Transgenres enfants. Il y a un manque de spécialistes au CHUV pour la prise en charge des enfants transgenres de moins de 10 ans

lien vers la vidéo: Le CHUV veut améliorer la prise en charge des personnes transgenres.

Reportage RTS au symposium du CHUV sur les enfants et adolescents transgenres.

Interview de la belle Léa, 47 ans, qui a souffert de l’incongruence de genre. Léa regrette les attributs masculins qui se sont développés à l’âge de la puberté à cause de sa prise en charge trop tardive.
Est-ce que le pénis et les testicules de Léa auraient poussé à l’âge de la puberté ? Mystère. Léa a l’air d’une femme parfaite. Jamais dans ce genre de reportage la RTS ne montre des souffrances, des regrets ou des ratages liés au changement de sexe.

Le reportage nous apprend que le monde médical suisse présente de fortes lacunes dans la prise en charge des personnes trans.

Pour  remédier au retard de la Suisse dans ce domaine, le CHUV a envoyé le pédiatre Raphaël Wahlen se former au Canada pendant 2 ans à la science du « transgenrisme ». Il organisait récemment un symposium sur l’approche « trans-affirmative », qui accompagne et soutient les jeunes dans l'exploration de leur identité de genre.

Médecin responsable de « Santé enfant ado » au CHUV, le Dr. Raphaël Wahlen explique l’évolution aux téléspectateurs :
Ce n’est plus le corps médical qui décide du « traitement », mais c’est une décision partagée entre professionnel, famille et patient.

RTS : Il est urgent de former des spécialistes, car 60% des trans réalisent l’incongruence de leur genre avant 10 ans.

Raphaël Wahlen : La prise en charge précoce donne de meilleurs résultats de santé mentale et physique que pour les patients qui ont eu accès plus tard aux traitements.

Interview de Naomie, jeune femme de 26 ans qui a encore son appareil génitale masculin ; elle attend une vaginoplastie et déplore qu'il manque de spécialistes et de chirurgiens pour l’opérer. Il y a trois ans, Naomie a pu découvrir son « vrai » genre grâce à des stars trans de YouTube, avec qui elle a pu s’identifier. A présent, Naomie a des seins remarquables, un visage poupon, de faux cils, de faux ongles : comme la majorité des hommes transgenres, elle a l’air au premier regard plus femme qu’une femme.

RTS : Un peu plus d’un pourcent de la population serait transgenre, avec un taux plus élevé chez les jeunes. Selon la RTS, c'est le signe que le tabou s’étiole.

Jamais aucune remise en question de cette influence idéologique massive sur la jeunesse. Bien au contraire, c’est la promotion LGBT à flux continu.

Probablement, les générations futures verront cette monstruosité des changements de sexe de la même manière que nous voyons aujourd’hui les neurochirurgiens qui faisaient des lobotomies dans les années 50-60 – sauf que les changements de sexe ont des répercussions sur la civilisation et se passent à plus large échelle.

Résumé et commentaires : Cenator

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Le CHUV livre désormais de l’héroïne pharmaceutique à domicile

Le CHUV se rend au domicile de toxicomanes pour leur livrer l'héroïne pharmaceutique. 19h30 / 2 min. / hier à 19:30
Environ vingt personnes dépendantes reçoivent désormais notamment de l'héroïne pharmaceutique à domicile. Des équipes du Centre hospitalier universitaire vaudois leur en distribuent, une première pour l’établissement qui est liée à la pandémie de Covid-19, a appris la RTS.

C’est une démarche qui n’a pas été médiatisée, mais dont la RTS a eu connaissance en cours d’enquête: le CHUV a mis en place un système de livraison de diacétylmorphine – aussi appelée héroïne pharmaceutique – à domicile.

Des équipes rattachées au Service de médecine des addictions se rendent ainsi chez des usagers qui étaient déjà en traitement auprès du centre universitaire avant la pandémie de coronavirus et leur donnent des produits de substitution.

Dépendantes et vulnérables

La réflexion du CHUV est la suivante: les personnes dépendantes sont souvent vulnérables et elles courent ainsi des risques d’attraper le coronavirus si elles sortent dans la rue pour se rendre dans les locaux de la Polyclinique d’addictologie, là où elles bénéficient en principe des traitements.

Le CHUV a donc créé ce système de livraison à domicile. Stéphane (prénom d’emprunt) bénéficie de cette offre. Il a plus de cinquante ans et il prend de l’héroïne pharmaceutique depuis environ un an. Chaque matin, du lundi au vendredi, pendant environ quinze minutes, il reçoit la visite d’une équipe du CHUV composée de deux personnes, parfois un infirmier et un éducateur. Il s’injecte la diacétylmorphine devant eux. Le soir, il prend les pilules qui lui ont été remises le matin.

