Après l’attentat contre Charlie Hebdo, un Vaudois a proposé de brûler du “muzz”. Brunschwig Graf en profite pour faire de la récupération.

Martine Brunschwig Graf en profite évidemment pour récupérer l'affaire, accuser les Suisses de racisme étant son gagne-pain.

Il n'existe aucune condamnation de cette femme lorsque des musulmans sont prêts à commettre des attentats en Suisse ou militent pour notre mort: tout ne doit être fait que dans un seul sens. Non là, subitement, l'incitation à la haine contre notre communauté ne doit pas être relevée.

Or on sait très bien que des musulmans se sont réjouis des divers attentats à travers l'Europe, comme en Belgique, en Algérie ou même en Suisse. C'est dire l'hypocrisie de cette femme.

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Un Vaudois a été reconnu coupable de discrimination raciale pour des posts Facebook publiés le soir de l'attentat contre Charlie Hebdo.

Les condamnations pour violation de la norme pénale antiraciste sont stables ces dernières années, avec une quarantaine de cas par an. Or, pour Martine Brunschwig Graf, présidente de la Commission fédérale contre le racisme, ces chiffres ne permettent pas d'exclure une augmentation des cas de discrimination raciale. «On sait que plusieurs personnes sont victimes, mais ne portent pas plainte. Elles n'osent pas, elles ne savent pas comment s'y prendre, ou elles ont peur des conséquences. Il y a donc beaucoup plus de victimes que les chiffres ne le montrent», explique-t-elle à 24 heures.

Source et article complet

Rappels:

Après sa prise de position contre la chanteuse musulmane Mennel, Benjamin Castaldi est menacé de mort. « J’ai eu 45 insultes par minute. »

"Charlie Hebdo" reçoit des menaces de mort après sa une sur Tariq Ramadan

 

 

 

Ramadan, nécessairement innocent.

Tariq Ramadan doit être innocent des faits dont on l'accuse, c'est une nécessité absolue. Il y a bien évidemment la présomption d'innocence, principe cardinal de la justice telle que nous la concevons. Il y a aussi une accumulation de témoignages qui montre un personnage très différent de celui auquel son discours nous a habitués. Après quelques trous de mémoire, Martine Brunschwig-Graf, la présidente de la Commission fédérale contre le racisme, admet avoir eu vent de rumeurs évoquant un comportement fort peu déontologique à l'époque où Tariq Ramadan enseignait dans un collège genevois. Venant d'une dame dont l'obsession consiste à traquer toute éventuelle ébauche d'esquisse de propos islamophobe, l'aveu prend de l'importance et n'arrange pas les affaires du présumé innocent.

Ceci dit, il en faut plus pour ébranler les soutiens inconditionnels du professeur d'études islamiques contemporaines à l'université d'Oxford, noble établissement qui vient de mettre en congé notre homme "d'un commun accord et avec effet immédiat", ce qui ajoute quelques nuages à l'horizon déjà bien chargé de l'enseignant.

Ainsi, Jacques Neirynck, l'homme au côté de qui Albert Einstein fait petit bras, prend fait et cause pour Frère Tariq, lui conservant une estime intacte, intimant à tout un chacun d'en faire autant. Il est vrai que notre intellectuel universel a cosigné un ouvrage forcément essentiel avec l'islamologue sulfureux. Imaginez ! Ce serait vraiment fâcheux pour M. Neirynck d'avoir ainsi ajouté sa plume à celle d'un vulgaire harceleur. Pour l'ancien conseiller national, Tariq Ramadan restera innocent, quel que soit le devenir judiciaire de cette affaire, étant entendu que M. Neirynck ne se trompe jamais, ici pas plus qu'ailleurs. En maintenant sa confiance à Tariq Ramadan, l'éminent personnage veille surtout à ne pas blesser son orgueil incommensurable, seule chose qui lui reste.

Il en va de même des musulmans du canton de Neuchâtel qui ne peuvent admettre qu'ils auraient remis le salut de leurs âmes entre les mains d'un monsieur qui pratique l'exact inverse de ce qu'il professe. Découvrir que Tariq Ramadan se comporte comme ces personnes que son frère voue à la lapidation est inconcevable, frère qui d'ailleurs profère des menaces pas si voilées que ça, c'est un comble, envers celles qui ont parlé. En attendant, les supporters inconditionnels de Tariq Ramadan réclament pour eux la reconnaissance d'utilité publique. Tout va bien.

Pour la France enfin, qui n'a aucune envie de voir les banlieues s'enflammer, il va falloir faire de Tariq Ramadan un innocent. La chose ne demandera guère d'efforts tant la sieste judiciaire est un sport national dans les palais de justice. La lenteur de la procédure sera exactement inverse à la vitesse à laquelle le magistrat chargé de l'affaire grimpera dans la carrière, un enterrement final pour cause de prescription valant un siège à la cour de cassation.

C'est un long calvaire qui attend les présumées victimes. Le comité de soutien qui vient de se créer à Genève pour les accompagner tout au long de ce triste feuilleton aura bien à faire.

Respect et courage à celles qui ont osé briser l'omerta.

Yvan Perrin, le 10 novembre 2017

Affaire Ramadan: Martine Brunschwig Graf, présidente de la Commission fédérale contre le racisme, était au courant

Aujourd'hui cette femme milite pour l'islam et contre les "Suisses xénophobes", à sens unique.

Tout va bien.

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Martine Brunschwig Graf, l’ancienne cheffe de l’Instruction publique, avait été alertée de possibles relations intimes entre Tariq Ramadan et des élèves.

Selon nos informations, l’ancienne cheffe du Département l’instruction publique (DIP) Martine Brunschwig Graf avait été informée que Tariq Ramadan aurait entretenu des relations intimes avec certaines de ses élèves (notre article du 7 novembre). Huguette Junod, enseignante à la retraite et féministe, nous démontre l’avoir avertie personnellement dans les années 1990, période durant laquelle l’islamologue enseignait au collège de Saussure et où la libérale dirigeait le DIP (1993-2003). Ce n’étaient que «des rumeurs», se défend l’ancienne magistrate.

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