Rediffusion et MàJ 5.4.2017 : Journaliste ou diffamateur obsessionnel ? “Suisse : Pourquoi le journaliste Grégoire Barbey rêve de devenir musulman”

Le même journaliste (photo ci-dessus) Grégoire Barbey s'en prend maintenant à  l'homme politique Yvan Perrin de manière odieuse et scandaleuse et diffame par la même occasion notre site LesObservateurs.ch qu'il ne cite pas nommément- par lâcheté?- en nous désignant comme "site notoirement raciste et xénophobe". Nous ne sommes en rien raciste, cela fait des années que nous luttons contre ce phénomène, et le racisme étant condamnable nous allons dorénavant systématiquement faire appel à la justice et exiger de très importants dommages et intérêts car la volonté de nuire à notre site est ici encore plus évidente.

Le plus simple aurait été d'ignorer ce journaliste accusé publiquement de faits d'une gravité extrême  dont il a dû répondre. Pour rappel : le détail de ces accusations figure dans l'article complet repris ci-dessous, en juin 2015,  et publié en premier par un autre site à l'occasion d'une attaque tout aussi scandaleuse et indigne de sa part contre une autre journaliste.

Pour son professionnalisme ne manquez surtout pas la vidéo (seulement 2') de l'une de ses interventions télévisuelles. Ce n'est pas un montage!

Extraits de l'article de juin 2015 repris en totalité ci-dessous:

"Ce pauvre garçon a dû répondre d’accusations graves, comme voies de fait qualifiées, injures, menaces, contraintes sexuelles et viol. Concrètement, la plaignante, son ancienne compagne, affirme que «Il m’empêchait de voire ma famille, de sortir; m’enfermait, me contrôlait; menaçait de me faire du mal ou de se suicider. Il tapait contre les murs et cassait la vaisselle lors de crises de plus en plus rapprochées. Il pouvait aussi se rouler par terre»....

..."La compagne continue de décrire son calvaire : «J’ai été obligée de déménager. Il me traitait de salope, de conne. Il exigeait des relations sexuelles et des fellations malgré mes refus», a-t-elle expliqué lors de l’enquête. Elle finissait par plier, par peur des représailles. Puis serait venue la violence physique: gifles et coups. Cette femme contrôlée comme au Moyen Âge vivait dans la «terreur»...

Voici son texte relative à la diffamation d'Yvan Perrin et de notre site Lesobservateurs.ch paru dans la Tribune de Genève, le 4.avril 2017, qui lui offre un blog :

Yvan Perrin, le glas de l’amertume

4 avril 2017  Grégoire Barbey  Politique locale

Défaite historique de l’UDC dans le canton de Neuchâtel ce dimanche 2 avril 2017. La section cantonale a perdu onze sièges sur les vingt qu’elle possédait au sein du Grand Conseil. Une députation qui soudain se réduit de moitié, et un président de parti qui se liquéfie littéralement, affirmant ne pas comprendre les raisons d’un si cuisant échec. Et pourtant, Yvan Perrin ne manque pas d’éléments pour expliquer ce désaveu cinglant de sa stratégie et de sa politique.

Yvan Perrin est, sur le plan humain, une personnalité courageuse. Atteint dans sa santé psychique, il démissionne en 2014 du Conseil d’Etat, où il avait obtenu un siège historique. Il ne s’en est jamais caché, et cela l’honore, car les maladies psychiques, dont la dépression, sont souvent considérées comme honteuses par ceux qui en sont victimes. Bref, Yvan Perrin a traversé le désert comme cela peut arriver à tout un chacun, et est revenu sous les feux des projecteurs l’an dernier, reprenant les rênes d’une section neuchâteloise bien mal en point.

Malheureusement, Yvan Perrin a signé son retour avec un certain esprit de revanche. Son discours, déjà franchement marqué très à droite à l’époque, s’est largement radicalisé. Pour preuve, les nombreux articles qu’il a publiés sur un site notoirement raciste et xénophobe ces derniers mois. Des mots très durs à l’endroit de ses adversaires politiques, une posture rigide, une attitude qui trahissait bien souvent une grande amertume ont transformé l’image d’un homme autrefois touchant par son humanité en un idéologue d’extrême droite infréquentable.

