Poutine demande à un journaliste si les États-Unis ont « assassiné » Ashli ​​Babbitt

À quelques jours de son sommet avec le président Biden à Genève, le président russe Vladimir Poutine a déclaré que les États-Unis étaient hypocrites dans leurs critiques sur la façon dont son pays gère la dissidence interne. Lors d'une interview avec NBC News, Poutine a dit que la Russie n'était pas pire que les États-Unis à cet égard, et a pris comme exemple la façon dont le gouvernement a géré l'émeute du 6 janvier au Capitole.

Il a même souligné les arrestations de centaines de suspects dans l'émeute du Capitole américain et la mort d'une émeutière comme preuve que les États-Unis ciblent également leurs citoyens pour leurs opinions politiques, tout comme la Russie est accusée d'étouffer la dissidence.
(Le FBI a arrêté des personnes pour les violences commises au siège du gouvernement à Washington, plutôt que pour leurs opinions politiques.)

"Nous avons un proverbe : 'Ne te fâche pas contre le miroir si tu es moche'", a-t-il dit. "Cela n'a rien à voir avec vous personnellement. Mais si quelqu'un nous blâme pour quelque chose, ce que je dis, c'est, pourquoi ne vous regardez-vous pas vous-même? C'est vous que vous verrez dans le miroir, pas nous."

Poutine a montré des éclairs de défi lorsqu'on lui a demandé si c'était une « coïncidence » que plusieurs autres rivaux politiques aient été assassinés ces dernières années.

"Nous n'avons pas ce genre d'habitude, d'assassiner qui que ce soit", a déclaré Poutine lorsqu'on lui a demandé s'il avait ordonné la mort de Navalny. ( Nouvelles NBC )

Il a ensuite répliqué en demandant si les États-Unis étaient coupables d'avoir assassiné Ashli ​​Babbitt lors de l'émeute du Capitole.

« Deuxièmement, je veux vous demander : avez-vous ordonné l'assassinat de la femme qui est entrée dans le Congrès et qui a été abattue par un policier ? » a dit Poutine. « Savez-vous que 450 personnes ont été arrêtées après leur entrée au Congrès ?

Et elles ne sont pas allées là-bas pour voler un ordinateur portable. Elles sont venues avec des revendications politiques. 450 personnes ont été arrêtées. Elles risquent la prison, de 15 à 20 ans. Et elles étaient venues au Congrès avec des revendications politiques. N'est-ce pas de la persécution pour des opinions politiques ?

La famille de Babbitt a déposé une plainte pour obtenir des dossiers de Washington, DC, qui donneraient l'identité de l'agent qui a tiré sur elle. Le ministère de la Justice a déclaré en avril qu'il ne poursuivrait pas les charges contre l'agent de police du Capitole américain responsable de sa mort.

"L'enquête a en outre déterminé que Mme Babbitt faisait partie d'une foule de personnes qui sont entrées dans le bâtiment du Capitole et ont eu accès à un couloir à l'extérieur du 'Speaker's Lobby', le corridor qui mène à la salle de la Chambre des représentants des États-Unis", a déclaré le ministère de la Justice dans un communiqué de presse.

"Au moment des faits, l'USCP (la police du Capitole) était en train d'évacuer les membres de la Chambre, dans laquelle la foule essayait d'entrer par plusieurs portes.
Les agents de l'USCP ont utilisé des meubles pour barricader un ensemble de portes vitrées séparant le hall du corridor pour essayer d'empêcher la foule de pénétrer dans le corridor et dans la Chambre, et trois agents se sont positionnés entre les portes et la foule.

Des membres de la foule ont tenté de forcer les portes en les frappant et en brisant les vitres avec leurs mains, des mâts de drapeau, des casques et d'autres objets. Finalement, les trois agents de l'USCP postés à l'extérieur des portes ont été forcés d'évacuer. Alors que des membres de la foule continuaient de frapper les portes vitrées, Mme Babbitt a tenté de franchir l'une des portes dont la vitre avait été brisée.

Un agent posté à l'intérieur du corridor a tiré avec son pistolet de service, atteignant Mme Babbitt à l'épaule gauche, la faisant retomber de l'embrasure de la porte et sur le sol.

Une équipe d'intervention d'urgence de l'USCP, qui avait commencé à se frayer un chemin dans le couloir pour tenter de maîtriser la foule, a prodigué les premiers soins à Mme Babbitt, qui a été transportée au Washington Hospital Center, où elle a succombé à ses blessures."

