Nous sommes absorbés par le débat autour du vaccin, alors qu’une terrible invasion nous pend au nez

Albert Coroz: Résumé de l’interview du 27.07.2021 de Georg Spöttle, analyste politique germano-hongrois. Ancien officier des services secrets, ayant également servi en Afghanistan, Georg Spöttle donne son avis sur la chaîne hongroise M1.

Georg Spöttle résume la situation en Afghanistan. Les États-Unis, l’Allemagne partent, la Norvège et les Pays-Bas vont partir sous peu, la Hongrie avait été appelée en renfort pour sécuriser l’aéroport de Kaboul mais ces troupes hongroises savent que la situation ne sera bientôt plus tenable. Toutes ces armées occidentales laissent énormément d’armements derrière elles.
Les talibans, de leur côté, sont également très bien équipés en matière d’armements. Ils occupent les trois quarts du pays, et la population des régions occupées est en mouvement, se déplace vers les zones moins dévastées. C’est une migration de masses interne que nous n’imaginons pas. En Iran, au Pakistan, les camps de réfugiés se remplissent.
Mais les Afghans en fuite ne veulent de toute façon pas rester en Iran, encore moins au Pakistan, ils ne veulent pas plus rester en Turquie, ils veulent presque tous se mettre en route vers l’Europe.

Actuellement, dans le chaos afghan, il y a des victimes civiles par milliers, même parmi les enfants.
Tous ceux qui ne capitulent pas devant le régime radical périssent.

Aujourd’hui, 120'000 Afghans vivent en Allemagne et comme dit Spöttle, ce n’est pas une clientèle facile. Bien au contraire, ils sont en tête de liste de la criminalité la plus violente, et le récent crime atroce commis en Autriche par quatre Afghans sur une ado de 13 ans, droguée, violée, assassinée, va agir sur les élections à venir en 2022. Merkel sait que la survie de son alliance CDU-CSU est en jeu et a déjà déclaré que l’Allemagne ne voulait pas de réfugiés afghans.
Pendant ce temps, les Allemands sont préoccupés par la transition énergétique, les Verts sont très populaires et planifient la fin de la voiture thermique dès 2030.

Inéluctablement, les talibans vont prendre le pouvoir en Afghanistan, ils vont se battre contre des chefs de tribus, également très bien armés. Ceux-ci vont en effet s’opposer aux talibans, qui les empêchent d’amasser des sommes colossales à travers la drogue. Il y aura des surprises à ce niveau, car ils peuvent financer des armées privées. Penser que les Occidentaux puissent agir là-bas est illusoire.
Les talibans veulent que les femmes ne sortent pas de leur maison, il n’y aura que des écoles coraniques, etc, ce sera le retour au 7ème siècle. […]

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Extrait de l'article à propos de la lettre ouverte de plusieurs médias américains au Président Biden, demandant des visas spéciaux pour les Afghans ayant travaillé pour la presse américaine:

Qu'en est-il du danger auquel sont confrontés les dizaines de millions d'Afghans qui n'ont pas travaillé pour des organismes de presse américains ? La lettre affirme que les talibans « considèrent la presse américaine comme une cible légitime ». Sans aucun doute. Mais les talibans considèrent également comme des cibles légitimes tous ceux qui s'écartent de leur vision islamiste extrémiste.

Les hommes qui ne portent pas la barbe (ou dont la barbe est jugée trop courte), les femmes qui vont à l'école ou qui ne portent pas la burka, toute personne qui souhaite regarder des films ou la télévision ou écouter de la musique, toute personne qui soutient d'autres autorités politiques ou religieuses - tous sont des cibles. Qu'adviendra-t-il des dizaines de millions d'Afghans qui ne font pas partie du New York Times ou du Boston Globe et qui ne bénéficieront pas d'un programme spécial de visas pour les emmener en sécurité ? [...]

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À la frontière hongroise, le 27 juillet, une quinzaine de migrants ont attaqué les forces de l’ordre avec violences (blessés légers). Cette année, la Hongrie a déjà empêché l’entrée illégale de 50'000 migrants. La Hongrie sait que ces événements vont se multiplier et la population réclame pour les gardes-frontière le droit de tirer. Laszlo Földi a dit récemment que des garde-frontière sans droit de tirer ne sont que des décors d'opérette.

Bientôt les Américains vont se retirer d’Irak, ce qui va déclencher une autre vague de réfugiés vers l’Europe, et bien des événements encore imprévisibles.

