A Toronto, la conductrice de l'autobus d'une commission scolaire porte le niqab, et une maman y voit un risque pour la sécurité. «Comme parent, je suis inquiète de ne pas savoir qui conduit l’autobus de mes enfants. Je connais les autres chauffeurs, leurs visages et leurs noms, et je peux les identifier».
La commission scolaire a répondu que ses craintes n'étaient pas fondées, et que le droit de la conductrice de manifester sa religion doit être respecté.
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