Texte de Caroline Iberg, secrétaire générale adjointe du Nomes
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Je dirais plutôt qu’on fonce droit dans le mur! Tandis que tous les journaux parlent déjà de «tactique pour le second tour aux Etats», de «bras de fer pour un siège gouvernemental» ou encore de «l’alliance PLR-UDC», personne ne semble réellement s’émouvoir du fait que la Suisse persiste et signe: le pays est du côté des populistes. Pire, la Suisse est nationaliste, europhobe et raciste. Certes, il est facile de cacher ces tendances xénophobes sous de fausses appellations; ainsi, il est plus politiquement correct de dire que l’UDC est un parti «bourgeois» et «agrarien».
Source via le Facebook du PNS
Caroline Iberg est secrétaire générale adjointe du Nouveau mouvement européen Suisse (Nomes) depuis 2013. Titulaire d’un master en Sciences des médias et de la communication et Etudes européennes, elle a tout d’abord travaillé en tant que pigiste pour Le Régional et 24heures, avant de se tourner vers une profession qui correspondait davantage à ses intérêts, tant sur le plan de la politique que de la communication.