Des îles Salomon, de l’Inde, du Bangladesh, d’Afrique,... d'innombrables personnes vont partir vers l'Europe pour demander l'asile.

Partout la pression migratoire maritime vers l’Europe augmente également et pendant ce temps, partout en Europe, le débat entre gouvernements et oppositions, porte sur l’enjeu vaccinal.

(En Hongrie, toute l’opposition, de l’extrême droite à l’extrême gauche, est unie pour militer contre la vaccination et, d’une manière générale, contre tout ce que le gouvernement décide en matière sanitaire.)

En Suisse aussi, le débat sur le vaccin s’éternise :

Vaccination contre le Covid-19 – Payer les indécis pour qu’ils se vaccinent? Le tabou tombe
(24h/tdg - article sous abonnement).

Bernard Hirschel, président de la Commission cantonale vaudoise d’éthique de la recherche, répond le 27.7.2021 au problème de discrimination dont se plaignent les non-vaccinés. Ses arguments en résumé:

Sans billet, vous ne pouvez pas aller au cinéma, et y allumer une cigarette est interdit car vous mettriez en danger les autres, on vous priera de sortir. En quoi est-il plus discriminatoire de demander un certificat à l’entrée? Les vaccinés sont moins contagieux, c’est une réalité. Ceux qui ne veulent pas de vaccin doivent assumer leur choix sans mettre la santé d’autrui en danger.

 

Nous abondons dans le sens de B. Hirschel et ajoutons ceci :L’Europe se rapproche à grands pas d’une bataille majeure, consistant à éviter une invasion qui fera ressembler le Camp des Saints à une promenade de santé.
Les ONG , la gauche et les médias continuent leur business pro-asile et leur propagande migratoire, alors qu’il est minuit moins deux.

Albert Coroz

Propagande anti-russe et anti-hongroise de l’UE, qui politise même le vaccin

FRANCE 24, vidéo du 12 février 2021

La #Hongrie a commencé à vacciner sa population en utilisant le vaccin russe #SpoutnikV.
Le Premier ministre, Viktor Orbán, espère ainsi permettre la relance de l'économie et du tourisme.
L'opposition dénonce une mise en scène de la défiance envers l'UE qui pourrait mettre en danger les Hongrois.

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Cenator: Alors qu’au Royaume-Uni, 15 % de la population a déjà reçu le vaccin, ce chiffre oscille dans l’UE entre 6,5 % à Malte et moins de 1 % en Bulgarie, tandis la plupart des États membres se situent aux environs de 3 %. La Hongrie se classe au onzième rang parmi les vingt-sept pays de l'UE.

source: https://pestisracok.hu/ezert-kerult-ossztuz-ala-brusszelben-a-lassu-vakcinabeszerzes/

Noter que les politiciens hongrois de gauche, tout en prenant ouvertement position contre le vaccin russe, se sont inscrits discrètement sur la liste d’attente... du vaccin Spoutnik V. Ceci en dit long sur la mentalité de gauche.

Le 10 février, face aux piètres taux de vaccination dans l’UE, la RTS s’est empressée d’inviter à l'émission Forum Bernard Guetta, député européen, pour disculper Ursula Von der Leyen de toute accusation de mauvaise gestion du vaccin.
Absolument édifiant, notre Radio Télévision Soviétique ose TOUT!

Lien vers l’audio: La présidente de la Commission européenne Ursula Von der Leyen critiquée pour sa gestion des vaccins contre le Covid-19 (6:32)

Bernard Guetta. [Thomas Coex - AFP]

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20min.ch/fr12 février 2021:

Vaccin russe: l’OFSP aurait snobé deux fois Moscou

L’ambassadeur russe en Suisse a affirmé que la Russie aurait engagé par deux fois des pourparlers pour mettre son vaccin Spoutnik, à disposition de la Suisse. Mais l’OFSP aurait fait la sourde oreille.

L’Office fédéral de la santé publique (OFSP) est sur la sellette. Selon l’ambassadeur russe en Suisse, l’OFSP aurait ignoré deux fois de suite la proposition de Moscou de mettre à disposition de la Suisse son vaccin Spoutnik, révèle 20 Minuten vendredi. Sergei Garmonin affirme ainsi dans une interview avoir approché une première fois l’OFSP le 17 août dernier pour annoncer qu’un vaccin efficace avait été développé en Russie et qu’il était possible de le précommander, de le produire voire de le tester cliniquement en Suisse. L’OFSP n’a jamais répondu.