"J'aurais trop peur d'attraper le coronavirus en sortant"

"Je suis séropositif depuis l’adolescence, confie Stéphane. Alors depuis que le coronavirus est là, je ne sors presque plus, je n’ose plus. Si l’équipe soignante ne venait pas chez moi, je ne pense pas que j’oserais me rendre à la polyclinique. J’aurais trop peur d’attraper le coronavirus en sortant. Et si je ne me rends pas à la polyclinique, je serai en manque et je risquerai de replonger." Stéphane est donc "rassuré et soulagé" que le CHUV vienne chez lui.

Si le CHUV n’avait jamais proposé une telle offre, c’est aussi parce qu’il ne prescrit pas l’héroïne pharmaceutique depuis longtemps. Cela remonte au 1er juin 2018. Dans un communiqué diffusé à l’époque, le médecin cantonal Karim Boubaker expliquait que "les effets bénéfiques de tels programmes ne sont plus à démontrer. Ils s’adressent aux personnes présentant un syndrome de dépendance aux opioïdes sévère. Les essais cliniques réalisés dans sept pays et portant sur près de 2000 personnes ont montré une amélioration de la santé, de la qualité de vie et de l’insertion sociale des patients".

"Solutions pragmatiques" [...]

article complet et vidéo: https://www.rts.ch/info/regions/vaud/11284083-le-chuv-livre-desormais-de-l-heroine-pharmaceutique-a-domicile.html

On achève bien les chevaux, pourquoi pas les vieux au-dessus de 80 ans ?

Interview de Perrine Truong, cheffe de clinique aux urgences au CHUV, le 26 mars 2020

La vidéo ci-dessous a été recommandée par notre lecteur G. Vuilliomenet.
Au moment de cette interview, il y avait 60 morts du coronavirus en Suisse.

Perrine Truong  est une ancienne athlète (4’27 sur 1500 m et 2’12 sur 800 m), née le 29.07.1987, Elle est désormais cheffe de clinique aux urgences du CHUV. Elle raconte la situation actuelle et notamment : - Les chiffres qui ne veulent rien dire - L’hôpital MOINS rempli que d’habitude - La peur d’être débordé et de devoir faire des choix tragiques - Le drame italien - « Le Coronavirus ce n’est pas le premier et ce ne sera pas le dernier » - La nouvelle star française Didier Raoult - « Les grosses années de grippe, en France c’est 10'000 morts, on en est encore loin » - « Ce n’est pas une infection pire qu’une grippe, le problème c’est la vague » - La difficulté d’appréhender la mort dans la société actuelle - Les mauvaises informations des journalistes et des politiciens

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Résumé Cenator : Perrine Truong dit avec un large sourire qu’elle n’a pas peur d’en mourir. Elle précise plus tard que les jeunes en bonne santé et des sportifs même dans la cinquantaine ne risquent quasiment rien.

La peur, avec le coronavirus, c’est dans l’inconnu. On a à faire à une pathologie qu’on ne connait pas bien. La peur des soignants, c’est d’être submergés au niveau de la prise en charge, de ne plus pouvoir faire face.

Puis la peur des soignants de devoir faire le choix entre deux patients, qui doit vivre, qui doit mourir. 

L’activité à l’hôpital est sous contrôle actuellement. On n’est pas vraiment en guerre. Ce n’est ni le premier ni le dernier virus, même si la pandémie va se résoudre. Il y a de la comorbidité chez la majorité des patients : diabète, obésité et surtout, beaucoup d’hypertension. 

– Est-ce qu’en milieu médical on parle de sélection naturelle ?

Perrine Truong (rires) : On en parle entre nous. (6:03-6:08) « Mais non, officiellement on ne parle pas vraiment de sélection naturelle. » 

C’est une épidémie banale qui ne tue pas plus que les autres grippes saisonnières.

Ce n’est pas pire que la grippe, le problème est la vague qui peut arriver. Tous en même temps, des patients très malades, c’est là le problème.

Intervieweur : La grippe de Hong-Kong a fait, rien qu’en France en décembre 1969, 25’000 morts. Les médias parlaient de grippe particulièrement virulente, rien d’autre. 

Perrine Truong : Le problème est que tout le monde va arriver en même temps à l’hôpital.

