Grande-Bretagne. Filles blanches violées par des gangs ethniques: Le 20 Minutes refuse de mentionner l’origine des coupables!

Nous parlions de Telford déjà ici.

Alors que le scandale de l'affaire consiste justement au viol de nombreuses filles blanches pauvres par des gangs ethniques, que les autorités ont refusé d'enquêter au nom de l'antiracisme, le 20 Minutes.ch tait sciemment l'origine des coupables, notion centrale de l'affaire et refuse de publier les photos des coupables. Ce média romand est d'autant plus fautif que la source citée publie le visage des violeurs. Visiblement, les filles blanches peuvent être méprisées à loisir au nom de l'antiracisme. C'est ainsi que l'on prétend protéger les plus faibles selon l'idéologie de gôche.

Et pour éviter toute confrontation, le média romand interdit les commentaires, autre méthode symbolique de ce qu'est devenu le droit à l'information dans notre pays, la contestation et la remise en question des journalistes étant interdites. Dans le même temps, ce journal refuse de traiter les divers crimes liés aux migrants qui émaillent les journaux européens, comme ici, ou ici, ou encore ici. Un tel parti pris démontre à loisir la responsabilité de nos médias dans ce qui se passe aujourd'hui.

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Jusqu'à un millier d'enfants auraient été victimes d'agressions et de viols, parfois collectifs, depuis les années 1980 à Telford, au nord de l'Angleterre.

«C'est une affaire vraiment terrible, certains des membres les plus vulnérables de notre société étant la proie de criminels sans pitié».

Selon une enquête du Sunday Mirror, jusqu'à un millier d'enfants, dont les plus jeunes âgés de 11 ans, auraient été victimes d'agressions et de viols, parfois collectifs, depuis les années 1980 à Telford, une ville de 170'000 habitants du centre de l'Angleterre, et la police aurait échoué à démanteler le réseau de pédophiles.

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