Pour le meilleur ou pour le pire, les États-Unis donnent toujours l’exemple au reste du monde, et en ce moment, les citoyens du monde entier regardent la violence remplir les rues de nos grandes villes. Pendant des années, nous avons tous pu voir la colère atteindre des niveaux extrêmement dangereux dans notre société, mais je pense que la plupart des Américains n’ont jamais cru que cela provoquerait une telle éruption. Cela a été déchirant de voir des Américains se battre contre d’autres Américains, et je souhaite que tous nos politiciens se réunissent et forment un front uni pour demander la fin de la violence. Au lieu de cela, ils continuent à se rejeter la faute les uns sur les autres, et les choses continuent de s’aggraver.
Et quand j’utilise le mot « escalade des tensions », je n’exagère pas du tout. Plus de 100 000 membres de gangs vivent aujourd’hui dans la ville de Chicago et, selon le FBI, 30 gangs de la ville « ont fait un pacte » pour tirer sur tout policier qui sort son arme en public…
Une alerte des services de renseignement fédéraux du bureau du FBI à Chicago (Illinois) a averti qu’une trentaine de gangs de la ville ont conclu un pacte pour tirer sur les policiers s’ils sortent leurs armes en public, a rapporté lundi ABC 7.
Pouvez-vous imaginer ce que les policiers de Chicago doivent ressentir en ce moment-même ?
J’espère qu’ils sont bien payés, car ils risquent littéralement leur vie chaque nuit. Ce nouveau rapport des services de renseignement dit spécifiquement que ces gangs ont accepté de « tirer à vue » sur tout officier qui dégaine une arme, et le but de ce pacte violent est « d’attirer l’attention des médias nationaux »…
L’alerte indique que les gangs de Chicago ont accepté de « tirer à vue sur tout flic qui a une arme pointée sur un sujet quelconque en public ».
« Les membres de ces factions de gangs ont activement recherché et filmé des policiers dans l’exercice de leurs fonctions officielles », poursuit l’alerte. « L’objectif est de filmer un policier en train de braquer son arme sur un sujet quelconque et de tirer à vue sur ce policier, afin d’attirer l’attention des médias nationaux ».
Bien sûr, beaucoup de gens ont déjà tiré sur des policiers de Chicago. Selon le commissaire de police de Chicago David Brown, le nombre de policiers du CPD qui ont été abattus cette année a déjà battu le record annuel…
Selon le surintendant David Brown, la police locale ressent un « sentiment général d’anarchie » et le « danger pour les policiers est réel et croissant ».
« Je pense que c’est plus important qu’une simple suggestion », a déclaré M. Brown. « Je pense que 51 officiers se font tirer dessus ou se font tirer dessus en un an, je pense que cela quadruple n’importe quelle année précédente dans l’histoire de Chicago. Donc je pense que c’est plus qu’une suggestion que les gens cherchent à faire du mal aux flics. »
Il est si triste de voir Chicago sombrer dans l’anarchie totale et absolue.
Chaque week-end, la violence à Chicago fait la une des journaux nationaux, et le week-end dernier n’a pas fait exception. 50 personnes se sont fait tirer dessus, et cela inclut « une fusillade de masse dans une crêperie »…
M. Brown, qui est maintenant en poste depuis plus de quatre mois, n’a pas mentionné cette sombre étape lors de ses entretiens avec les journalistes. Il ne s’est pas non plus attardé sur le bilan du week-end : au moins 10 personnes ont été tuées et 40 autres blessées par la violence des armes à feu, dont une fusillade massive dans une crêperie de l’extrême sud-ouest. Un homme est mort et quatre autres ont été blessés alors que des enfants étaient dispersés dans des restaurants.
En un peu plus de trois heures, à partir de dimanche vers 2 heures du matin, la police de Chicago a répondu à 10 fusillades distinctes, dont trois homicides et une attaque contre deux officiers qui ont échangé des coups de feu avec un adolescent armé. Tous les trois ont été blessés.
À Portland, nous sommes témoins d’un chaos différent.
Les manifestants de Portland se sont rassemblés lundi soir devant l’appartement du maire démocrate Ted Wheeler pour « célébrer » son anniversaire en tirant des feux d’artifice et en chantant « Joyeux gaz lacrymogène ».
Un feu a été allumé dans la rue devant l’appartement de l’homme de 58 ans, dans un quartier chic du nord de la ville, alors qu’environ 200 personnes se sont rassemblées en faisant retentir de la musique, en faisant retentir des klaxons, en tapant sur des casseroles et en jouant de la batterie.
