Le triste sort des jeunes chrétiennes au Pakistan

Une jeune fille chrétienne de 14 ans, enlevée sous la menace d'une arme et mariée de force, a reçu de la Haute Cour de Lahore l'ordre de retourner chez son ravisseur.

Chaque année, environ 1ooo filles et femmes des minorités religieuses sont enlevées, converties de force à l’islam et mariées de force à leur ravisseur.

La situation n’est pas près de changer dans ce pays où le gouvernement multiplie les concessions aux extrémistes.

Voir aussi :

Pakistani Court Orders 14-Year-Old Christian Girl to Be Returned to Her Abductor - Persecution

Pakistani court sparks outrage by ruling 14-year-old Christian girl must stay married to alleged abductor - The Telegraph

Les articles ci-dessous en français concernent un autre cas, survenu en début d’année :

Pakistan : une chrétienne de 14 ans mariée de force à son ravisseur musulman - Valeurs actuelles

La justice pakistanaise valide le mariage forcé d'une chrétienne de 14 ans avec son ravisseur musulman - CNews

Ces enlèvements sont très répandus également en Égypte et dans d’autres pays musulmans. Ils ne sont pas punis par la loi islamique – bien au contraire, puisqu’ils font progresser l’islam aux dépens des autres religions.

Où sont les féministes, où sont les militants de la justice sociale ?

Résumé et commentaire Cenator

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☪ MAHOMET & les JUIFS : le Massacre de la Tribu des Banu Qurayzah (Anne-Marie Delcambre) ☪

Confirmation (en arabe) d'un imam : https://www.youtube.com/watch?v=-lfZC... Prof. Anne-Marie Delcambre. Tous les mâles de la tribu juive des Banu Qurayzah (plus de six cents) et une de leurs épouses furent mis à mort par Mahomet. Le reste des femmes et les enfants furent réduits en esclavage.
Ibn Ishaq rapporte en page 464 : Puis on les fit descendre. L'Envoyé de Dieu les a enfermés dans le quartier de Bint al-Hârith à al-Madînah ; Bint al-Hârith est une femme de Banû al-Najjar. Puis l'Envoyé d'Allâh alla au marché d'al-Madînah qui est encore aujourd'hui son marché, et a fait creuser des fossés.
Il les fit venir, et les fit décapiter dans ces fossés, on les fit venir à lui par groupes. Parmi eux se trouvèrent l'ennemi de Dieu Huyayy Ibn 'Akhtab, et Ka'b b. 'Asad leur chef. Ils étaient au nombre de six cents, ou de sept cents ; celui qui multiplie leur nombre dit qu'ils étaient entre huit cents et neuf cents.
Pendant qu'on les amenait à l'Envoyé d'Allâh par groupes, ils dirent à Ka'b b. Asad : « Ô Ka'b ! Qu'est-ce qu'on fera de nous ? ». Il répondit : « Est-ce que vous êtes incapables de réfléchir ? Ne voyez-vous pas que le crieur ne cesse pas de crier, et que celui d'entre nous qu'on envoie ne retourne pas ?
C'est bien sûr le massacre. » Cela continua jusqu'à ce que l'Envoyé d'Allâh en finît avec eux. Tous les hommes (600 à 800) furent décapités. Les femmes et les enfants furent réduits à l'esclavage. Pour se rendre compte de la manière dont ils différenciaient un enfant (à asservir) d'un homme (à tuer), le hadith d'Abu Dawood 38.4390 explique : Raconté par Atiyyah al-Qurazi : « J'étais parmi les captifs de Banu Qurayzah.
Ils (les Disciples) nous ont examinés, et ceux dont les poils (pubiens) avaient commencé à pousser furent tués, et ceux qui n'en avaient pas ne furent pas tués. J'étais parmi ceux dont les poils n'avaient pas poussé. » Les propriétés de la tribu furent prises en butin. Ibn Ishaq écrit à la page 466 : Puis l'Envoyé de Dieu fit le partage des biens des Banû Qurayzah, de leurs femmes et de leurs enfants entre les musulmans.
En ce jour, il indiqua les parts pour les cavaliers et les parts pour ceux qui combattirent à pied. Il en déduit le cinquième. Donc, le cavalier avait trois parts : deux pour le cheval et une pour son cavalier ; le combattant à pied, c'est-à-dire celui qui n'avait pas un cheval, avait une seule part.
Les chevaux dans la bataille contre Banû Qurayzah étaient au nombre de 36. Ce fut le premier butin où on fit le partage en parts, et où on déduit le cinquième. C'est d'après cette règle et ce qu'a fait l'Envoyé d'Allah que se faisait désormais le partage du butin dans les campagnes.
Les femmes et les enfants furent répartis parmi les musulmans. Selon une « coutume » de l'époque, cautionnée par le verset 4.24 du Coran, les prisonnières pouvaient devenir des esclaves sexuelles. Mahomet prit également sa part. Ibn Ishaq écrit à la page 466 : L’Apôtre choisit une des femmes pour lui-même, Rayhana bint Amir ibn Khunafa, une des femmes des Banu Amir ibn Qurayza, et elle resta avec lui jusqu’à ce qu’elle meure, sous sa domination.
L’Apôtre lui proposa le mariage et de mettre un voile sur elle, mais elle dit : « Non, laisse-moi en ton pouvoir, parce que cela sera plus simple pour toi et pour moi. » Alors, il la laissa dans cette situation.
Elle avait montré de la répugnance envers l’Islam quand elle avait été capturée et restait attachée au judaïsme. L’Apôtre la mit donc de côté et ressentait de la peine. Il était avec ses disciples quand il entendit un son de sandales derrière lui et il dit : « C’est Thalaba ibn Saya qui vient me donner la bonne nouvelle de la conversion de Rayhana à l’Islam, et il alla vérifier le fait. Cela lui procura du plaisir.
https://www.youtube.com/user/LangueCM...