Les flots d’une haine mal contenue se sont déversés pendant plusieurs mois sur les réseaux sociaux, dans la presse et plus largement sur internet. Yvan Perrin s’est particulièrement illustré fin janvier à l’annonce de la fermeture du magazine romandL’Hebdo en se réjouissant de ce sort funeste. Et il n’a pas caché sa fierté de n’avoir pour ce journal et les gens qui le composaient que du mépris et de l’intolérance. Le président de l’UDC neuchâteloise a imprimé sa marque sur sa section, allant jusqu’à déposer récemment une initiative au titre malheureux «Les nôtres avant les autres» pour lutter contre l’afflux de frontaliers venant travailler dans le canton.

L’aventure politique d’Yvan Perrin trouve dans cette défaite historique une fin tragique. C’est la triste illustration que l’esprit de revanche est rédhibitoire. Cet homme qui avait su trouver les mots justes et touchants pour décrire son propre malheur se tait désormais, sans doute de peur de devoir exprimer la réalité: son retour en politique n’aura été que de courte durée.

Grégoire Barbey

 

Ci-dessous : L'article publié en premier sur Riposte laïque et repris sur notre  site Lesobservateurs.ch en juin 2015 dans lequel ce même individu, Grégoire Barbey, s'en prenait à une autre journaliste, M. Vallette :

Ci-dessus, Grégoire Barbey

Notre amie Mireille Vallette nous informait, hier, de la création de l’Association Suisse Vigilance Islam, dont elle est la présidente. Elle nous apprenait surtout que, dans les heures qui ont suivi l’annonce de la naissance de l’ASVI, les réseaux sociaux s’étaient quelque peu enflammés.

http://ripostelaique.com/suisse-journaliste-gregoire-barbey-veut-interdire-vigilance-islam.html

Un jeune journaliste, Grégoire Barbey, avait même pris la tête de la croisade, réclamant ni plus ni moins l’interdiction politique d’une telle association, ce qui, dans un pays comme la Suisse, étonne quelque peu. Le bougre n’y allait pas avec le dos de la cuillère, parlant ni plus ni moins, au sujet de la création de l’association présidée par Mireille Vallette, « d’un geste terrifiant qui pousse au génocide ». Et ce grand « Je suis Charlie » ne pouvait que conclure : « La création de cette association doit susciter une réponse politique immédiate et ferme. D’autant qu’elle « se révèle probablement anticonstitutionnelle ».

Comme quoi on peut se dire libéral en économie, comme Barbey, et se comporter en parfait stalinien liberticide dans la vie de tous les jours.

http://www.hebdo.ch/les-blogs/barbey-grégoire-irrévérences/vigilance-islam-une-association-inacceptable

L’homme, dont il se dit qu’il aurait un parcours journalistique atypique, n’ayant pas fait les écoles traditionnelles de ce si beau métier, paraît avoir ses entrées sur les plateaux de télévision, même si son élocution, dans cette interview, laisse à désirer.

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Nous sommes habitués à tous ces bobos du système qui, à la moindre critique contre la religion d’amour, de tolérance et de paix, gémissent, la main sur le cœur : « Touche pas à mon islam ». Mais, concernant Grégoire Barbey, nous avons compris autre chose : cet homme rêve de devenir musulman. Les preuves ? Le malheureux a été traîné devant les tribunaux, dans son pays la Suisse, pour des faits qui, en terre d’islam, n’auraient jamais provoqué la moindre réaction judiciaire. Certes, il n’a pas encore été condamné, et la présomption d’innocence nous impose la prudence, sans toutefois cacher la réalité des faits qui ont été rendus publics par le tribunal de Lausanne, en janvier dernier.

http://www.sept.info/club/la-face-cachee-dun-journaliste/

Ce pauvre garçon a dû répondre d’accusations graves, comme voies de fait qualifiées, injures, menaces, contraintes sexuelles et viol. Concrètement, la plaignante, son ancienne compagne, affirme que «Il m’empêchait de voire ma famille, de sortir; m’enfermait, me contrôlait; menaçait de me faire du mal ou de se suicider. Il tapait contre les murs et cassait la vaisselle lors de crises de plus en plus rapprochées. Il pouvait aussi se rouler par terre».

Faut-il rappeler qu’en terre d’islam, une femme ne peut sortir dans la rue que si elle est accompagnée du mari ou d’un membre masculin de la famille du conjoint. Mais inutile de se rouler par terre, Grégoire, une bonne dérouillée, et on n’en parle plus…

La compagne continue de décrire son calvaire : «J’ai été obligée de déménager. Il me traitait de salope, de conne. Il exigeait des relations sexuelles et des fellations malgré mes refus», a-t-elle expliqué lors de l’enquête. Elle finissait par plier, par peur des représailles. Puis serait venue la violence physique: gifles et coups. Cette femme contrôlée comme au Moyen Âge vivait dans la «terreur».