C’est un exemple parfait qui montre pourquoi la violence ne va pas cesser, quel que soit le vainqueur des élections de novembre.
Ted Wheeler n’est pas un républicain.
Il n’est même pas un démocrate modéré.
En fait, il est l’un des maires les plus à gauche de tout le pays.
Mais ils ont quand même pris sa résidence pour cible.
Comme je le détaille dans mon nouveau livre, tant de gens nous ont avertis à l’avance que des émeutes, des pillages et des violences énormes allaient éclater dans nos grandes villes. Dans certains cas, ces explosions de colère sont alimentées par des troubles politiques, mais dans d’autres cas, nous assistons à des actes de violence qui sont complètement et totalement insensés. Un exemple parfait de cela est un incident qui vient de se produire à Baltimore…
Une vidéo est apparue lundi sur les médias sociaux, montrant un homme traversant une rue et un autre homme se faufilant derrière lui et le frappant à l’arrière de la tête, ce qui a fait tomber la victime face contre terre sur le trottoir.
Juste avant que la victime ne soit frappée à la tête, on peut entendre une voix – probablement celle d’une des personnes enregistrant la vidéo de l’autre côté de la rue – qui chuchote « sal*pe tu ferais mieux de pas t’enfuir ». Après que la victime est tombée sur le trottoir, on peut entendre au moins deux personnes rire et crier en réponse.
La vidéo de cette attaque profondément dérangeante a été publiée sur Twitter, et la regarder m’a rendu incroyablement triste.
A quel point faut-il être malfaisant pour se réjouir quand une personne quelconque est assommée d’un coup de brique derrière la tête ?
J’aimerais vraiment que tout le pays se rassemble et se mette d’accord pour mettre fin à la violence. Mais bien sûr, cela n’arrivera pas. Au contraire, les tensions sociales risquent de s’aggraver à l’approche du jour des élections en novembre.
Nous devrions tous être profondément affligés lorsque nous voyons des Américains se battre contre des Américains. Il y a tant de colère et de haine tout autour de nous, et toute nation qui se consume de colère et de haine n’a pas d’avenir.
En fin de compte, ce dont nous avons vraiment besoin, c’est d’apprendre à nous aimer vraiment les uns les autres, mais malheureusement, ce n’est pas du tout un message très populaire de nos jours.
Chicago : 100 personnes arrêtées après une nuit de pillages massifs au centre viille ; 13 policiers blessés
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Chicago : des émeutiers utilisent une Audi volée pour piller des magasins et une agence Tesla à High End - la police contre-attaque rapidement
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Le pillage de Chicago : 100 personnes arrêtées pour avoir endommagé le magasin Best Buy sur Michigan Avenue
https://www.youtube.com/watch?v=uiEqXiPBO-A
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Police de Chicago : les pillages au centre ville ne sont pas une manifestation politique mais un incident purement criminel (traductions disponibles sur Youtube)
Nous ne comprenons pas ce qui cloche à Chicago, car la maire de la ville réunit toutes les qualités que la gauche apprécie pour ce poste: elle est Noire, femme et lesbienne.
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De quoi s’inquiéter : la police du Minnesota conseille aux citoyens de faire ce que les criminels leur disent !
La présidente du conseil municipal de Minneapolis, Lisa Bender, a révélé ce qu’était son idéal de «société sans police».
L'animateur de CNN, Chris Cuomo, lui a dit qu'elle semblait imaginer un «concept utopique où personne ne commet de crime». Le problème avec cela, a-t-il ajouté, c’est que tant que les villes seront «une proie», il faudra «des hommes et des femmes de bien prêts à intervenir pour assurer la sécurité des gens».
Bender a répondu: «Je pense que l'idée d'avoir un avenir sans police est très ambitieuse, et je suis disposée à soutenir ceux qui nous demandent de voir cela comme l'objectif.»
Plus tôt sur CNN, Bender a provoqué un tollé, même parmi les libéraux, quand elle a dit qu'appeler la police lorsque votre maison est cambriolée est un exemple de «privilège».
Mais les habitants de la plus grande ville du Minnesota ne sont pas tous ravis par l’idée de Bender. Le shérif du comté d'Anoka, James Stuart, a rappelé à ceux qui veulent une ville sans police: «S'ils choisissent d'éliminer leur police en la définançant... ils faut qu'ils acceptent d'en subir les conséquences.»
Le maire de Minneapolis, Jacob Frey, a déclaré qu’il ne soutenait pas l’élimination des forces de police de la ville. Le représentant républicain de l'État Pat Garofalo est allé plus loin en déclarant: «Les législateurs ne peuvent pas rester silencieux pendant qu'un conseil municipal voyou conduit notre État à l'anarchie.»
