Fidel Castro: Quand l’idole de la gauche engageait des nazis pour entrainer ses troupes.

Christian Hofer: On rappelle les commentaires bienveillants d'un socialiste à l'égard de cet assassin:

"L’ancien président du Parti socialiste genevois, Christian Brunier, a gardé un souvenir impérissable de ce passage éclair. Sur Facebook (26 novembre), vitrine à souvenirs toute personnelle, il ne tarit pas d’éloges à l’égard de ce «mythe révolutionnaire» avec qui il a respiré «durant quatre heures» le même air à l’Hôtel Intercontinental. Dans ce 5 étoiles, le Comandante avait sobrement «convié à une rencontre quelques dirigeants de la gauche locale»"

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Fidel Castro avait engagé des officiers nazis de la Waffen SS pour entraîner ses troupes

FIDEL CASTRO - Le communiste révolutionnaire qui dirige Cuba d'une poigne de fer Cuba a embauché des officiers nazis de la Waffen SS pour entraîner ses troupes durant la crise des missiles de Cuba en 1962, a révélé la lecture de nouveaux documents déclassifiés et révélés par le journal allemand Die Welt.

 

 

Les fichiers du Service fédéral de renseignement allemand, la Bundesnachrichtendienst (BND), montrent que Fidel Castro avait proposé à quatre officiers SS de venir à La Havane, pour un salaire équivalent à quatre fois le salaire moyen allemand de l'époque. Deux d'entre eux avaient accepté et s'étaient effectivement rendus à Cuba.

Bodo Hechelhammer, directeur des investigations historiques au Service fédéral de renseignement, a raconté au Welt que: "De toute évidence, l'armée révolutionnaire cubaine n'a pas eu peur de la contagion en nouant des liens personnels avec le nazisme, tant que cela servait leurs propres objectifs".

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Luxe, calme et volupté dans les palais dorés du millionnaire cubain Fidel Castro

Fidel Castro, héros de la révolution marxiste latino-américaine, est mort depuis maintenant une semaine et sa dépouille croule sous les éloges funèbres dispensés par une pseudo-élite intellectuelle superficielle qui s’extasie devant les faux concepts humanistes du communisme international. Toujours les mêmes bobos conformistes de la pensée unique qui dispensent des bobards à longueur de temps et trompent énormément.

Fidel Castro ne fut pas seulement un sanguinaire révolutionnaire, un dictateur féroce, un boucher pour les pauvres Cubains, un ennemi politique sans état d’âme, qui transforma, « l’île en une énorme prison entourée d’eau » selon les mots de sa propre sœur Juanita qui n’ira pas à son enterrement. Au nom d’une révolution des pauvres sensée libérer les prolétariens et apporter le bonheur à Cuba il en fit son domaine personnel pour son plus grand avantage et se maintenir au pouvoir. De révolutionnaire marxiste il devint millionnaire capitaliste tout en cultivant, pour le public et les médias complaisants, l’image idyllique du chef incorruptible et détaché des biens matériels : le pur des purs révolutionnaires qui en privé nage dans l’or pendant que son peuple meurt de faim.

Les extrémistes de gauche rendent homme à un assassin communiste en treillis militaire, les mêmes qui haïssent tout ce qui porte un uniforme lorsqu'ils sont en Europe...

Selon le magasine Forbes, Fidel Castro faisait partie des hommes « les plus riches parmi les rois, les reines et les dictateurs. » La fortune de Castro est estimée à 900 millions de dollars dus en partie aux revenus d’une minière d’or et de nombreuses entreprises d’États sous son contrôle. Certains observateurs occidentaux et cubains expatriés parlent aussi d’une banque en Angleterre et de 270 entreprises de par le monde sous son emprise. On est bien loin des quelques pesos avec lesquels il se targuait de vivre, à l’instar de la majeur partie des Cubains.

Ségolène Royal, ministre français de l'environnement, fait l'éloge du dictateur: "Grâce à Fidel Castro, les Cubains ont récupéré leur territoire, leur vie, leur destin."

Yacht en bois rare, whisky de 12 ans d’âge, belles femmes, jacuzzi, étaient quelques unes des commodités que s’offrait le Lider maximo. Propriétaire d’une île paradisiaque proche de Cuba, Cayo Piedra, il aimait y recevoir des personnalités comme l’inhumain président de l’Allemagne de l’Est Erich Honecker qui décida de l’érection du mur de Berlin ou l’écrivain communiste Gabriel García Márquez.