(9:46-10:04 ) Et puis, si on avait dit, eh bien, à partir de 80 ans, on laisse les gens à la maison, ET PUIS ILS MEURENT A LA MAISON, ce serait quasiment moins difficile que de se dire : ah ben on les a tous à l’hôpital et puis on doit décider, nous. 

ndlr: Il faut savoir que si on laisse mourir les malades à la maison dès 80 ans cela signifie que le patient sera privé de tous les soins que l'hôpital fournit AVANT l'intubation avec de l’oxygène pulsée et la phase suivante, si son état ne s'améliore pas, par l'intubation.

C’est un problème de société, la peur de la maladie et de la mort. Il y a une espèce de panique irrationnelle. Toute panique est irrationnelle par rapport à la peur. 

Les peurs, c’est parce que les informations sont relativement mal données à la population, autant de la part des journalistes que de la part des politiciens. Les recommandations ont été longtemps floues. Même moi, je me demande alors que je suis là-dedans, est-ce que j’ai le droit de le faire ou pas ?

Pour la population, beaucoup de gens ont très peur mais pas pour les bonnes raisons. 

Ça peut devenir comme en Italie ?

Oui, mais actuellement ce n’est pas le cas. 

 

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Vidéo | Covid-19 | Deuxième point de la situation avec Perrine Truong CRISE

Nouveau point avec la demi-fondeuse devenue cheffe de clinique aux urgences Perrine Truong. -  Le stress et la tension qui augmente - La situation sous contrôle - La sédentarité et l'âge comme facteurs principaux de risque - L'inutilité des masques dans la rue - Son quotidien.

Cette seconde vidéo a été tournée 10 jours plus tard, le 1er avril. Désormais la Suisse compte 434 morts.

Perrine Truong : Porter des masques dans la rue ? Les masques chirurgicaux sont périmés au bout de maximum 4 heures, il faut les changer. Par conséquent, dans la rue, ça n’a pas beaucoup de sens. Tout au plus, cela protège les autres lorsqu’une personne est infectée. Il faut se laver des mains. Mais le virus ne se promène pas comme ça dans l’air (16:15) (faux)*, donc mettre un masque pour se promener dans la rue, ça n’a pas beaucoup de sens.

En Suisse, on ne manque pas de matériel pour affronter cette crise, ni de masques, ni d’autres choses. 

Selon les prévisions optimistes, il y aura 1000 morts, selon les prévisions pessimistes, 100'000.

On ne sait pas quand viendra la grande vague, ni sa longueur, ni son intensité.

Pourquoi y a-t-il beaucoup de malades à un endroit et pas à d’autres ? 

Perrine Truong : Les mesures ont été prises tard pour le Tessin. Pourquoi Vaud ? A cause des grandes agglomérations.

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* https://www.letemps.ch/sciences/coronavirus-pourrait-finalement-se-transmettre-lair

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Rivotril, sédatif, euthanasie ? EHPAD, personnes âgées
Ancien pharmacien, Serge Rader est auteur de plusieurs études sur les médicaments est l'invité d'André Bercoff sur Sud Radio

 

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FLASH !! EUTHANASIE GOUVERNEMENTALE DES PERSONNES ÂGÉES MALADES https://www.youtube.com/watch?v=rACbQ... Décret n° 2020-360 du 28 mars 2020 complétant le décret n° 2020-293 du 23 mars 2020 prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l'épidémie de covid-19 dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire https://www.legifrance.gouv.fr/affich... ... « II.-Par dérogation à l'article L. 5121-12-1 du code de la santé publique, la spécialité pharmaceutique Rivotril ® sous forme injectable peut faire l'objet d'une dispensation, jusqu'au 15 avril 2020, par les pharmacies d'officine en vue de la prise en charge des patients atteints ou susceptibles d'être atteints par le virus SARS-CoV-2 dont l'état clinique le justifie sur présentation d'une ordonnance médicale portant la mention “ Prescription Hors AMM dans le cadre du covid-19 ”...
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Le gouvernement a décidé de se délester des vieux en facilitant l'euthanasie. Pour se faire l'obtention et l'utilisation du Rivotril sont facilitées. Les mesures sont "temporaires" et s'appliqueront jusqu'au 15 avril. ABONNEZ VOUS pour ne pas rater les prochains publications : https://youtube.com/c/fandhumour

https://www.youtube.com/watch?v=4unVNVEfI9E

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Vaud: Dépouillés durant leurs prières par un Roumain

Un Roumain a été interpellé au CHUV. Il tentait de dévaliser deux personnes dans la chapelle de l’hôpital.

Ce Roumain venait de s’en prendre à un patient et à l’un de ses amis, alors qu’ils se recueillaient dans la chapelle de l’hôpital.

Condamné à 60 jours ferme, il n’a pas été immédiatement incarcéré, puisqu’il fallait attendre la fin du délai pour faire appel avant que la décision n’entre en force. Depuis, il est introuvable.

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