Regardez cette vidéo où Liz Wheeler de One America News Network montre ce qui arrive à une ville comme Minneapolis lorsqu'elle « définance » sa police.
Un matin dans les rues de Minneapolis... Voici à quoi ressemblent, après les émeutes "antiracistes", beaucoup de villes des USA dirigées par les Démocrates :
Cenator: Dans l’analyse ci-après, vous trouverez la transcription de deux reportages surréalistes de la RTS concernant les émeutes de Portland… qualifiées de « manifestations antiracistes pacifiques ». Nous avons tenté d’exposer ce qui s’est réellement passé. Vous constaterez de quoi la RTS est capable dans sa toute-puissance. C’est absolument odieux, effroyable et révoltant. Nous devrions porter plaintecontre la RTS pour désinformation et manipulation délibérées des téléspectateurs captifs.
Nous nous demandons dans quel but la RTS pousse l'agenda de la gauche avec une telle ferveur, pourquoi elle fait la publicité de ces émeutes destructrices. Espère-t-elle que ces manifestations arrivent aussi chez nous et détruisent la Suisse?
Nous remarquons également qu’aux USA, ce sont les villes « de gauche » quiont vu sévir les pires émeutes… En Suisse romande, les villes de gauchecourent-elles des risques semblables lorsque des manifestations massives de "mécontentement" sont organisées ?
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RTS, TJ du 25.07.2020 : reportage de deux journalistes sur place sur les émeutes de Portland.
Agnès Wuthrich : Portland, Oregon, une des villes des USA où malgré l’épidémie, deux mois après la mort de George Floyd, le mouvement Black Lives Matter (BLM) ne s’essouffle pas. Et depuis quelques jours ici, le même scénario se reproduit : les rassemblements virent à l’affrontement, parfois violent, avec les forces de l’ordre.
Christelle Jaime et Aviva Fried y étaient hier soir, regardez le reportage.
Aviva Fried: Des chants, des tambours, des slogans. A Portland, état de siège. Deux mois après, la mort de George Floyd mobilise toujours autant. Et dans une des villes des plus blanches des USA, cela met du baume au cœur des militants de BLM.
Interview d’une jeune fille métisse : Les Blancs ne veulent plus qu’on soit opprimés. Comme nous ne sommes pas nombreux ici, ils veulent que nous nous sentions à égalité.
La caméra montre un panneau avec l’inscription : « Racism is a pandemic, BLM ».
RTS : Dans le défilé, toutes les conditions de la société sont représentées, à commencer par les soignants, venus en force malgré l’épidémie du coronavirus.
(Nous voudrions savoir comment l’équipe de la RTS sur place a découvert que dans le défilé toutes les conditions de la société sont représentées.)
Première interview : celle d’une jeune infirmière blonde en blouse de travail. L’infirmière : Les Noirs américains meurent beaucoup plus du covid. Le racisme systémique est partout.
Journaliste de la RTS, Aviva Fried : La marche s’est arrêtée ici, au Palais de Justice fédéral de Portland (ndlr : qui avait été incendié par les « paisibles manifestants » BLM). Pour l’instant, les choses sont plutôt paisibles, même si on sent beaucoup de tension. Les manifestants peuvent désormais compter sur l’arme secrète des BLM, les mamans.
Panneau de manifestant avec portrait géant de George Floyd : No justice, No peace, (Ce panneau a fait le tour du monde à l’identique : tous ces mouvements frelatés de gauche que les Démocrates exportent partout sont de parfaits symboles de ce qu’il y a de pire dans le mondialisme.)
RTS : Avec leurs T-shirts jaunes bien reconnaissables, ces mères de famille sont venues prêter main-forte aux manifestants. Beaucoup d’entre elles n’ont jamais manifesté de leur vie (comment la RTS peut-elle l’ affirmer ?), mais face à la violence des forces de l’ordre, elles ont décidé de créer une muraille humaine pour protéger les participants. Elles appellent cela « the wall of moms », le mur des mamans. (Revoici la ficelle qui agite par derrière ces foules manipulées : «le concept de l’immaculé conception », comme les Grands-parents pour le climat : cela donne un petit côté de respectabilité aux manifestants. D'autre part, le « mur des maman » s'est effondré depuis lors, car les femmes afro-américaines se sont plaintes que les blanches leur volaient la vedette.)
2e interview, une jeune fille noire avec un masque inscrit « I can’t breathe », je ne peux pas respirer : Ces hommes blancs n’en ont tellement rien à faire que pour eux ce n’est pas grave si nous mourons. Il faut leurs opposer un cœur et une âme. Et ce sont les mères, les femmes, qui sont les cœurs et les âmes de ce pays.
