Première en France : Ali, enceint de sa petite fille Salomé

C’est l’histoire d’une première en France : Ali, homme transgenre, a été reconnu parent à la naissance de sa fille Salomé, avec son compagnon François.

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Ali ressent le regard particulier qui se pose sur lui et son ventre, que ce soit dans des situations administratives, dans les cours de préparation à l’accouchement, ou dans de simples interactions sociales :

Dans l’espace public, les gens se retournaient sur moi, surtout les femmes. Les femmes “captaient” que ce n’était pas une pancréatite, que je n’avais pas bu beaucoup de bières, que ce n’était pas ça.

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Franceculture.fr

Allemagne : un ado d’origine marocaine, censé avoir été gravement blessé lors de son arrestation, réapparaît indemne dans une vidéo

Cenator : Nos multiples groupes de pression invasionnistes sont très friands de ce genre d'histoires pour transformer en martyrs les demandeurs d'asile déboutés /clandestins non européens.

Tous les médias de Suisse romande ont des histoires en réserve pour ressortir au bon moment des affaires à la Traoré, des petits Aylan, des Mike, des expulsés à tort torturés après leur retour dans leur pays, et autres "bavures" fictives. (voir notre George Floyd romand)

Les médias et les lobbys pro-asile travaillent main dans la main pour fabriquer des soi-disant victimes d'abus d'autorité et en faire grand bruit.

C'est une méthode de manipulation bien élaborée pour gagner contre les décisions de justice, pour faire passer la population à la caisse sans qu'elle rechigne, et accessoirement, pour que nos autorités qui ont débouté ou interpellé le chérubin soient traînées dans la boue et discréditées.

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Que s'est-il réellement passé lors d'une opération de police à Düsseldorf ? Ali M., 15 ans, que l’on disait grièvement blessé, poste joyeusement des vidéos sur Snapchat. Le policier accusé apporte un nouvel élément. Et les partisans d’Ali appellent à une marche de protestation.

Il n'existe aucune preuve des blessures qu'Ali M. (nom d’emprunt) aurait subies lors d'une arrestation mouvementée dans la vieille ville de Düsseldorf samedi soir. Du moins ne présente-t-il pas de dommages reconnaissables à la tête.

Pourtant le politicien local des Verts, Samy Charchira, après une visite à la famille, avait affirmé que l'étudiant avait subi une commotion cérébrale lors de son arrestation.

Il avait passé une journée à l'hôpital en observation. "Il a souffert de multiples contusions au visage, au crâne, au bassin, à la colonne thoracique et cervicale. Sa santé mentale, mais aussi celle de ses parents, sont précaires", avait déclaré le candidat aux prochaines élections locales de Düsseldorf. La vidéo de la "victime", en revanche, montre un jeune homme qui semble se porter comme un charme. FOCUS Online a demandé des précisions au politicien Vert, mais n'a pas obtenu de réponse.

L'affaire a fait des vagues après que des clips sur le net aient montré une méthode apparemment brutale d'un commissaire de police dans l'arrestation de l'adolescent de 15 ans. Ali M. aurait frappé des policiers en intervention, les aurait traités de "fils de p***" et leur aurait déclaré sa haine de l’uniforme.

Après un long corps-à-corps, deux agents ont pu amener au sol l'émeutier, bien connu de la police. L'un d'eux a appuyé sur lui avec le genou. Pour l'instant, on ne sait pas si sa jambe appuyait sur la tête ou sur le cou. Dans le secondcas, il s’agit d’une violence policière criminelle. Depuis lors, le ministère public enquête sur quatre policiers.

"Pas comme George Floyd!".

Le ministre de l'Intérieur de Rhénanie du Nord-Westphalie a promis une explication complète en réponse aux fragments vidéo qui circulent sur Internet. Les enquêteurs étudient actuellement les vidéos de surveillance, puis ils les feront par des formateurs.

Un des commissaires sous enquête, âgé de 29 ans, a pris quelques jours de congé pour répondre aux accusations, rapporte son avocat. Ce qui l’affecte le plus, c'est le fait qu'on le mette dans le même sac que les policiers impliqués dans la mort de George Floyd. Il a révélé qu’un protège-dents taché de sang a également été trouvé sur le jeune homme. Cet objet est utilisé non seulement par les boxeurs mais aussi par les hooligans lorsqu'ils se préparent à un affrontement.

Une autre enquête est engagée contre Ali M. lui-même, pour résistance à agents de l’autorité. L'ado de 15 ans a déjà d'autres affaires pénales en cours contre lui. Selon Gregor Golland, politicien de la CDU chargé des affaires intérieures, "la victime présumée est un jeune violent qui a délibérément agressé des agents de police. L'agitation et la campagne de calomnie menées par le SPD et les Verts contre des policiers qui risquent leur cou tous les jours sont intolérables."

