent pas et prient 17 fois par jour.
L’oecuménisme entre catholiques et protestants professe que Dieu et la Vérité ne sont pas une dans ses révélations, comme l’affirment les musulmans. C’est ce que la gauche chrétienne, la gauche athée et la théologie de la libération n’ont toujours pas compris de l’islam. Par conséquent, alors que l’oecuménisme entre catholiques et protestants peut être réaliste, tolérant, voir même parfois enrichissant, il est illusoire d’avoir un dialogue « interreligieux » entre une religion par exemple la catholique ou la protestante et une idéologie par exemple l’islam ou le nazisme; les problèmes d’intolérance et de totalitarisme, le droit à la différence, les péchés mortels pour l’une mais pas pour l’autre et le discours victimaire surgissent dès les premiers échanges. De même il est absurde d’attendre bienveillance et paix de la part d’une doctrine qui réclame guerres, pillages, expropriations, esclavagisme, mutilations corporelles des enfants, pédophilie, meurtres et impunité pour les assassins des mécréants et les crimes d’honneur. Une telle idéologie ne devient pas une religion par le simple fait de se référer à un divinité ou parce que l’islam des musulmans radicaux est en quelque sorte un communisme avec un dieu; les pauvres auraient aujourd’hui un défenseur autoproclamé: l’islam radical. Des milliards de personnes ont cru dur comme fer aux dogmes idéologiques de la lutte des classes, de la dictature du prolétariat et des lendemains communistes qui chantent. De même plus d’un milliard de personnes ont cru et croient encore dur comme fer au lendemains paradisiaques de l’islam-idéologie.
Les habitants des pays musulmans sont des vassaux, non pas d’une religion comme ce le fut des catholiques lors de l’Inquisition catholique, mais d’une idéologie qui, ni ne respecte les personnes, ni ne valorise les idées de ces personnes, ni ne permet leur libre expression. Les musulmans ne vivent pas dans une religion mais dans une prison idéologique où l’asservissement commence avec l’aliénation culturelle et linguistique et où la pauvreté du vocabulaire et du spirituel n’a d’égal que la pauvreté des pensées de leurs guides doctrinaires.
En conclusion, contrairement à nos religions occidentales et à l’athéisme, l’islam-idéologie n’est pas une religion mais une doctrine idéologique et une politique prosélytique de colonisation islamique qui s’imposent par la force et la violence. Trop de nos élus et leur ministère de la propagande que sont les médias se plaisent à entretenir la confusion et à parler, à tort et comme Hitler, de religion musulmane. C’est fou comme Hitler, après sa mort, a pris de l’importance dans le monde. L’islam est une idéologie qui justifie l’engagement dans l’action violente où le terroriste musulman met en pratique sa rage de détruire notre modèle démocratique européen, nos valeurs, nos vertus et nos religions. Le terroriste musulman est un musulman dévot, une tête vide et un fanatique qui croit au prosélytisme par la force et la violence, sans se soucier d’être cruel comme un barbare assassin ou généreux comme un missionnaire. Ce dévot d’Allah ne peut pas tolérer notre modèle démocratique qui choisit librement ses dirigeants, débat librement puis remet régulièrement en cause ses choix précédents, bref évolue avec tolérance.
Mahin Nezam Mafi (connu de la rédaction)