Alençon : assigné à résidence, sous le coup d’une OQTF, le faux “mineur” algérien âgé de 24 ans décide de faire d’une jeune Française sa “pute”

Alençon. Jugé pour avoir agressé une jeune femme avec un couteau

Un jeune homme comparaît ce vendredi 2 octobre devant le tribunal correctionnel d’Alençon. En situation irrégulière, il est suspecté d’avoir menacé une femme de 25 ans, début septembre en centre-ville, pour lui réclamer des faveurs sexuelles.

[…]

L’homme est également poursuivi pour outrage à une personne dépositaire de l’autorité publique, fourniture d’identité erronée, maintien irrégulier sur le territoire et non-respect de l’assignation à résidence.

[…]

L’article dans son intégralité sur Ouest France


Précisions sur L’Orne Hebdo

[…]

Né en Algérie, il est arrivé en France en 2017 après un passage en Espagne. Son âge et son identité ne semblent pas clairs. Il a en effet fourni une première identité lors de sa garde à vue laissant croire qu’il était mineur. Puis son nom est apparu dans les fichiers de la Police et il serait né en 1996.

Agé donc de 24 ans, il joint souvent ses mains devant lui, souriant à chaque question de la présidente et levant les yeux vers le plafond.

[…]

« tu vas me sucer, tu es ma pute et tu vas travailler pour moi ».

[…]

« je ne l’ai pas agressé, je la draguais… »

[…]

Il est aussi apparu durant la procédure que le jeune homme était en situation irrégulière en France et sous le coup d’une assignation à résidence avant de devoir quitter le territoire national.

[…]

Via Fdesouche


Rappels :

L’Unicef dénonce la stigmatisation des mineurs isolés en France depuis l’attaque au hachoir : « Ce sont avant tout des enfants »

“Mineurs isolés” étrangers à Paris : Les riverains n’en peuvent plus. “Ils s’attaquent à tout le monde, ils cherchent une proie, même une petite vieille”

Enquête ouverte à l’encontre d’Eric Zemmour pour ses propos sur les mineurs isolés

Vaud : Un mineur menace le gardien de prison, un autre boute le feu

Paris, 19e arrondissement, des mineurs se battent avec des tirs de mortiers

RTS. Les migrants mineurs non accompagnés de Lesbos (camp de Moria) après l’incendie (volontaire?) de leur camp de réfugiés. L’invité : un spécialiste (en fait un abonné de la RTS, F. Gemenne, un politologue d’extrême gauche)

La Suisse envisage d’accueillir 20 mineurs du camp de Moria. Delémont fait pression pour l’accueil.

France. Après la rixe à Alençon, des Afghans fuient la ville craignant des « arabes armés »

Une quinzaine d’hommes ont essayé de prendre le train direction Caen, ce vendredi 3 août en fin de matinée. Ils ne se sentent plus en sécurité après l’affrontement qui a fait un mort et une dizaine de blessés, mercredi.

Vendredi 3 août, 11 h. Une quinzaine d’Afghans – des hommes plutôt jeunes, demandeurs d’asile – attendent sur le quai de la gare d’Alençon. Certains discutent, debout. D’autres sont assis, adossés à un sac-à-dos ou un sac de courses dans lequel ils ont réuni toutes leurs affaires. C’est leur seul bagage.

Ils veulent fuir la ville, direction Caen. Laisser la violence derrière eux, une nouvelle fois. Mercredi, une rixe a éclaté entre eux et « les Arabes » , comme ils les appellent. « Des Marocains, des Turcs » , mais aussi « des Soudanais » . L’affrontement a fait un mort et une dizaine de blessés à Perseigne, un quartier d’Alençon classé prioritaire.

(…) « Je préfère dormir dans la rue »

Tous racontent que jeudi soir, deux voitures « remplies d’Arabes armés » se sont garées devant l’ancien hôtel où ils sont logés. « On a appelé la police. » Mais le mal est fait : les Afghans ne se sentent plus en sécurité. « On était bien à Alençon, on a reçu de l’aide, mais je préfère dormir dans la rue à Caen où les policiers sont plus nombreux plutôt que de rester ici jusqu’à ce qu’on vienne me tuer. »

Pour la police, le conflit n’est pas si simple que les Afghans le laissent entendre. Il s’agirait de deux groupes qui s’affrontent, et l’un a pris l’ascendant sur l’autre. La preuve : parmi les blessés qui sont toujours à l’hôpital d’Alençon, les deux communautés sont représentées, même s’il y a davantage d’Afghans.

Ouest-france.fr