La police n’est pas au bout de ses peines. Les partisans du jeune Ali M. ont appelé à une marche de protestation dans le centre-ville de Düsseldorf le week-end prochain.

Source :Angebliches Polizeigewalt-Opfer im Snapchat-Video quicklebendig - Beamter macht neue Angaben- Focus
Traduction anglaise :
Germany: Muslim migrant who supposedly suffered serious brain injury when arrested appears in video unhurt - Jihad Watch (avec vidéo en allemand)
Résumé
français : Cenator

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Berlin : Ali K. jugé pour le viol et le meurtre de Georgine Krüger “Il aurait jeté le corps dans les ordures ménagères”

Durant des années, la disparition de Georgine Krüger a été l'un des cas de personnes disparues les plus célèbres d'Allemagne. Le suspect, âgé de 44 ans, est accusé d'avoir attiré la jeune fille de 14 ans dans une cave de son appartement en septembre 2006, de l'avoir violée et étranglée. Le corps n'a jamais été retrouvé.

L'écolière avait aidé l'homme de son voisinage à porter des sacs. Il l'a frappée avec un objet métallique et a abusé d'elle, déclare la procureure. Puis il l'a tuée pour l'empêcher d'être dénoncé à la police.

Ce n'est qu'en 2017 que les agents de la police criminelle ont suspecté l'homme à la suite d'enquêtes d'infiltration.

Le père de famille avait déjà été condamné à une peine avec sursis en 2013 pour abus sexuel sur mineur.

5ème jour du "procès pour meurtre sans corps" - 13 ans après la disparition de Georgine. L'accusé soupçonné d'assassinat Ali K. est menacé d'emprisonnement à vie. Il ne montre aucune émotion au tribunal.

Deux jours après la disparition de Georgine Krüger (14 ans) en 2006, une centaine de policiers ont fouillé les maisons de la Stendaler Strasse, du numéro 1 au  numéro 23 à Moabit. "Mais seulement les pièces qui étaient ouvertes", se souvient un agent de la police criminelle.

Les fonctionnaires ne sont pas entrés dans les caves fermées à clé à ce moment-là. "Nous n'avions pas de mandat de perquisition", a déclaré le policier. [...]

Le corps de Georgine aurait été dissimulé dans la cave d’Ali K. Le père de famille vivait dans la Stendaler Strasse 3. Par la suite, il aurait jeté le corps dans les ordures ménagères. On ne l'a jamais retrouvé.

272 bâtiments fouillés

272 bâtiments ont été fouillés après la disparition de l'écolière en septembre 2006. De la cave au grenier, disait-on. Le juge demande : "Mais si une cave était fermée à clé, les fonctionnaires n'entraient pas ?". "C'est vrai", répond l'agent de la police criminelle.

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Bz-berlin.deSpiegel.de

 

France. Policière passée à tabac: Ali est arrêté avec 40 grammes de cocaïne

Il était devenu un héros dès les premières heures de l'année. Âgé de 18 ans, Ali avait aidé la policière passée à tabac le soir du 31 décembre, à Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne), en marge d'une soirée.

Mais son image de bon samaritain est désormais écornée, après son interpellation lundi soir dans sa ville de Chevilly-Larue, pour possession de stupéfiants, rapporte Le Parisien mercredi 7 février.Le jeune homme, lycéen en bac pro se trouvait avec un groupe de quatre personnes au 16e étage d'un immeuble quand il a été contrôlé par des policiers de l'Haÿ-les-Roses.

UN TRAITEMENT DE FAVEUR ?

Sur lui, ils découvrent plusieurs pochons thermosoudés. "Il avait, semble-t-il, une quarantaine de grammes de cocaïne, précise au Parisien une source proche de l'enquête. Une quantité pareille, ce n'est pas vraiment pour de la consommation personnelle." Au premier abord, les policiers n'auraient pas reconnu Ali. Ce sont d'autres fonctionnaires qui ont compris de qui il s'agissait lors de sa garde à vue.

"On peur avoir une échelle de valeurs dans la vie, a confié un policier au quotidien local. Des collègues de Champigny croisent régulièrement des mis en cause qui s'indignent sincèrement de ce qui s'est passé le soir du 31 décembre." Quant à savoir si Ali bénéficiera d'un traitement de faveur, les policiers ne ferment pas la porte. "Je ne sais pas. Après tout, il est resté très correct quand il a été interpellé lundi soir", indique l'un d'entre eux.

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