La Russie est revenue à la charge le 22 décembre dernier. «Nous avons à nouveau informé l’OFSP que la 3e phase de tests était terminée, que l’efficacité du vaccin était supérieure à 90%, que son prix était d’environ dix dollars par boîte et qu’il pouvait être stocké entre 2 et 8 degrés Celsius», précise-t-il. «Nous avons de nouveau indiqué que nous étions prêts à envisager la possibilité d’une précommande pour la Suisse et avons réitéré nos offres», ajoute-t-il. Là encore, Berne a fait la sourde oreille et n’a pas répondu.

Sergei Garmonin explique ce manque d’intérêt de la Suisse par le scepticisme général qui régnait au début des annonces de Moscou sur son vaccin. Mais l’attitude a changé avec la publication du prestigieux magazine scientifique «The Lancet» au début février. Des scientifiques britanniques y confirmaient que le Spoutnik V offrait une protection stable et efficace contre le coronavirus, sans effets secondaires.

Swissmedic contredit

Les propos de l’ambassadeur russe contredisent du coup ceux de Swissmedic. En début de semaine, l’autorité d’autorisation et de surveillance des produits thérapeutiques en Suisse affirmait dans la presse alémanique que la Russie n’avait jamais approché la Suisse et que Berne n’avait reçu aucune demande d’autorisation de mise sur le marché d’un vaccin de la part des fabricants russes.
«Comme je l’ai dit, nous avons signalé à deux reprises notre volonté d’engager des pourparlers», persiste Sergei Garmonin. «Mais avant de soumettre quelque chose, vous devez d’abord en discuter les bases. La Russie a informé la Suisse à temps et de manière précoce. La balle est maintenant dans le camp helvète».

Une chose est sûre: l’attitude de l’OFSP à l’égard de la Russie est critiquée de toute part. «Ne pas répondre est un non-sens pour une organisation telle que l’OFSP en période de crise. Elle a le devoir d’examiner toutes les offres de vaccin et d’aider les fabricants afin qu’ils puissent déposer une demande dans les plus brefs délais», estime Andreas Faller, avocat spécialisé dans le droit de la santé et ancien vice-directeur de l’OFSP. «Il serait impardonnable de ne pas examiner toutes les possibilités lors de l’achat de vaccins».

Des parlementaires choqués

Du côté des parlementaires, on ne comprend pas non plus. «L’approche de l’OFSP me choque carrément», déclare la conseillère nationale de l’UDC, Therese Schläpfer toujours dans 20 Minuten . «La course aux vaccins est énorme. Ne pas répondre à une offre est irrespectueux envers la Russie et la population suisse».

Le conseiller national vert’libéral Martin Bäumle se montre lui aussi très critique: «si les informations de l’ambassadeur russe sont correctes et que la Suisse a déjà reçu une offre pour le vaccin Spoutnik V en août et n’y a jamais répondu, il s’agirait d’un autre faux pas grossier de l’OFSP dans le dossier de la vaccination, un faux pas qui n’est guère excusable».

Du côté du PLR, on ne veut pas juger l’OFSP. Ce qui est certain pour le parti, c’est que le Spoutnik-V aurait dû être examiné. «Si vous excluez les vaccins dès le début, vous n’êtes pas bien servis par la suite», souligne le conseiller national bernois, Christian Wasserfallen.

Travail «surhumain» à l’OFSP

À gauche, on se montre plus tolérant. «Certes, ne pas répondre, cela ne se fait pas. Mais il ne faut pas oublier la charge de travail élevée des collaborateurs de l’OFSP. Ce que les employés font depuis près d’un an est surhumain», tient à souligner la conseillère nationale verte Katharina Prelicz-Huber.

Enfin, pour la coprésidente du Parti socialiste, Mattea Meyer, le débat sur le vaccin russe n’est pas la question centrale. «En Suisse comme dans le monde entier, il faut vacciner le plus grand nombre possible de personnes», rappelle-t-elle. Cet objectif ne sera atteint que si les brevets sur les vaccins sont temporairement levés. «On pourrait alors en produire davantage et vacciner plus rapidement partout».

(cht)

Source: https://www.20min.ch/fr/story/vaccin-russe-lofsp-aurait-snobe-deux-fois-moscou-173013145330

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Jean-Frédéric Poisson/ Vendredi 12 février/ Valeurs Actuelles

Comment l'Europe se sert de la politique vaccinale pour faire avancer son projet fédéraliste

Pour Jean-Frédéric Poisson, président du mouvement politique VIA | la voie du peuple et candidat déclaré à la Présidentielle 2022, la stratégie vaccinale de l'Europe est motivée par des finalités bien plus politiques que sanitaires.

