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Les conseillers fédéraux révèlent les associations dont ils sont membres
Ignazio Cassis avait adhéré à l'association Pro Tell, qui milite en faveur de la libre détention d'armes, neuf jours avant son élection au Conseil fédéral. Pour éteindre la polémique ayant suivi la révélation de cet engagement, le Tessinois s'en était retiré la semaine dernière.
Non seulement Ignazio Cassis aurait pu rester membre de cette association, mais il n'aurait même pas eu besoin d'être transparent en la matière. Rien n’interdit en effet à un conseiller fédéral en fonction d’être membre d’une association, quelle qu'elle soit.
La seule règle qui existe est celle de l’incompatibilité. Les conseillers fédéraux ont l’obligation de se récuser s’ils ont un intérêt personnel dans un dossier. Cet intérêt pourrait découler de l’adhésion à l’une ou l’autre organisation.
Didier Burkhalter transparent, Ueli Maurer pas
La RTS a ainsi demandé aux conseillers fédéraux de dévoiler la liste des associations dont ils sont membres. L'émission Forum révélait mardi les associations liées au chef du Département fédéral des affaires étrangères Didier Burkhalter.
Le Neuchâtelois est membre de plusieurs associations, dans son canton surtout, par exemple le Cercle du sapin à La Chaux-de-Fonds, une association d'obédience radicale. Depuis lors, tous les départements sauf celui d'Ueli Maurer ont livré les listes d'association.
Dons des ministres socialistes au NOMES
On y découvre ainsi que le socialiste Alain Berset est notamment donateur du Nouveau mouvement européen suisse (NOMES), qui demande l'adhésion à l'UE, un objectif qui ne correspond pas à celui du Conseil fédéral en matière de politique européenne. Le Fribourgeois est aussi membre d'un syndicat.
Sa collègue de parti Simonetta Sommaruga est également donatrice au NOMES. Elle cotise en outre à l'ONG Public Eye, anciennement connue sous le nom de Déclaration de Berne, ainsi qu'à l'Association transports et environnement (ATE).
Une majorité latine au Conseil fédéral
L'UDC Guy Parmelin, chargé des Sports, soutient le Lausanne-Sport, à hauteur de 2500 francs, entre autres. Doris Leuthard est membre d'associations internationales comme le Council of Women World Leaders, tandis que Johann Schneider-Ammann fait notamment partie du Rotary Club de Langenthal.
Enfin, Didier Burkhalter, Guy Parmelin, Alain Berset et Simonetta Sommaruga sont tous les quatre membres d'Helvetia Latina, l'association de défense des langues latines dans la Berne fédérale. Quatre ministres sur sept, soit une majorité du Conseil fédéral...
Source RTS / Stéphane Deleury/dk
De l’ignorance de nos conseillères fédérales: l’islam est-il une religion ou une idéologie?
Par Mahin Nezam Mafi
Le mot islam signifie littéralement soumission, donc dépendance. L'islam est-il une une idéologie suprémaciste, totalitaire, sectaire, fanatique, politique, et fasciste déguisée en religion? L’islam correspond-il à notre conception européenne de la notion de religion? Evidemment, depuis la nuit des temps, chaque religion dans le monde et chaque religieux, ont leur propre appréciation de ce qu’il leur convient d’appeler religion.
L’Europe judéo-chrétienne et greco-latine, depuis Cicéron qui fut assassiné en 43 avant J-C, soit VII siècles avant la naissance de l’islam de Mahomet, a la sienne. Dans nos langues européennes, où le terme religion est issu du terme latin «religio», la religion est envisagée comme ce qui concerne la relation entre l'Humanité et Dieu, alors que dans le coran, le terme arabe « dîn", qui peut être considéré comme l’équivalent de notre terme religion, désigne la nature de l'islam comme un système idéologique tout à la fois politique, militaire, économique, social, juridique et « religieux », soit un mode de vie caractérisé par la soumission complète de l'individu à une divinité (Allah), à son messager (Mahomet), à la loi coranique en particulier à la « charia », si ce n’est au calife le lieutenant de Allah.
Une religion est une organisation humaine qui affirme apporter un message et un prêche d’une morale positive et humaniste (déiste ou philosophique) à laquelle des citoyens et des citoyennes sont invités à adhérer. Affaiblis par une ignorance crasse de l’islam, certains de nos élus, de même que des juges qui leur sont soumis, affichent leur antiracisme en confondant race et religion, s’opposent à la libre expression, cherchent à imposer, comme lors de l’Inquisition espagnole, une censure et une police de la pensée, définissent la religion de façon simpliste, c’est-à-dire avec une vision élémentaire et trompeuse, comme « un système de croyances débouchant sur une pratique partagée ». Une telle définition ouvre la porte à tous les abus; cela signifie que tant les idéologies politiques autoritaires comme le nazisme, le maoïsme, le castro-chavisme, l’islam, etc, que des concepts à la fois économiques, sociologiques et politiques comme le capitalisme, ou des courants de pensée et de mouvances politiques comme le socialisme international, ou encore des orientations telles que la pédophilie, l’homosexualité, le mariage pour tous, la zoophilie, etc, seraient des religions. Ce n’est pas parce qu’on voue une sorte de vénération, un attachement passionné d’aficionado voire un culte à une des douze principales divinités gréco-romaines, un sportif dieu du stade, un petit dieu fils à maman, la politique, une idéologie, un « Führer », un guérisseur, l’aveugle dieu du hasard, le dieu dollar, le politiquement correct, etc, qu’on les considère comme supérieurs, voir même qu’on a la conviction ou fait croire que tel dieu, telle divinité, tel guide, tel messager, tel guérisseur, tel dirigeant, etc, ont des pouvoirs surnaturels, qu’on a une religion. Il y a croyance et croyance, superstition et superstition, religion et religion, idéologie et idéologie, conviction, secte et foutoir.