La déclaration continue : "L'enquête n'a révélé aucune preuve permettant d'établir au-delà de tout doute raisonnable que l'agent ait délibérément commis une violation du 18 USC
§ 242.
Plus précisément, l'enquête n'a révélé aucune preuve permettant d'établir qu'au moment où l'agent a tiré un seul coup de feu sur Mme Babbitt, l'agent n'a pas raisonnablement cru qu'il était nécessaire de le faire pour se défendre ou pour défendre les membres du Congrès et d'autres personnes évacuant la Chambre."

Babbitt n'était pas armée au moment où elle a été abattue.

Les fascistes de gauche jubilent: “Ashli Babbitt l’a mérité”

Cenator: Nous avons l’habitude de voir ce genre de célébration bestiale de meurtres commis par exemple par le Hamas et ses dérivés contre les civils en Israël. 

Ici, ce sont les Antifa, la gauche radicale, qui jubilent après l’assassinat d’une femme, une mère, une épouse, une patriote exemplaire et totalement innocente.

Que nous soyons croyants, athées ou agnostiques, nous ne pouvons nous empêcher de constater que nous sommes entrés en Occident dans une phase où une lutte à mort s’est engagée entre le bien et le mal, entre la vérité et le mensonge, entre la bestialité et la civilisation. Et il n’est pas difficile de voir dans quel camp se trouvent les marxistes.

La nouvelle de cette célébration de l’assassinat d’Ashli Babbitt a fait le tour des réseaux sociaux, mais cette fois, pas de censure, pas d’avertissement pour discours de haine, pas de suspension de compte, et bien entendu, pas un mot dans nos médias de la bien-pensance. 

Selon certains spécialistes des services secrets hongrois, comme G. Földi, le FBI était impliqué dans l’intrusion au Capitole, avec des complices à l’intérieur du bâtiment avec la coordinations des Antifa. En visionnant les vidéos, ils ont reconnu des méthodes et stratégies typiquement utilisées par les bolchéviques dans le passé. 
Sur une des vidéos (depuis 3:11), on peut voir de l’autre côté de la porte un homme en civil, posté en embuscade, tirer à bout portant dans la tête d’Ashli Babbitt. Plus loin derrière lui, il y avait plusieurs policiers en uniforme, avec des armes automatiques. Ils ont tout vu lorsque l’assassin a visé et tiré, et personne ne l’en a empêché. 
Les Hongrois y voient clairement un piège. Il faut savoir que dans une foule compacte, avec des complices, il est très facile d’utiliser les tactiques d’agitation marxistes. Ces méthodes  sont clairement identifiables durant ces événements, noyautage par l’ennemi qui change d’apparence, les techniques d’excitation des foules, diviser les manifestants pour régner, et le reste du travail sera exécuté par les mainstream  médias de gauche (CNN, RTS, etc...). Le but final, c’est la manipulation d’opinion, faire plier, repousser l’ennemi dans ses derniers retranchements, la désinformation, et finalement la perversion de la vérité.

Voir aussi: L'analyse des vidéos de la mort d'Ashli Babbitt suggère des actions coordonnées - Interview de la journaliste W. Masako Ganaha | Crossroads  (vidéo en anglais, 12:13 min.)

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Les Antifa ont-ils provoqué des émeutes à San Diego ? Une vidéo choquante montre des hommes en noir portant le panneau "Ashli Babbitt l'a mérité".

Des partisans du Président Donald Trump et des contre-manifestants se sont violemment affrontés lors d'un rassemblement à Pacific Beach, San Diego, Californie – la ville d’Ashli Babbitt – le samedi 9 décembre. Un des manifestants portait une pancarte sur laquelle on pouvait lire : "Ashli Babbitt l'a mérité".

Le rassemblement, décrit dans les tracts comme une "marche des patriotes", s'est déroulée le long de l'Ocean Front Walk et a commencé en début d'après-midi le 9 décembre. Un groupe de contre-manifestants, dont des membres de groupes antifascistes, vêtus de noir et tenant des bâtons ou des battes de baseball, s'est présenté devant le groupe pro-Trump, et les échanges tendus ont parfois tourné à la violence.

[…] Vers 14h30, des policiers anti-émeute sont intervenus pour séparer les deux groupes. […]

Source : https://meaww.com/did-antifa-spark-riot-in-san-diego-california-video-mob-carrying-ashli-babbitt-deserved-it-sign