Zemmour: C’est orchestré. On veut effacer l’émotion suscitée par Samuel Paty en détournant notre attention

Face à l'info 30/11 - Éric Zemmour

Résumé

Zemmour: Selon Antonio Gramsci, la lutte idéologique, la bataille politique commence par la bataille culturelle. Pour gagner la bataille culturelle, il faut maîtriser la bataille médiatique. Et pour maîtriser la bataille médiatique, il faut impérativement maîtriser l’agenda médiatique. Et là, on a vu depuis 15 jours comment la gauche maîtrise admirablement l’agenda médiatique. C’est-à-dire, on choisit dans une actualité très complexe ce qui nous arrange et on arrange ce qu’on choisit. Et on met en avant des événements qui arrangent notre idéologie.

Il y a 15 jours, énorme émotion suite à ce pauvre prof décapité, Samuel Paty. Une énorme émotion avec une demande de sécurité et de renforcement de la police. On a eu donc depuis 15 jours une opération que j’appellerais « Oubliez Paty ». Place de la République, protestations contre la loi de sécurité, l’affaire Zecler...

Tout cela a bien existé, Zemmour ne dit pas que c’est une invention. Mais tout cela est magnifiquement mis en scène, mis en évidence, avec des commentaires énormes. Avec des campagnes médiatiques énormes, les unes des journaux, les images de TV sans fin, POUR QUE L’ÉMOTION REMPLACE l’ÉMOTION. Pour qu’on dise : oui, c’est scandaleux, ces policiers d’abord renvoient les migrants, en leur faisant des crochepieds, puis ils tapent un pauvre producteur de musique, noir de surcroît. C’est orchestré. On veut effacer l’émotion suscitée par le meurtre de Samuel Paty parce qu’elle a des conséquences. Elle pose des questions sur l’immigration, sur l’islam, sur la sécurité, sur la police. Toutes ces questions que la gauche et l’extrême gauche veulent effacer. Il faut alors qu’on pose d’autres questions. Sur les violences policières. Pour Zemmour, il n’y a pas de violence policière puisque la police a la violence légitime. Qu’est-ce que c’est la violence policière ? Les policiers qui commettent des violences disproportionnées. Mais ici, il y a autre chose. Dans la mise en scène médiatique. Mais il ne faut pas généraliser et faire des amalgames. Il y a des violences de policiers mais pas de violence policière. On prend la partie pour le tout et on généralise.

Zemmour prend un exemple. Si un homme bat sa femme, on parle de la violence masculine. Mais si après la mort de Samuel Paty on parle de violence musulmane, là, on vous dit: pas d’amalgame et on vous traîne devant le tribunal pour incitation à la haine. Il y a des généralisations, des amalgames qui sont autorisés, voire encouragés et d’autres qui sont interdits. Tous cela participe à cette magnifique organisation idéologique et donc politique.

Est-ce que l’image rapporte mieux les faits que la subjectivité des mots ?

Non, l’image est faite pour tromper, on le sait depuis la nuit des temps, les images peuvent être tronquées, on peut tout faire dire à une image. Il n’y a pas plus facilement manipulable qu’une image, on peut lui faire dire ce qu’on veut.

On pourrait montrer les images des jeunes filles violées, sauf que cela mettrait une autre ambiance, sauf que les journalistes sont majoritairement de gauche, idéologiquement, une énorme majorité de journalistes. Il faut voir cela en face, et non pas l’occulter.

Derrière ces journalistes, il n’y a que des gens de gauche, que des bien-pensants et énormément d’argent. Avec une idéologie qu’ils affichent eux-mêmes.

Zemmour est pour les images pour tous, pour la diffusion des images des caméras de rue, aussi bien des petites localités que des villes. Et on verra qui agresse qui, qui attaque qui. Il faut montrer ce qui se passe partout. Et on comprendra ce climat de guérilla en France et ce que vivent les policiers.

Vidéo : https://www.cnews.fr/emission/2020-11-30/face-linfo-du-30112020-1023052

(de 01:28 à 29:18)

La présentatrice de “Face à l’info”, avec Zemmour, menacée de mort

Christine Kelly, qui présente l'émission de CNews dans laquelle officie Eric Zemmour, a affirmé vendredi être menacée de mort.

Le simple fait de présenter une émission impertinente, à contre-courant d'une bien-pensance omniprésente, vaut désormais... des menaces de mort. C'est ce qu'a indiqué Christine Kelly, à la tête de Face à l'info, sur CNews, depuis la rentrée. « Qui a déjà survécu à des mois ou semaines de menaces de mort en travaillant ? Merci pour vos témoignages. Ça peut aider », a-t-elle écrit sur Twitter, vendredi 29 novembre.

