Marine Le Pen à Fréjus : “Il n’y a plus d’argent pour les retraités, les handicapés et les familles mais il y en a pour l’immigration.” (Vidéos)

Pour sa rentrée politique, Marine Le Pen a taclé la politique de l’Union Européenne en matière d’accueil de migrants.

Ce week-end, le Rassemblement national faisait sa rentrée à Fréjus. Et Marine Le Pen a frappé fort dans son discours ce dimanche 16 septembre, dénonçant « la folle politique immigrationniste » de l’Union européenne, rapporte Europe 1. « Aujourd’hui, les préfets n’ont plus qu’une seule activité, l’implantation de migrants », a-t-elle rajouté.

"Il n'y a plus d'argent pour le logement mais il y en a pour l'immigration. Il n'y a plus d'argent pour les retraités, les handicapés et les famille mais il y en a pour l'immigration. Il n'y a plus d'argent pour équiper la police mais il y en a pour l'immigration."

 

"En 30 ans il n'y a jamais eu d'argent pour les SDF français qui meurent dans la rue. Aujourd'hui on trouve sans problème des dizaines de milliers de places pour héberger les clandestins."

 

(...)

Valeurs Actuelles

Arrêtés anti-burkini : quatre villes dont Nice et Fréjus assignées en justice par le comité contre l’islamophobie

Christian Hofer: A noter que ce collectif « entretient d'excellentes relations avec l'Union des organisations islamiques de France (UOIF) » proche des frères musulmans.

Son président Marwan Muhammad se produit régulièrement en présence d'imams salafistes et a même déclaré :

« Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman ? Qui a le droit ? Personne dans ce pays n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là. De nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’islam. Personne n’a le droit dans ce pays de définir pour nous ce qu’est l’identité française. »

**********

Quatre villes de la Côte d'Azur ont été assignées en justice par le comité contre l'islamophobie (CCIF) pour obtenir la suspension de leur arrêté anti-burkini, a indiqué ce lundi l'avocat niçois de l'association. «J'ai déposé un référé liberté pour les communes de Nice, Roquebrune-Cap-Martin, Menton et Fréjus», précise Sefen Guez Guez.

Source et article complet