En s'accaparant la logistique en matière de vaccins contre la Covid-19, la Commission européenne s'est arrogé une prérogative traditionnellement réservée aux États-nations, prétendant vouloir mettre en place une « approche européenne centralisée », avec la bénédiction officielle d'Emmanuel Macron et d'Angela Merkel, tous deux très prompts à vouloir imposer la vaccination aux populations en un temps record.

Cependant, cette stratégie n'a pas été payante comparée à celle de certains États comme Israël ou le Royaume-Uni qui ont négocié leurs vaccins de leur côté.

En effet, l'Union européenne a allié retards et incompétences dans sa manière de gérer la logistique vaccinale : la Commission explique cet atermoiement par sa prudence, prétendant vouloir épargner aux Européens les déboires d'un vaccin défectueux.

En réalité, le retard serait dû à une renégociation des clauses commerciales avec les laboratoires pharmaceutiques.

[...] Concrètement, en cas d'effets secondaires, les laboratoires étaient dédouanés financièrement, voir juridiquement, de la responsabilité de la mise en circulation du vaccin.

Devant la levée de boucliers provoquée par la promulgation de cette clause, l'Union européenne s'est vue contrainte de renégocier le contrat. Elle se grime désormais du masque de la vertu et critique volontiers les pays qui auraient, eux, signé cette clause, et de ce fait obtenu le vaccin plus rapidement.

Empêtrée dans la logique centralisatrice de Bruxelles, la France s'est fait damer le pion pour produire des vaccins sur son sol

La présidente de la Commission, Ursula Von der Leyen, explique également ce retard par la volonté de renégocier les vaccins au prix le plus bas afin d'assurer aux pays les plus faibles de l'Union européenne une équité dans l'accès à ce « Bien commun ».

En réalité, la stratégie de l'Union européenne a retardé l'ensemble des pays membres, du moins ceux qui ont attendu sagement qu'elle négocie avec les laboratoires pharmaceutiques.

De leur côté en effet, la Hongrie et l'Autriche ont acheté des vaccins russes Spoutnik V, prouvant par ce fait même que leurs intérêts divergeaient avec ceux de la Commission.

[...]

Les Britanniques ont ainsi eu le privilège d’acquérir 60 millions de doses pour l’automne 2021 et pourront dès ce moment-là goûter les fruits de ce vaccin utilisant une technologie éprouvée depuis Pasteur.

La France, elle, devra passer son tour et attendre 2022 pour obtenir la même commande.

Ainsi, le Royaume-Uni a été en mesure d'agir rapidement, de manière souple et pragmatique, d'autant plus rapide qu'il s'est affranchi, par le Brexit, des lenteurs de la bureaucratie bruxelloise.
L'Union européenne, de son côté, s'est perdue dans une stratégie vaccinale globale, ignorant de réelles opportunités et condamnant l'ensemble des États membres à attendre sous des prétextes fallacieux.

Elle brandit désormais l'argument de la prudence vis-à-vis du vaccin, mais oublie qu'un vaccin n'est véritablement efficace que si toute la population reçoit les deux doses dans un laps de temps assez court.

[...]

Un objectif avant tout politique

In fine, l’incompétence de la Commission sur le dossier sanitaire ne doit pas faire oublier que l’Union européenne n'a jamais cessé de poursuivre un but politique : elle se nourrit des crises pour acquérir plus de souveraineté et faire avancer l'idée d'une Europe fédérale.

On ne s'étonnera donc pas de l'absence d'une stratégie de bon sens qui mènerait par exemple l'Europe à miser davantage sur la prévention du Covid (vitamines D, zinc, dexaméthasone, corticoides, …), puisqu'une telle prévention n'irait pas dans son sens idéologique. Sa stratégie vaccinale paraît donc beaucoup plus motivée par des finalités politiques que sanitaires ; Jean Monnet l'expliquait déjà au siècle dernier : « L'Europe se fera dans les crises et elle sera la somme des solutions apportées à ces crises ».

article complet: https://www.valeursactuelles.com/politique/comment-leurope-se-sert-de-la-politique-vaccinale-pour-faire-avancer-son-projet-federaliste-128477

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https://www.dreuz.info/2020/08/12/coronavirus-la-russie-premier-pays-a-approuver-un-vaccin/