« Il laissait entendre que la révolution ne lui donnait aucun répit, aucun plaisir, qu’il ignorait et méprisait le concept bourgeois de vacances. Il mentait  »

affirme un des ses anciens compagnons d’armes resté à ses côtés jusqu’en 1994, le lieutenant-colonel Juan Reinaldo Sanchez, réfugié ensuite à Miami et décédé mystérieusement après ses révélations sur le dictateur cubain parues dans un livre intitulé « Double vie de Fidel Castro ».

« Il était convaincu que Cuba était sa propriété » écrit Sanchez.

Outre la vie capitaliste, tant honnis en public mais si aimée en cachette, il aimait les femmes : il eut plusieurs épouses, plusieurs maîtresses et huit enfants qui tout comme lui aiment la vie luxueuse. Le colonel Sanchez raconte :

« Pendant que son peuple mourrait de faim Fidel Castro a vécu avec toutes les commodités. Et cela est vrai aussi pour ses huit enfants, les diverses épouses et amantes. Le tout dans le plus grand secret » 

L'hypocrisie communiste: l'argent et les marques...

En somme, la révolution marxiste pour les pauvres, avec les pauvres, par les pauvres, ne dément pas sa réputation : elle est la voie royale à la vie de milliardaire capitaliste pour ses chefs communistes. Le dictateur soviétique Staline, maître incontesté de toute l’URSS durant des décennies, eut la 5e plus grosse fortune de tous les temps selon le magazine Forbes. Fidel Castro, idole des bien-pensants de gauche pleuré par l’hôte du Vatican, a été son disciple fidèle : aussi tyrannique, sanguinaire et meurtrier, il s’est fabuleusement enrichi en terrorisant le peuple cubain et mettant sous coupe réglée les richesses de l’île.

Les pauvres ont vraiment bon dos !

Francesca de Villasmundo

http://www.therealcuba.com/?page_id=74

https://www.alvexo.fr/blog/news/classement-des-plus-grosses-fortunes-du-monde/

http://www.ilgiornale.it/news/politica/lusso-privato-e-ben-nascosto-compa-ero-fidel-1338075.html

 

Berne: L’Ambassadeur de Cuba fait l’apologie de l’assassin Fidel Castro sur la RTS

Christian Hofer: On rappelle que le dictateur Fidel Castro a nommé Che Guevara « procureur suprême » de la prison de la forteresse de la Cabaña, exécutant les individus après une parodie de procès. De surcroit, Castro est responsable du massacre du remorqueur 13 de Marzo, navire rempli de familles fuyant le régime cubain ainsi que de l'emprisonnement des dissidents politiques. Et aujourd'hui la RTS donne la parole à cet ambassadeur pendant que des prisonniers politiques moisissent dans les geôles cubaines.

C'est ainsi que l'on manipule l'histoire, par le biais de médias orientés, laissant des communistes passer sous silence les atrocités commises par leur idéologie, les tortures et autres exécutions de masse. Évidemment, la RTS ne dit pas un seul mot sur la persécution des homosexuels à Cuba, les gauchistes ne pouvant pas reconnaître décemment que leur propre doctrine a été coupable d'atrocités contre les homosexuels, même s'il s'agit de leurs amis LGBT.

Et c'est pour cette raison que le communisme n'a pas été interdit au même titre que le nazisme malgré ses millions de morts, les médias de gauche protégeant systématiquement leurs petits copains.

A écouter à tout prix: l'audio de cet ambassadeur: Aucune critique sur les tortures, le harcèlement des dissidents ou les exécutions. Mais encore et toujours l'apologie du communisme.

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Le nouvel ambassadeur de Cuba en Suisse a pris ses fonctions à Berne il y a deux semaines. Après la mort du leader Fidel Castro, il revient pour la RTS sur les relations des deux pays et sur les erreurs de son régime.

Cuba et la Suisse sont semblables, nous sommes deux petits pays entourés de grandes puissances.

Manuel Aguilera de la Paz, ambassadeur de Cuba en Suisse

"La relation entre la Suisse et Cuba a toujours été bonne. Nous allons continuer à renforcer les liens, en particulier, économiques et commerciaux", a estimé le nouvel ambassadeur cubain en Suisse, Manuel Aguilera de la Paz, dans l'émission Tout un monde de la RTS.

Le système politique cubain n'est de loin "pas parfait", a reconnu l'ambassadeur, interrogé sur le peu de liberté d'expression et d'organisation à Cuba. "Mais la forme d'organisation politique que nous avons choisie est aussi une réponse au fait que nous avons dû nous défendre face à cette grande puissance que sont les Etats-Unis", poursuit-il. Chose rare, l'ambassadeur a toutefois reconnu que son pays avait commis des erreurs.