RTS : A Portland, où des milliers de personnes se rassemblent tous les soirs pour manifester, l’administration Trump a ordonné le déploiement des forces de l’ordre fédérales. Et dans une ville démocrate, c’est perçu comme une provocation.
3e interview, un vieux manifestant blanc : On est à la limite d’un comportement anticonstitutionnel de la part d’un gouvernement fédéral. Il veut être un dictateur. Il a peur de perdre l’élection et il fait cela exprès.
RTS : Les agents retranchés dans le tribunal commencent à envoyer du gaz lacrymogène sur les foules. Les mères sont les premières touchées.
4e : une femme blanche énorme se lave les yeux et dit : Là, maman est en colère. Et vous savez quoi ? Ça fait des décennies que les femmes noires subissent cela. (Nous ne saurons jamais à quoi la « maman » fait allusion : au gaz lacrymo ? Mystère.)
RTS : L’intervention des agents fédéraux ne fait que redoubler la détermination des manifestants. Mais les scènes de chaos provoquées par les affrontements sont désormais quotidiennes et sont déjà un argument de campagne pour le Président américain, qui se présente comme le seul capable de rétablir l’ordre.
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En réalité, les émeutes de Portland (comme partout ailleurs les émeutes d'Antifa) ont été d'une extrême violence dès le début, avec une volonté claire de détruire les villes, de créer le chaos, même si des personnes pacifiques faisaient partie des cortèges mis en place. La décision de faire intervenir la police fédérale à Portland a été prise après l'attaque contre le bâtiment fédéral du Palais de Justice et la découverte d'un camion rempli d'armes et d'explosifs afin d'incendier et de tenter de faire exploser le bâtiment de la police.
Voici quelques exemples de la réalité des émeutes que la RTS a sciemment refusé de montrer:
- La nuit du 24 au 25 juillet, donc juste avant la diffusion du reportage RTS ci-dessus, un reporter noir conservateur a été poignardé par un membre présumé d'Antifa à Portland lors d'une manifestation de Black Lives Matter.
Voici la vidéo et l’article qui l’accompagne :
Stephen Oatley - 25 juillet 2020
Un journaliste conservateur a été poignardé tôt ce matin (samedi 25 juillet) à Portland, Oregon, selon de multiples informations et vidéos parues sur les réseaux sociaux. L'agression au couteau, qui a été filmée, est survenue après plusieurs heures d'attaques continues près du Palais de Justice de Hatfield.
La victime, Drew Duncomb, était apparemment reporter pour le parti conservateur The Common Sense, et a reçu au moins un coup de coup de couteau lorsqu'il a affronté un membre présumé de l'Antifa qui le suivait ainsi que d'autres journalistes.
Antifa : 22 homicides à Portland depuis le 1er juin-31 juillet, contre 36 pour toute l’année 2019 (source: Dreuz info)
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ici, un journaliste indépendant parle d’une personne blessé par balle, d’une personne battue par la foule déjà par terre.
"Certains jeunes ont essayé toute la journée de provoquer des affrontements", explique Ronald Edwards, 26 ans, journaliste indépendant. "Ils avaient des machettes, des battes, des skateboards, des couteaux."
Des milliers de manifestants ont défilé en groupes à Portland, certains criant "Feds go home !" en réponse à la décision de l'administration Trump d'y envoyer des agents fédéraux fin juin. Selon la police. les manifestants ont utilisé des outils électriques pour essayer de couper la clôture du Palais de Justice fédéral et en ont abattu une section. Une émeute a été déclarée, et la police a rapporté un nombre indéterminé d'arrestations.
"A certaines heures de la nuit, Portland est une ville complètement hors de contrôle", a relevé Chad Wolf, secrétaire à la Sécurité intérieure des Etats-Unis.
A Seattle, une émeute a éclaté, des milliers de manifestants ont jeté des pierres, des bouteilles, des feux d’artifice et d’autres explosifs contre la police. Selon la cheffe de la police, il n’y avait aucun agent fédéral dans les rues.
A Chicago, la maire Lori Lightfoot a déclaré qu’elle n’autoriserait pas la présence de troupes fédérales dans sa ville et qu’elle utiliserait tous les moyens à sa disposition pour les empêcher d’agir.