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https://www.aubedigitale.com/je-ne-le-prendrais-pas-lancien-commissaire-de-la-fda-scott-gottlieb-denigre-le-premier-vaccin-contre-le-covid-russe-au-monde/

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Rappel:

The Lancet: Le vaccin Spoutnik V COVID-19 semble sûr et efficace (2 février 2021): https://www.thelancet.com/journals/lancet/article/PIIS0140-6736(21)00191-4/fulltext

Le vaccin Pfizer est mal administré par beaucoup de soignants

Coronavirus : selon des médecins, le vaccin Pfizer ne serait pas toujours bien administré

Le vaccin contre le Covid-19 est-il toujours bien administré aux patients ? Pas toujours, à en croire certains médecins, qui pointent du doigt des mauvaises pratiques aperçues depuis le début de la campagne de vaccination.

De nombreuses vidéos et photos ont circulé sur les réseaux sociaux et dans les médias, des premières images de vaccination en France. Et certaines d'entre elles montrent des soignants piquant les patients avec une aiguille inclinée, et en réalisant un pli avec la peau, technique normalement utilisée pour des injections sous-cutanées.

Or, comme le précise le guide d’utilisation fourni par Pfizer, et la notice du Ministère de la Santé, le vaccin contre le Covid-19 doit être injecté en intramusculaire, directement dans le muscle deltoïde. Le ministère a toutefois indiqué il fallait «réaliser un pli», ce qui peut expliquer la confusion pour les soignants. Certaines aiguilles utilisées ne seraient pas ailleurs pas adaptées à une piqûre intramusculaire.

Gâchis? on voit faire en SOUS-CUT un vaccin qui DOIT être fait INTRAMUSCULAIRE cf notice

Aiguille courte SC (orange) + PINCEMENT du pannicule qui éloigne du deltoïde: ARNm dans les adipocytes. @GilbertDeray @LacombeKarine1 @nathanpsmad @MartinHirsch @olivierveran @Drmartyufml pic.twitter.com/BNfCpZm4Gt

— Axel Ellrodt (@EllrodtAxel) January 3, 2021

À gauche une SC et à droite une IM pic.twitter.com/1tlQenS19I

— deray gilbert @jemeferaivacciner (@GilbertDeray) January 4, 2021

Autre erreur repérée : certains soignants ont eu le réflexe de secouer ou tapoter la seringue pour retirer les bulles d’air, geste très courant dans l'administration de vaccin. Or, il est bien précisé dans les deux notices que le vaccin ne doit pas être secoué, car les molécules qui le composent y sont sensibles.

Interrogé par Yahoo, Lauren Fignon, gériatre, ne craint pas qu’une administration sous-cutanée puisse nuire à l’efficacité du vaccin : «La recommandation tient du fait que les tests ont été faits en intramusculaire. Rien ne dit qu’administrer le vaccin en sous-cutané nuit à son efficacité.»

Sur le même sujet : CoronavirusMélanger différents vaccins sera autorisé dans certains cas au Royaume-Uni

Il insiste cependant sur l’importance de communiquer aux équipes de santé toutes les informations et les directives concernant l’administration du vaccin : «Si l’on envisage une vaccination en pharmacie ou dans les cabinets de généralistes, il faudra être vigilant que tous les professionnels soient prévenus des précautions à prendre dans la manipulation du vaccin», affirme-t-il.

 

source: https://www.cnews.fr/france/2021-01-05/coronavirus-selon-des-medecins-le-vaccin-pfizer-ne-serait-pas-toujours-bien

voir aussi:

De fausses doses de vaccin anti-Covid vendues à prix d'or sur le Dark Web

Les réactions allergiques graves au vaccin COVID sont 8 fois plus probables qu'avec le vaccin antigrippal

Seuls 35% des Suisses veulent se faire vacciner rapidement

(ATS/NXP) - Selon un sondage publié ce dimanche par l’institut Marketagent.com Suisse, 35% des Suisses seraient pressés de se faire vacciner contre le Covid-19. [...]

article complet: https://www.20min.ch/fr/story/seuls-35-des-suisses-veulent-se-faire-vacciner-rapidement-590380449746

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La Suisse est sur le qui-vive face à la nouvelle souche du virus

Alors que l’Allemagne envisage de suspendre les vols en provenance du Royaume Uni et de l’Afrique du Sud où la nouvelle souche circule vivement, Berne reste attentive.

