Il a un petit air de fiction, cet hôpital mobile qui, au lieu d’accueillir les patients de la dernière infection, est destiné à recevoir… tous les autres. Etrange dispositif. Ce n’est pas ainsi qu’on procède ailleurs. Faut-il y voir une causalité ? Des chimiothérapies sont interrompues, des diabètes négligés, des dialyses différées, des hypertensions délaissées, les missions mensuelles ou trimestrielles de médecins suspendues. Voilà plus de quinze ans que l’Etablissement français du sang a déménagé, pas de banque de sang sur place, tout le sang vient d’ailleurs, avec son capital génétique.
Via Fdesouche
Note : Cette femme a reçu un doctorat honoris cause de l'Université de Genève.
L'Université de Genève mentionne que "Parmi ses réalisations, on peut citer la «loi du 21 mai 2001 tendant à la reconnaissance de la traite et de l’esclavage en tant que crime contre l’humanité» dite loi Taubira."
Or elle n'a guère sanctionné ou rappelé la traite négrière effectuée par les musulmans comme le dit un article du journal l'Express.
Cette femme a également censuré toutes les exactions commises par les négriers africains :
"Le risque de voir cette histoire partielle, donc partiale, devenir histoire officielle a mobilisé les historiens quand l'un des meilleurs spécialistes actuels des traites négrières, Olivier Pétré-Grenouilleau, a été attaqué en justice au nom de la loi Taubira. Parce qu'il rappelait que la quasi-totalité des esclaves africains avaient été razziés non par des Blancs, mais par des négriers africains et que le commerce des esclaves était une routine sur le continent noir bien avant l'arrivée des négriers européens. Il lui était aussi reproché de réfuter l'application du terme de «génocide» aux traites négrières, contredisant ainsi le parallèle implicite entre l'esclavage et l'extermination des juifs qu'évoque l'exposé des motifs de la loi Taubira."