Alors là c’est le comble. Une femme qui refuse de se soumettre à son mari, en terre d’islam, c’est au mieux la répudiation (même si elle se soumet, d’ailleurs), au pire la mort. Donc, le généreux Grégoire n’a pas été trop méchant, se contentant de la frapper.

« Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les » (verset 34 de la sourate 4).

La suite est au diapason. Il l’aurait avertie qu’il allait s’immoler et qu’elle brûlerait avec lui. « Dix mois d’enfer donc avant que la situation, déjà fortement compromise puisqu’elle voulait le quitter malgré ses craintes, a encore plus dérapé le 30 janvier 2013 lorsque la femme rentre tardivement chez elle. Furieux, il la laisse d’abord devant la porte de leur logement, l’insulte, l’empoigne tout en pointant un couteau avec une lame de 30 centimètres en proférant des menaces de mort. Il veut ensuite se suicider avec l’arme blanche ou enjamber le balcon (2ème étage) ».

Là il déconne, Grégoire. S’immoler par le feu parce que sa meuf n’est pas soumise ? Il faut qu’il s’endurcisse, en terre d’islam, on brûle les femmes infidèles, ou irrespectueuses et désobéissante, mais on continue à vivre, on ne crame pas avec ! Par contre, le couteau de 30 centimètres sur la gorge, très bien, il a des dispositions prometteuses, le bougre !

« Les hommes ont autorité sur les femmes, en vertu de la préférence que Dieu leur a accordé sur elles, et à cause des dépenses qu’il font pour assurer leur entretien ». (verset 38 sourate 4).

En plus, il se défend bien, le Grégoire ! «Une vision unilatérale des choses. Je n’ai jamais cassé du matériel, levé la main sur elle. Je ne l’ai pas empêché de voir des amis ou sa famille. On en discutait avant. Je n’ai jamais abusé d’elle. Il n’y a pas eu de chantage au suicide».

Le juge lui montre tout de même qu’il envoyait jusqu’à 15 sms en 15 minutes, avec menaces et insultes, mais il persiste dans un superbe numéro de takkya, et nie l’ensemble. Excellent, Grégoire, ne jamais avouer, toujours mentir et se dire victime…

Les paroles d’un musulman malhonnête ont plus de valeur que celles d’un dhimmi honnête (Sarakhsi, juriste hanafiste mort en 1090).

On résume donc. Voilà un malheureux qui cogne sa compagne, l’insulte, la viole, lui fait subir des fellations, la menace avec un couteau sous la gorge et l’empêche de sortir de chez elle, et qui, même avec des preuves accablantes sous le nez, nie tout. Mais c’est un parfait musulman, et tout cela est permis dans le Coran par des sourates et hadiths opportunes. Et ce petit génie de journaliste, qui, à 24 ans, passe sur les plateaux de télévision, se voit traîné devant les tribunaux comme un malfrat !

Les femmes sont pour vous un labour. Allez à votre labour à votre guise, et travaillez d’avance pour votre salut (sourate 2, verset 223).

On comprend mieux sa réaction sanguine, à la création de l’ASVI, pour deux raisons. Mireille est d’abord féministe, ce que ne doit pas trop aimer ce jeune homme. Et surtout, en attaquant l’islam, elle sape les fondements d’un texte-alibi qui autorise tous les comportements barbares avec les femmes, d’abord de les voiler, avant de les violer. Donc, sus à Mireille, sus à l’ASVI, il faut que le gouvernement interdise une association qui, en attaquant l’islam, pourrait blesser les musulmans… et les lèche-babouches européens fascinés par la barbarie islamique qui cautionne leurs plus bas instincts.

Finalement, il ne reste plus qu’une chose à faire, pour le valeureux Grégoire Barbey : se convertir à l’islam, jouir des avantages du Coran, et devenir un chef musulman en Suisse. Seul problème, le créneau est déjà pris, avec l’inimitable converti Blancho, qui, lui, défend la lapidation.

Naissance d’un mythe suisse : le converti Nicolas Blancho, l’islamiste qui monte

Mais finalement, un tandem Blancho-Barbey sur les plateaux de télévision, cela pourrait avoir de l’allure, surtout s’il y a Oskar Freysinger et Mireille Vallette en face…

Hans Sutter, collaborateur à Riposte Laïque

Article paru en premier sur Riposte Laïque

Juin 2015