Pour leur propagande, les djihadistes de l’EI quittent les principaux canaux de diffusion en ligne comme Twitter et Facebook pour d’autres plateformes. Le réseau social décentralisé Diaspora, par exemple. Mais aussi Friendica et Quitter.
Chaque utilisateur peut rejoindre un «pod» de Diaspora : chacun de ces nœuds est installé sur des serveurs gérés séparément par des contributeurs. Ainsi, les données sont dispersées et ne sont pas toutes concentrées entre les mains d’un géant américain qui les exploite via la publicité.
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