Nancy Pelosi a appelé les agents qui tentent de protéger les biens fédéraux, "les troupes d'assaut de Trump"
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Lorsque les agents sont intervenus pour éteindre les incendies, on leur a jeté des bouteilles en verre et on a pointé des lasers dans leurs yeux, ce qui peut provoquer une cécité permanente.Nous avons actuellement trois agents qui ont des blessures oculaires et dont l'œil atteint risque d’être définitivement perdu suite à ces attaques au laser.
Voici à quoi ressemblait le centre de Portland en réalité la veille du reportage de la RTS :
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Regardez des manifestants « pacifiques » de Portland brûler la Bible et le drapeau américain, vingt-quatre heures après avoir brûlé une tête de porc affublée d'un casque de policier
https://www.youtube.com/watch?v=Am55Z57V4_g
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Cette escalade de provocations répugnantes n’a plus de limite. Une jeune femme s’est mise totalement nue devant les agents fédéraux qui sont revêtus de gilets pare-balles (en pleine canicule) face aux émeutiers dangereux, et les journalistes en font une héroïne. Elle voulait montrer sur qui les agents tirent:
La police de l'État d'Oregon a repris la responsabilité de protéger un palais de justice de Portland après plus de 60 nuits de manifestations qui ont parfois dégénéré en violentes émeutes et ont de plus en plus pris pour cible le bâtiment fédéral.
Le renforcement de la présence des agents de l'État et des agents locaux fait partie d'un accord passé entre le gouverneur démocrate et l'administration Trump qui visant à réduire le nombre des agents fédéraux pendant les troubles.
Les protestations ont récemment tourné à la violence, les autorités locales ayant tenté de réprimer les manifestations qui ont secoué la ville chaque nuit pendant plus de deux mois après l'assassinat de George Floyd. [...]
Trump a déclaré dans un tweet que les agents fédéraux resteraient à Portland jusqu'à ce que la violence soit maîtrisée. "Si elle ne peut pas le faire, le gouvernement fédéral le fera pour elle. Nous ne partirons pas tant qu'il n'y aura pas de sécurité !" Trump a écrit a sujet de Brown qu'elle n'en faisait pas assez pour contrôler les "anarchistes et agitateurs".
Le maire de Portland fait passer la politique avant la sécurité publique : Secrétaire du DHS (Department of Homeland security)
Fox News -31 juil. 2020
Chad Wolf, secrétaire d'État par intérim du ministère de la sécurité intérieure, a déclaré à Fox & Friends que Portland n'a connu que peu d'activités criminelles au cours de la nuit, après l'intervention de la police de l'Oregon et de Portland.
Actuellement, il y a 245 blessés (dans la population), 90 arrestations.
Trump : Beaucoup d’eux devrait être arrêtés car ce sont des terroristes, anarchistes professionnels, les agitateurs professionnels.
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Les émeutes à Portland et à Seattle sont un cancer, il faut empêcher qu’il se propage
A.J. Rice, 30 juillet 2020
[…] La côte du Nord-Ouest est-elle une cause perdue ? Regardons ce qui se passe à Seattle et à Portland.
Ces deux villes dirigées par les Démocrates sont en train de devenir incontrôlables.
À Seattle, le 22 juillet, la police a enregistré une vague de crimes, car ce que les médias continuent d’appeler des «manifestants pacifiques» ont traversé le centre-ville en brisant des vitres, en volant des objets et en s’attaquant à la ville en général.
«Vers 21 heures, un groupe d’environ 150 personnes s’est rassemblé au parc Cal Anderson», indique le rapport de police. «Le groupe a erré dans le quartier de [Capitol] Hill, causant d’énormes dégâts matériels, pillant, tirant des feux d’artifice et commettant des incendies criminels.
«Des membres du groupe ont cassé les fenêtres d’un commerce dans le quartier de 1400 East Olive Way et ont ensuite mis le feu à l’intérieur. […] »
Ce n’était qu’un début. La police était sur place et a noté tous les crimes que les voyous ont commis mais n’en a arrêté aucun, et ils n’ont procédé à aucune arrestation. Pourquoi ? Parce que la maire Jenny Durkan et le conseil municipal ont lié les mains de la police tandis qu’ils laissaient libre cours aux criminels en liberté. […]
Pour ne pas être en reste, le centre-ville de Portland continue d’être le théâtre d’une émeute ininterrompue depuis près de deux mois. Là, les «manifestants pacifiques» continuent à mettre le feu au Palais de Justice fédéral comme s’ils essayaient de chasser le gouvernement fédéral de la ville. Ils ont également attaqué et blessé des agents fédéraux qui y étaient déployés pour sauver la ville des destructions qu’elle s’inflige à elle-même. Les «manifestants pacifiques» ont pointé des lasers dans les yeux d’agents fédéraux et ont peut-être rendu trois d’entre eux aveugles à vie.