A noter que pour de nombreux Français la religion musulmane n’est pas une religion mais serait une secte. Les critères précisés par plusieurs commissions d’enquêtes parlementaires françaises mettent en évidence les indices suivants permettant de caractériser l’existence d’un risque de dérive sectaire:
Selon la Commission parlementaire française d'enquête sur les sectes, une secte est un groupe visant par des manoeuvres de déstabilisation psychologique à obtenir de leurs adeptes une allégeance inconditionnelle, une diminution de l'esprit critique, une rupture avec les références communément admises (éthiques, scientifiques, civiques, éducatives), et entraînant des dangers pour les libertés individuelles, la santé mentale et physique, l'éducation, les institutions démocratiques. Tout un chacun constate qu’un grand nombre de ces critères concernent l’islam tel que décrit dans ses « sacro-saints » textes et pratiqués par de fervents musulmans qu’ils soient guides doctrinaires ou disciples. Un point important est que, dans les sectes et les idéologies autoritaires, contrairement aux religions, il n’est pas autorisé, voire impossible, de les quitter; c’est le cas de l’islam puisque le crime d’apostasie y est des plus sévèrement puni.
Au XXI ème siècle en Europe, nous ne sommes plus au temps des croisades, loin de tout parti pris idéologique:
L’oecuménisme entre catholiques et protestants professe que Dieu et la Vérité ne sont pas une dans ses révélations, comme l’affirment les musulmans. C’est ce que la gauche chrétienne, la gauche athée et la théologie de la libération n’ont toujours pas compris de l’islam. Par conséquent, alors que l’oecuménisme entre catholiques et protestants peut être réaliste, tolérant, voir même parfois enrichissant, il est illusoire d’avoir un dialogue « interreligieux » entre une religion par exemple la catholique ou la protestante et une idéologie par exemple l’islam ou le nazisme; les problèmes d’intolérance et de totalitarisme, le droit à la différence, les péchés mortels pour l’une mais pas pour l’autre et le discours victimaire surgissent dès les premiers échanges. De même il est absurde d’attendre bienveillance et paix de la part d’une doctrine qui réclame guerres, pillages, expropriations, esclavagisme, mutilations corporelles des enfants, pédophilie, meurtres et impunité pour les assassins des mécréants et les crimes d’honneur. Une telle idéologie ne devient pas une religion par le simple fait de se référer à un divinité ou parce que l’islam des musulmans radicaux est en quelque sorte un communisme avec un dieu; les pauvres auraient aujourd’hui un défenseur autoproclamé: l’islam radical. Des milliards de personnes ont cru dur comme fer aux dogmes idéologiques de la lutte des classes, de la dictature du prolétariat et des lendemains communistes qui chantent. De même plus d’un milliard de personnes ont cru et croient encore dur comme fer au lendemains paradisiaques de l’islam-idéologie.
Les habitants des pays musulmans sont des vassaux, non pas d’une religion comme ce le fut des catholiques lors de l’Inquisition catholique, mais d’une idéologie qui, ni ne respecte les personnes, ni ne valorise les idées de ces personnes, ni ne permet leur libre expression. Les musulmans ne vivent pas dans une religion mais dans une prison idéologique où l’asservissement commence avec l’aliénation culturelle et linguistique et où la pauvreté du vocabulaire et du spirituel n’a d’égal que la pauvreté des pensées de leurs guides doctrinaires.
En conclusion, contrairement à nos religions occidentales et à l’athéisme, l’islam-idéologie n’est pas une religion mais une doctrine idéologique et une politique prosélytique de colonisation islamique qui s’imposent par la force et la violence. Trop de nos élus et leur ministère de la propagande que sont les médias se plaisent à entretenir la confusion et à parler, à tort et comme Hitler, de religion musulmane. C’est fou comme Hitler, après sa mort, a pris de l’importance dans le monde. L’islam est une idéologie qui justifie l’engagement dans l’action violente où le terroriste musulman met en pratique sa rage de détruire notre modèle démocratique européen, nos valeurs, nos vertus et nos religions. Le terroriste musulman est un musulman dévot, une tête vide et un fanatique qui croit au prosélytisme par la force et la violence, sans se soucier d’être cruel comme un barbare assassin ou généreux comme un missionnaire. Ce dévot d’Allah ne peut pas tolérer notre modèle démocratique qui choisit librement ses dirigeants, débat librement puis remet régulièrement en cause ses choix précédents, bref évolue avec tolérance.
Mahin Nezam Mafi (connu de la rédaction)
Le PS soutiendra Eveline Widmer-Schlumpf aux élections fédérales de 2015
Le président du Parti socialiste suisse Christian Levrat a fait savoir que son parti soutiendrait Eveline Widmer-Schlumpf lors des élections fédérales de 2015. Le but: éviter la présence de deux PLR et de deux UDC en même temps au Conseil fédéral.
