Toulouse : Le GIGN arrête un homme soupçonné d’avoir profané une église avec des inscriptions coraniques

Les hommes de cette unité d’élite et d’intervention, en appui des enquêteurs de la compagnie de Toulouse Saint-Michel, ont procédé à l’ouverture de l’appartement du suspect au moyen d’un bélier, comme le prévoit le protocole.

Ce jeune homme est suspecté d’être impliqué dans la profanation d’une église de Launaguet, au nord de la Ville rose. Il y a déjà plusieurs mois, des inscriptions à connotation coraniques avaient été découvertes sur les murs d’enceinte d’un bâtiment appartenant à la paroisse orthodoxe.

Une plainte avait alors été déposée et l’enquête s’est focalisée sur cet individu qui s’était déjà fait remarquer par le passé à cause de son prosélytisme.

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Ladepeche.fr

France : Faute de budget, le GIGN va perdre la capacité de descente en corde lisse d’un hélicoptère

Depuis un peu plus d'un an, le GIGN ne peut plus s'entraîner pour des raisons financières avec le Groupement interarmées d'hélicoptères. Pour 500.000 euros...

Pour 500.000 euros seulement, le GIGN, mondialement connu, ne peut plus s'entraîner à descendre en corde lisse d'un hélicoptère. Ce qui est problématique pour cette unité d'élite, qui doit logiquement savoir intervenir à partir d'un hélicoptère dans les conditions les plus difficiles. "Nous sommes en train de perdre la capacité de descente en corde lisse d'un hélicoptère de manœuvre par le GIGN car il faut un entraînement récurrent. Cela représente une dépense de 500.000 euros et nous nous heurtons à une limite budgétaire", a expliqué début octobre à l'Assemblée nationale l'ancien patron de la gendarmerie, le général Richard Lizurey.

 

 

Depuis un peu plus d'un an, le GIGN ne peut plus effectivement s'entraîner pour des raisons financières avec le GIH (groupement interarmées d'hélicoptères), dont pourtant il en a la responsabilité. Et le GIGN ne dispose pas d'alternative pour l'entraînement. Le GIH avait été créé en 2006 pour favoriser la projection du GIGN en vue de protéger les centrales nucléaires, à l'époque où n'existaient pas les pelotons de sécurité et de protection des centrales (PSPG), créés en 2009.

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Latribune.fr

Nos remerciements à CretinusAlpestris

 

Un membre du GIGN témoigne

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Un membre du GIGN témoigne : Pendant que les médias nous inondent de mariage en Angleterre et de festival de Cannes, bon nombre d'événements classés "faits divers", violences inédites sur le territoire national, se mettent en place : Marseille "busserine" avec des groupes armés et des techniques para-militaires parfaitement rodées, un procureur satisfait du dispositif policier et qu'il n'y ait pas eu de blessés, de nombreuses attaques de policiers en civils par des groupes de jeunes (Grenoble, Courcouronne...), violences par 200 personnes à Lyon la Duchère, un homme à Pau battu à mort par des ados, appel au djihad en France par des imams dans des mosquées françaises mais aussi les suicides à répétition des policiers et gendarmes abandonnés par la Justice et rabaissés par la hiérarchie, avec un projet de CDD à venir pour les forces de l'ordre alors que la formation est déjà un réel problème. Bon nombres d'autres "signaux faibles", comme aiment les appeler les politiques, passent inaperçus.
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Dans les rangs de mes camarades de l’unité d’assaut du GIGN, actifs et connectés aux unités de renseignement, tous ces signaux confirment qu'un scénario de guerilla se met en place dans un mutisme ahurissant. Notre message est simple : préparez-vous, ajoute un membre du GIGN.
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Michel Garroté pour lesobservateurs.ch, 25.5.2018
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https://www.facebook.com/obertone.laurent/photos/pb.166660066816334.-2207520000.1527182924./1041315916017407/?type=3&theater
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France. Terrorisme: le commandant du GIGN répond avec humour aux délires de l’ancien patron du RAID

Nous parlions des inepties de Jean-Michel Fauvergue, ancien chef du raid, dans cet article:

"Jean-Michel Fauvergue (Lrem et ex-patron du Raid!) prétend que les prêches de haine en arabe dans les mosquées sont du même niveau que ceux en latin dans les Eglises."

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gign

 

via Le Salon Beige

 

Après le raid sur Saint-Denis la confusion règne



L'assaut conjoint du groupe Recherche, Assistance, Intervention, Dissuasion (RAID), du GIPN, de la Brigade de recherche et d'intervention (BRI) et de la sous-direction antiterroriste (SDAT), cet assaut s'est achevé à Saint-Denis l’après-midi du mercredi 18 novembre 2015. Les forces de l'ordre restent sur place « pour sécuriser encore la zone ».

Il y a eu sept arrestations, dont trois personnes qui se trouvaient dans un appartement. Ces trois individus ont été extraits par le RAID, puis placés en garde à vue. Le RAID est une unité d'élite de la Police nationale française, à ne pas confondre avec le GIGN, qui dépend de la Gendarmerie nationale.

Outre le RAID, une cinquantaine de militaires ont été déployés à Saint-Denis. Le GIGN est donc l'équivalent du Raid chez les gendarmes. La distinction porte sur le théâtre d’intervention : la gendarmerie est meilleure en zone rurale, la police en zone urbaine. C'est pourquoi le GIGN était intervenu à Dammartin-en-Goële en janvier 2015, quand les frères Kouachi s'étaient retranchés dans une imprimerie, et n'est pas intervenu au Bataclan le vendredi 13 novembre 2015.

A noter également que le Raid et le GIPN dépendent de la même Force d’Intervention de la Police Nationale (FIPN). Quand le GIPN et le Raid agissent ensemble, c’est le chef du Raid qui prend le contrôle des opérations. La Brigade de Recherche et d'Intervention (BRI), le RAID et le GIPN sont les trois composantes de la FIPN. On le voit, en France, ces structures sont excessivement complexes.

Elles sont complexes car elles sont le résultat d’innombrables « réformes » introduites au cours des quarante dernières années, sans compter les rivalités entre les chefs de tous ces groupes. « Il peut y avoir aussi le risque d’armes chimiques ou bactériologiques », a déclaré, jeudi 19 novembre 2015, le Premier ministre français Manuel Valls, en demandant et obtenant, lors d’un discours à l’Assemblée nationale, la prolongation de l’état d’urgence pendant trois mois. Et les recherches sur l’identification d’un des kamikazes du Stade de France et de l’un des assaillants du Bataclan sont toujours en cours…

Michel Garroté, 19 novembre 2015

http://www.slate.fr/story/58145/toulouse-raid-gipn-gign