[...]

article complet: https://www.20min.ch/fr/story/la-suisse-est-sur-le-qui-vive-face-a-la-nouvelle-souche-du-virus-491468788603

Les bénéfices des vaccins contre le Covid-19, massivement subventionnés, iront aux pharmas

RTS info, Tybalt Félix:

Près de dix milliards de francs publics et philanthropiques ont permis de développer les vaccins contre le Covid-19, selon des données publiées par la BBC. Ce montant constitue la moitié du total investi dans la recherche. Rien ne garantit que les entreprises pharmaceutiques n’en tireront pas de substantiels bénéfices.

La société Airfinity a compilé toutes les données disponibles sur les fonds débloqués dans la recherche d’un vaccin contre le Covid-19. Selon ses recherches, les huit principaux vaccins candidats occidentaux ont été largement subventionnés.

Un quart de l’argent nécessaire au développement du traitement de Pfizer, soit 640 millions de francs, a été fourni par des collectivités et des œuvres philanthropiques. L’intégralité des fonds nécessaires au vaccin de Moderna, plus de 2,2 milliards, provient de la même source. AstraZeneca a perçu 2,4 milliards et Novavax plus de 1,6 milliard de francs d'argent public et de dons.

Hors pandémie, les vaccins sont considérés comme un investissement à risque pour les grands groupes pharmaceutiques.

La Fédération Internationale de l'Industrie du Médicament (FIIM) a expliqué à la RTS que "le développement d’un vaccin, de la découverte jusqu’à sa mise à disposition, peut durer au minimum 10 ans et demander un investissement de plus d’un milliard de dollars avec un risque global d’échec de 94%."

Le cancer et les maladies liées au vieillissement promettent, par exemple, des rendements supérieurs et constituent donc des cibles plus prioritaires.

Frilosité de l'industrie

Selon Patrick Durisch, expert en politique de santé de l’ONG Public Eye, "les quatre géants du vaccin ont hésité à entrer dans la danse, c’est seulement grâce aux subventions publiques et philanthropiques et la voie montrée par de plus petites start-ups comme BioNtech ou Moderna qu’ils ont conclu des partenariats". Dès le début de la crise il était évident que des financements extérieurs seraient nécessaires pour mettre fin à l’épidémie de coronavirus et à ses conséquences économiques.

[...]

Financements publics sans condition

[...]Quels bénéfices les géants du marché tireront-ils de leur vaccin? Les marges seront-elles contrôlées ? [...]

Prix fixé par les pharmas

[...]Tweet effacé de la secrétaire d'Etat belge, qui révèle les prix payés par la belgique pour les vaccins. [RTS][...]

article complet: https://www.rts.ch/info/economie/11834305-les-benefices-des-vaccins-contre-le-covid19-massivement-subventionnes-iront-aux-pharmas.html


Un médecin brésilien de 28 ans, volontaire pour des essais du vaccin d’AstraZeneca est décédé de complications liées au Covid-19

Coronavirus : décès d’un volontaire qui aurait reçu le placebo dans l’essai clinique du vaccin d’Oxford au Brésil

20 Minutes avec AFP

SANTE - AstraZeneca et l’université britannique ont indiqué « ne pas pouvoir commenter des cas individuels » mais précisé que l’essai clinique allait se poursuivre, alors que le volontaire serait décédé du coronavirus.

La communication nébuleuse continue. Un volontaire ayant participé aux tests du vaccin élaboré par l’université d’Oxford contre le Covid-19 est mort au Brésil, ont annoncé des sources officielles mercredi, sans préciser s’il avait reçu le vaccin ou un placebo. Mais selon l’agence Bloomberg et le journal brésilien O Globo, le volontaire, un médecin de 28 ans, avait bien reçu une dose du placebo, et il serait décédé du coronavirus.

Il s’agit du premier décès d’un volontaire prenant part aux tests d’un des nombreux essais de vaccin en cours dans le monde. Mais Oxford a assuré que la phase 3 des tests de ce vaccin développé avec le laboratoire AstraZeneca allait se poursuivre, un comité indépendant ayant conclu qu’ils ne présentaient pas de risque pour la santé des volontaires. « Après l’analyse de ce cas au Brésil, il n’y a eu aucune inquiétude quant à la sécurité de ces tests cliniques et le comité indépendant, ainsi que l’agence régulatrice brésilienne, ont recommandé la poursuite de ces tests », a expliqué l’université dans un communiqué. Ast(...)

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source: https://fr.news.yahoo.com/coronavirus-d%C3%A9c%C3%A8s-d-volontaire-aurait-220144798.html

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