"Nous avons commis beaucoup d’erreurs, mais en réalité, aucune erreur stratégique. Nous avons amorcé une transition pour améliorer notre système socialiste, et ça va continuer", a-t-il détaillé.

L'économie, principale préoccupation

"Nous avons commis des erreurs dans la construction économique, mais nous n'avons jamais abandonné les idées fondamentales de justice sociale, de démocratie populaire, de participation du peuple, de répartition équitable des richesses ou encore de défense de l'internationalisme", a encore précisé Manuel Aguilera de la Paz.

Manuel Aguilera de la Paz a dit ne pas craindre immédiatement l'arrivée de Donald Trump au pouvoir aux Etats-Unis, estimant que celui-ci s'est régulièrement contredit et que ses paroles ne présageaient pas forcément d'une remise en cause du rapprochement avec Cuba entamé sous l'impulsion de Barack Obama.

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Bal tragique à La Havane – 1 mort

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Michel Garroté -- Je pleure de rire en lisant - à propos de la mort du dictateur cubain - des manchettes du style, je cite, "Les Cubains pleurent en masse leur 'Comandante' Fidel à La Havane" (des "masses" mobilisées de force par le régime). J'apprends en outre - et là je ne pleure plus de rire - que le régime totalitaire et génocidaire de la Corée du Nord commence, ce lundi 28 novembre 2016, trois jours de deuil obligatoire, en hommage au dictateur criminel Fidel Castro, grand allié de Pyongyang.
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De fait, le castrisme, c'est le terrorisme, la drogue, le crime organisé, la prostitution ainsi que la répression sanglante et permanente. De fait, le castrisme, c'est le manque de tout, même de poisson, le sommet du ridicule pour une île.
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De fait, le castrisme, c'est un totalitarisme déguisé en "révolution" avec l'assistance technique de la Sorbonne et du KGB. De fait, le castrisme, c'est le bras armé de l'URSS en Angola et au Mozambique. Pour revenir à la Sorbonne, le fait est que celle-ci avait d'urgence besoin de "modèles". Alors, elle fit main basse sur Fidel Castro, Yasser Arafat et Pol Pot.
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Les fusillades de Fidel Castro et ses bombes terroristes  --  écrit la romancière cubaine exilée en France Zoe Valdes  --  inspirèrent les narco-guérilleros latino-américains, les FARC, les criminels de l'ETA. Il fit raser des villages africains en utilisant des armes chimiques. Par sa faute des centaines de milliers de jeunes Cubains moururent dans des guerres qui n'avaient rien à voir avec eux, et d'autres centaines de milliers disparurent en mer, dévorés par les requins.
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Sans compter les prisonniers politiques. Fidel Castro multipliait les conquêtes, choisissant de préférence des blondes. Les historiens lui attribuent au moins sept enfants dont il ne s'est jamais occupé. A La Havane les dissidents s'abstiennent de toute activité, enfermés chez eux, ils s'attendent à un renforcement de la répression, conclut Zoe Valdes.
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Introduction, adaptation et mise en page de Michel Garroté
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Le marketing gauchiste du Pape François !



La revue de presse LSB souligne combien ce communiqué du père Lombardi, directeur de la salle de presse du Saint-Siège, est étonnant : « La brève rencontre entre Mme Kim Davis et François à la nonciature apostolique à Washington DC a provoqué des commentaires et discussions. Afin de contribuer à une compréhension objective de ce qui a transpiré je suis capable de clarifier les points suivants : François a rencontré plusieurs dizaines de personnes qui avaient été invitées par la Nonciature pour le saluer comme il se préparait à quitter Washington pour New York. Ces brèves rencontres se produisent sur toutes les visites papales et sont dues à la gentillesse et la disponibilité caractéristique du Pape. La seule vraie audience accordée par le pape à la nonciature était avec un de ses anciens élèves et sa famille. Le pape n'est pas entré dans les détails de la situation de Mme Davis et sa rencontre avec elle ne doit pas être considérée comme une forme de soutien de sa position dans l'ensemble de ses aspects particuliers et complexes ».

On aimerait, souligne LSB, que les services du père Lombardi adressent également des communiqués pour préciser que prendre comme lecteur à la messe pontificale à New York un ardent militant LGBT (Mo Rocca), rencontrer Mgr Gaillot et adresser ses « sentiments de spéciale considération et de respect » à Fidel Castro n'est pas non plus à interpréter comme un soutien.

Michel Garroté, 2 octobre 2015

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2015/10/etrange-communication-vaticane.html