Dhoihir Dhoulkamal : ministre aux Comores, au bénéfice du RSA en France

Dhoihir Dhoulkamal : ministre aux Comores, allocataire de la CMU à La Réunion

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Dit autrement, monsieur le ministre se palpe quelques milliers d’euros que la Sécurité sociale Réunion lui refile sans aucun contrôle depuis 2010 au moins alors que Dhoihir Dhoulkmal de nationalité comorienne a été…de 2011 à 2012 secrétaire général d’Anjouan, puis conseiller spécial du gouverneur d’Anjouan jusqu’en 2013, puis commissaire aux finances de l’exécutif, toujours à Anjouan jusqu’en 2015, puis député de la Nation, vice-président de l’Assemblée, membre de la commission des finances…Depuis le 27 septembre dernier, l’affilié à la CMU-RSA payable par la caisse de Sécu Réunion est ministre des Affaires étrangères dans le gouvernement comorien du président Azali Assoumani.

Toutes nos félicitations… Il va de soi que le camarade ministre, comme une sorte de reconnaissance du ventre est aussi président du groupe d’amitié Comores-France. Cerise sur le gâteau, notre fraudeur a longtemps assuré avec brio la présidence aux Comores d’une commission parlementaire en charge d’enquêter sur un scandale financier lié à la citoyenneté économique… Et je vous laisse faire les commentaires non sans vous avoir précisé que si l’attestation indique que les droits de l’assuré-ministre courent jusqu’en juin 2019, ces droits-CMU-RSA-ont été immédiatement renouvelés jusqu’à plus soif…

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Via Fdesouche

Comores: le directeur des Affaires islamiques interdit de fêter Noël

Le directeur des Affaires islamiques, rattaché au ministère de la Justice, a diffusé une déclaration officielle le jour du réveillon, en se basant sur la pratique comorienne de l'islam.

le ministère des affaires islamiques en collaboration avec le ministère de l’intérieur et le Muftorat condamnent et interdisent toute fête, cérémonie ou activités liées au (sic) fête de Noël dans les lieux publics des hôtels (sic), des clubs et des maisons et toute apparence indiquant l’implication des chrétiens dans leurs joies (sic) aux Comores.

Pour ce faire, le ministère des affaires religieuses a indiqué

avoir informé toutes les agences de sécurité, de la police (…) pour prendre toutes les mesures nécessaires pour arrêter et empêcher toute tentative de rassemblement des activités chrétiennes.

Cette interdiction court du 24 décembre (réveillon) au 31 décembre (la Saint-Sylvestre).  En effet la fin d’année est synonyme de fête pour de très nombreux comoriens. Beaucoup sont ceux qui vont à la plage, ou au restaurant.

Une interdiction de fêter Noël désavouée le soir même par le porte-parole du gouvernement.

« Une déclaration a été signée par un responsable, un employé du ministère des Affaires islamiques, a reconnu Mohamed Daoud, le ministre de l’Intérieur. Toutefois cette déclaration n’engage ni le gouvernement ni le mouftorat. Il n’a jamais été question d’interdire à qui que ce soit de pratiquer sa religion. Notre islam est un islam tolérant. On ne viendra pas mélanger les avis personnels à une décision gouvernementale. »

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Rfi.fr / Francetvinfo.fr