[...]

« J’ai beaucoup encaissé. Je ne tolère aucune volonté de blesser, gratuitement », avait déjà écrit Christine Kelly, jeudi sur Twitter. Par ailleurs, dans Face aux médias, sur la chaîne Non Stop People, jeudi, la présentatrice a souligné la contradiction de son profil avec une partie des idées de l'éditorialiste Éric Zemmour. « On ne peut imaginer un seul instant que je fasse partie de ses critères. Je pense cocher toutes les cases que n’aime pas Éric Zemmour : femme, journaliste, protestante, défendant les familles monoparentales, descendante d’esclave et symbole de la colonisation française », a-t-elle déclaré.

Valeurs Actuelles

Nos remerciements à notre lectrice

Pierre Ménès et le racisme anti-Blancs : les médias contre-attaquent

Publié le 18 septembre 2019 | Étiquettes : , , ,

Pierre Ménès, habitué à dire ce qu’il pense, a estimé sur CNEWS, le 7 septembre 2019, que "le vrai problème, en France, dans le foot, c'est le racisme anti-blancs". Ce commentaire faisait suite aux récents propos de Lilian Thuram sur la “nécessité d'avoir le courage de dire que les Blancs pensent être supérieurs et qu'ils croient l'être".

Pierre Ménès n’en n’est pas à son premier coup d’essai, il avait déjà évoqué le racisme anti-blancs en 2010, lors de la Coupe du monde. Mais cette fois, ses propos ont engendré un véritable emballement médiatique. Petit florilège.

Encore un qui fait le jeu de la “fachosphère”

Les articles dans la presse généraliste s’intéressant uniquement à ces déclarations, ne sont pas si nombreux. Le vocabulaire employé tourne toujours autour des mêmes termes, “polémique”, “controverse”, ou même, “dérapage” et “propos déplacés” pour Voici ! En clair, il faut comprendre que Ménès a dit des gros mots.

Quitte à décrédibiliser son propos, autant aller jusqu’au bout. Plusieurs articles, de L’Obs à Quotidien, évoquent par la suite, la fameuse “fachosphère” et “l'extrême droite” qui se frotteraient les mains de cette sortie. Un sujet les fait bien plus réagir, celui de la possible existence ou non, du racisme anti-blancs.

De toute façon, le racisme anti-blancs, ça n’existe pas

Petits comme grands médias ont axé l’essentiel de leur production dans cette “affaire”, sur la question du racisme anti-blancs, et se sont tous empressés de montrer son absence de bien-fondé.

Quotidien nous fait un “fact-checking” (sic) des propos de Ménès, en allant interroger les joueurs d’un club de football, et comme dans ce dernier, cela se passe bien, ils sont formels, il n’y a pas de racisme anti-blanc dans le football ! Le journaliste nous rappellera de toute manière, "[qu']il n’y a aucune réalité scientifique et sociologique sur le racisme anti-blanc”. Ceci dit, rien d’étonnant quand on se rappelle l’intervention dans leur émission, de l’écrivain américaine Neil Irvin Painter.

Mais nombreux sont les autres médias à suivre Quotidien dans sa démarche, Mediapart nous parle de “l’impossibilité de penser le racisme en tant que système” ; LCI de “Lilian Thuram au cœur des critiques : peut-on vraiment parler de “racisme anti-blanc” ?” ; RTL du ““Racisme anti-blanc” : pourquoi cette expression est-elle contestée ?” ; et bien d’autres…

Pas certain de les avoir entendus pour autant dénoncer le complexe de supériorité attribué à tous les Blancs par Thuram… Comme dirait So Foot, “belle flûte Ménestrel” !

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Lilian Thuram accusé de racisme "anti-blanc"

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Rokhaya Diallo parle du racisme "anti-blanc"

Du même tonneau: http://www.lallab.org/8-raisons-de-ne-pas-utiliser-le-terme-racisme-anti-blanc/

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Exclusif. Notre étude Ifop-“Valeurs actuelles” le révèle. Pour près d’un Français sur deux — et près de sept sur dix à droite ! — le racisme anti-Blanc est une réalité “assez répandue”.

 

C’est un pavé dans la mare du politiquement correct. Pour 47 % des Français, gauche et droite confondues, “le racisme anti-Blanc est un phénomène assez répandu en France” (voir notre tableau ci-dessous). Notre sondage exclusif Ifop-Valeurs actuelles révèle un mal profond, volontairement ignoré par le pouvoir, selon qui le racisme serait (forcément) à sens unique.