[…]
Le maire Ted Wheeler a même défilé avec les criminels, et après que les agents fédéraux aient usé de gaz lacrymogène pour chasser ceux qui avaient incendié le Palais de Justice, il a déclaré devant les caméras qu’il ne voyait aucune raison à l’action des agents. […]
Pendant ce temps, à Seattle, la maire Durkan et le conseil municipal ont interdit à la police d’utiliser des armes non létales pour contenir ou disperser les foules. La cheffe de la police, Carmen Best, leur a envoyé une lettre pour leur dire de laisser les habitants et les entreprises de la ville livrés à eux-mêmes, de sorte que le cancer de l’émeute va s’étendre.
Les fédéraux ont porté cette interdiction devant les tribunaux qui l’ont abrogée, mais les émeutiers criminels ont continué à se déchaîner. Ils ont brûlé un Starbucks à l’intérieur d’un immeuble, mettant en danger les habitants de l’immeuble […].
Paul Gallant, résident de Seattle, s’était moqué du président Trump qui envoyait des agents fédéraux pour réprimer des «manifestations pacifiques».
Il a promptement changé d’avis quand ils ont brûlé ce Starbucks... car c’est justement l’immeuble où il habite. Maintenant, il cherche à acheter une arme. Comme l’ont fait trois millions d’Américains depuis le début des émeutes. […]
Les médias aident et encouragent le cancer des émeutes dès qu’ils en ont l’occasion. Regardez ce tweet d’ABC News sur une émeute en Californie. Ce n’est pas une parodie :
«Des manifestants en Californie ont mis le feu à un Palais de Justice, endommagé un poste de police et agressé des officiers après l’intensification d’une manifestation pacifique.» (sic !)
[…]
Les médias ne peuvent pas se résoudre à rendre compte de ce qui se passe réellement : les émeutes transforment Seattle, Portland et d’autres villes en cancers. Les crimes violents se multiplient de New York, à Los Angeles. Austin, Texas, connaît cette année une hausse de 70 % des meurtres. Le cancer est en augmentation. Il faut que quelqu’un l’arrête.
[…]
Seattle et Portland sont des cancers et ils se métastasent. […]
S’il y a une bonne nouvelle, c’est que le gouvernement fédéral opère à Portland. Il a arrêté des dizaines d’émeutiers lundi. C’est un bon début. Il est plus que temps d’éradiquer ces cancers.
La maire Démocrate de Seattle blâme à nouveau Trump après que des émeutiers aient fait sauter un poste de police à l'aide d'un fourgon rempli d'explosifs
Par Tyler O'Neil, le 30 juillet 2020
Quelques jours après que des émeutiers antifa aient terrorisé Seattle, conduisant un camion rempli d'armes et d'explosifs et entraînant la foule avec eux afin d'allumer des incendies et de tenter de faire sauter des poste de police, la maire Jenny Durkan a porté toute son attention sur le président Donald Trump, l'accusant de mener une "répétition générale pour la loi martiale". Elle a prétendu que les efforts de Trump pour venir en appui aux forces de l'ordre locales afin de combattre une vague croissante de criminalité et de violence ont "diminué la sécurité publique".
Lors d'une conférence de presse sur les émeutes antifa, Durkan a déclaré que "le président veut" la violence. […]
Les voyous Antifa sans loi de Portland, Oregon, par Ben Garrison:
[...] La violence physique des Antifa a récemment envoyé à l'hôpital un jeune reporter nommé Andy Ngo. Dans ma caricature, j'ai représenté un Antifa comme une brute musclée, mais en réalité, la plupart d'entre eux sont des gringalets. [...]
Les Antifa continuent d'intensifier leur violence. Ils encouragent les gens à frapper comme si c'était quelque chose d'amusant. Au lieu de lancer des milkshakes, ils veulent maintenant lancer de l'acide à la figure des gens.
Si la violence des Antifa n'est pas arrêtée, elle ne fera que s'intensifier.
Il faut mettre un terme à cette anarchie avant d'en arriver là.
Apparemment, c'est ce que veulent les mondialistes de l'État profond.
Et voici la caricature de Ben Garrison, talentueux dessinateur, qui accompagne ce billet.
Nouveau reportage de l’équipe RTS sur place sur les «manifestations antiracistes de Portland», qu’elle qualifie de « pacifiques » tout en accusant Trump de provocation.
