Hambourg. Des indicateurs du journal Die Zeit ont dénoncé des observateurs de droite aux “Antifa”, mettant leur vie en danger.

Hambourg. Des indicateurs du journal Die Zeit ont dénoncé des observateurs de droite aux "Antifa", mettant leur vie en danger.

Le journal Die Zeit, qui a créé sur son site internet un forum de dénonciateurs, dans la plus pure tradition allemande du 3ème Reich et de la RDA, a dû se séparer de deux de ses indicateurs. Il s'agit entre autres d'un activiste de gauche, qui a photographié des correspondants d'autres média, dont une femme, puis publié les images qu'il avait prises sur "Twitter", en prétendant qu'il s'agissait de membres du mouvement identitaire. Sur quoi ceux-ci ont été attaqués par des manifestants et agressés physiquement.

http://meedia.de/2017/07/10/nach-hetzjagd-vorwuerfen-beim-g20-zeit-online-trennt-sich-von-stoerungsmelder-autor-soeren-kohlhuber/

Traduction (Claude Haenggli) : L'indicateur a déclenché une sorte de chasse à l'homme et pris sciemment en compte que les personnes qu'il a dénoncées soient sérieusement blessées. En effet, ainsi que les prises de vue le démontrent, l'atmosphère était particulièrement agressive parmi les sympathisants de l'Antifa.

Claude Haenggli, 11.7.2017

PS. J'ai oublié d'écrire dans mon article ci-dessus que le site de dénonciation du journal Die Zeit est encouragé et financé par le ministre socialiste de la justice Heiko Maas. Un digne successeur de Goebbels.

Il faut tuer le soldat Trump !

   
Michel Garroté - Josef Joffe, directeur de la rédaction du journal allemand Die Zeit, provoque la polémique en suggérant que le seul moyen d'empêcher la « catastrophe Trump » c'est de tuer le président américain à la Maison Blanche. Suggérant un moyen simple de se débarrasser de l'encombrant Donald Trump, Josef Joffe déclare : « Un meurtre à la Maison Blanche, par exemple ».
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Autre dérapage, celui du réalisateur anti-sioniste français Mathieu Kassovtiz, qui réside à Los Angeles, qui s'improvise journaliste sur Twitter, et, qui, appelle au meurtre du nouveau Président américain Donald Trump. S’exprimant sur Twitter, Mathieu Kassovitz regrette l’absence de Lee Harvey Oswald, qui etait l’assassin du président américain John F. Kennedy : « Putain, où est Lee Harvey quand on a besoin de lui ! » a écrit Kassovitz.
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Le vendredi 27 janvier 2017, sur Les Observateurs, j'écrivais : La très grande majorité des journalistes américains (et européens) dénigre Donald Trump, sept jours sur sept, avec une hystérie et un acharnement sans précédent. La haine médiatique envers Trump frise "l'appel au meurtre", comme si dans leur fort intérieur, les journalistes rêvaient qu'un sniper "déséquilibré" décide d'assassiner le nouveau président.
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Aujourd'hui, lundi 30 janvier 2017, je dois rectifier. La réalité, ce n'est plus : La haine médiatique envers Trump frise l'appel au meurtre. La réalité, c'est : Les journalistes (professionnels ou amateurs), tels Josef Joffe et Mathieu Kassovitz, appellent - concrètement - au meurtre de Donald Trump.
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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«Meurtre à la Maison Blanche» : quand un patron de presse allemand recommande l’assassinat de Trump

Qui veut la peau de Donald Trump ? Devant les lenteurs administratives que pourrait entraîner une procédure de destitution, un directeur de rédaction a suggéré une solution peu orthodoxe : l'assassinat du président américain à la Maison Blanche.

Josef Joffe, le directeur de la rédaction du journal allemand Die Zeit, a provoqué une polémique après avoir suggéré que le seul moyen d'empêcher la «catastrophe Trump» était de tuer le président américain à la Maison Blanche.

La scène a eu lieu le 25 janvier lors d'un épisode du «Presse Club», un show retransmis par le radiodiffuseur public allemand ARD. La publiciste Constanze Stelzenmüller répondait à une auditrice qui s'enquerrait des voies légales et des détails juridiques permettant la destitution de Donald Trump. Dans son explication, Constanze Stelzenmüller indiquait notamment que la procédure officielle d'impeachment était longue et complexe.

https://youtu.be/CW0hYrJNz78

«Une majorité qualifiée des deux tiers du Sénat doit voter en faveur de la destitution pour que cela arrive. Il y a un certain nombre d'obstacles politiques et juridiques, il faudrait que beaucoup de choses se passent pour en arriver là», était-elle en train d'expliquer lorsque Josef Joffe lui a coupé la parole.

Suggérant un moyen plus simple de se débarrasser de l'encombrant Donald Trump, l'éminent journaliste a déclaré : «Un meurtre à la Maison Blanche, par exemple».

Boutade ou appel au meurtre à peine déguisé ? La pique mordante contre le président américain n'a peut-être pas surpris le public à cause du parti anti-Trump défendu par son journal, Die Zeit. Néanmoins, cette petite phrase présentant in fine comme positif l'assassinat de Donald Trump a beaucoup choqué.

Par ailleurs, le site d'information Breitbart, dont l'ancien responsable Stephen Bannon est désormais stratège en chef de Donald Trump, a indiqué que les propos de Josef Joffe pourraient entraîner une enquête de la police allemande à son encontre.

(...)

Ce n'est pas la première fois que des appels au meurtre «parodiques» ont lieu à l'encontre du président américain.

La chaîne d'information en continu CNN, a par exemple été critiquée pour avoir réalisé un reportage sur une possible vague d'assassinats lors de l'investiture de Donald Trump. Beaucoup d'internautes y avaient vu une incitation au meurtre.

Source et article complet

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