Dystopie ou réalisme ? Douglas Murray : Beaucoup de militants progressistes ou BLM veulent la fin de la Grande-Bretagne et de notre civilisation

9 sept. 2020 - The New Culture Forum Channel

Dans cet extrait de l'émission "So What You're Saying Is" (#SWYSI), Douglas Murray fait remarquer que, tout comme il a fallu 400 ans pour que l'Empire romain s'effondre, il est possible que nous assistions maintenant au début de la fin de notre civilisation.

Selon lui, cela peut être évité de plusieurs façons. L'une d'elles consiste à identifier les personnes dont l'intention n'est pas de critiquer de manière constructive et d'aider à améliorer la société, mais plutôt de voir notre culture et notre nation cesser d'exister. Quand nous les écoutons ou leur donnons une tribune, nous nous affaiblissons et les aidons à atteindre leurs objectifs.

L'interview complète, par Peter Whittle, peut être écoutée ici : https://www.youtube.com/watch?v=9n8fWSqgC90

traduction automatique disponible sur Youtube

 

 

 

Douglas Murray sur la Suède : «Avec l’immigration, j’ai vu des quartiers envahis par les crimes, les gangs, les viols et les attaques à la grenade »

Dans son dernier essai, L’Étrange suicide de l’Europe, qui est resté près de vingt semaines dans le top 10 des meilleures ventes du Sunday Times, il décrit les conséquences mortifères de l’immigration incontrôlée dans une Europe en voie de désintégration. À l’occasion de la parution de l’édition française de son best-seller, Douglas Murray nous a accordé un entretien exclusif.

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Vous adoptez un ton particulièrement véhément au sujet de la Suède, pourtant souvent citée en exemple. Pourquoi?

-Parce que, en dehors de l’Allemagne, aucun pays en Europe n’a accepté autant de migrants ces dernières années que la Suède. Et personne n’a autant de problèmes. Il n’y a rien à faire pour les Suédois. Plus personne n’a une classe politique aussi ridiculement timide, autocensurée et volontairement aveugle. J’ai fait le tour des banlieues et j’ai vu des quartiers désormais envahis par les crimes, les gangs, les viols et les attaques à la grenade. Presque tous les journalistes sont là pour suivre la ligne du parti et régurgiter les mêmes mensonges. Ils semblent penser que leur travail est de maintenir les mauvaises nouvelles le plus loin possible du public. Donc, comme en Allemagne, le public doit apprendre à lire les nouvelles selon un dispositif de décodage interne, comme on le faisait sous le communisme. Ainsi, lorsqu’un viol est signalé, par exemple, si le nom de l’agresseur n’est pas mentionné, tout le monde sait qu’il s’agit d’un migrant.

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Le Figaro via Fdesouche.com

« L’Europe se suicide », affirme l’auteur britannique Douglas Murray

Dans le débat sur les problèmes de l’immigration et sur l’identité de l’Europe, l’auteur et journaliste britannique Douglas Murray a fait exploser une sorte de bombe littéraire, comme le dit le Daily Mail. « L’Europe se suicide. Ou du moins ses dirigeants ont décidé de commettre un suicide, » écrit-il dans l’introduction de son nouveau livre « The Strange Death Of Europe » (« L’étrange mort de l’Europe ») […]

Cela conduira à ce que […] l’Europe ne sera plus l’Europe, et que les peuples d’Europe perdront le seul endroit dans le monde qu’ils pouvaient appeler patrie, assure Murray (37 ans) dans son livre publié début mai. Les élites européennes ont soutenu l’immigration massive en Europe, affirme-t-il.

Selon l’auteur, il y a deux raisons à cela. D’une part, les dirigeants politiques européens ont sciemment contribué à l’immigration massive des peuples vers l’Europe et ont « rempli des villes du nord froides et pluvieuses avec des gens portant des vêtements adaptés aux contreforts des montagnes du Pakistan ou aux tempêtes de sable des pays arabes». D’autre part, il pense que les élites intellectuelles et culturelles de l’Europe, y compris celles du Royaume-Uni, ont perdu confiance dans la foi, les traditions et la légalité. Les élites ont détourné leur regard de ces valeurs chrétiennes historiques, dont les électeurs attendent que les hommes politiques les défendent.

Le résultat est que l’Europe cesse d’être l’Europe, dit Murray, qui croit que la culture européenne – la culture de Michel-Ange et de Mozart, de Shakespeare et de Goethe, de Dickens et de Wagner – est condamnée à disparaître. « Au lieu de demeurer un foyer pour les peuples d’Europe, nous avons décidé de devenir une «utopie» au sens originel de ce mot venant du grec : un » non-lieu », écrit le journaliste dans son livre « The Strange Death Of Europe ».

[…]

(Traduction Fdesouche)

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