Hannah Schlaepfer introduit le second reportage. Trump intervient dans un contexte électrique. Depuis dix jours, Portland est le théâtre de violents affrontements entre les forces de l’ordre et les manifestants antiracistes. (Ndlr : en réalité, cela fait deux mois que les émeutes paralysent et terrorisent les habitants, avec des millions de dégâts, et tout cela sous prétexte d’un racisme et de la mort d’un délinquant à des milliers de kilomètres de là.)
L’administration Trump devrait retirer une partie des agents fédéraux mais les tensions demeurent. Portland est devenu le symbole d’une Amérique divisée qui semble au bord de la rupture.
Grand format de nos correspondants, Aviva Fried et Christelle Jaime.
Les nuits se ressemblent à Portland. La mur des mamans, un mur des anciens combattants, une situation qui dégénère. L’intervention musclée des agents fédéraux déployés par Trump. Une Amérique qui est au bord de la guerre civile.
5e interview: un homme avec masque à gaz, portant le T-shirt jaune des mamans : Je n’aime pas la direction que prend le gouvernement. Il faut l’arrêter, c’est pour cela que nous sommes ici.
Une famille afro-américaine vend, la journée, sur une place de marché paisible, les produits de sa ferme. Aviva : Tous les vendeurs sont ici issus de la minorité visible. Les clients sont en majorité blancs, comme 77% de la ville, une des plus blanches des USA.
6e interview, une femme blanche : Les Blancs, la culture suprémaciste blanche fait l’expérience d’un endroit qui ne les met pas au centre mais ils sont les bienvenus. C’est instructif.
Aviva Fried : Mais même ici, le malaise et des tensions sont présents.
7e interview : un Noir nommé Quinn, barbe tressée, T-shirt Black Lives Matter : Les Blancs vont nous sourire, mais après ils nous font des coups dans le dos. Des préjugés, une attitude prédatrice envers les personnes de couleur. Ici, ce n’est pas du tout progressiste.
Ndlr. Résumons : Portland, une des villes les plus blanches des USA, manifeste pour la cause des Noirs depuis deux mois sans interruption. Ses habitants « racistes » ont voté pour un gouvernement progressiste, anti-Trump. A présent, les progressistes mènent la ville au bord de la guerre civile. Les manifestants paisibles attaquent chaque la nuit la police, ils ont brûlé les yeux d’au moins trois policiers avec des pointeurs laser, ils mettent le feu aux bâtiments de l’Etat, pillent, détruisent commerces, bâtiments, causant des blessés en série, poignardent un journaliste pro-Trump, mais c’est une ville profondément « raciste ».
En huit ans d’administration Obama, il n’y a pas eu de problèmes de racisme, ou du moins pas pour la RTS.
8e interview : Une femme s’avance vers la caméra, comme si c’était un hasard de la trouver là. Il s’agit de Amy Herzfeld-Copple, militante de la « justice sociale », directrice adjointe de WSC, une organisation « antiraciste», qui lutte pour une société inclusive. Elle explique que l’activisme d’aujourd’hui serait un moyen d’oublier le passé. Il va falloir que l’Etat réexamine sérieusement son bilan dans l’injustice raciale, la ségrégation. C’est un endroit compliqué pour des manifestations non-violentes et disciplinées.
9e interview, changement de décor : Deux hommes blancs, Républicains, l’air normal, sans excentricité, ce qui contraste avec les précédents.
C’était certainement une consigne de la RTS de montrer aussi « ces gens », afin que les téléspectateurs ne puissent pas se dire que le reportage n’est pas neutre !
Aviva Fried : Mais pour certains, Portland est allée trop loin dans sa quête de rédemption. Il y a des conservateurs qui ne se reconnaissent pas dans cet activisme.
Ces Républicains sont venus constater les dégâts de la nuit dernière au centre ville. (La caméra montre brièvement quelques déchets au sol. Mais à part ça tout est propre en ordre... et Trump a déployé les Fédéraux pour cela !)
L’un des Républicains, face à la caméra de la RTS : Même les opinions modérées, tout ce qui n’est pas 100% dans la ligne sera étouffé. Et je suis même inquiet pour ma sécurité.
Aviva Fried : Pourtant, les initiatives se multiplient pour tenter de réconcilier les deux communautés.
10e interview, une jeune fille qui ramasse les déchets. Pour elle, il n’y a ni gauche, ni droite, elle fait cela pour la planète.
Et Aviva Fried conclut :Avec un Donald Trump qui jette de l’huile sur le feu dans sa quête d’un second mandat.
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À bon entendeur pour la RTS :
Si l’on devait parler de racisme systémique aux Etats-Unis, les victimes ne seraient pas les Noirs mais les Blancs. En Suisse, le problème est vite résolu, il n’y a pas de statistique disponible par races.