« Si les électeurs de gauche se disent moins convaincus que ceux de droite, plus d’un quart d’entre eux (28 %) considère cependant ce phénomène comme “assez répandu”, ce qui est loin d’être négligeable », relève Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de l’Ifop.

[...]

article complet:

Pour la journaliste de CNEWS : “Plus horrible encore que l’attaque au sabre, le fait qu’elle ait été filmée et diffusée”.

Pour la journaliste de  CNEWS "Plus horrible encore que l'attaque au sabre: le fait qu'elle ait été filmée et diffusée sur les réseaux sociaux". "L'origine des protagoniste peut faire le jeu de l'extrême droite."

 

 

 

 

CNews (abréviation de Canal News), anciennement connue sous le nom d'I-Télévision puis d'I-Télé (aussi logotypée iTélé ou I>Télé), est une chaîne de télévision française d'information nationale continue. Elle est la propriété Société d'Exploitation d'un Service d'Information (groupe Canal+).

Canal+ est connu pour son idéologie de gauche.

Lamentable “débat” présidentiel d’avant-hier soir à la télé

   
Michel Garroté  --  Un lecteur amateur de café, ayant suivi le "débat" présidentiel d'avant-hier soir, mardi 4 avril 2017, à la télé, signale, et, ça vaut la peine d'être lu (lien vers source en bas de page) : "Ma cafetière vient de tomber en panne. D'après Arthaud, c'est de la faute du patron de Moulinex ; Asselineau me renvoie à l'article 127bis de la Constitution pour trouver la solution ; Fillon précise que les pannes sont légales et que je devrais arrêter de boire du café ; Le Pen rappelle que c'est normal puisque la machine a été fabriquée par un ouvrier Polonais".
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Le lecteur amateur de café poursuit : Poutou accuse Le Pen et Fillon mais ne sait pas comment réparer ma cafetière ; Macron est d'accord ; Dupont-Aignan est scandalisé ; Mélenchon propose de changer la notice d'utilisation ; Cheminade veut délocaliser l'usine sur la Lune ; Hamon offre 600€ à tous ceux qui ont une cafetière en panne ; Lassalle m'invite dans les Pyrénées pour boire une liqueur de chèvre. En attendant, ma cafetière est toujours en panne", ajoute l'amateur de café (lien vers source en bas de page).
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De son côté, Christian Vanneste, jeudi 6 avril 2017, sur son blog, écrit une légitime et solide diatribe contre le "débat" et ses misérables participants (extraits ; lien vers source en bas de page) : La France n’est plus une démocratie. Une oligarchie fondée sur le pouvoir, l’argent et la communication est en train de voler l’élection présidentielle au peuple français. Ce vol est rendu possible par de multiples atteintes à l’égalité des citoyens devant la justice et à celle des personnalités politiques devant l’information audiovisuelle ou écrite. Il est facilité par l’absence de pluralisme, tant une très grande majorité des médias diffuse une pensée unique, participe à la promotion du produit Macron et pénalise les candidats qui sont réellement en compétition avec lui - Marine Le Pen et François Fillon.
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Christian Vanneste : La France offre une quasi-unanimité à gauche. Des journalistes issus d’écoles où la formation idéologique dominante est univoque impriment leurs préjugés et leurs préférences sur les « informations » qu’ils concoctent. Les propriétaires des médias appartiennent à des réseaux de pouvoir où les affaires et la communication impliquent le plus souvent une orientation politique voisine favorable au mondialisme des affaires, au relativisme des valeurs et à ce qu’ils perçoivent comme des progrès sociétaux.
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Christian Vanneste : Le changement de population est en marche, mais ce sont ceux qui défendent l’identité nationale qui sont anathématisés comme extrémistes. La France connaît un déclin économique sans précédent, mais l’homme politique qui a, le premier, dénoncé ce péril se voit préférer un ectoplasme au verbe creux. Tout est mis en œuvre pour détruire Fillon et pour installer Macron. Il est insupportable que des journalistes ou des animateurs grassement payés sur des chaînes nationales financées, notamment, par l’impôt se comportent comme des militants engagés auxquels ces chaînes nationales appartiendraient de droit, ajoute Christian Vanneste (lien vers source en bas de page).
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Michel Garroté pour https://lesobservateurs.ch/
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https://www.lesalonbeige.fr/petit-resume-du-debat-electoral-dhier-soir/
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http://www.christianvanneste.fr/2017/04/05/la-france-desinformee/
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