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Portland : la création du chaos par population engineering
Analyse de Làszlo Földi, spécialiste hongrois des services secrets, sur les émeutes qui secouent les Etats-Unis.
Comment calculent ceux qui ont créé artificiellement ce conflit ?
Tout d'abord, ceux qui ont créé ce chaos l'ont fait avec des calculs froids, il y a une stratégie savamment élaborée qui est mise en œuvre. Les gens qui sont « au front » croient dur comme fer que ces manifestations sont spontanées alors qu’il n’en est rien.
Földi explique que cette méthode de subversion a fait ses preuves dans les diverses «révolutions» rouges et peut être instaurée partout dans les pays non totalitaires.
En Hongrie, il y a eu des émeutes similaires pour des prétextes tout aussi artificiels, mais le peuple hongrois est moins facile à manipuler.
Les forces subversives alliées avec les Démocrates ont mis en place une armée, une structure, un réseau propre, pour exciter artificiellement les foules, pour créer l’insécurité et le chaos dans tout le pays. Leur calcul est le suivant : les gens en auront marre des déprédations, du manque d’ordre, de ce festival nihiliste de déconstruction et de destruction. Le sauveteur surgi de l’ombre accusera Trump d’être responsable des troubles et se présentera comme la solution au problème. Les médias se chargeront de marteler que c’est la seule solution, jusqu’à ce que la population plie, n’aspirant plus qu'au changement.
Durant les deux mandats d’Obama, président Noir, n’y a-t-il pas eu assez de réformes ? La régression des droits des Noirs est-elle à imputer à Trump ? Il n’y a aucun chiffre, aucun document, aucune donnée réelle pouvant attester cela. Le sort des Noirs s’est amélioré durant les trois ans de Trump, le chômage a reculé, le niveau de vie des Noirs, leur présence dans les universités ont augmenté. Tout le monde sait que les Afro-Américains ne sont pas systématiquement opprimés aux États-Unis, ils bénéficient même de la ségrégation positive. Le sport, les arts, l’économie, les universités les attendent à bras ouverts et ils sont nombreux à réussir.
Les médias aident à exciter la population, à générer une « opinion publique » avec des problèmes créés de toutes pièces. Une fois que le mouvement de foule est lancé, il est difficile de l’arrêter.
Ceux qui travaillent pour créer ces manipulations de masses n’ont aucun frein moral. Transformer une ville, un pays paisible en scène de guerre, détruire l’économie ne leur pose aucun problème si cela sert leur cause.
Ces réseaux sont décidés à faire gagner les élections à tout prix. Ils ne vont pas eux-mêmes au front mais ils y envoient tous ceux qu’ils arrivent à manipuler. Ce qui se passe en réalité, les réels enjeux ne sont pas clairs pour les gens. Les personnes spécialement frustrées de leur vie sont faciles à embrigader. Pendant ces émeutes, les autres Blancs silencieux sont armés et se préoccupent principalement de leur propre sécurité.
Est-ce que détruire les villes, l’économie, la sécurité par ces émeutes va porter ses fruits ? Rien n’est moins sûr. L’augmentation du soutien des Noirs à Trump est de 47% depuis la mort de Floyd. La majorité des Afro-Américains ne sont pas prêts à sacrifier leur mode de vie aux Antifa. Ils savent parfaitement ce qu’ils risquent de perdre.
Actuellement, les médias participent à la création du chaos en prenant position unilatéralement du côté des émeutiers. Dans les médias de gauche, il y a des pions placés par la gauche mondialiste et par les services de renseignements inféodés au gauchisme (certains émanant du Deep State). Ces pions œuvrent d’une manière professionnelle à la subversion politique de l’entité visée. C’est par leur présence que les médias sont devenus une telle force politique. Leur activité dégrade totalement le métier de journaliste, il n’y a plus aucune éthique, tout doit servir la cause politique qu’ils veulent porter à la victoire, puis tout doit servir à ce qu’ils restent au pouvoir.
Ils ont comme mission d’ancrer des mensonges dans la tête des gens par des méthodes de manipulation. Ne sont-ils pas des criminels?
Tout cela pue les services secrets des Démocrates américains à des kilomètres à la ronde. Ils ont tissé leur toile partout dans le monde occidental, nous constatons partout leurs agissements.
Nous n’exigerions pas un journalisme neutre, car ce serait irréaliste, cela n’existe pas. Ce qu’il faudrait exiger, c’est un journalisme réaliste qui serve les intérêts de la population, qui s’informe par son intermédiaire.
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